Dernières actualités avec #MetlifeStadium


Le HuffPost France
2 days ago
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Chelsea-PSG s'est terminé en bousculade générale, avec un mauvais geste de Luis Enrique
FOOTBALL - Une fin de match sous haute tension. Pourtant donné favori avant la rencontre, le PSG s'est incliné 3-0 face à Chelsea dimanche 13 juillet en finale de la Coupe du monde des clubs, au terme d'un match particulièrement électrique. Sur la pelouse du Metlife Stadium, près de New York, les tensions ont perduré après le coup de sifflet final. Une altercation entre Achraf Hakimi, Gianluigi Donnarumma, Andrey Santos et Joao Pedro a ainsi donné lieu à une bousculade générale, à laquelle s'est mêlé l'entraîneur parisien Luis Enrique. Comme on peut le voir sur les images de TF1 ci-dessous, on aperçoit notamment le coach espagnol pousser et faire chuter l'attaquant de Cheslea Joao Pedro en le touchant au visage. « Évitable » Interrogé après le match sur cette séquence peu reluisante pour l'image du football, et notamment son propre geste d'humeur contre Joao Pedro, Luis Enrique a répondu : « je pense qu'à la fin du match il y a une situation parfaitement évitable de tout le monde. Mon intention, comme toujours, a été de tenter de séparer les joueurs pour que ça ne dégénère pas ». « C'est vraiment évitable, il y a beaucoup de pression. Il y a eu des choses problématiques venant de beaucoup de gens. (...) Ce n'est pas la meilleure manière d'attirer l'attention », a-t-il ajouté. Chelsea « a très bien joué et a mérité le trophée », a également estimé Luis Enrique. Malgré cette défaite, le PSG achève une saison historique marquée par un retentissant quadruplé après avoir remporté la Ligue des champions, le championnat de France, la Coupe de France et le Trophée des champions.

L'Équipe
2 days ago
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Après une saison exceptionnelle, le PSG est passé à côté de la finale de la Coupe du monde des clubs
Le PSG a achevé son exceptionnelle saison par une lourde défaite dimanche en finale de la coupe du monde des clubs contre Chelsea (3-0). Le Paris-Saint-Germain n'est pas champion du monde. Ce n'est pas bien grave, même si la dernière image de son exceptionnelle saison à rallonge restera celle de la claque infligée par Chelsea (0-3), dimanche, en finale de la Coupe du monde des clubs au Metlife Stadium, et de la bagarre générale qui a suivi le coup de sifflet final. Cette séquence, impliquant notamment Luis Enrique et Gianluigi Donnarumma côté parisien, en dit long de la frustration qu'a fait naître chez les Parisiens la domination anglaise, notamment lors de la première période qui a scellé le score final dès la 43e minute, et les provocations qui l'ont accompagnée. Le champion d'Europe ne nous avait pas habitués à se faire balader de la sorte. Au contraire même, depuis le début d'année 2025, c'est lui qui triomphait d'ordinaire de n'importe quel adversaire et bien souvent de manière spectaculaire au point que l'on avait fini par oublier qu'il pouvait perdre de temps en temps. Dimanche, Chelsea a fait du PSG avec un pressing agressif, des transitions verticales rapides et une précision chirurgicale dans le dernier geste, emmené par un Cole Palmer de gala avec deux buts et une passe décisive. En fait, Paris a vécu ce qu'il fait d'ordinaire subir à ses rivaux : une humiliation qui aurait pu être encore plus forte sans les arrêts décisifs de Donnarumma (68e, 80e) devant Liam Delap. Les Parisiens, apparus en difficulté dès le début de match, n'ont jamais réellement pu poser leur jeu et sont tombés dans le piège tactique concocté par Enzo Maresca et les provocations anglaises. Marquinhos l'a confirmé au micro de DAZN en après-match en attendant la remise du trophée : « Ils ont bien travaillé sur nos petites faiblesses. Tactiquement ils nous ont mis en difficulté en première mi-temps, on a mis du temps à réagir, c'est des choses qu'on devra apporter pour la suite. Toutes les équipes vont beaucoup nous étudier, savoir ce qu'on fait de bien et ce qu'on fait de mauvais », a honnêtement reconnu le capitaine parisien. Ce sera l'un des challenges à relever pour les hommes de Luis Enrique dans les semaines et mois à venir. Un nouveau statut Quel contraste avec la performance en demi-finales face au Real Madrid (4-0), concassé en une mi-temps (3-0), mercredi au même endroit. Il y a quatre jours, Donald Trump n'était pas là. Sa présence dimanche, en compagnie de son épouse, a donné un caractère plus particulier et solennel à cette finale. Elle a clairement changé l'atmosphère, avec une sécurité très renforcée (fouilles systématiques par des chiens renifleurs, hélicoptères, forces de l'ordre en grand nombre), et provoqué le retard du coup d'envoi de dix minutes, en raison de l'arrivée tardive des hélicoptères présidentiels. Le président américain, pas très populaire dans cette partie des États-Unis, a été sifflé à son entrée sur la pelouse pour la remise du trophée aux côtés de Gianni Infantino, le patron de la FIFA, et de Nasser al-Khelaïfi notamment. Il en a profité pour glisser un petit mot à Désiré Doué et lui taper sur l'épaule après qu'il a reçu son trophée de meilleur jeune du tournoi. Le PSG a perdu sévèrement dimanche mais reste malgré tout le club de cette saison 2024-2025. Par ses performances, dont le succès immense en Ligue des champions, mais aussi le jeu pratiqué. Il est loué par tous, d'Infantino à Ronaldo ou encore Maresca, son bourreau d'un soir. Et c'est logiquement qu'il devrait être honoré dans quelques semaines avec la tournée des récompenses collectives et individuelles. Ousmane Dembélé postule au Ballon d'Or, qui sera remis le 22 septembre, et son statut de favori, malgré Lamine Yamal, n'a pas été écorné par ce Mondial des clubs ou il s'est montré décisif en quarts et en demi-finales avec deux buts face au Bayern Munich et au Real Madrid. Le champion du monde 2018 ne devrait pas être le seul dans cette course. Ses partenaires devraient aussi truster les nominations, connues le 7 août, et les places dans l'équipe type de la saison, le trophée Yachine pour Donnarumma ou le Kopa du meilleur jeune pour Doué, même s'il aura face à lui Lamine Yamal. Après un exercice 2024-2025 historique, le PSG va débuter une nouvelle histoire, drapé du statut de favori à chacune de ses sorties. Sa première échéance arrive vite, dès le 13 août avec la Supercoupe d'Europe face à Tottenham, un autre club anglais, à Udine. En attendant c'est l'heure des vacances. Et elles sont bien méritées après une saison presque longue d'un an jour pour jour. À lire aussi La palme pour Palmer Pourquoi Luis Enrique a craqué Beraldo veut quitter le PSG Les Bleues pleine balle

Le Soir
2 days ago
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Voici la valeur du trophée que soulèveront les vainqueurs de la Coupe du monde des clubs ce dimanche
Ce dimanche, au Metlife Stadium, le Paris Saint-Germain ou Chelsea soulèvera l'imposant trophée promis au vainqueur de la Coupe du monde des clubs nouvelle version. Au-delà de l'enjeu sportif et de la généreuse récompense financière, les vainqueurs repartiront avec un trophée tout à fait unique. Imaginée par la FIFA et conçue avec la maison de joaillerie de luxe Tiffany & Co, la coupe est plaquée à l'or 24 carats et sa valeur est estimée à 200.000 euros. Inspirée de la sonde spatiale Voyager de la NASA, sa structure dynamique lui permet d'être transformée en bouclier ou en forme orbitale, à l'aide d'une clé spéciale remise aux futurs champions. Un symbole d'avenir et d'héritage « Innovante, inclusive et révolutionnaire, cette nouvelle compétition méritait un trophée à son image », a déclaré Gianni Infantino. Le président de la FIFA s'est félicité de la création d'un objet « prestigieux et intemporel, qui incarne à la fois l'avenir du football et son héritage ». Gravé en 13 langues – dont le braille – pour souligner l'universalité du sport, le trophée rend hommage à l'histoire du jeu. Il intègre les noms des 211 fédérations membres de la FIFA, les six confédérations, ainsi que la position approximative des planètes à deux dates clés : la fondation de l'organisation, le 21 mai 1904, et le coup d'envoi de cette première édition, le 15 juin 2025. Sur le disque central figurent également des symboles emblématiques du football : carte du monde, stades, équipements. Un espace vierge a été réservé pour graver les noms des 24 prochains vainqueurs, tandis qu'un message figure déjà sur le socle : « L'histoire vous appartient ! » Un trophée itinérant, bientôt en vitrine « Les équipes sacrées recevront une réplique fidèle du trophée, aussi bien dans son design que dans ses dimensions, enrichie de gravures spéciales pour célébrer leur victoire », a précisé la FIFA. Avant d'être remis au vainqueur ce dimanche, le trophée a sillonné les villes des 32 clubs engagés, dont Paris en avril dernier. Sa tournée mondiale s'est achevée cette semaine à New York, où il est actuellement exposé à la Trump Tower.


Le Figaro
4 days ago
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Coupe du monde des clubs : «Ça ne va pas être une formalité», prévient Luis Enrique avant PSG-Chelsea
L'entraîneur espagnol se méfie d'une équipe des Blues qui a terminé quatrième de la saison de Premier League. Le match contre Chelsea «ne va pas être une simple formalité», a prévenu l'entraîneur du Paris SG Luis Enrique, dont l'équipe est favorite pour la finale de la Coupe du monde des clubs dimanche (21h) au Metlife Stadium près de New York. «Est-ce que ce match va être une simple formalité ? Absolument pas», s'est exclamé Luis Enrique en conférence de presse. Il a développé: «J'ai analysé Chelsea , ils ont un grand effectif, (l'entraîneur) Enzo Maresca travaille très bien, j'aime beaucoup ce qu'il propose, relancer de l'arrière, avoir un profil technique chez les joueurs.... C'est une équipe très complète, qui a fini quatrième de Premier League et gagné la Ligue Europa conférence après une très bonne saison». Publicité «C'est une compétition qu'on s'est amusé à jouer» Côté PSG, «nous allons prendre ce match à 100% et essayer de mettre un terme idéal à cette saison historique», a déclaré Luis Enrique. «Maintenant il faut ouvrir le prochain chapitre, gagner davantage de trophées majeurs, et dimanche on a le dernier match de la saison, qu'on attend avec impatience», a dit le coach espagnol. De son côté le capitaine Marquinhos a dit que les joueurs étaient «conscients de l'importance de ce match, c'est une opportunité en or d'être en finale du Mondial, ça ne se passe que tous les quatre ans, et on ne sait pas où on sera dans quatre ans». Le Brésilien a raconté : «C'est une compétition qu'on s'est amusé à jouer, c'est différent de la Ligue des champions», et en cas de victoire et de quintuplé «ce sera vraiment une saison parfaite, très difficile à reproduire».


Le Figaro
4 days ago
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Coupe du monde des clubs : «On n'est pas du tout en excès de confiance», promet Désiré Doué avant PSG-Chelsea
L'attaquant parisien s'est exprimé devant les journalistes ce vendredi, dans le New Jersey, à deux jours de la finale de la Coupe du monde des clubs contre Chelsea, dimanche (21h). «On n'est pas du tout en excès de confiance», a assuré l'attaquant français du Paris-SG Désiré Doué ce vendredi, à deux jours de la finale du Mondial des clubs contre Chelsea (21h00), au Metlife Stadium, près de New York. «Non, on n'est pas en excès de confiance du tout, on travaille tous les jours pour se remettre en question», a déclaré le néo-international tricolore après un entraînement à l'université Rutgers dans le New Jersey, au surlendemain de la démonstration de force contre le Real Madrid (4-0), en demi-finales. «Le plus important c'est d'aborder le match de dimanche comme une finale qui sera très importante pour nous, de la même manière qu'on l'a fait à chaque match, a-t-il ajouté. On a été favoris sur la plupart des matches dans cette compétition aussi pendant la saison, mais le plus important, c'est ce qu'on fait sur le terrain, c'est ça qui nous met en bonne position ou pas», a insisté le joueur de 20 ans, transféré l'été dernier à Paris en provenance de Rennes. Publicité Un «trophée majestueux» Après la Ligue des champions, la Ligue 1, la Coupe de France et le Trophée des champions. «Ce serait notre cinquième trophée, c'est aussi l'occasion pour nous de marquer l'histoire. Donc on va tout faire pour remporter cette finale», a dit Doué, évoquant un «trophée majestueux». Le latéral portugais Nuno Mendes a ajouté: «Nous sommes tous fatigués, c'est normal, c'est une longue année, une bonne année pour nous, et il ne reste qu'un match pour bien la terminer. Mais je pense que Chelsea est également fatigué, ils ont joué beaucoup de matchs, ils ont aussi remporté la Ligue conférence».