logo
#

Dernières actualités avec #Oxford

Emma Watson privée de permis pour six mois après un excès de vitesse de 13 km/h
Emma Watson privée de permis pour six mois après un excès de vitesse de 13 km/h

Le Figaro

timean hour ago

  • Entertainment
  • Le Figaro

Emma Watson privée de permis pour six mois après un excès de vitesse de 13 km/h

Outre la suspension de permis, l'actrice de 35 ans devra s'acquitter d'une amende de 1 044 livres sterling. Son balai magique est allé trop vite. L'actrice Emma Watson est interdite de conduire pour six mois, a jugé mercredi 16 juillet un tribunal britannique, après que la star de la saga Harry Potter a été contrôlée en excès de vitesse. La comédienne, principalement connue pour avoir joué Hermione Granger, l'amie de Harry, a été contrôlée le 31 juillet 2024 alors qu'elle roulait à 61 km/h (38 miles par heure) dans une zone limitée à 48 km/h (30 miles par heure) à Oxford, à l'ouest de Londres. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour L'actrice de 35 ans, qui avait déjà eu des contraventions (son véhicule avait été emmené à la fourrière en février 2024), est privée de son permis de conduire pour six mois et va devoir payer une amende de 1 044 livres sterling (1 205 euros), a tranché le tribunal de High Wycombe, situé entre Londres et Oxford. Elle n'était pas présente à l'audience. Publicité Emma Watson, qui a passé son enfance et son adolescence à tourner Harry Potter, est étudiante depuis 2023 à la prestigieuse université d'Oxford. Elle a obtenu un master en écriture créative et suivrait actuellement un doctorat en philosophie. Une actrice engagée Elle est devenue célèbre en 2001, avec la sortie de Harry Potter et l'école des sorciers, aux côtés de Daniel Radcliffe et Rupert Grint. Emma Watson a joué dans les huit films de la saga, le dernier étant Harry Potter et les Reliques de la Mort - partie 2, sorti en 2011. Depuis, l'artiste a joué dans les films Noé de Darren Aronofsky en 2014, La Belle et la Bête de Bill Condon en 2017, et Les Filles du docteur March de la cinéaste Greta Gerwig en 2019. En dehors du cinéma, Emma Watson s'est impliquée dans plusieurs causes comme l'environnement ou la lutte contre le harcèlement sexuel.

Emma Watson privée de permis pour six mois
Emma Watson privée de permis pour six mois

La Presse

time2 hours ago

  • Entertainment
  • La Presse

Emma Watson privée de permis pour six mois

(Londres) L'actrice Emma Watson ne pourra pas conduire pour six mois, a jugé mercredi un tribunal britannique, après que la vedette de la saga Harry Potter eut été contrôlée en excès de vitesse. Agence France-Presse Emma Watson, principalement connue pour avoir joué Hermione Granger, l'amie de Harry, a été contrôlée le 31 juillet 2024 alors qu'elle roulait à 61 km/h dans une zone limitée à 48 km/h à Oxford, à l'ouest de Londres. L'actrice de 35 ans, qui avait déjà eu des contraventions, est privée de son permis de conduire pour six mois et va devoir payer une amende de 1044 livres sterling (1920 $), a tranché le tribunal de High Wycombe, situé entre Londres et Oxford. Elle n'était pas présente à l'audience. Emma Watson, qui a passé son enfance et son adolescence à tourner Harry Potter, est étudiante depuis 2023 à la prestigieuse université d'Oxford en écriture créative. Elle est devenue célèbre en 2001, avec la sortie de Harry Potter et l'école des sorciers, aux côtés de Daniel Radcliffe et Rupert Grint. Elle a joué dans huit films de la saga, le dernier sorti en 2011. Elle est également apparue dans les films La Belle et la Bête et encore Les Filles du docteur March, réalisé par Greta Gerwig.

Emma Watson perd son permis de conduire après un excès de vitesse à Oxford
Emma Watson perd son permis de conduire après un excès de vitesse à Oxford

Le Parisien

time3 hours ago

  • Entertainment
  • Le Parisien

Emma Watson perd son permis de conduire après un excès de vitesse à Oxford

La très bonne élève de la saga « Harry Potter » ne l'est pas tout autant au volant. Emma Watson , qui a joué Hermione Granger dans la célèbre franchise cinématographique de J. K. Rowling, a été prise en excès de vitesse à Oxford le soir du 31 juillet 2024. Elle a été flashée 38 mph (60 km/h) dans une zone limitée à 30 mph (48 km/h), selon la BBC . L'actrice de 35 ans cumulait déjà neuf points sur son permis de conduire avant que cet incident d'excès de vitesse ne se produise, a entendu le tribunal. Au Royaume-Uni, le système fonctionne à l'inverse du permis à point français : chaque conducteur commence sans point et se le voit retirer lorsqu'il cumule douze points. Emma Watson a été condamnée à payer un total de 1 044 livres sterling (environ 1 200 euros) au tribunal d'instance de High Wycombe ce mercredi, et se voit suspendre son permis pendant six mois. L'actrice qui a repris des études d'écriture créative à l'université d'Oxford en 2023 n'était pas présente à l'audience qui a duré cinq minutes, rapporte le média britannique. Par ailleurs, Zoe Wanamaker, une autre actrice ayant joué dans « Harry Potter », a été condamnée à une amende pour excès de vitesse le même jour, devant le même tribunal qu'Emma Watson. L'interprète de Professeur Bibine dans le premier volet de la saga a été arrêté pour excès de vitesse le 7 août 2024 à Newbury, dans le Berkshire. La femme de 76 ans a été flashée à 46 mph (74 km/h) au lieu de 40 mph (64 km/h). Comme Emma Watson, elle avait 9 points sur son permis et a été condamnée à une amende de 1 044 livres sterling, ainsi qu'à une suspension de permis de six mois.

Comment remporter un match de judo contre Uber
Comment remporter un match de judo contre Uber

La Presse

time08-07-2025

  • La Presse

Comment remporter un match de judo contre Uber

Une nouvelle étude montre qu'Uber, cette entreprise qui n'a jamais impressionné personne par ses pratiques éthiques, a trouvé un (autre) truc de coyote pour empocher encore et toujours plus d'argent. Ceci est l'histoire d'une nouvelle déprimante qui, à première vue, donne le goût de chanter : « Allez, hop ! Un peu de sincérité. Le monde est à pleurer ». Mais qui, transformée par les bons soins de la chercheuse Catherine Beaudry, de Polytechnique Montréal, finit par ouvrir des horizons et donner le goût de rêver. J'ignore si la professeure Beaudry pratique le judo, mais disons que j'admire sa capacité à utiliser la force de l'adversaire comme effet de levier. Mme Beaudry, une spécialiste de l'innovation, m'a envoyé récemment une étude émanant de l'Université d'Oxford qu'on pourrait qualifier de décourageante1. Elle montre qu'Uber, cette entreprise qui n'a jamais impressionné personne par ses pratiques éthiques, a trouvé un (autre) truc de coyote pour empocher encore et toujours plus d'argent. Celui-ci tourne autour de la tarification dynamique – cette fonction qui fait en sorte que vous payerez une fortune pour commander une voiture un 31 décembre au soir, par exemple, lorsque toute la ville cherche à se déplacer. En surface, il s'agit d'une simple et brutale application de la loi de l'offre et de la demande. Quand tout le monde cherche un taxi, les prix montent. Logique. Ce qui l'est beaucoup moins, c'est qu'en analysant pas moins de 1,5 million de trajets réalisés par 258 chauffeurs à Londres, en Angleterre, les chercheurs d'Oxford ont découvert que les chauffeurs ne bénéficient aucunement de cette augmentation de prix. Au contraire : depuis l'apparition de la tarification dynamique, la paye moyenne des chauffeurs d'Uber a diminué. Leurs revenus sont également devenus moins prévisibles et le temps d'attente entre deux courses a augmenté. À qui profite la tarification dynamique ? À Uber, bien sûr, qui soutire en moyenne 38 % plus d'argent de chaque heure travaillée par ses chauffeurs. Pour une plateforme censée s'inscrire dans « l'économie du partage », disons que l'entreprise californienne a une curieuse conception du partage des profits. Les conclusions en provenance de Londres sont-elles généralisables aux autres villes où Uber fait des affaires ? « Je ne peux confirmer que l'algorithme fonctionne de la même façon partout, mais je serais surpris que ce soit très différent », m'a écrit l'un des auteurs de l'étude, le professeur Reuben Binns. Il observe par ailleurs que les chauffeurs d'Uber sont beaucoup mieux payés lorsque le service débarque dans une ville, et que leur situation se dégrade ensuite. Ça aussi, c'est troublant. Je précise que les conclusions des chercheurs ont été publiées sur le site ArXiv et n'ont pas encore été révisées par les pairs. « La population a le droit de savoir qu'elle se fait avoir si elle veut pouvoir faire des choix éclairés », m'a écrit Catherine Beaudry. PHOTO CAROLINE PERRON, TIRÉ DU SITE DE POLYTECHNIQUE MONTRÉAL Catherine Beaudry Elle a raison, d'où cette chronique. Vous voilà informés. J'ai quand même continué d'échanger avec Catherine Beaudry. Elle m'a fait remarquer qu'on ignore trop souvent les coûts sociaux et environnementaux des choix que nous faisons. Elle me donne l'exemple de Google Maps ou de l'application Chrono, développée par l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Ces outils nous disent comment nous rendre du point A au point B en voiture, en transports en commun, à vélo ou à pied. « Mais il manque l'information sur les coûts socio-environnementaux et économiques », souligne-t-elle. « Je rêve un peu », prévient la chercheuse (et qui le lui reprochera ? Il me semble qu'on a bien besoin de rêver). « Mais il suffit d'une bonne base de données derrière une application pour développer un indice socio-environnemental et économique », estime-t-elle. Imaginez par exemple un code de couleur qui vous indiquerait à quel point les options qui s'offrent à vous sont bénéfiques ou nocives pour la société. « Je ne sais pas combien de dizaines, voire de centaines d'applications ont été proposées au gouvernement pendant la COVID-19, rappelle-t-elle. Je suis certaine que nous avons la capacité de développer une telle application sans que ça coûte le milliard de SAAQclic ! » Elle dit rêver d'un marathon de programmation pour stimuler la recherche de solutions. Je ne sais pas pour vous, mais je trouve ses idées inspirantes. Nous sommes plusieurs à vouloir faire les meilleurs choix possibles non seulement pour nous, mais aussi pour la société. Mais le monde est complexe et nous avons besoin d'aide pour y voir clair. Presque tout le monde trimballe aujourd'hui un téléphone supposément « intelligent » dans ses poches. L'intelligence artificielle se développe à toute vitesse. Au lieu d'applications conçues pour nous faire consommer plus, pourrait-on développer des applications qui nous font consommer mieux ? Imaginez un outil qui nous aiderait à comparer les GES par gramme de protéine associés au kilo de bœuf et à la brique de tofu à l'épicerie, par exemple. Ou à évaluer l'impact des fraises québécoises par rapport aux fraises californiennes. « Absolument ! », s'exclame Catherine Beaudry, qui m'informe qu'à Polytechnique Montréal, un indice permet maintenant d'évaluer l'empreinte carbone des plats servis à la cafétéria. C'est bien la preuve que ça se fait. Une application, Yuka, fournit d'ailleurs l'impact sur la santé des produits alimentaires et cosmétiques par une simple lecture du code-barres avec un téléphone. Comme les clients de la cafétéria de Poly, les utilisateurs d'Uber bénéficieraient grandement d'une application qui leur dirait, par exemple, que l'argent qu'elle verse à l'entreprise n'ira pas dans les mêmes poches (ni dans les mêmes proportions) que celui que vous donnez à votre chauffeur de taxi. Alors, au lieu de simplement déplorer la cupidité d'Uber, on s'en inspire pour essayer de changer (au moins un peu) le monde ? 1. Consultez l'étude émanant de l'Université d'Oxford (en anglais) Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue

Blaise Metreweli, espionne en chef
Blaise Metreweli, espionne en chef

Le Figaro

time07-07-2025

  • Entertainment
  • Le Figaro

Blaise Metreweli, espionne en chef

Réservé aux abonnés PORTRAIT - À 47 ans, elle devient la première patronne du MI6, service de renseignements extérieurs britannique. Elle sera la vraie « C » des films de James Bond, entrant dans la légende du monde de l'ombre. Les photos sont bien là mais si l'on cherche sur internet, on trouve peu d'informations sur la rameuse numéro cinq de l'équipe gagnante de la célèbre course d'aviron universitaire anglaise de 1997. À l'époque, Blaise Metreweli étudiait à Cambridge. Et ce printemps-là, son université battait Oxford d'une longueur. Vingt-huit ans plus tard, la brillante étudiante devient la première patronne du MI6, en 116 ans d'histoire du service de renseignements extérieurs britannique. Elle sera la vraie « C » des films de James Bond, entrant dans la légende du monde de l'ombre. Deux ans après sa victoire contre Oxford, la jeune fille disparaît des publications d'anciens étudiants. Sans sillage, sans empreinte, comme évanouie dans les souterrains du grand théâtre social. Seuls quelques annuaires officiels fournissent d'austères éléments. La liste du service diplomatique de 2006 indique que « Metreweli, Blaise Florence, née le 30/07/77 », a été « deuxième secrétaire [économique] à Dubaï »

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store