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Donald Trump tente d'éteindre la polémique
Donald Trump tente d'éteindre la polémique

La Presse

time2 days ago

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Donald Trump tente d'éteindre la polémique

Le président américain Donald Trump et la procureure générale des États-Unis, Pam Bondi (Washington) Donald Trump a tenté mardi d'éteindre la polémique croissante autour de l'affaire Epstein en se disant favorable à la publication d'éléments « crédibles » du dossier, tout en disant ne pas « comprendre » pourquoi tant de ses partisans s'y intéressent. Agence France-Presse Cette affaire internationale d'exploitation sexuelle de mineures enflamme une frange de la droite américaine depuis des années. Mais depuis une décision du gouvernement la semaine dernière, une partie d'entre eux reprochent au président américain un manque de transparence. « Je ne comprends pas pourquoi le cas de Jeffrey Epstein pourrait intéresser quelqu'un. C'est plutôt ennuyeux », a déclaré Donald Trump à la presse. « Il est mort depuis longtemps […], je ne comprends pas quel est l'intérêt ou la fascination. » S'il y a « quelque chose de crédible, je dirais qu'il faut leur donner » et le rendre public, a-t-il ajouté. Il reviendra à sa procureure générale, Pam Bondi, de rendre public « ce qu'elle estime crédible », a-t-il déclaré plus tôt dans la journée, la défendant. Aucune « liste » La mort de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu dans sa cellule à New York en 2019 avant d'être jugé, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour empêcher des révélations impliquant des personnalités de premier plan. Des figures proches du mouvement « Make America Great Again » de Donald Trump mènent depuis plusieurs années une campagne pour demander la publication de documents supposément cachés par le gouvernement. PHOTO TIRÉE DU REGISTRE DES DÉLINQUANTS SEXUELS DE L'ÉTAT DE NEW YORK Jeffrey Epstein en 2017 Lors du retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, son administration s'était engagée à « lever le voile » sur cette affaire « répugnante ». Mais dans un mémorandum conjoint publié le 7 juillet, le département de la Justice et le FBI ont écarté la thèse de l'assassinat en prison de Jeffrey Epstein et confirmé son suicide. Ils affirment en outre n'avoir découvert aucune « liste » de ses « clients » lors d'un examen approfondi de la totalité du dossier. Lors d'une conférence de presse mardi, Pam Bondi a refusé de donner des précisions sur la possibilité que de nouveaux documents soient rendus publics. « Notre mémorandum parle de lui-même », a-t-elle déclaré. « Perdre du temps » Ce texte a entraîné un déferlement de messages furieux sur les réseaux sociaux venant de comptes « MAGA ». La figure conservatrice Tucker Carlson, ancien présentateur de Fox News, a ainsi accusé le département de la Justice de vouloir « étouffer » la vérité et d'« insulter la population ». Signe de la pression montante sur Donald Trump et son gouvernement, le président républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a appelé à la publication du dossier, se disant favorable à « la transparence ». « Nous devrions tout mettre sur la table et laisser les gens décider », a déclaré ce ténor du Congrès au baladodiffuseur conservateur Benny Johnson. Samedi sur sa plateforme Truth Social, Donald Trump avait déjà appelé ses partisans à ne pas « perdre du temps et de l'énergie sur Jeffrey Epstein, dont tout le monde se fiche ». Fait rare pour ce réseau social acquis à la cause du milliardaire républicain, la grande majorité des commentaires sous le message critiquaient ces déclarations.

États-Unis: Trump tente de contenir la controverse sur le dossier Epstein
États-Unis: Trump tente de contenir la controverse sur le dossier Epstein

24 Heures

time2 days ago

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États-Unis: Trump tente de contenir la controverse sur le dossier Epstein

Critiqué par son camp persuadé de l'existence d'une «liste Epstein», le président américain défend sa ministre de la Justice et prône la transparence. Publié aujourd'hui à 23h32 Mis à jour il y a 10 minutes Manifestation anti-Trump à Los Angeles le 14 juin 2025. AFP Donald Trump a tenté mardi d'éteindre la polémique croissante autour du dossier Epstein en déclarant qu'en cas d'existence d'éléments «crédibles» sur ce financier et son réseau d'exploitation sexuelle, ceux-ci devraient être rendus publics, alors que nombre de ses partisans disent regretter un manque de transparence. À son départ de la Maison-Blanche pour la Pennsylvanie, le président américain a déclaré à la presse qu'il reviendrait à sa ministre de la Justice, Pam Bondi, de rendre public «ce qu'elle estime crédible». Donald Trump a également défendu sa ministre, cible d'appels à la démission depuis qu'un mémorandum de ses services publié la semaine dernière a enterré la possibilité de nouveaux développements dans l'affaire Epstein. Lors d'une conférence de presse mardi, Pam Bondi a refusé d'élaborer sur la possibilité que de nouveaux documents soient rendus publics. «Notre mémorandum parle de lui-même», a-t-elle déclaré. Signe de la pression montante sur Donald Trump et son gouvernement, le président républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a appelé à la publication du dossier, se disant favorable à «la transparence». «Nous devrions tout mettre sur la table et laisser les gens décider», a déclaré ce ténor du Congrès au podcasteur conservateur Benny Johnson. Innombrables théories La mort de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu dans sa cellule à New York en 2019 avant d'être jugé, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour empêcher des révélations portant sur des personnalités de premier plan soupçonnées de pédocriminalité. Des figures proches du mouvement «Make America Great Again» de Donald Trump mènent depuis plusieurs années une campagne pour demander la publication de documents supposément cachés par le gouvernement. Lors du retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, son administration s'était engagée à «lever le voile» sur cette affaire «répugnante». Mais dans un mémorandum conjoint publié le 7 juillet, le ministère de la Justice et le FBI ont écarté la thèse de l'assassinat en prison de Jeffrey Epstein et confirmé son suicide. Ils affirment en outre n'avoir découvert aucune «liste» de ses «clients» lors d'un examen approfondi de la totalité du dossier. Le mémorandum a entraîné un déferlement de messages furieux sur les réseaux sociaux venant de comptes «MAGA». La figure conservatrice Tucker Carlson, ancien présentateur de Fox News, a ainsi accusé le ministère de la Justice de vouloir «étouffer» la vérité et d'«insulter la population». Samedi sur sa plateforme Truth Social, Donald Trump avait appelé ses partisans à ne pas «perdre du temps et de l'énergie sur Jeffrey Epstein, dont tout le monde se fiche». Fait rare pour ce réseau social acquis à la cause du milliardaire républicain, la grande majorité des commentaires sous le message critiquaient ces déclarations. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Donald Trump se dit pour la publication des éléments «crédibles» du dossier Jeffrey Epstein
Donald Trump se dit pour la publication des éléments «crédibles» du dossier Jeffrey Epstein

Le Figaro

time2 days ago

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Donald Trump se dit pour la publication des éléments «crédibles» du dossier Jeffrey Epstein

Donald Trump a tenté mardi d'éteindre la polémique croissante autour du dossier Epstein, déclarant qu'en cas d'existence d'éléments «crédibles» sur ce financier et son réseau d'exploitation sexuelle, ceux-ci devraient être rendus publics, alors que nombre de ses partisans disent regretter un manque de transparence. À son départ de la Maison-Blanche pour la Pennsylvanie, le président américain a déclaré à la presse qu'il reviendrait à sa ministre de la Justice, Pam Bondi, de rendre public «ce qu'elle estime crédible». Donald Trump a également défendu sa ministre, cible d'appels à la démission depuis qu'un memorandum de ses services publié la semaine dernière a enterré la possibilité de nouveaux développements dans l'affaire Epstein. Lors d'une conférence de presse mardi, Pam Bondi a refusé d'élaborer sur la possibilité que de nouveaux documents soient rendus publics. «Notre memorandum parle de lui-même», a-t-elle déclaré. Publicité «Lever le voile» La mort de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu dans sa cellule à New York en 2019 avant d'être jugé, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour empêcher des révélations portant sur des personnalités de premier plan soupçonnées de pédocriminalité. Des figures proches du mouvement «Make America Great Again» de Donald Trump mènent depuis plusieurs années une campagne pour demander la publication de documents supposément cachés par le gouvernement. Lors du retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, son administration s'était engagée à «lever le voile» sur cette affaire «répugnante». Mais dans un memorandum conjoint publié le 7 juillet, le ministère de la Justice et le FBI ont écarté la thèse de l'assassinat en prison de Jeffrey Epstein et confirmé son suicide. Ils affirment en outre n'avoir découvert aucune «liste» de ses «clients» lors d'un examen approfondi de la totalité du dossier. Le memorandum a entraîné un déferlement de messages furieux sur les réseaux sociaux venant de comptes «MAGA». La figure conservatrice Tucker Carlson, ancien présentateur de Fox News, a ainsi accusé le ministère de la Justice de vouloir «étouffer» la vérité et d'«insulter la population». Samedi sur sa plateforme Truth Social, Donald Trump avait appelé ses partisans à ne pas «perdre du temps et de l'énergie sur Jeffrey Epstein, dont tout le monde se fiche». Fait rare pour ce réseau social acquis à la cause du milliardaire républicain, la grande majorité des commentaires sous le message critiquaient ces déclarations.

Trump se dit pour la publication des éléments « crédibles » du dossier
Trump se dit pour la publication des éléments « crédibles » du dossier

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Trump se dit pour la publication des éléments « crédibles » du dossier

Le président américain Donald Trump et la procureure générale des États-Unis, Pam Bondi Trump se dit pour la publication des éléments « crédibles » du dossier (Washington) Donald Trump a tenté mardi d'éteindre la polémique croissante autour du dossier Epstein, déclarant qu'en cas d'existence d'éléments « crédibles » sur ce financier et son réseau d'exploitation sexuelle, ceux-ci devraient être rendus publics, alors que nombre de ses partisans disent regretter un manque de transparence. Agence France-Presse À son départ de la Maison-Blanche pour la Pennsylvanie, le président américain a déclaré à la presse qu'il reviendrait à la cheffe du département de la Justice, Pam Bondi, de rendre public « ce qu'elle estime crédible ». Donald Trump a également défendu sa procureure générale, cible d'appels à la démission depuis qu'un mémorandum de ses services publié la semaine dernière a enterré la possibilité de nouveaux développements dans l'affaire Epstein. Lors d'une conférence de presse mardi, Pam Bondi a refusé d'élaborer sur la possibilité que de nouveaux documents soient rendus publics. « Notre mémorandum parle de lui-même », a-t-elle déclaré. La mort de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu dans sa cellule à New York en 2019 avant d'être jugé, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour empêcher des révélations portant sur des personnalités de premier plan soupçonnées de pédocriminalité. PHOTO TIRÉE DU REGISTRE DES DÉLINQUANTS SEXUELS DE L'ÉTAT DE NEW YORK Jeffrey Epstein en 2017 Des figures proches du mouvement « Make America Great Again » de Donald Trump mènent depuis plusieurs années une campagne pour demander la publication de documents supposément cachés par le gouvernement. Lors du retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, son administration s'était engagée à « lever le voile » sur cette affaire « répugnante ». Mais dans un mémorandum conjoint publié le 7 juillet, le département de la Justice et le FBI ont écarté la thèse de l'assassinat en prison de Jeffrey Epstein et confirmé son suicide. Ils affirment en outre n'avoir découvert aucune « liste » de ses « clients » lors d'un examen approfondi de la totalité du dossier. Le mémorandum a entraîné un déferlement de messages furieux sur les réseaux sociaux venant de comptes « MAGA ». La figure conservatrice Tucker Carlson, ancien présentateur de Fox News, a ainsi accusé le département de la Justice de vouloir « étouffer » la vérité et d'« insulter la population ». Samedi sur sa plateforme Truth Social, Donald Trump avait appelé ses partisans à ne pas « perdre du temps et de l'énergie sur Jeffrey Epstein, dont tout le monde se fiche ». Fait rare pour ce réseau social acquis à la cause du milliardaire républicain, la grande majorité des commentaires sous le message critiquaient ces déclarations.

Donald Trump répond aux polémiques sur les « dossiers » Epstein avec un message délirant
Donald Trump répond aux polémiques sur les « dossiers » Epstein avec un message délirant

Le HuffPost France

time4 days ago

  • Le HuffPost France

Donald Trump répond aux polémiques sur les « dossiers » Epstein avec un message délirant

ÉTATS-UNIS - L'administration Trump est prise pour cible… par des trumpistes. La Maison Blanche et la procureure générale Pam Bondi ont entretenu pendant des mois une attente autour de la diffusion d'informations secrètes sur le financier Jeffrey Epstein, mort en prison avant d'être jugé pour des crimes sexuels. Son cas fascine les complotistes, persuadés qu'il a été assassiné pour l'empêcher de faire des révélations sur des personnalités publiques. Mais le 7 juillet dernier, Pam Bondi et l'exécutif américain ont finalement dû rétropédaler sur les rumeurs autour d'une divulgation prochaine de nouveaux documents ou sur l'existence d'une « liste de clients » de Jeffrey Epstein. Ce revirement a suscité la colère d'une partie des conspirationnistes MAGA (« Make America Great Again ») rapporte l' Associated Press, et il a conduit Donald Trump à publier le samedi 12 juillet un message sur sa plateforme Truth Social pour rassembler ses troupes et défendre sa procureure générale. « Que se passe-t-il avec mes 'copains' et, dans certains cas, mes 'copines' ?, a-t-il écrit, ils s'en prennent tous à la procureure générale Pam Bondi qui fait un TRAVAIL FANTASTIQUE ! Nous sommes dans la même équipe MAGA, et je n'aime pas ce qui se passe. » Il faut dire que Pam Bondi a plus que besoin d'aide. En février, elle avait assuré qu'elle avait la « liste de clients » de Jeffrey Epstein « sur [son] bureau », participant ainsi aux rumeurs sur sa diffusion prochaine. Mais elle a été contredite par son propre ministère le 7 juillet, le département de la Justice affirmant que la « liste » tant attendue par certains n'existait pas et que l'absence de nouveaux éléments dans l'affaire Epstein empêchait la publication de nouveaux documents. Pour se défendre, Trump critique… les démocrates Les trumpistes se voient finalement reprocher de ne pas être à la hauteur d'une attente qu'ils ont eux-mêmes entretenue, Donald Trump ayant promis de faire des révélations majeures sur l'affaire Epstein au cours de son second mandat. L'affaire a même créé des remous au sein de l'administration républicaine selon une information du site Axios confirmée par l' Associated Press. Le directeur adjoint du FBI, Dan Bongino, aurait notamment reproché à Pam Bondi ses promesses abusives sur la « liste de clients ». Aux erreurs stratégiques de l'exécutif s'ajoutent les déclarations d'Elon Musk, explosives même si invérifiables, et qui ont chauffé à blanc certains conspirationnistes. Le patron de Tesla avait affirmé sur X, au paroxysme des tensions avec Donald Trump en juin, que le locataire de la Maison Blanche figurait « dans le dossier Epstein » et que c'était « la véritable raison » pour laquelle il n'était pas dévoilé. Ce message avait ensuite été supprimé. Pour tenter d'enterrer la polémique sur les « dossiers Epstein », Donald Trump est revenu à sa méthode favorite et a critiqué… les démocrates. « Depuis des années, on parle encore et encore d'Epstein », a écrit le président américain dans un message délirant publié samedi sur Truth Social, « pourquoi faisons-nous de la publicité pour des Dossiers écrits par [Barack] Obama, Hillary [Clinton] la corrompue […] et les perdants et les criminels de l'administration Biden ». Des « dossiers » « créés » pour nuire à la Maison Blanche Soignant le mal par le mal, le locataire de la Maison Blanche a tenté de calmer les complotistes… avec un récit complotiste. Dans son message de samedi, il prétend à présent que les « dossiers Epstein » ont été « créés » par les démocrates pour lui nuire. « Et maintenant mes soi-disant 'amis' jouent leur jeu », a fustigé Donald Trump, dans un passage désigné aux partisans MAGA qui voudraient lui tourner le dos. « Pourquoi ces fous de la gauche radicale n'ont-ils pas publié les Dossiers Epstein ?, écrit-il ensuite, s'il y avait quoi que ce soit là-dedans qui aurait pu nuire au Mouvement MAGA, pourquoi ne l'ont-ils pas utilisé ? » « Quels que soient nos succès, […] ce n'est jamais assez pour certaines personnes », a-t-il cinglé. Côté démocrate, cette polémique sur les « dossiers Epstein » a été commentée par Alexandria Ocasio-Cortez, figure majeure de la gauche américaine, qui a ironisé sur la déception des MAGA dans un message publié vendredi sur X et relevé par le HuffPost américain. « Wow qui aurait cru qu'élire un violeur compliquerait la publication des dossiers Epstein », a déclaré la New-yorkaise, en référence aux accusations de viol qui visent le président américain et que celui-ci nie catégoriquement. La pique d'Alexandria Ocasio-Cortez n'est pas restée sans réponse : dans une déclaration au Daily Beast, le directeur de la communication de la Maison Blanche, Steven Cheung, a qualifié la démocrate de « triste et misérable tête de mule » au « cerveau pourri de la taille d'un petit pois », jugeant que son « syndrome d'obsession pour Trump » était aussi « sévère » qu' « évident ». Reste à voir si ces propos aideront à rassurer les supporters MAGA.

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