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Zelensky accuse Poutine de vouloir « se soustraire » à une rencontre pour la paix
Zelensky accuse Poutine de vouloir « se soustraire » à une rencontre pour la paix

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time43 minutes ago

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Zelensky accuse Poutine de vouloir « se soustraire » à une rencontre pour la paix

Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Zelensky accuse Poutine de vouloir « se soustraire » à une rencontre pour la paix (Kyiv) Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi son homologue russe Vladimir Poutine de chercher à « se soustraire » à une rencontre destinée à trouver une issue à la guerre provoquée par l'invasion russe, Donald Trump lui-même tempérant son enthousiasme. Ania TSOUKANOVA Agence France-Presse Ce qu'il faut savoir L'Ukraine considère que, même si une issue est trouvée à cette guerre, la Russie tentera encore de l'envahir, d'où l'importance de ces garanties. Moscou, qui considère l'expansion de l'OTAN à ses frontières comme l'une des « causes profondes » ayant mené au conflit, veut que ses exigences soient prises en compte ; Les contacts diplomatiques se sont accélérés ces dernières semaines pour trouver une issue à l'invasion russe lancée en février 2022. « À l'heure actuelle, les signaux envoyés par la Russie sont tout simplement indécents. Ils essaient de se soustraire à la nécessité d'organiser une réunion », a accusé M. Zelensky dans son adresse quotidienne sur les réseaux sociaux jeudi soir. À la place, les Russes « poursuivent leurs attaques massives contre l'Ukraine et leurs assauts féroces le long de la ligne de front », a-t-il dénoncé. La Russie a lancé dans la nuit de mercredi à jeudi une attaque massive sur l'Ukraine, utilisant 574 drones et 40 missiles, selon l'armée de l'air ukrainienne, un nombre record depuis la mi-juillet. Ces frappes ont fait deux morts, un à Kherson et un autre à Lviv, dans l'ouest du pays. Elles ont aussi largement détruit une entreprise américaine dans la ville de Moukatchevo, dans l'ouest de l'Ukraine, a précisé M. Zelensly. PHOTO DU SERVICE D'URGENCE D'ÉTAT D'UKRAINE DANS LA RÉGION DE LVIV, FOURNIE PAR REUTERS Des pompiers travaillent sur le site d'une zone résidentielle touchée par des frappes de drones et de missiles russes, dans la région de Lviv, en Ukraine, le 21 août 2025. « Les Russes savaient exactement où ils avaient lancé les missiles. Nous croyons qu'il s'agissait d'une frappe délibérée spécifiquement sur une propriété appartenant à des Américains », a noté le président ukrainien. L'attaque contre Moukatchevo a fait 23 blessés, selon un nouveau bilan des autorités locales. « Approche différente » Très satisfait de sa rencontre avec M. Poutine le 15 août, Donald Trump a reconnu jeudi qu'il n'en saurait davantage sur les chances de paix que « dans les deux prochaines semaines ». « Après cela, nous devrons peut-être adopter une approche différente », a-t-il estimé sans plus de détail. Après avoir rencontré M. Poutine en Alaska puis M. Zelensky lundi à la Maison-Blanche, Donald Trump avait dit préparer une rencontre entre les dirigeants russe et ukrainien. Mais la participation des belligérants semble encore loin d'être acquise. Si Vladimir Poutine semble avoir accepté le principe de cette rencontre, qu'il refusait jusque-là, ni date ni lieu n'ont été annoncés, et Moscou a souligné mercredi qu'une telle rencontre devait être « préparée avec le plus grand soin ». Paris a dénoncé jeudi une « absence de volonté » de la Russie de mettre fin à la guerre. Volodymyr Zelensky, de son côté, a déclaré devant un groupe de médias parmi lesquels l'AFP vouloir comprendre « l'architecture des garanties de sécurité d'ici sept à dix jours ». Ensuite, « nous devrions avoir une réunion bilatérale dans une semaine ou deux », a souhaité le dirigeant ukrainien, dont ce serait le cas échéant la première rencontre avec son homologue russe depuis 2019. PHOTO REUTERS Des travailleurs passent devant un immeuble d'appartements touché par une frappe de drone russe, à Lviv, en Ukraine, le 21 août 2025. M. Zelensky a proposé la Suisse, l'Autriche ou la Turquie pour une éventuelle rencontre. Il a en revanche écarté la Hongrie, jugée trop proche du Kremlin. Nouveau missile Les contacts diplomatiques se sont accélérés ces dernières semaines pour trouver une issue à la guerre provoquée par l'invasion russe en février 2022, mais les positions de Moscou et Kyiv restent diamétralement opposées, notamment sur la question des territoires ukrainiens occupés. Trouver un accord sur les garanties de sécurité s'annonce également complexe. Européens et Américains ont évoqué ces derniers mois différentes possibilités allant de garanties similaires au fameux « article 5 » de l'OTAN au déploiement d'un contingent militaire en Ukraine. Épine dorsale de l'OTAN, à laquelle ni Moscou ni Washington ne veulent voir l'Ukraine adhérer, l'article 5 stipule que toute attaque contre un pays membre est considérée comme une attaque contre tous. PHOTO DES SERVICES D'URGENCE UKRAINIENS, FOURNIE PAR AGENCE FRANCE-PRESSE De la fumée s'élève au-dessus d'un bâtiment endommagé à la suite d'une attaque aérienne russe à Moukatchevo, en Ukraine, le 21 août 2025. Kyiv considère que, même si une issue est trouvée à cette guerre, la Russie tentera encore de l'envahir à l'avenir, d'où l'importance de ces garanties. Moscou, qui qualifie l'expansion de l'OTAN à ses frontières comme l'une des « causes profondes » ayant mené au conflit, rejette de son côté catégoriquement la plupart des scénarios envisagés. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a averti jeudi que tout déploiement d'un contingent militaire européen en Ukraine serait « inacceptable ». Parallèlement, l'Ukraine cherche à augmenter sa production d'armement, une façon de réduire sa dépendance à l'aide des alliés. Volodymyr Zelensky a ainsi affirmé jeudi que son pays avait testé avec succès un nouveau missile d'une portée de 3000 kilomètres appelé Flamingo. Zelensky a demandé à Trump de convaincre Orbán de permettre l'adhésion de l'Ukraine à l'UE Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a dit avoir demandé à Donald Trump de convaincre le chef d'État hongrois Viktor Orbán de permettre l'ouverture de négociations sur l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne. Viktor Orbán entretient des relations tendues avec Kyiv, et est au contraire un des rares dirigeants européens proches du Kremlin. Le dirigeant nationaliste milite contre l'adhésion de l'Ukraine à l'UE, qui « ruinerait » selon lui le bloc. Volodymyr Zelensky, qui s'exprimait devant des journalistes mercredi, mais dont les déclarations étaient sous embargo jusqu'à jeudi, a dit avoir « demandé au président Trump que Budapest ne bloque pas notre adhésion à l'Union européenne ». « Le président Trump a promis que son équipe y travaillerait », a-t-il indiqué à un groupe de médias, dont l'AFP.

Le gouverneur de Californie s'attaque à Trump en reprenant ses codes
Le gouverneur de Californie s'attaque à Trump en reprenant ses codes

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time15 hours ago

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Le gouverneur de Californie s'attaque à Trump en reprenant ses codes

Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Le gouverneur de Californie s'attaque à Trump en reprenant ses codes (Washington) Gouverneur de l'État le plus peuplé des États-Unis, Gavin Newsom est habitué à une communication bien encadrée, voire formatée. Mais récemment, le démocrate de Californie a adopté une stratégie particulière sur les réseaux sociaux : imiter Donald Trump pour mieux le dénoncer. Robin LEGRAND Agence France-Presse « TRUMP VIENT DE FUIR L'ESTRADE AVEC POUTINE - PAS DE QUESTIONS, RIEN ! ÉNERGIE COMPLÈTEMENT FAIBLE. ON AURAIT DIT QUE LE GARS VENAIT JUSTE DE MANGER TROIS SEAUX DE KFC AVEC VLAD. A-T-IL PEUR QUE LA PRESSE L'INTERROGE SUR MOI ? ? ? (LE GOUVERNEUR PRÉFÉRÉ DE L'AMÉRIQUE) ». Des majuscules partout, une insulte crasse et une vantardise sans fard. Le message adopte un style similaire à celui du président américain, mais c'est bien le compte officiel de l'équipe de communication du gouverneur Newsom qui l'a publié vendredi, peu après la rencontre entre Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine en Alaska. Dans une longue liste de publications outrancières, le même compte s'est moqué des « mains minuscules » du milliardaire républicain, a posté une fausse Une du magazine Time avec Gavin Newsom portant une couronne, a intimé au ministre du Logement - en espagnol - d'aller « se faire foutre », ou encore a ridiculisé les contours d'autobronzant sur le visage du président. Si le style comme le contenu peuvent choquer, c'est bien là le dessein du gouverneur de Californie. « Absurdité » Le dirigeant de 57 ans, chevelure grisonnante et gominée vers l'arrière, a affirmé lors d'une visioconférence avec la presse mercredi avoir voulu montrer au grand public « l'absurdité de la normalisation de Donald Trump ». « Rien de tout cela n'est normal, et il faut que ce soit pointé du doigt », a-t-il déclaré. Pour le consultant politique Jeff Le, cette stratégie adoptée par Gavin Newsom est un moyen de « répondre au large mécontentement affiché envers le Parti démocrate » à gauche, mais aussi de répondre « au besoin de démontrer une lutte réelle contre le président Trump ». Cet ex-conseiller de Jerry Brown, le gouverneur démocrate de Californie de 1975 à 1983 puis de 2011 à 2019, cite notamment un sondage récent de la chaîne CNBC montrant un taux d'approbation du Parti démocrate à 24 %, au plus bas depuis des décennies. « Avec le parti dans l'incapacité d'exercer tout type de pouvoir à l'échelle nationale, la base réclame de nouvelle voix et une nouvelle génération de dirigeants », estime Jeff Le auprès de l'AFP. La stratégie semble fonctionner puisque le nombre d'abonnés sur les comptes du gouverneur a explosé depuis une semaine. Elle a également attiré l'attention, moins indulgente, de commentateurs à droite. Notamment de Dana Perino, ancienne porte-parole de la Maison-Blanche sous George Bush fils et actuelle présentatrice sur la chaîne Fox News, qui a déclaré à propos du gouverneur : « Si j'étais sa femme, je lui dirais, 'tu te tournes en ridicule, arrête ça' ». Gavin Newsom lui a indirectement répondu en affirmant que quand les personnalités de Fox News condamnent ces gazouillis moqueurs tout en majuscules, sans s'indigner quand Donald Trump le fait, ils montrent qu'ils sont « complètement passés à côté du sujet ». 2028 Sollicitée par l'AFP, la Maison-Blanche a partagé un montage parodique – initialement envoyé au média Politico – reprenant une scène de la série Mad Men, et censé montrer que Donald Trump n'en a rien à faire de Gavin Newsom. Politico a avancé que c'était là sûrement le premier communiqué officiel de l'histoire de la Maison-Blanche sous forme de mème. Mais au-delà du style, Gavin Newsom est engagé depuis près d'un mois dans une bataille bien plus politique avec Donald Trump, qui a fait pression sur les responsables républicains du Texas pour redessiner la carte électorale de manière à accroître sa majorité au Congrès. Le gouverneur californien a annoncé qu'il riposterait en lançant une campagne pour faire de même dans son État, en faveur des démocrates. « Nous allons combattre le feu par le feu », a-t-il récemment déclaré. Ses regards sont en outre déjà tournés vers 2028 et une élection présidentielle où aucun candidat côté démocrate ne s'est réellement démarqué pour le moment. Harry Enten, analyste de données à CNN, a souligné que depuis son changement de communication, les chances de Gavin Newsom d'obtenir l'investiture démocrate avaient bondi chez les preneurs de paris pour atteindre 24 %. Il n'est pas sûr pour autant que le gouverneur décide de maintenir un style trumpien pour y parvenir.

Guerre en Ukraine : Moscou attend que soit résolue la « légitimité » du président ukrainien
Guerre en Ukraine : Moscou attend que soit résolue la « légitimité » du président ukrainien

Le Parisien

time15 hours ago

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Guerre en Ukraine : Moscou attend que soit résolue la « légitimité » du président ukrainien

Augure-t-il du refus de Poutine de rencontrer Zelensky ? Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a accusé ce jeudi l'Ukraine de ne pas vouloir un « règlement juste et durable » du conflit ouvert par Moscou en février 2022, alors que les efforts diplomatiques se sont accélérés depuis quelques jours pour obtenir une rencontre menant à la paix entre les deux pays ennemis. « Le régime ukrainien et ses représentants (…) montrent avec toute évidence qu'ils ne sont pas intéressés par un règlement juste et durable », a estimé Sergueï Lavrov, lors d'une conférence de presse à l'issue d'une rencontre avec son homologue indien à Moscou. Alors que Volodymyr Zelensky a conditionné son entrevue avec Vladimir Poutine à un engagement des États-Unis et des Européens à protéger l'Ukraine d'une nouvelle offensive ennemie, le président russe aurait posé lui aussi plusieurs conditions, notamment que soit réglée la question de l'autorité de son homologue ukrainien. Le Kremlin a plusieurs fois dénoncé la fin du mandat de Zelensky, infusant l'idée jusqu'à la Maison-Blanche. Donald Trump n'avait-il pas traité le président ukrainien de « dictateur » ? La présidentielle aurait dû avoir lieu en 2024 Volodymyr Zelensky a été largement élu en avril 2019 pour un mandat de cinq ans. Une nouvelle élection présidentielle aurait dû se tenir au printemps 2024, en pleine guerre. Le chef de l'État ukrainien l'a redit aux journalistes conservateurs pro-Trump conviés à lui poser des questions à la Maison-Blanche lundi : dès que les conditions d'une élection « sûre et démocratique » seront réunies, l'État ukrainien organisera cette élection. VidéoUkraine : Trump promet des garanties de sécurité... et une rencontre avec Poutine Il n'empêche : « Notre président a répété à plusieurs reprises qu'il était prêt à rencontrer, y compris M. Zelensky », a affirmé le ministre Lavrov, mais si un accord de paix doit en découler, il ne pourra être paraphé que lorsque « la question de la légitimité de la personne qui signera ces accords du côté ukrainien sera résolue ». Les dirigeants russes avancent la crainte qu'un autre président que Zelensky puisse un jour revenir sur l'éventuel accord passé entre les deux hommes.

Zelensky prêt à rencontrer Poutine, Israël resserre son étau sur la ville de Gaza, autopsie du streamer Jean Pormanove... Les 3 infos à retenir à la mi-journée
Zelensky prêt à rencontrer Poutine, Israël resserre son étau sur la ville de Gaza, autopsie du streamer Jean Pormanove... Les 3 infos à retenir à la mi-journée

Le Figaro

time18 hours ago

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Zelensky prêt à rencontrer Poutine, Israël resserre son étau sur la ville de Gaza, autopsie du streamer Jean Pormanove... Les 3 infos à retenir à la mi-journée

LE POINT DE MIDI - Retrouvez l'essentiel de l'actualité parue ce jeudi 21 août au matin sur notre site. Zelensky juge possible une rencontre avec Poutine après un accord sur les garanties de sécurité pour Kiev Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le mercredi 20 août 2025. HANDOUT / AFP Volodymyr Zelensky a assuré qu'une rencontre avec Vladimir Poutine sera possible après avoir déterminé les grandes lignes d'un accord avec les Occidentaux sur les garanties de sécurité pour l'Ukraine, mentionnant la Suisse, l'Autriche et la Turquie comme pays pouvant accueillir cette réunion. «Nous voulons parvenir à une compréhension de l'architecture des garanties de sécurité d'ici sept à dix jours. Et sur la base de cette compréhension, nous avons l'intention d'organiser une réunion trilatérale» incluant le président américain Donald Trump, a expliqué le dirigeant ukrainien. L'armée israélienne resserre son étau sur la ville de Gaza Un tank de l'armée israélienne, le 19 août 2025. Jack GUEZ / AFP L'armée israélienne resserre son étau sur la ville de Gaza, où ses troupes ont lancé de premières opérations et poursuivi leurs bombardements jeudi avec l'objectif de prendre, selon elle, ce dernier grand bastion du Hamas dans le territoire palestinien. Cinq divisions de l'armée, composées de dizaines de milliers de soldats, doivent participer à cette offensive, selon l'armée, qui va rappeler pour début septembre 60.000 réservistes supplémentaires. Mort en direct du streameur Jean Pormanove : une enquête ouverte Figure de la plateforme Kick, «Jean Pormanove» est mort dans la nuit du 17 au 18 août, à Nice (Alpes-Maritimes). Instagram Publicité L'autopsie du streamer Jean Pormanove, mort en direct lundi lors d'un live sur la plateforme Kick, devait avoir lieu ce jeudi dans la matinée, indiquait le parquet de Nice mercredi. Une enquête a été ouverte sur les causes de la mort de cet homme de 46 ans. «Plusieurs auditions de personnes présentes au moment du décès ont été faites sans qu'à ce stade elles permettent de donner une orientation quant aux causes de celui-ci», a déclaré le procureur Damien Martinelli dans un communiqué. Le chiffre du jour : 4 Il n'existe pas une espèce unique de girafe mais quatre, selon une nouvelle classification dévoilée ce jeudi par l'Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN), qui doit permettre une meilleure protection de cet animal classé comme vulnérable. Notre décryptage « Mentalement, j'étais encore à la Défense » : pourquoi les cadres ont autant de mal à décrocher en vacances? Addiction aux écrans, pression implicite, besoin de se rassurer: près d'un salarié français sur deux n'arrive pas à déconnecter durant l'été. Travail et vacances ne font pourtant pas bon ménage, estiment les experts. NOTRE ARTICLE La photo à retenir Après les terribles incendies qui ravagent encore la péninsule ibérique, l'image de cet arbre resté intact et entouré de vaches paisibles à Très Cantos (non loin de Madrid) est devenue virale. Europa Press / ABACA La vidéo du jour

Rencontre Poutine-Zelensky : le président ukrainien propose ces trois pays pour organiser les discussions
Rencontre Poutine-Zelensky : le président ukrainien propose ces trois pays pour organiser les discussions

Le HuffPost France

time20 hours ago

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Rencontre Poutine-Zelensky : le président ukrainien propose ces trois pays pour organiser les discussions

INTERNATIONAL - Les spéculations vont bon train autour des lieux susceptibles d'accueillir une potentielle rencontre Poutine-Zelensky. Le président ukrainien a indiqué mercredi 20 août lors d'une rencontre avec des journalistes qu'un échange avec son homologue russe pourrait être organisé en Suisse, en Autriche ou en Turquie. Cette dernière a déjà accueilli plusieurs pourparlers russo-ukrainiens pour tenter de mettre fin à la guerre. Ils ne s'étaient pas tenus en présence des deux chefs d'État. Volodymyr Zelensky n'est pas le seul à avoir joué les tour-opérateurs cette semaine en proposant des lieux pour une rencontre avec Vladimir Poutine. Le président russe avait évoqué la possibilité qu'elle se tienne à Moscou, tandis que Donald Trump semblait préférer Budapest, la capitale hongroise. Emmanuel Macron s'était aussi exprimé, demandant que les échanges aient lieu dans « un pays neutre », citant l'exemple de la Suisse et plus particulièrement de la ville de Genève.

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