Dernières actualités avec #Nicolas


Le Figaro
20 hours ago
- Politics
- Le Figaro
L'orage fait péter les plombs à l'Assemblée, la canicule ne réconcilie pas Mélenchon avec la clim... Les indiscrets du Figaro
Réservé aux abonnés CONFIDENTIELS - Chaque semaine, la rédaction emmène ses lecteurs dans les coulisses de la vie politique. De 1975 à 2025, le Haut-Commissariat au Plan va comparer ce que «Nicolas» paie vraiment La tendance, récemment apparue sur les réseaux sociaux, n'a pas échappé à Clément Beaune. Il y a environ un mois, le Haut-commissaire au Plan et à la Stratégie a donc commandé un rapport à ses équipes sur le phénomène «C'est Nicolas qui paie», sorte de slogan martelé par les trentenaires libéraux pour dénoncer l'excès d'impôts, taxes et autres normes qui les asphyxient. Objectif de l'ancien ministre et ex-député : identifier ce que les «Nicolas» de 2025 paient vraiment, par rapport aux «Nicolas» de 1975. Ces travaux, dont les conclusions sont attendues pour la rentrée - voire cet automne au plus tard - porteront sur quatre ou cinq grands items, comme par exemple le logement, le pouvoir d'achat, la santé, ou encore l'accès à l'emploi. Quatre profils différents seront analysés : deux hommes et deux femmes, issus de milieux sociaux différents (aisé pour les uns, défavorisé pour les autres). À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard À lire aussi « Elle paie pour tout le monde et n'a rien en retour » : ce ras-le-bol fiscal de la jeune génération de contribuables Couvrez cette clim que Mélenchon ne saurait voir D'alertes rouge écarlate en records de température, la question de la climatisation a fracturé…


Le Parisien
a day ago
- Business
- Le Parisien
« Je suis scandalisé par cette grève » : un contrôleur aérien se désolidarise
Des Français, écœurés, obligés de rentrer chez eux avec leurs valises plutôt que de partir en vacances au soleil. Le mouvement social des contrôleurs aériens, à l'appel de l'UNSA-ICNA (deuxième syndicat de la profession) continue de perturber très fortement les premiers départs en vacances. Ce vendredi, seconde journée de grève , la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a demandé aux compagnies de réduire de 40 % leur plan de vol dans les aéroports parisiens , et 50 % à Nice ( Alpes-Maritimes ), entre autres. Autour d'un millier de vols ont été annulés ce vendredi selon la DGAC. « Je suis scandalisé par cette grève. Venir gâcher les congés de nos concitoyens comme ça, c'est vraiment inacceptable. Ce n'est pas ça qui va redorer notre image, déjà déplorable auprès du grand public… » s'agace Nicolas (son prénom a été changé), contrôleur aérien et syndiqué au SNCTA, première organisation dans la profession et qui n'a pas appelé à suivre le préavis déposé.