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Mondiaux de natation : la vidéo du titre de champion du monde du Tunisien Ahmed Jaouadi sur 800 m nage libre
Mondiaux de natation : la vidéo du titre de champion du monde du Tunisien Ahmed Jaouadi sur 800 m nage libre

Le Parisien

time2 days ago

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Mondiaux de natation : la vidéo du titre de champion du monde du Tunisien Ahmed Jaouadi sur 800 m nage libre

Il y avait déjà eu Oussama Mellouli (2009 et 2013), et Ahmed Hafnaoui (2023). La Tunisie peut désormais compter sur Ahmed Jaouadi pour briller dans les bassins. Le jeune nageur de 20 ans est entré dans l'histoire en remportant le titre de champion du monde du 800 mètres nage libre en grand bassin ce mercredi à Singapour. Le protégé de Phuilippe Lucas depuis 2023 s'est imposé en signant la troisième meilleure performance de tous les temps sur la distance (7′36″88), devant les Allemands Sven Schwarz (7′39″96) et Lukas Maertens (7′40″19). L'Irlandais Daniel Wiffen et l'Américain Bobby Finke, médaillés d'or et d'argent aux JO à Paris, ont respectivement fini 4e et 8e. « J'ai essayé de gérer 50m par 50m, personne ne voulait passer devant et je me suis dit, c'est là ou jamais, raconte le champion au micro de France Télévisions. Ça fait plaisir parce qu'il y a eu beaucoup de travail, beaucoup de bons et mauvais moments avec Philippe. Il a su me gérer, comment me parler et me mettre sur le bonne voie. Je ne suis pas facile à entraîner comme nageur et ce titre, c'est grâce à lui. » Ahmed Jaouadi, qui avait déjà réalisé le meilleur temps des séries en 7′41″58, était déjà devenu champion du monde du 1500 m à Budapest (Hongrie) l'an passé, une épreuve disputée en petit bassin. Et comme il a de l'appétit, il sera au départ des séries du 1500 mètres dès samedi matin.

Mondiaux de natation : Anastasiia Kirpichnikova seulement cinquième du 1500 m nage libre
Mondiaux de natation : Anastasiia Kirpichnikova seulement cinquième du 1500 m nage libre

Le Parisien

time3 days ago

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Mondiaux de natation : Anastasiia Kirpichnikova seulement cinquième du 1500 m nage libre

Pas de nouvel exploit pour Anastasiia Kirpichnikova ! Après avoir obtenu l'argent lors des JO de Paris 2024 dans la même catégorie, la Française de 25 ans n'a pas su réitérer la même performance sur le 1500 m nage libre des Mondiaux de Singapour ce mardi. La nageuse d'origine russe a conclu la course en 5e position et signe son 2e meilleur chrono de la saison, en 15'57. « Je ne suis pas contente mais je n'ai pas le choix, a-t-elle relativisé. J'ai donné tout ce que je pouvais, je ne pouvais pas nager plus vite. Mais ça va !. Hier je n'étais pas bien à cause du stress. Peut-être parce que je ne nage pas beaucoup. Je ne suis pas dans ma meilleure forme, c'était un peu compliqué. » En difficulté physique, la tête d'affiche du jour côté tricolore avait déjà été à la peine lors des séries, en validant sa qualification avec le 7e temps en 16′06′'97. « C'était le 1 500 m le plus dur de ma vie, soufflait alors l'élève de Philippe Lucas. Vraiment. Le premier 500 m ça allait, mais le dernier 500 m, je ne sais même pas comment j'ai fini. J'ai eu mal partout, sur tous les virages, c'était horrible. Je suis morte. » Loin de ces considérations, l'Américaine Katie Ledecky s'est magnifiquement imposée et remporte son 22e titre de championne du monde (15'26), devant l'Italienne Simona Quadarella (15'31) et l'Australienne Lani Pallister (15'41).

« Le 1 500 m le plus dur de ma vie » : Anastasiia Kirpichnikova souffre en séries aux Mondiaux de Singapour
« Le 1 500 m le plus dur de ma vie » : Anastasiia Kirpichnikova souffre en séries aux Mondiaux de Singapour

Le Parisien

time4 days ago

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« Le 1 500 m le plus dur de ma vie » : Anastasiia Kirpichnikova souffre en séries aux Mondiaux de Singapour

En sortant d'une course, Anastasiia Kirpichnikova a toujours le visage rougi par l'effort. Encore plus ce lundi matin à l'issue des séries du 1 500 m, la distance sur laquelle elle avait conquis l'argent olympique à Paris l'été dernier. « C'était le 1 500 m le plus dur de ma vie, souffle l'élève de Philippe Lucas, 7e temps en 16′06′'97. Vraiment. Le premier 500 m ça allait, mais le dernier 500 m, je ne sais même pas comment j'ai fini. J'ai eu mal partout, sur tous les virages, c'était horrible. Je suis morte. » L'ancienne Russe naturalisée française est sans filtre. Et ne cache pas son inquiétude derrière son rire nerveux. « Heureusement, je suis qualifiée pour la finale après seulement trois mois d'entraînement, explique la Tricolore, déjà à la peine dimanche sur 400 m. Je me sentais très bien au stage de Jakarta. J'ai un peu peur. Je ne sais pas si je vais faire une médaille ? Là, j'ai vraiment tout donné. J'ai très mal au mollet et ça remontait dans le corps sur les virages. C'est la première fois de ma vie que ça arrive. Alors, on verra… » Réponse mardi soir (13h11 à Paris). Mais il faudra vraiment être forte et espérer des défaillances pour s'immiscer dans le trio Ledecky-Pallister-Quadrarella… Hormis Kirpichnikova, la matinée singapourienne était placée sous le signe du dos pour les Tricolores, avec quatre engagé(e)s sur 100 m. Et tous ont franchi l'écueil des séries avec des fortunes diverses. Chez les filles, Mary-Ambre Moluh s'est arrachée pour signer le 6e temps matinal (59′'47). À tel point que la pensionnaire de l'Université de Californie a eu du mal à digérer l'après-course et retrouver ses esprits. Pauline Mahieu a assuré l'essentiel (14e temps en 1′00′'48 alors qu'on garde 16 athlètes pour les demies). Mais la Nordiste est loin d'être satisfaite de son entrée par la toute petite porte dans les Mondiaux. « Je suis assez étonnée du temps que j'ai fait et de la course que j'ai faite. Je suis déçue, soupire-t-elle en zone mixte. Il va falloir vite effacer la déception et passer à autre chose parce que c'était une mauvaise course de A à Z. J'étais sous l'eau, je n'étais pas dedans, c'est un peu compliqué à expliquer parce que j'ai eu du mal à me mettre dans la compétition. Il faudra voir, mais heureusement ça passe. » Un mal pour un bien ? « J'ai la chance d'avoir un niveau où je me rate et ça passe quand même mais, pour le coup, ça ne met pas en confiance, lance-t-elle. Il n'y avait aucun souci à l'entraînement. Tous les feux étaient au vert et ils le sont toujours. Ça arrive de faire des mauvaises courses. Je n'ai pas de souci physique ou mental. Moi qui pensais nager un petit 59′' le matin… Il va falloir être beaucoup beaucoup mieux pour passer en finale ( demi-finales ce lundi à 13h52 ). Je suis venue ici avec l'objectif de faire mon meilleur temps ( 59′'30 aux Mondiaux de Fukuoka en 2023 ). » Yohann Ndoye Brouard, lui, l'a déjà réussi. Le dossiste de l'Insep a signé le chrono le plus rapide des séries (52′'30) et amélioré son record personnel. « Franchement, je ne comptais pas aller aussi vite, sourit le protégé de Michel Chrétien, qui prétend pourtant en avoir gardé sous le pied pour la suite. Je suis en forme. Je ne suis pas parti trop vite et à la fin j'ai regardé un peu où j'en étais, j'ai vu que le Russe ( Lifintsev, champion du monde en petit bassin ) était un peu derrière moi, je me suis dit c'est pas mal. » Le Haut-Savoyard peut commencer à jeter un œil du côté du record de France, détenu depuis quinze ans par Camille Lacourt (52′'11). « Deux dixièmes, ce n'est pas inaccessible, glisse-t-il. Donc on y pense forcément. » Son alter ego Mewen Tomac , 10e temps en 53′'07, affiche moins ouvertement ses ambitions. « Je pensais aller un peu plus vite, résume le discret Normand. Il faudra accélérer un peu ce soir ( demi-finales ce lundi à 13h18 françaises ). J'espère aller en finale, mais c'est une course très relevée… »

Mondiaux de natation : une matinée sans accroc pour la France
Mondiaux de natation : une matinée sans accroc pour la France

Le Figaro

time4 days ago

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Mondiaux de natation : une matinée sans accroc pour la France

L'équipe de France a été reçue 5 sur 5 ce lundi matin, avec tous ses représentants qualifiés pour la suite de la compétition, dont Anastasiia Kirpichnikova en finale du 1.500m. La qualification, sans la manière, mais l'essentiel a été préservé pour Anastasiia Kirpichnikova. Au lendemain d'une élimination sans gloire lors des séries du 400m nage libre, la Française, médaillée d'argent aux Jeux de Paris il y a un an, s'est qualifiée pour la finale de sa distance de prédilection lors des Championnats du monde de Singapour. Malgré un temps médiocre de 16'06''97, Kirpichnikova signe le 7e temps des séries. Dans la douleur, à l'écouter après sa course. «C'était le 1.500 le plus dur de toute ma vie, vraiment. Mon premier 500 était bon mais mon dernier 500, franchement, je ne sais pas comment j'ai fini tellement j'avais mal partout à chaque virage. C'était horrible. Je suis morte.» Du coup, la protégée de Philippe Lucas peine à se projeter sur une finale qui se tiendra mardi, à 13h11 (heure française). «Je ne sais pas si cela ira mieux en finale», confiait-elle, le sourire inquiet. «Je nageais très vite à Djakarta lors du dernier stage de préparation mais là, c'est difficile. Cela m'inquiète forcément, et je ne suis pas sûre de réussir à remporter une médaille demain(mardi). Mais là, j'ai tout donné et je vais parler avec Philippe pour voir ce qu'on peut faire. Je suis contente d'être qualifiée, mais j'ai un peu peur.» Publicité Yohann Ndoye-Brouard marque son territoire Une entrée en matière sans trembler pour les dossistes français. Les deux premières en action, Mary-Ambre Moluh et Pauline Mahieu, n'ont pas connu de difficultés pour affranchir leur billet pour les demi-finales du 100m dos, programmées ce lundi soir à Singapour (un peu avant 14h en heure française). En 59''47, Mary-Ambre Moluh a ainsi signé le 7e meilleur chrono de séries dominées par l'Américaine Regan Smith (58''20). Juste après, Pauline Mahieu l'a rejointe au prochain tour mais en montrant davantage de difficultés avec un 14e temps (1'00''48) pour le moins éloigné de son record personnel sur la distance (59''13). Chez les hommes, Yohann Ndoye-Brouard et Mewen Tomac avaient été placés dans la même série, la numéro 6, en compagnie notamment du recordman du monde italien Thomas Ceccon. Une belle opportunité pour le premier nommé, médaillé de bronze aux côtés de Léon Marchand lors du 4x100m 4 nages des derniers Jeux de Paris, de marquer les esprits en signant le meilleur temps en 52''30, loin devant le Russe très prometteur de 19 ans Miron Lifintsev (52''77) et le maître transalpin Ceccon, en dos mineur ce lundi matin (53''65). À tel point que l'Italien a également fini derrière Mewen Tomac, 10e temps des séries en 53''07.

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