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Polémique Epstein: Obama à nouveau ciblé par la Maison Blanche
Polémique Epstein: Obama à nouveau ciblé par la Maison Blanche

24 Heures

time2 hours ago

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Polémique Epstein: Obama à nouveau ciblé par la Maison Blanche

Alors que l'affaire Epstein ne retombe pas, l'administration Trump tente de faire diversion en accusant Barack Obama de complot. Publié aujourd'hui à 23h27 Mis à jour il y a 1 minute Graphique affiché lors du briefing de Tulsi Gabbard à la Maison-Blanche, le 23 juillet 2025. Getty Images via AFP La Maison Blanche a redoublé d'efforts mercredi pour accuser l'ex-président démocrate Barack Obama de «complot» contre Donald Trump après sa victoire à la présidentielle de 2016, au moment où le républicain tente vigoureusement d'éloigner l'attention du public américain de l'affaire Epstein. «L'intention exprimée et ce qui a suivi ne peuvent être décrits que comme un coup d'Etat sur plusieurs années et un complot traître contre le peuple américain, notre République, ainsi qu'une tentative de saper l'administration du président Trump», a lancé la directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, lors d'un point presse à la Maison Blanche. L'ex-élue démocrate, ralliée au président républicain, avait publié vendredi un rapport où Barack Obama était mis en cause, en lien avec les accusations d'ingérence russe dans l'élection de 2016. «Ridicule» Le chef de la minorité démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a dénoncé l'attitude des républicains. «Quand vous n'avez rien à présenter de concret aux Américains, les républicains font porter le chapeau à Barack Obama. C'est ridicule», a-t-il déclaré mercredi devant la presse. Car ces accusations répétées contre l'ancien président démocrate (2009-2017) interviennent au moment où Donald Trump essaie d'éteindre l'incendie autour de l'affaire Epstein, riche financier mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels. La colère gronde en effet depuis plusieurs semaines au sein d'une partie de la base «MAGA» du président républicain, qui n'accepte pas les conclusions d'un memorandum publié début juillet par son administration, selon lequel Jeffrey Epstein serait bien mort d'un suicide, et ne tenait pas de liste de clients pour son réseau présumé d'exploitation sexuelle. Ces partisans de Donald Trump lui reprochent aujourd'hui de revenir sur ses promesses de campagne en faisant preuve d'un manque de transparence. Le président s'en est ouvertement agacé en qualifiant ces soutiens de «stupides». «Chef de gang» Interrogé sur l'affaire, il a aussi assuré mardi qu'il «ne suivait pas cela de très près». Devant des journalistes dans le Bureau ovale, il s'est ensuite lancé dans des diatribes virulentes contre Barack Obama, selon lui un «chef de gang» coupable de «trahison». Rival de longue date, le premier président noir de l'histoire des Etats-Unis est une cible de choix pour le milliardaire républicain dans sa volonté de voir sa base délaisser la question Epstein. Cette stratégie de «détourner l'attention» s'appuie sur le fait que «les partisans MAGA aiment défendre leur président quand ils estiment qu'il est une victime», a analysé auprès de l'AFP Todd Belt, professeur de science politique à l'université George Washington. Nouveaux éléments La relation entre Donald Trump et Jeffrey Epstein, figures tous deux de la jet-set new-yorkaise dans les années 1990 et 2000, a été éclairée par de nouveaux éléments la semaine dernière avec la publication dans le Wall Street Journal d'un article attribuant au magnat de l'immobilier une lettre salace adressée au second en 2003. Attaqué en diffamation par Donald Trump, le quotidien new-yorkais a publié de nouvelles révélations mercredi. Selon le «WSJ», le président avait été prévenu en mai par sa ministre de la Justice, Pam Bondi, que son nom apparaissait à plusieurs reprises dans les dossiers de l'affaire Epstein, aux côtés de celui d'autres personnalités de premier plan. Le quotidien précise que «le fait d'être mentionné dans ces documents n'est pas un signe de comportement répréhensible». «Ce n'est rien d'autre qu'un prolongement des fausses informations inventées par les démocrates et les médias de gauche, exactement comme dans le scandale du Russiagate d'Obama», a réagi le directeur de la communication de la Maison Blanche, Steven Cheung, en référence aux soupçons de collusion entre Moscou et Donald Trump en 2016. La Chambre paralysée Non loin de la Maison Blanche, la polémique Epstein continue de paralyser également la Chambre américaine des représentants. L'élu républicain Thomas Massie, qui s'est déjà opposé à l'administration Trump sur plusieurs sujets ces derniers mois, veut forcer un vote sur une résolution qui appelle à la publication des documents judiciaires sur Jeffrey Epstein. Le président républicain de la chambre basse, Mike Johnson, fait en sorte de bloquer tout vote sur cette résolution, affirmant qu'une publication sans filtre mettrait en danger les victimes des crimes imputés à Jeffrey Epstein. Avec ce blocage imposé par le «speaker», les travaux des députés, qui partiront en vacances un jour plus tôt, dès mercredi soir, sont au point mort depuis plusieurs jours. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Trump attaque Obama pour faire oublier l'affaire Epstein
Trump attaque Obama pour faire oublier l'affaire Epstein

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timea day ago

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Trump attaque Obama pour faire oublier l'affaire Epstein

Dossier Epstein ultrasensible – Trump attaque Obama pour faire oublier l'affaire Le président s'en est pris à son prédécesseur pour détourner l'attention de ses partisans qui réclament la vérité sur le cas du magnat mort en prison. Barack Obama et Donald Trump discutent lors des funérailles de Jimmy Carter à la cathédrale nationale de Washington. AFP/Mandel NGAN Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk Empêtré dans l'affaire Epstein, Donald Trump essaie de détourner l'attention de ses partisans et de l'opinion publique vers Barack Obama, objet d'attaques de plus en plus virulentes et qu'il est allé jusqu'à accuser de «trahison» mardi. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Alors qu'il recevait le président philippin, Ferdinand Marcos Jr., dans le bureau ovale, le dirigeant républicain a été interrogé sur les derniers rebondissements du dossier ultrasensible de Jeffrey Epstein, riche financier mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels. «Je ne suis pas cela de très près», a assuré Donald Trump, accusé par certains partisans de ne pas tenir ses promesses de faire toute la lumière sur les relations de Jeffrey Epstein, dont il a lui-même été proche. «Chef de gang» Puis le président américain s'est lancé dans plusieurs tirades virulentes, prolongées et par moments décousues, visant particulièrement l'ancien président démocrate Barack Obama, selon lui «coupable» de «trahison». Il l'a dépeint en «chef de gang» et a assuré avoir des «preuves irréfutables» que son prédécesseur démocrate «tentait de monter un coup d'État». «Voilà ce dont vous devriez réellement parler», a lancé le président républicain aux journalistes, après avoir accablé la presse de critiques. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Donald Trump accuse Barack Obama, mais aussi Hillary Clinton, son adversaire malheureuse lors de la présidentielle de 2016, d'avoir propagé de fausses informations dans le but de lui nuire sur une possible ingérence russe dans la campagne qui l'a mené à la Maison-Blanche pour la première fois. «Il est temps de traquer des gens» Le Républicain a toujours dénoncé les conclusions des services de renseignement américains, qui affirment que Moscou a mené une campagne d'intrusions informatiques et de manipulation des réseaux sociaux pour favoriser la première élection de Donald Trump et discréditer Hillary Clinton. Mais ses attaques dans cette affaire, et plus spécialement contre Barack Obama, président de 2009 à 2017, ont redoublé d'ardeur ces derniers jours, alors que l'affaire Epstein faisait à nouveau la une. Dimanche, il avait diffusé sur son réseau Truth Social une fausse vidéo, vraisemblablement générée par intelligence artificielle, montrant Barack Obama arrêté dans le bureau ovale par deux agents du FBI, la police fédérale, au son du tube «YMCA» des Village People. «Il est temps de traquer des gens», a dit Donald Trump mardi en indiquant que le Ministère de la justice avait la main pour lancer d'éventuelles poursuites. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Se connecter AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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