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Goussainville : il multipliait les comptes pro-Daech sur TikTok, un jeune de 18 ans condamné à 2 ans de prison avec sursis
Goussainville : il multipliait les comptes pro-Daech sur TikTok, un jeune de 18 ans condamné à 2 ans de prison avec sursis

Le Parisien

time5 days ago

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Goussainville : il multipliait les comptes pro-Daech sur TikTok, un jeune de 18 ans condamné à 2 ans de prison avec sursis

Le tribunal correctionnel de Pontoise a condamné, vendredi 18 juillet, Muhammed A., 18 ans, à une peine de 2 ans de prison avec sursis probatoire renforcé pour apologie de terrorisme en ligne (un délit puni jusqu'à 7 ans de prison). Pendant trois ans, il devra se soigner, travailler ou se former, et régler les éventuelles sommes qu'il doit au Trésor public. Il est aussi déclaré inéligible pendant trois ans. L'enquête est déclenchée par un signalement du préfet aux autorités judiciaires le 10 juillet. Le prévenu est identifié à partir de son adresse IP. Les enquêteurs font le lien entre le jeune homme et plusieurs comptes TikTok , signalés pour diffusion de propagande pro djihadiste depuis décembre 2024. Ses comptes sont régulièrement supprimés mais il continue d'en créer de nouveaux.

Val-d'Oise : quatre policiers mis en examen pour des faits de violences sur un adolescent
Val-d'Oise : quatre policiers mis en examen pour des faits de violences sur un adolescent

Le Figaro

time6 days ago

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Val-d'Oise : quatre policiers mis en examen pour des faits de violences sur un adolescent

Quatre policiers ont été mis en examen vendredi et placés sous contrôle judiciaire pour violences et faux en écriture, après la dénonciation d'un adolescent les accusant de passage à tabac dans la nuit du 14 juillet, a indiqué le parquet de Pontoise à l'AFP. Conformément aux réquisitions du procureur, les agents ont été mis en examen pour faux en écriture et violences avec les circonstances aggravantes que les faits ont été commis en réunion et par des personnes dépositaires de l'autorité publique. Une mesure d'interdiction d'exercer leur profession a également été prise contre eux par le juge des libertés et de la détention, a ajouté le ministère public. «À Garges-lès-Gonesse, le 14 juillet vers 23 heures, un mineur de 17 ans faisait appel à ses proches et à des pompiers en présentant des blessures au visage qu'il imputait à des fonctionnaires de police en affirmant avoir été monté de force dans un véhicule après une course-poursuite à pied, puis avoir subi des coups avant d'être relâché», a détaillé le procureur Guirec Le Bras dans un communiqué diffusé vendredi après-midi. Publicité Les infractions de violences par personne dépositaire de l'autorité publique en réunion et de faux, dont ces agents sont suspectés, sont punies de peines pouvant s'élever à 5 ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende, indique le procureur tout en rappelant le principe de présomption d'innocence. Bruno Retailleau réagit Une vidéo relayée sur les réseaux sociaux montre le jeune assis sur un banc, l'arcade sourcilière et la lèvre en sang. Après examen de l'adolescent, le médecin de l'unité médico-judiciaire de Pontoise-Gonesse a établi son incapacité totale de travail à trois jours, selon les précisions apportées vendredi par le ministère public. D'après le récit du député LFI de la circonscription Carlos Martens Bilongo, qui s'est entretenu mercredi avec le mineur, le lycéen était en train de faire une commission dans un magasin lorsque des policiers l'ont accusé de les filmer. «Ils lui ont dit 'on va te niquer'. Du coup, il a pris peur et est parti en courant (...) Il a subi une agression gratuite, il s'est fait tabasser par quatre policiers», avait déclaré mercredi à l'AFP Carlos Martens Bilongo. En fin d'après-midi vendredi, le ministre de l'Intérieur a réagi, via son compte X, en qualifiant de «graves» les accusations portées contre les policiers. «La justice devra faire toute la lumière sur ce qui s'est passé. L'exemplarité des forces de l'ordre n'est pas négociable,» a commenté Bruno Retailleau. Les policiers mis en cause contestent les accusations de violences, a indiqué à l'AFP leur conseil, Me Inès Davau. «Il est particulièrement inquiétant de voir ces fonctionnaires jetés en pâture, dans une polémique nourrie notamment par un député de la République», a ajouté l'avocate.

Plainte d'un ado pour violences policières à Garges-lès-Gonesse : quatre fonctionnaires sous contrôle judiciaire
Plainte d'un ado pour violences policières à Garges-lès-Gonesse : quatre fonctionnaires sous contrôle judiciaire

Le Parisien

time6 days ago

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Plainte d'un ado pour violences policières à Garges-lès-Gonesse : quatre fonctionnaires sous contrôle judiciaire

Les quatre policiers mis en cause par Aly , un jeune lycéen de 17 ans de Garges-lès-Gonesse , ont été placés en garde à vue, jeudi. Après avoir pris connaissance de leurs déclarations, le parquet du Pontoise annonce dans un communiqué, ce vendredi 18 juillet, avoir « décidé de l'ouverture d'une information judiciaire, des chefs de violences ayant entraîné une incapacité totale de travail n'excédant pas huit jours et faux ». Le parquet mentionne deux circonstances aggravantes à ce stade : le fait que ces violences auraient été commises par personne dépositaire de l'autorité publique, et en réunion. Ces infractions sont punies de peines pouvant s'élever à 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros, souligne le parquet de Pontoise.

« Beaucoup de choses sont jetées dans l'eau » : à Cergy, la crainte d'une pollution de l'Oise par les campements illégaux
« Beaucoup de choses sont jetées dans l'eau » : à Cergy, la crainte d'une pollution de l'Oise par les campements illégaux

Le Parisien

time09-07-2025

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« Beaucoup de choses sont jetées dans l'eau » : à Cergy, la crainte d'une pollution de l'Oise par les campements illégaux

« Cela fait dix ans que c'est un problème jamais résolu ni traité. On ne voit rien évoluer. » L'association Cergy-Pontoise environnement perd patience face à l'occupation illégale de terrains situés au bord de l'Oise, dans la zone maraîchère . De longue date, deux campements sont en effet installés au milieu des champs. Ce n'est pas la présence de ces familles de gens du voyage venus pays de l'Est qui dérange les écologistes, mais les pratiques de ces habitants vis-à-vis de la rivière bordant ce que certains désignent comme un « bidonville ». « Nous avons une réelle inquiétude concernant la pollution de l'Oise , souligne Annie Lemonnier, membre de Cergy-Pontoise environnement. De nombreux détritus, des carcasses de voitures ou de l'électroménager, comme des machines à laver, sont régulièrement déversés dans l'Oise. »

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