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24 juillet 2025: L'essentiel du jour
Accueil | L'essentiel du jour | Les randonneurs indisciplinés énervent les professionnels de la montagne Violences domestiques: faut-il saisir les armes à feu des conjoints violents? Paléo: naviguer entre les bouchons et les trains bondés Publié aujourd'hui à 17h10 Les montagnes suisses attirent de plus en plus de randonneurs, dont le nombre a augmenté de 12% entre 2007 et 2019. Cependant, cette affluence apporte son lot de problèmes. Les conflits entre randonneurs et chiens de protection, ainsi que l'abandon de déchets, inquiètent les professionnels de la montagne. Les randonneurs mal préparés sont aussi à l'origine de tensions. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Armes à feu et violences conjugales en Suisse: vers un durcissement de la loi? La question du retrait des armes à feu lors de séparations conflictuelles et de violences conjugales est au centre d'un débat en Suisse. Près d'un quart des homicides par arme à feu entre partenaires se produisent lors de ces moments de tension. Une proposition parlementaire vise à confisquer les armes dans ces situations, bien que le sujet suscite des débats politiques. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Mort d'Eric Freymond, le banquier au cœur de l'affaire Hermès Le banquier genevois Eric Freymond, 67 ans, s'est donné la mort mercredi, près de son chalet, à Saanen. Il était au centre de l'affaire des milliards d'euros d'actions Hermès prétendument disparus, appartenant à l'héritier Nicolas Puech. Bien que la justice genevoise l'ait récemment innocenté des accusations, une procédure reste en cours en France. Selon ses proches, la pression liée aux multiples affaires judiciaires et à l'exposition médiatique l'avait profondément affecté. Cette disparition tragique laisse sans réponse la question centrale: qu'est-il advenu des milliards d'actions Hermès? Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Procès à Lausanne: il est accusé d'avoir voulu tuer un agent qui amendait un véhicule Un procès criminel s'est tenu cette semaine à Lausanne concernant une tentative d'assassinat sur un assistant de sécurité publique. Un vingtenaire aurait tenté de poignarder l'agent avec un couteau à viande de 30 cm, alors que ce dernier verbalisait un véhicule mal garé dans le quartier de Prilly-Malley en décembre 2023. L'accusé, qui était sous l'emprise de l'alcool et du cannabis, conteste avoir voulu tuer l'agent, affirmant avoir seulement voulu le provoquer. Le Parquet a requis 8 ans de prison. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Paléo Festival: naviguer entre les bouchons et les trains bondés Avec 8,1 millions de kilomètres de déplacements générés par le festival, transports en commun et infrastructures routières sont mis à rude épreuve. La moitié des festivaliers optent désormais pour les transports en commun, mais le réseau peine à absorber les pics d'affluence. Le festival explore des solutions pour améliorer la mobilité, comme le covoiturage et l'encouragement au vélo. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Ce jeune ninja romand part à l'assaut d'une émission phare de TF1 Kylian De Blasio, étudiant vaudois de 21 ans, participe à la neuvième édition de «Ninja Warrior» sur TF1. Inscrit secrètement par sa sœur, il a été contacté seulement cinq jours avant le tournage pour remplacer un candidat absent. En première à l'EPFL, le jeune homme s'entraîne intensivement dans une salle de Suisse romande. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Aussi dans l'actu Retour sur la soirée de mercredi à Paléo: Sharleen Spiteri, de Texas , en action sur la Grande Scène. Chantal Dervey L'essentiel de la semaine Leonardo Pescante est rédacteur en chef adjoint de 24heures depuis 2011. Après des études à l'Université de Lausanne en mathématiques et des cours supérieurs de management au CRPM, il a travaillé près de 15 ans à Radio Suisse internationale. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Le Parisien
14-07-2025
- Sport
- Le Parisien
« Au moins, il nous reste des titres à conquérir », dans les bars parisiens, on relativise la défaite du PSG
« Sans ça, c'était le clean sheet », déplore Antonio, 47 ans. Installé au Grand Comptoir d'Alésia (XIVᵉ arrondissement), le fidèle supporter du PSG accuse le coup après la lourde défaite de son équipe en finale de la Coupe du monde des clubs, dimanche soir face à Chelsea (3-0) . Mais il ne perd pas le sourire pour autant. Une pinte à la main, les supporters parisiens digèrent plutôt bien l'échec. « Ce soir, on s'est juste rappelé qu'on n'était pas invincibles », relativise Nico. « Ce n'est pas grave, je supporte le PSG, pas le Real Madrid ! On ne peut pas tout gagner du jour au lendemain. Au moins, il nous reste des titres à conquérir », poursuit l'habitué du bar Le Perroquet, distant d'une centaine de mètres du Grand Comptoir d'Alésia. Avec ses maillots vintage et son ambiance feutrée, ce repaire des fans a fait le plein ce dimanche. « C'est complet », glissait Patrick Mathieu, gérant de l'établissement, à deux touristes un peu désorientés. Habituellement assommée par les défaites du PSG, la salle n'était pas murée dans le silence cette fois. « Ce soir, c'est une population de finale qui est venue », analyse Florian, 45 ans, fidèle du lieu. « Les gens sont déçus, évidemment, mais ils rigolent encore », renchérit son voisin de table, Nico. Le désintérêt pour la compétition semble avoir pris le pas sur la déception sportive. Certains ont même brièvement envisagé d'écourter leur soirée. « L'idée de partir m'a traversé l'esprit », confesse Yannick, 22 ans. La Coupe du monde des clubs ne semble guère toucher les cœurs. « Elle est nulle, franchement », lâche Yannick en riant. « Elle n'a aucune histoire, aucune légitimité. » Florian, lui, se réjouit surtout qu'aucun joueur ne se soit blessé. « C'est la seule chose qui m'inquiétait après une saison aussi longue. Cette compétition n'a pas grand intérêt. » Malgré l'ampleur de la défaite, l'essentiel semble ailleurs. « Perdre une finale, c'est toujours frustrant. Mais ça ne nous enlève pas notre Ligue des champions », insiste Florian. « Moi, je suis heureux, on a gagné la C1, c'est ce que je retiens », ajoute Nico. Reste un léger goût d'inachevé. « Ça fait une petite tâche sur une saison exceptionnelle… On aurait aimé finir autrement. » Il est 23 heures passées, le coup de sifflet final retentit dans la salle du Perroquet. Il est temps de rentrer, alors que la pluie commence doucement à tomber sur Paris.
