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Fin de l'alerte à Martigny: les nageurs peuvent replonger sans crainte
Fin de l'alerte à Martigny: les nageurs peuvent replonger sans crainte

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time2 hours ago

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Fin de l'alerte à Martigny: les nageurs peuvent replonger sans crainte

Le pseudomonas a été neutralisé grâce à un traitement au chlore. Après seulement quarante-huit heures, l'établissement a obtenu le feu vert des autorités pour rouvrir. Publié aujourd'hui à 15h31 Mis à jour il y a 10 minutes La piscine municipale de Martigny a rouvert ses portes ce jeudi matin à 10 h. Dans un communiqué , l'administration municipale a indiqué que ses analyses les plus récentes avaient confirmé que la qualité de l'eau des bassins était à nouveau «conforme aux exigences légales». Pour rappel, la piscine avait été fermée mardi matin car une bactérie pseudomonas y avait été détectée dans l'eau, à la suite d'un contrôle de routine. Un communiqué avait indiqué que le Service cantonal de la consommation et des affaires vétérinaires avait mis en place un traitement renforcé au chlore. Les résultats positifs d'une autre analyse, réalisée mercredi, ont indiqué que la bactérie avait été neutralisée. L'ouverture de la piscine a ainsi pu avoir lieu ce jeudi matin, la Ville se réjouissant d'y retrouver ses baigneuses et ses baigneurs. Sur la piscine de Martigny Newsletter «La semaine valaisanne» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton du Valais, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Pourquoi Martigny a dû fermer ses bassins malgré la chaleur
Pourquoi Martigny a dû fermer ses bassins malgré la chaleur

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time2 days ago

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Pourquoi Martigny a dû fermer ses bassins malgré la chaleur

La découverte d'une pseudomonas a provoqué la fermeture de la piscine municipale, conditionnant sa réouverture aux résultats d'analyses définitives. Publié aujourd'hui à 17h01 La piscine municipale de Martigny est temporairement fermée depuis ce mardi matin à la suite de la détection d'une bactérie lors des contrôles de qualité de l'eau, comme l'annonce la commune de Martigny dans un communiqué. Un traitement au chlore est actuellement en cours sur le bassin principal, conformément aux directives sanitaires. Par mesure de précaution, la pataugeoire et le bassin du toboggan sont également inaccessibles au public. Seule la pelouse reste ouverte aux visiteurs pendant la durée de l'intervention. La bactérie détectée lors des contrôles de routine est une pseudomonas, qui a nécessité la mise en place d'un traitement technique renforcé dès 10 h 15 ce mardi matin. Le Service cantonal de la consommation et des affaires vétérinaires supervise l'opération et prévoit une réouverture des installations pour jeudi aux alentours de 10 h, sous réserve des résultats d'analyses. Analyses en cours Une nouvelle analyse de l'eau est programmée pour mercredi matin. Si les résultats s'avèrent concluants, la réouverture pourra intervenir 24 heures plus tard. La commune précise qu'aucune réouverture ne sera possible avant cette date, même en cas de résultats favorables anticipés. Pendant toute la durée du traitement, les habitants peuvent continuer à profiter de la pelouse de la piscine municipale. Cette zone reste en libre accès, permettant aux familles de bénéficier d'un espace de détente malgré la fermeture des bassins. D'autres piscines municipales Newsletter «La semaine valaisanne» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton du Valais, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Martigny: la success story de Gianadda se poursuit
Martigny: la success story de Gianadda se poursuit

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time4 days ago

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Martigny: la success story de Gianadda se poursuit

Des inédits à Martigny – La success story de Gianadda se poursuit Très rarement de sortie, la collection Hammer de Los Angeles déploie ses Rembrandt, Goya, Van Gogh, Daumier et Monet à Martigny. Florence Millioud Parmi les portraits figurant dans la collection Hammer, celui de «Sarah Bernhardt», réalisé en 1885 par le peintre belge Alfred Stevens (1823-1906) Armand Hammer Collection, Don de la Fondation Armand Hammer. Hammer Museum, Los Angeles Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : La collection Hammer présente quarante de ses joyaux à la Fondation Gianadda de Martigny. Les œuvres exposées reflètent quatre siècles d'histoire de l'art européen. L'exposition met en valeur des œuvres rarement vues hors des États-Unis. Cela se voit immédiatement avec le premier portrait accroché à la Fondation Gianadda, suivi d'un autre. Puis d'un autre encore et encore. Des statures, des carrures, des créatures malaxées par le regard caustique de Daumier. Marquées par la solennité feutrée du trait de Rembrandt. Ou portées par la poétique champêtre de Corot. Il y a de la chair, de l'émotion, de la vie: l'humain est le vrai sujet de cette exposition. Des cimaises jusqu'à la genèse de ce joli coup, ce jour de février 2023 où Léonard Gianadda a scellé la venue de la collection d'art du Hammer de Los Angeles… à Martigny. Peut-être moins royal que celui des Windsor, moins audacieux que chez Peggy Guggenheim ou moins intéressé que celui de François Pinault, l'ensemble composé par Armand Hammer n'en a pas moins de belles choses à montrer. Moins vues si ce n'est à la faveur d'un prêt ponctuel, ou d'un autre. Mais jamais encore un choix significatif de cette collection d'œuvres de maîtres de la Renaissance jusqu'au début du XXe siècle n'avait encore traversé l'Atlantique. Ou… retraversé puisqu'il est question de Titien, Rubens, Goya, Fragonard, Boudin, Moreau. Ou encore de Renoir. De Degas. «Bonjour Monsieur Gauguin», une toile de Paul Gauguin peinte en 1889. Armand Hammer Collection, Don de la Fondation Armand Hammer. Hammer Museum, Los Angeles «Ils auraient pu choisir Paris. Une institution plus grande. Plus connue, s'étonne encore Anouck Darioli. Mais la directrice des collections et de l'inventaire, Portland McCormick, a aimé la fondation! Elle est venue ici. Léonard Gianadda lui a tout fait visiter pendant deux jours. Et son charme comme la réputation de nos expositions ont œuvré: il n'aurait pas dit le contraire, sourit celle formée pour lui succéder. D'ailleurs c'est lui qui a encore signé cette expo. Aujourd'hui, ce serait sans doute plus compliqué. Plus coûteux.» La collection Hammer, 25 ans d'acquisitions Une quarantaine de joyaux qui voyagent, on imagine! Les formalités. Les assurances. La sécurité. Toutes les icônes, les Rembrandt, les Van Gogh, sont à Martigny, quatre siècles d'histoire de l'art réunis en vingt-cinq ans d'acquisitions. L'homme (1898-1990) ne se reconnaissait «aucun échec», sa trajectoire complexe, politique, stratégique et donc exposée ne lui a par contre pas économisé les controverses. Médecin de formation, très vite acquis aux bénéfices d'affaires les plus diversifiées possible (matériel médical, pharma, pétrole, exportations, élevage de bétail, alcool), il s'était aussi fait un nom de philanthrope et d'activiste pacifiste. La collection Hammer a même prêté sa Joconde à la Fondation Gianadda, «Junon», de Rembrandt, peinte vers 1662-1665. Armand Hammer Collection, Don de la Fondation Armand Hammer. Hammer Museum, Los Angeles L'art? Le multimillionnaire – les sources passent de 200 millions de dollars à 1 milliard – en avait d'abord fait commerce en ouvrant une galerie avec son frère. Avant de le collectionner jusqu'à sa mort dans «une tentative, disait-il, de réunir certaines des représentations de la condition, des plaisirs et des rêves humains». Ou cette présence qui se manifeste dans ces regards qui ne dévient pas, décidés, presque solennels chez la «Jeune femme aux cheveux bouclés» de Rubens. Et acquis à l'inspiration infinie dans la puissante Sarah Bernhardt peinte par le Belge Alfred Stevens. Une exposition habitée À croire que l'art a aussi servi d'observatoire à Armand Hammer, il y a peu de place pour l'indolence ou la contemplation dans sa collection. Mais de l'espace pour des tempéraments. Des trempes. Des émotions. Et pourquoi pas… certaines démonstrations? Comme cette «Junon», souveraine apparition de la déesse protectrice des femmes, et œuvre tardive de Rembrandt. Mais aussi cette drôle de facétie mise en scène dans laquelle quatre femmes s'amusent à faire rebondir un homme de paille sur un drap. Ou encore ce rapprochement fusionnel jusque dans les couleurs d'une «Leçon de lecture» rendue par Daumier. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Les choix du collectionneur happent, ils ne laissent pas si tranquille. Face à ce rideau d'arbres tortueux dressé par Van Gogh devant «L'hôpital à St-Rémy». Ou le regard embarqué dans l'urgence foudroyante d'une étude de Toulouse-Lautrec. Tous tracent la vie dans tous ses états et ramènent à Martigny des signatures chéries d'un public que Francis Bacon avait un peu freiné. Et à la fois renouvelé! Avec, selon Anouck Darioli, «quelque 10 à 15% de nouveaux venus» et une surprise VIP avec la visite en toute discrétion de l'actrice Natalie Portman. Cet article vous a plu? Découvrez davantage de contenus dans l'édition actuelle de l'e-paper «Le Matin Dimanche» et dans nos archives. Chaque dimanche matin, retrouvez également votre journal en caissettes près de chez vous. Vous pouvez aussi vous inscrire à notre newsletter. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Se connecter Florence Millioud a rejoint la rubrique culturelle en 2011 par passion pour les gens de culture, après avoir couvert dès 1994 la politique et l'économie locales. Historienne de l'art, elle collabore à la rédaction de catalogues d'exposition et d'ouvrages monographiques sur des artistes. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Ces projets de stade de Christian Constantin qui n'ont jamais vu le jour
Ces projets de stade de Christian Constantin qui n'ont jamais vu le jour

24 Heures

time13-07-2025

  • Sport
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Ces projets de stade de Christian Constantin qui n'ont jamais vu le jour

Le patron du FC Sion veut inaugurer sa nouvelle arène pour 2030. Par le passé, malgré les effets d'annonce, ses projets de stade ont tous été abandonnés ou transformés en centres commerciaux. Publié aujourd'hui à 09h00 Le stade imaginé par Christian Constantin, ici photographié en 2006, ne s'est concrétisé ni à Martigny ni à Riddes. Georges-André Cretton En bref: Une promesse à cinq ans. Dans l'agenda de Christian Constantin , le 30 juin 2030 est d'ores et déjà bloqué. Ce dimanche d'été coïncide, selon ses propres projections, avec l'inauguration du nouveau stade du FC Sion . Un calendrier très ambitieux. Si le projet est effectivement sur les rails – l'Exécutif sédunois est officiellement favorable à l'infrastructure –, le chemin reste long avant qu'une arène à 450 millions de francs dotée d'un toit amovible, de loges, d'un écran géant, de commerces et d'une pelouse adaptable pour d'autres événements ne sorte de terre. En témoignent les échecs du passé. 1996: le «Grand Stade» de Collombey (capacité: 63'000 places, coûts estimés: 200 millions) Le stade devait sortir de terre proche de l'ancien site de la raffinerie de Collombey. Archive La Presse Riviera/Chablais On rembobine, vingt-neuf ans plus tôt. Christian Constantin présente son projet de stade à Collombey, dans le Chablais valaisan. La vision d'hier fait sensiblement écho aux ambitions d'aujourd'hui. «Le Grand Stade comportera toutes les facilités d'un complexe sportif moderne: boutiques, restaurants, écrans géants, loges pour les sponsors, etc. Son toit amovible (ndlr: auquel le promoteur renoncera un an plus tard pour gagner du temps) garantira la tenue des compétitions par tous les temps», relate alors «La Presse Riviera Chablais». L'infrastructure devait également être modulable pour se transformer en salle de spectacle. Selon Christian Constantin, le début des travaux interviendra d'ici à la fin de l'année 1998. Le premier coup de pioche ne sera jamais donné, suscitant la grogne dans la région. Le Valaisan, lui, évoque un «problème de mentalité». «Une fausse excuse», réplique l'Organisme intercantonal du développement du Chablais. Son secrétaire, Georges Mariétan, ne voile pas sa déception dans les colonnes de «24 heures», en septembre 1997. «Je n'ai eu aucune nouvelle du Grand Stade depuis six mois. Je ne vois pas quels sont les vrais obstacles que Christian Constantin a pu rencontrer. Nous l'avons toujours soutenu.» Quant aux habitants de Collombey, «ils ont le sentiment d'avoir caressé une chimère», observe le quotidien vaudois. 2004: le «Pôle d'activités du FC Sion» de Martigny (capacité: 20'000 places, coûts estimés: 250 millions) Christian Constantin va tenter par deux fois de construire ce stade, à Martigny d'abord, à Riddes ensuite. Archive Le Matin Après le Chablais, Christian Constantin jette son dévolu sur Martigny. En 2004, il détaille sa vision, celle d'un «Pôle d'activités du FC Sion-Valais». En substance, il s'agit d'un complexe sportif qui s'articule autour d'un stade de 20'000 places, d'un centre commercial, d'une zone de loisirs et des thermes. De plus, «pour autant que la Confédération accorde son autorisation, un casino serait également édifié. Enfin, un grand marché couvert, décoré selon le style romain, devrait voir le jour», relaient les médias locaux. Le début des travaux est prévu un an plus tard, en 2005, pour une inauguration à l'horizon 2008. Toutefois, face à la lenteur des procédures – 103 parcelles agricoles devaient être déclassées en zone d'utilité publique pour le complexe – et dans une ville qui a fait preuve de «trop de résistances» face au projet, Christian Constantin renonce. Mais érige un centre commercial en forme de stade. 2007: le stade de Riddes (capacité: 20'000 places, coûts estimés: 250 millions) Après Martigny, le patron du FC Sion lorgne du côté de Riddes, à 15 kilomètres de la cité d'Octodure. Propriétaire de plusieurs terrains aux abords de l'autoroute, le promoteur projette d'y bâtir son stade. En décembre 2007, l'assemblée primaire du village – soit le Législatif composé de citoyens – accepte le changement d'affectation de la zone pour que les parcelles du Valaisan deviennent constructibles. Dans les grandes lignes, le projet est calqué sur celui de Martigny, lancé trois ans plus tôt. «Le concept reste rigoureusement le même, avec la même capacité. C'est le même stade, simplement transféré ailleurs», confie alors Christian Constantin dans «Le Matin». Le coût total de l'infrastructure n'est toutefois pas clairement articulé, mais devrait se rapprocher des 250 millions estimés pour le précédent complexe. À Riddes, Christian Constantin se heurte à l'opposition farouche de la Fraternité Saint-Pie X d'Écône, communauté religieuse particulièrement conservatrice. Les deux parties trouvent un compromis en 2011. Le promoteur renonce au stade et obtient, en contrepartie, le feu vert de la Fraternité pour le développement très lucratif de la zone commerciale. Depuis, Ikea et Hornbach se sont implantés dans le secteur. Le centre de formation du FC Sion, lui, a cédé sa place à un McDonald's. Le seul terrain de football qui borde la zone, utilisé pour les entraînements et propriété de Christian Constantin, sera détruit prochainement pour y installer une grande enseigne internationale, un supermarché alimentaire et un espace de bien-être. Christian Constantin et son projet de stade? C'est ici. Newsletter «La semaine valaisanne» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton du Valais, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Dimitri Mathey est journaliste à la rubrique Suisse depuis 2025. Correspondant en Valais, il décrypte les enjeux cantonaux pour la Romandie. Auparavant, il était responsable politique pour «Le Nouvelliste». Plus d'infos @DimitriMathey Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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