Dernières actualités avec #Michel


Le Figaro
5 days ago
- Business
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Comment Micheline et Michel, 78 ans, doivent s'organiser pour transmettre leur solide patrimoine à leur enfant unique
Réservé aux abonnés Bien qu'ils aient anticipé depuis une vingtaine d'années la transmission de leurs biens, Micheline et Michel détiennent encore un important patrimoine. Comment continuer de donner à leur fille et petite-fille, sans payer trop de droits. Micheline et Michel sont installés près de Charleville-Mézières, dans une maison dont ils ont réservé une partie à la location de chambres d'hôtes. Loin d'être une nécessité financière, cette activité, qui rapporte 22 000 €/an, leur offre le plaisir de nouvelles rencontres et d'échanges. Car les autres revenus du couple leur permettent de vivre confortablement : entre leurs retraites et les loyers issus de leur patrimoine composé de plusieurs appartements et box situés dans le Val-d'Oise et dans le sud de la France, ils perçoivent près de 100 000 € par an. L'activité des chambres d'hôtes est exercée au sein d'une société par actions simplifiée (SAS) détenue par Michel, sa femme et leur fille unique, qui possèdent respectivement 55 %, 20 % et 25 % du capital. Trois autres biens locatifs sont logés chacun dans une société civile immobilière (SCI) appartenant au couple et à sa fille. Une 4e SCI, appartenant à parts égales à Michel et à sa fille, a vendu son appartement et ne dispose plus…


Le Parisien
07-07-2025
- Science
- Le Parisien
Pour se remettre au sport avant l'été, par où commencer ?
par Elodie Chermann. Il n'est jamais trop tard pour prendre de bonnes résolutions. Au début du printemps, Michel, 55 ans, s'est décidé à se remettre au sport. La perspective du maillot de bain sur la plage n'y est pas pour rien. « A partir de 50 ans, on a tendance à prendre du ventre et à se ramollir », témoigne cet employé de banque installé dans les Pyrénées Atlantiques, du haut de son 1,80m pour 82kg. « Etant plutôt coquet, je ne voulais pas ça pour moi », avoue-t-il. Mais tout seul, pas forcément simple de se motiver. « Je n'ai jamais été un grand sportif », confie Michel. « Quand j'étais jeune, je jouais de temps en temps au squash et au tennis, mais une fois entré dans la vie active, j'ai assez vite lâché ». Sur les conseils d'un ami, il choisit donc de faire appel aux services de Dylan Craspay, un coach sportif à domicile, à raison d'une heure par semaine. La formule a un coût : 45€ par séance. « Mais en payant en chèque emploi service universel ( Cesu ), je bénéficie d'un crédit d'impôt », relativise-t-il. « Et je considère que c'est un investissement sur mon bien-être. » Bien sûr, pas question d'attaquer n'importe comment. « Je commence toujours mon accompagnement par un bilan », explique Dylan Craspay, diplômé d'une Licence Staps et d'un Master Expert en Préparation Physique et Mentale. L'idée est de bien cerner l'état de forme de la personne, son style de vie, ses habitudes alimentaires mais aussi ses attentes afin de pouvoir lui proposer ensuite des exercices adaptés. L'avis d'un médecin du sport peut aussi s'avérer précieux. Ne soyez pas trop ambitieux. « Vous n'allez pas sculpter votre corps en trois mois mais vous pourrez au moins vous refaire une condition physique de base », rappelle le Dr Stéphane Cascua, médecin du sport. Pour Michel, le but n'a jamais été de ressembler à Monsieur Muscle. Juste de se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. Son programme d'entraînement intègre donc du cardio, du travail de mobilité et du renforcement musculaire avec des altères, un élastique ou un ballon, pour garder un côté ludique. « Mais les récalcitrants à la musculation pourront tout aussi bien pédaler, barboter à la piscine, ou s'offrir de belles marches en montagne », précise le Dr Stéphane Cascua. Quel que soit le sport choisi, veillez à démarrer en douceur. Après une longue période d'inactivité, les maîtres mots sont progressivité et bienveillance. « Les efforts intensifs avec rupture de rythme sont à proscrire au début parce qu'ils sur-sollicitent le système cardio-vasculaire», insiste le Dr Stéphane Cascua. « Le risque d'infarctus chez un sujet sédentaire qui reprend le sport est ainsi multiplié par 100. » Les hommes de plus de 40 ans et les femmes de plus de 50 ans sont particulièrement exposés, de même que les fumeurs et les personnes qui souffrent d'hypertension. A l'inverse, une pratique assidue divise par 10 le risque de mort subite à l'effort. Voilà qui devrait convaincre les néophytes de se remettre en mouvement pendant l'été et de consolider leurs bonnes habitudes à la rentrée. C'est ce que semble décidé à faire Michel. « Depuis que j'ai commencé, j'ai beaucoup moins mal au dos », confie-t-il. « Je me sens aussi plus tonique, moins essoufflé quand je monte les escaliers. Hors de question de m'arrêter en si bon chemin. Pour moi, c'est comme un nouveau départ. »