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Le Figaro
08-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Partez en hôtels 4 étoiles en Tunisie cet été
Envie de vous détendre au bord de l'eau, au soleil, dans des hôtels 4 étoiles ? La Tunisie est la destination parfaite pour des vacances d'été au calme. Découvrez notre sélection d'hôtels où partir cet été en Tunisie. La Tunisie est une destination idéale pour les amateurs de découvertes, entre l'île ensoleillée de Djerba, le charme authentique de Monastir et l'animation d'Hammamet. Ces lieux offrent une grande diversité de paysages et d'expériences : plages de sable, découverte culturelle et activités variées. Pour un séjour qui mélange confort et authenticité, les hôtels 4 étoiles de la région proposent des services de qualité, des cadres accueillants et des animations pour tous, que vous voyagiez en famille, entre amis ou en couple. Club Framissima Royal Karthago Resort & Thalasso à Djerba Club Framissima Royal Karthago Resort & Thalasso 4* FRAM Djerba, île ensoleillée du Sud tunisien, offre un cadre idéal entre plages de sable blanc, artisanat local et sites culturels comme la synagogue de Ghriba. À seulement 30 minutes de l'aéroport, cet hôtel vous accueille dans une ambiance authentique, avec une architecture traditionnelle, une plage privée et de nombreuses activités pour des vacances réussies. Cliquez ici pour découvrir cet hôtel en Tunisie à Djerba. Club Framissima Regency Hotel & Spa à Monastir Club Framissima Regency Hotel & Spa 4* FRAM Monastir séduit par son charme entre plages, falaises et vergers à perte de vue. Situé au cœur de la Marina, cet hôtel 4 étoiles vous accueille sur une plage privée avec vue sur la Méditerranée, à deux pas du centre-ville animé. Profitez du confort, des activités et découvrez les trésors historiques à proximité. Cliquez ici pour découvrir cet hôtel en Tunisie à Monastir. Club Jumbo Hammamet Beach à Hammamet Club Jumbo Hammamet Beach 4* FRAM Hammamet séduit par ses plages de sable fin, son climat doux et son ambiance chaleureuse entre jardins fleuris et médina pittoresque. Cet hôtel vous accueille au bord de la mer avec une formule tout compris, proposant animations, activités sportives et moments de détente. Cet hôtel promet un séjour rythmé et convivial dans un cadre privilégié. Cliquez ici pour découvrir cet hôtel en Tunisie à Hammamet. Cliquez ici pour découvrir tous les séjours où partir en Tunisie. Contenu conçu et proposé par nos Experts bons plans et voyages. L'équipe Bons plans et voyages du Figaro est indépendante de la rédaction. Certains liens sont trackés et peuvent générer une commission pour Le Figaro. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif et sont susceptibles d'évoluer.


L'Équipe
06-07-2025
- Sport
- L'Équipe
« Il me disait qu'il n'avait plus aucune raison de vivre » : le come-back incroyable de Kamil Majchrzak, ex-suspendu pour dopage, en 8es de finale à Wimbledon
Kamil Majchrzak, suspendu pour une infraction au dopage, avait disparu du classement en janvier 2024. Et le voilà en huitièmes de finale à Wimbledon. Une vraie épopée dans l'ombre. Passé de l'enfer au paradis vert, Kamil Majchrzak, 29 ans, doit encore se demander si c'est bien lui qui fera face au Russe Karen Khachanov (n° 17) en 8es de finale à Wimbledon, dix mois après avoir repris au Future de Monastir (Tunisie), avec 0 point ATP dans la besace. Une vraie success story - dans l'ombre - pour un Polonais de peu de mots, ex-75e mondial (février 2022) cloué sur place pendant treize mois de suspension, de novembre 2022 et toute l'année 2023, pour une infraction au dopage qu'il a toujours contestée avec une histoire de compléments nutritionnels contaminés, avant de repartir à l'assaut avec sa science du jeu et son revers automatique. « Ç'avait été très difficile à accepter, se souvient son coach d'alors Marcel Du Coudray, et encore plus dur quand on tentait d'expliquer notre cas avec l'ITIA (International Tennis Integrity Agency), qui nous avait répondu qu'elle "voulait punir Majchrzak encore plus dur pour faire un exemple". Kamil avait le moral au plus bas, il me disait qu'il n'avait plus aucune raison de vivre. Son activité principale était de se promener avec son chien, on se parlait au téléphone, il venait parfois avec sa femme chez moi à Gdansk au bord de la mer. Avant qu'on reprenne plus franchement l'entraînement aussitôt connue la date de reprise. » Janvier 2024, donc. « Il était inquiet pour son premier tournoi, poursuit Du Coudray. Il s'entraînait bien, on avait profité de cette longue période pour travailler son coup droit en profondeur, mais sa question récurrente, c'était de savoir s'il allait pouvoir le refaire en match. Mais à Monastir, il était en mission. Son état d'esprit ? Remporter tous les points du match, tous, et ne rien lâcher. Et il a gagné ce premier tournoi. » « J'ai rarement vu un joueur animé d'une telle rage de vaincre » Arzel Mevellec, organisateur de tournois en Afrique Le déclic rwandais Une première balise. Un autre cap très important est franchi en février, au Challenger de Kigali (Rwanda). « Mon engagement n'était pas simple à prendre, mais j'avais décidé de lui octroyer une wild-card, raconte Arzel Mevellec, le Français qui relance le tennis en Afrique avec l'organisation de tournois. Je suis un adepte de la deuxième chance, je savais que c'était un ancien 70e mondial. Et j'ai rarement vu un joueur animé d'une telle rage de vaincre. Quand il a gagné le tournoi, il a eu une réaction presque violente. Il était presque possédé, comme un guerrier. Il s'est tourné vers son coach en fusion, comme une vraie libération. Pour notre deuxième tournoi dans la foulée, sans wild-card, il avait dû d'abord passer par un premier tour en qualif contre un joueur rwandais d'un niveau à peine négatif en France... » Les charmes de l'opération remontada aux défis alternatifs. Très vite dans le top 400, le Polonais s'ouvrait le chemin d'une rédemption plus rapide qu'espéré. « Parce que j'avais vraiment peur de rester scotché au niveau Future, disait le joueur, vendredi, après sa victoire au 3e tour contre Rinderknech. Je ne savais pas à quoi m'attendre, tout le monde joue bien. Toute cette affaire avait été très dure pour moi, ça m'est tombé dessus quand j'étais en bonne position. Et je venais de me marier. Ma motivation a été de me dire que je n'avais pas dit mon dernier mot. J'ai eu probablement l'une des plus longues pré-saisons en tennis, et je savais que j'allais devoir jouer plus de matches que la normale. Il fallait que le physique soit prêt pour faire face aux échéances... » « Kamil est un joueur très intelligent stratégiquement » Christopher Kas, entraîneur de Kamil Majchrjak Il en disputera 79 en 2024, sportivement rassuré, mais de nouveau sous le choc en suivant les coulisses de l'affaire Sinner, très préoccupé par le "deux poids-deux mesures" d'une lutte antidopage visiblement plus coulante, selon lui, vis-à-vis des plus forts. Mais si ça l'affecte, ça ne le prive pas d'actionner tous les leviers du come-back. En août 2024, il pointe déjà en qualifs de l'US Open. Et son succès au Challenger de Madrid en avril dernier lui offre le retour dans le top 100 (109 aujourd'hui). « Après, Kamil a eu un petit contrecoup, sourit l'Allemand Christopher Kas, son nouvel entraîneur. Contre Berrettini en début de tournoi (victoire en cinq sets), il y avait zéro attente. Zéro. Mais vous savez comment c'est quand on joue "libre" avec rien à perdre. Après sa victoire, on a vu un joueur totalement différent à l'entraînement. Kamil est un joueur très intelligent stratégiquement. Il sait s'adapter aux situations de jeu. On l'a vu contre Rinderknech, notamment au retour, d'abord sur la ligne, puis en reculant un peu, et plus près à la fin pour mettre la pression. Et vous avez vu ce revers ? Je le connais depuis bientôt dix ans, depuis qu'il joue avec mon équipe de foot de Grosshesselohe (au sud de Munich). C'est une personne sur qui on peut compter. Et quand je l'ai vu si heureux avec sa femme Marta, qui tient une part importante dans le clan (elle est préparatrice physique), ça a été très émouvant pour moi aussi... » À lire aussi Plus un Bleu au stade des étincelles Un tournoi totalement « crazy » Sabalenka n'est plus la même Billets rares, longue attente : l'ambiance unique de "The Queue"