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« Le PSG est devenu une référence » : le club parisien est passé d'ennemi numéro 1 à modèle à suivre pour le Bayern Munich
« Le PSG est devenu une référence » : le club parisien est passé d'ennemi numéro 1 à modèle à suivre pour le Bayern Munich

L'Équipe

time7 hours ago

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« Le PSG est devenu une référence » : le club parisien est passé d'ennemi numéro 1 à modèle à suivre pour le Bayern Munich

Alors que le Bayern Munich veut réduire sa masse salariale, le nouveau modèle mis en place au Paris-SG, qu'il affronte samedi en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs, est une source d'inspiration en Bavière. Après avoir honni le modèle du récent vainqueur de la Ligue des champions. Pendant de longues années, le Bayern Munich a considéré le Paris-Saint-Germain comme l'ennemi numéro un. Au-delà de la rivalité sportive entre les deux clubs qui se sont souvent affrontés au cours de la dernière décennie en Ligue des champions (huit affrontements depuis 2017-2018), les dirigeants du plus titré des clubs de Bundesliga - en tête desquels Uli Hoeness, alors président du conseil de surveillance devenu président d'honneur, et Karl-Heinz Rummenigge, qui a été le président du conseil d'administration pendant vingt ans avant de devenir « simple » membre du conseil de surveillance - prenaient un malin plaisir à fustiger la politique sportive de leurs homologues parisiens, notamment. Mais au siège du Bayern, le ton a progressivement changé, dernièrement. Rummenigge, par exemple, est admiratif du Paris-SG façonné par Luis Enrique, mais aussi du nouveau modèle économique du champion d'Europe. « Comme on le voit avec le PSG, on peut aussi avoir beaucoup de réussite sportive en changeant de philosophie, a-t-il confié en milieu de semaine. Les Parisiens ont mis en place une nouvelle stratégie qui s'est d'emblée avérée payante, avec moins de noms ronflants pour une plus grande osmose dans le vestiaire et donc une masse salariale plus modeste. Sur le plan économique, le PSG est devenu une référence. » « Les décideurs bavarois doivent faire preuve de plus de fermeté lors des négociations de contrat et plus que jamais s'inspirer de ce PSG qui est un modèle en la matière » Lothar Matthäus, ancien libéro du Bayern « C'était intelligent de la part du PSG (de se séparer des superstars), a expliqué Lothar Matthäus, le consultant phare de SkySports Deutschland. Avec Ousmane Dembélé qui a le plus gros salaire à Paris, ce sont des émoluments que touchent plus d'une demi-douzaine de joueurs comme Serge Gnabry, Leon Goretzka, Kingsley Coman ou Thomas Müller à Munich. Après Dembélé, les meilleurs salaires à Paris ne sont pas plus élevés que ceux des pros qui font partie du dernier tiers du classement des salaires à Munich. Les décideurs bavarois doivent faire preuve de plus de fermeté lors des négociations de contrat et plus que jamais s'inspirer de ce PSG qui est un modèle en la matière. Nasser al-Khelaïfi et ses collègues ont modifié leur politique financière. On voit le résultat : jamais le Paris-Saint-Germain n'avait été aussi impressionnant qu'à l'heure actuelle. » Le souvenir de l'époque Van Gaal Alors que le club allemand tente cet été de réduire sa masse salariale, c'est la mission qui a été confiée au directeur sportif Max Eberl. Ce « nouveau Bayern » aimerait ressembler à celui de l'époque Louis Van Gaal (2009-2011), qui refusait catégoriquement les transferts coûteux et les superstars. Le technicien batave avait misé sur Thomas Müller, Holger Badstuber et David Alaba, tout juste sortis du centre de formation, et parfois envoyé Franck Ribéry et Luca Toni sur le banc des remplaçants. Sur les bords de l'Isar, beaucoup espèrent que Vincent Kompany en fera autant.

Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi
Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi

Le Figaro

time13 hours ago

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Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi

Le président parisien a fait le point devant les journalistes ce vendredi, à Atlanta, évoquant notamment le Ballon d'or mais aussi les critiques envers le Mondial des clubs. «Si Ousmane Dembélé ne gagne pas le Ballon d'or, il y a un problème», a déclaré le président du Paris-SG Nasser Al-Khelaïfi ce vendredi, à la veille du choc en quart de finale du Mondial des clubs contre le Bayern Munich, samedi (18h00). «Vu la saison qu'il a faite, une saison magnifique, aucun doute qu'il gagne le Ballon d'or», a dit «NAK» à la presse après un entraînement de l'équipe sur le campus de l'université de Kennesaw, au nord d'Atlanta (Georgie). «S'il ne gagne pas, il y a un problème. Il a tout fait», a insisté le dirigeant, en référence à l'influence prépondérante du joueur sur les champions d'Europe, avec notamment 33 buts et 15 passes décisives. «C'est sûr que c'est important pour le club. Mais le plus important c'est que tout le monde joue pour l'équipe», a ajouté M. Al-Khelaïfi. Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé. Nasser Al-Khelaïfi Publicité Interrogé sur le Mondial des clubs nouveau format et sur le calendrier surchargé des joueurs, le président du PSG a assuré: «C'est sûr que quand vous organisez une compétition comme ça, il y a des choses de pas top, mais en général c'est magnifique, un nouveau marché pour le foot, pour la marque, tout le club. Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition, avant les clubs et les joueurs ne jouaient jamais de Coupe du monde, (...) il faut penser de manière positive», a-t-il dit. «Il y a beaucoup de challenges financiers dans le foot», a souligné Nasser Al-Khelaïfi. «Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé, on prend match par match pour aller le plus loin possible», a-t-il relaté.

Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern
Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern

Le Figaro

time19 hours ago

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Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern

L'attaquant parisien s'est exprimé face à la presse ce vendredi, à la veille du quart de finale contre le Bayern, samedi, à Atlanta. «Je suis à 100% pour débuter mais c'est le coach qui décide», a déclaré l'attaquant du Paris-SG Ousmane Dembélé ce vendredi, à la veille du choc en quart de finale du Mondial des clubs contre le Bayern Munich, samedi (18h00), à Atlanta. «Je me sens à 100%, ça fait maintenant neuf, dix jours que je m'entraîne bien avec l'équipe et je suis à 100% pour débuter, c'est le coach qui décide», a-t-il dit à la presse, après une séance collective au campus de l'université de Kennesaw, au nord d'Atlanta (Georgie). Dembélé, blessé le 5 juin avec les Bleus, a manqué les trois premiers matches du Mondial avant de rentrer en cours de jeu contre l'Inter Miami en huitième de finale (4-0). Publicité «J'aime jouer au football. Regarder jouer son équipe en tribune ce n'est pas facile, j'ai envie d'aider l'équipe à gagner ce titre», a confié le candidat au Ballon d'or, aux statistiques (33 buts, 15 passes décisives) et à l'influence déterminantes. On a une petite revanche à prendre. Ousmane Dembélé Contre le Bayern Munich, qui a battu le PSG 1-0 en Ligue des champions en novembre dernier, «on a une petite revanche à prendre, on sait que c'est une équipe difficile mais on est beaucoup plus forts qu'au mois de novembre», a souligné Ousmane Dembélé. «Il y a beaucoup de choses qui ont changé, les joueurs ont clairement élevé le niveau, j'ai élevé le niveau aussi, et on a énormément de confiance, on sait ce qu'on doit faire sur le terrain, on peut battre n'importe quelle équipe», a ajouté l'international français. «Il faudra de la concentration, mettre du rythme, jouer comme d'habitude, et surtout bien défendre car c'est une équipe redoutable», a analysé le numéro 10. «Notre plus grande source de motivation, c'est vraiment ce sentiment de revanche, quand on avait perdu chez eux, ça avait été très dur après», a indiqué pour sa part Bradley Barcola. «Ça avait été un des déclics, cette défaite nous avait fait mal et prendre conscience qu'on n'avait plus beaucoup de chances pour continuer en Ligue des champions, et ça nous avait encore plus motivés», a ajouté Barcola.

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