Dernières actualités avec #PrimeVideo


Le Parisien
a day ago
- Entertainment
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Mort de l'acteur Julian McMahon : entre audace et scandale, comment la série « Nip/Tuck » a marqué son époque
« C'est la série choc de la rentrée ». C'est par cette formule que commençait, en novembre 2004, le premier article du « Parisien-Aujourd'hui en France » sur « Nip/Tuck » désormais disponible sur Prime Video . À l'époque, cette fiction américaine, dont l'un des deux acteurs principaux, Julian McMahon, est décédé d'un cancer ce 2 juillet à l'âge de 56 ans, était diffusée sur Paris Première, chaque mercredi à 21 heures. Il n'y avait pas encore de plates-formes, mais l'ère des « séries événements », celles qui rendent les téléspectateurs totalement accros, avait déjà commencé. Trois ans plus tôt, le public avait été happé par « 24 heures chrono » , bouleversé par « Six Feet Under » et scotché par « Sur écoute » (« The Wire »). Cette même année 2004 avait vu naître « Lost », « Dr House » et « Desperate Housewives ». Dans ce paysage, « Nip/Tuck » s'est distinguée par son ton : sexy, gore, trash. Et sa façon de pousser le curseur très, très loin. La série met en scène deux chirurgiens esthétiques. « Nip » signifie « inciser » et « tuck » veut dire « retendre » : combinés, ces deux verbes désignent le concept du lifting. La fiction suit donc, dans leur vie personnelle et professionnelle, Sean McNamara (incarné par l'acteur Dylan Walsh) et Christian Troy (interprété par Julian McMahon), deux quadras qui possèdent une clinique à Miami. Alors que Sean, marié et amoureux de sa femme, tente d'exercer son métier de la façon la plus morale possible, Christian, beau gosse totalement cynique, multiplie les liaisons et ne recule devant rien pour attirer des clientes vers son lucratif business. Si « Nip/Tuck » a tapé dans l'œil des téléspectateurs, c'est grâce à ses dialogues et à ses scènes très crus – liposuccions et jets de sang en gros plans -, mais aussi à ses décors design et à sa réalisation léchée. Interrogés dans nos colonnes, des fans de la première heure saluaient « l'esthétisme » de la série et l'audace des scénarios « où tout peut arriver ». Beaucoup soulignaient aussi « le sex-appeal » de Christian, alias Julian McMahon… Mais dans l'Amérique puritaine et ailleurs, « Nip/Tuck » a fait scandale. Aux États-Unis, dès 2004, des associations familiales ont fait campagne pour que la série soit censurée et que les annonceurs retirent leurs spots. Sur ce deuxième point, elles ont partiellement obtenu gain de cause : dès la deuxième saison de « Nip/Tuck », plusieurs grandes marques ont décidé de ne plus faire de pub pendant les épisodes. En France, où la série affichait une signalétique « déconseillé aux moins de 12 ans », le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) lui-même avait écrit à Paris Première. « Le réalisme et la crudité des scènes de chirurgie esthétique (…) risquent (…) de troubler durablement les plus jeunes », avait estimé l'ancêtre de l'Arcom. Le CSA avait préconisé une diffusion après 22 heures, mais son courrier était arrivé « après la bataille » : Paris Première avait déjà programmé tous les épisodes qu'elle avait achetés en prime time et prévu des rediffusions en deuxième partie de soirée… Ces polémiques n'ont pas empêché « Nip/Tuck » d'attirer des stars en « guests ». Au fil des cent épisodes de 45 minutes chacun, on peut ainsi voir défiler Alec Baldwin, Brooke Shields, Alanis Morissette, Bradley Cooper, Melanie Griffith ou même Catherine Deneuve. Dans un volet de la saison 4, la comédienne française campe Diana Lubey, une patiente qui souhaite se faire implanter des prothèses mammaires contenant les cendres de son défunt époux. Le créateur de la série, Ryan Murphy, avait expliqué à l'époque que Deneuve « coûtait 40 000 dollars de plus que les autres (acteurs) », mais qu'il voulait tellement l'avoir dans son casting qu'il avait payé « lui-même » ces 40 000 dollars. Après six saisons et un scénario qui s'achève sur une vraie fin, « Nip/Tuck » s'est arrêtée. Ryan Murphy, lui, s'est attelé à d'autres séries. Parmi elles, « Glee » , « American Horror Story » , « Feud », « Pose », « Ratched » ou encore « The Watcher » .


Le Figaro
a day ago
- Le Figaro
J'ai testé la TV TCL 65C855 en soldes : je ne pensais pas qu'un téléviseur à ce prix pouvait faire aussi bien
Je pensais que pour profiter d'un vrai spectacle à la maison, il fallait casser sa tirelire et viser les marques les plus chères. Et puis je suis tombé sur cette promo pendant les soldes : la TCL 65C855 (aussi connue sous la référence 65C89B), affichée à 799 euros au lieu de 990 euros, avec les frais de port offerts chez Son-Vidé Curieux, je l'ai commandée. Verdict ? Cette TV Mini LED 4K a complètement bouleversé ma vision du home cinéma. Une image qui en met plein les yeux, même en plein jour Dès le déballage, j'ai compris que ce modèle ne jouait pas dans la même cour que les autres TV de cette gamme de prix. On parle ici d'une diagonale de 65 pouces, avec un design en aluminium brossé, un pied central élégant et surtout une technologie QLED Pro associée à du rétroéclairage Mini LED de 6 génération. Concrètement, ça veut dire que l'image est lumineuse (jusqu'à 2 000 nits), ultra-contrastée, et d'une précision bluffante, même dans les scènes sombres. Moi qui regarde beaucoup de films le soir avec un éclairage tamisé, j'ai été impressionné par le rendu HDR, notamment sur Netflix et Prime Video. Dolby Vision IQ, HDR10+, upscaling IA : la claque visuelle Le TCL 65C855 prend tout en charge : Dolby Vision IQ, HDR10+, HLG… L'image s'ajuste automatiquement à la lumière ambiante, ce qui donne un confort visuel constant. Et même mes vieux Blu-ray ont gagné en netteté grâce au processeur AiPQ Pro. Les détails dans les textures de peau ou les arrière-plans flous sont magnifiés sans dénaturer l'image. Franchement, pour une TV sous la barre des 800 euros, c'est inespéré. Une télé aussi faite pour les gamers J'ai une PS5 et je joue surtout à des FPS nerveux. Bonne surprise : la TV est compatible 4K 144 Hz, VRR, ALLM et même AMD FreeSync Premium Pro. Le tout sur 4 ports HDMI 2.1. Résultat : fluidité parfaite, latence imperceptible, immersion totale. Et petit bonus, le mode 2K 240 Hz est pris en charge pour ceux qui branchent leur PC gamer. Un monstre de polyvalence. Un son signé Onkyo, qui envoie du lourd Je m'attendais à devoir ajouter une barre de son, mais non. Le TCL 65C855 intègre un système audio 2.1.2 canaux de 60 W, compatible Dolby Atmos et DTS Virtual-X. Le son est ample, bien spatialisé, les dialogues sont clairs et les effets sonores très présents, même sans équipement additionnel. Une interface fluide et connectée, avec tout déjà installé L'interface Google TV est une réussite. Réactive, claire, et surtout déjà remplie d'applis : Netflix, Disney+, YouTube, Apple TV+, Prime Video, Molotov… tout est là. J'ai pu me connecter en WiFi, configurer la télécommande vocale Google, et caster du contenu depuis mon téléphone via Chromecast intégré. C'est simple, tout fonctionne du premier coup. Pourquoi cette promo est une affaire À 799 euros, avec les soldes jusqu'à -50 % + frais de port offerts (voir conditions), je n'ai pas trouvé mieux. Ce téléviseur rivalise avec des modèles à plus de 1 200 euros, et propose une qualité d'image et une connectivité qui répondent à tous les usages : ciné, sport, jeux, streaming. Il est en stock, expédié sous 24 heures par Son-Vidé avec une garantie de 2 ans (extensible à 5 ans). Et franchement, je ne vois pas ce que vous attendez. Faut-il craquer pour la TCL 65C855 ? Oui. Mille fois oui. Si vous cherchez une TV haut de gamme sans vider votre compte, c'est le modèle idéal en 2025. Je ne pensais pas pouvoir accéder à une telle qualité d'image et de son à ce tarif. Depuis que je l'ai installée, je redécouvre mes films préférés, je joue avec un plaisir décuplé, et je ne regrette qu'une chose : ne pas l'avoir achetée plus tôt. DISPONIBLE ICI CHEZ SON-VIDÉ Contenu conçu et proposé par nos Experts Shopping Soldes. L'équipe Shopping du Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.


Le Parisien
a day ago
- Le Parisien
Noté 4,8 sur 5, ce vidéoprojecteur a séduit plus de 5000 personnes (et il est en promotion)
Ce vidéoprojecteur ne plaisante pas côté performances. Sous son design compact et élégant, il cache une résolution native Full HD 1080P qui vous garantit une image nette et détaillée, même sur une grande diagonale allant jusqu'à 300 pouces. Vous le branchez, vous lancez votre série préférée et vous profitez immédiatement d'un contraste impressionnant de 20 000:1 et d'une luminosité de 650 ANSI lumens. Les couleurs sont éclatantes et les noirs profonds, idéals pour un film le soir sans perdre en qualité. Sur AliExpress, l'offre du moment est vraiment tentante. La livraison est gratuite et rapide depuis la France, et AliExpress vous offre 90 jours de retour gratuit si besoin. Le vidéoprojecteur passe à 77,69 euros au lieu de 87,74 euros , avec une réduction immédiate de 11%. Profitez de remises exclusives grâces à ces codes promo valable pour les articles sélectionnés. En plus, ce vidéoprojecteur Magcubic tourne sous Android 11, parfait pour profiter de Netflix ou Prime Video sans appareil externe. Avec son Wifi 6 double bande, la connexion est rapide et stable, et le Bluetooth 5.2 permet de relier facilement une enceinte sans fil. Sa télécommande Air Mouse avec gyroscope rend la navigation ultra fluide. Ce vidéoprojecteur propose aussi une correction automatique du Keystone et une mise au point motorisée : en quelques secondes, l'image est nette et bien cadrée. Grâce au zoom, vous ajustez la taille de la projection sans déplacer l'appareil. Les utilisateurs adorent : noté 4,8 sur 5 avec plus de 800 avis, il séduit par sa qualité d'image et sa simplicité d'installation. Si vous cherchez un vidéoprojecteur performant et pratique, c'est le bon moment : l'offre AliExpress est limitée ! Cliquez ici pour tomber sur l'offre d'AliExpress sur ce vidéoprojecteur Les meilleures offres d'AliExpress :


Le Parisien
3 days ago
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- Le Parisien
« Une alliance inimaginable il y a dix ans » : pourquoi France Télévisions débarque sur Prime Video
Ce jeudi matin, sur sa page d'accueil, Prime Video invitait ses abonnés à regarder ses fictions « Nous les menteurs », « Heads of State » ou encore « Tout sauf toi »… et à visionner les programmes phares de France Télévisions ! Dans le même temps, le groupe audiovisuel public et la plate-forme d'Amazon envoyaient un communiqué de presse commun, dans lequel ils se félicitaient d'un « accord de distribution inédit »… Un an plus tôt, donc, que celui promis entre les chaînes du groupe TF1 et Netflix , prévu à l'été 2026. L'intégralité des contenus de est désormais accessible depuis Prime Video, soit environ 20 000, de la série « Astrid et Raphaëlle » aux documentaires « Nus et culottés », en passant par le talk-show « C à vous ». Cela inclut les directs des chaînes (France 2, France 3, France 4, France 5 et franceinfo), les programmes en preview et en replay ainsi que les contenus exclusifs. Tous les programmes, donc, y compris « Le Serpent », série avec Tahar Rahim diffusée sur France 2 à partir du 21 juillet et initialement commandée par… Netflix . Un carrousel sur la page d'accueil de la plate-forme promeut déjà ce partenariat. Prime Video s'engage ensuite à mettre en avant les temps forts de comme c'est déjà le cas grâce à une bannière qui zoome sur « Drag Race », « Un si grand soleil » et « Le Tour de France ». Non. L'option sans pub ne dispensera pas des coupures publicitaires de ni pendant les directs ni sur le replay. La même chose que TF1 et Netflix l'été prochain : de la visibilité, notamment chez un public jeune, pour le premier et un catalogue enrichi pour le second. « Une partie du public fait sa vie audiovisuelle uniquement sur les plates-formes de streaming. Ce n'est pas que ces spectateurs décident de ne plus regarder les chaînes de télévision, c'est qu'elles sont sorties de leur champ de vision, souligne Philippe Bailly, président du cabinet NPA Conseil, spécialisé dans la transformation numérique. Être présent sur une plate-forme permet de réintégrer leur circuit de consommation. » Cerise sur le gâteau, les contenus sur Prime Video sont mesurés par Médiamétrie et comptabilisés dans les audiences . L'intérêt est presque symétrique pour les plates-formes payantes. « Si, à la fin du mois, vous vous rendez compte que vous y êtes à peine allés, vous vous désabonnez, pointe l'expert. Il faut qu'elle vous donne des raisons de revenir, par exemple en distribuant le Tour de France ou un feuilleton quotidien. Ça augmente le temps que vous passez sur les plates-formes, qui ont intégré la publicité à leur modèle économique. C'est un élément capital auprès des annonceurs. » « Nous sommes en négociation depuis plusieurs mois pour aboutir à ce lancement aujourd'hui », assure-t-on côté Prime Video, qui garde le secret sur la durée de cet accord. « La vraie question, c'est plutôt pourquoi Netflix et TF1 ont communiqué un an avant que leur offre soit opérationnelle », tacle-t-on chez France Télévisions, qui rappelle que le groupe audiovisuel public vise une offre la plus complète possible et propose, depuis peu, les contenus d' Arte , La Chaîne parlementaire, France 24, bientôt rejointes par TV5 Monde, sur sa propre plate-forme. Rien n'a été annoncé mais c'est très possible. Interrogé sur la question dans nos colonnes la semaine dernière, David Larramendy, le patron du groupe M6 répondait : « On ne se l'interdit pas. C'est une évolution logique. Nous, diffuseurs, devons trouver nos téléspectateurs là où ils sont. Côté plates-formes, la consommation a atteint un plateau voire diminue, et ont besoin de nouveaux contenus. » « Je ne pense pas. Le sport, l'info et une partie du divertissement n'existent que dans le direct, analyse Philippe Bailly. Il ne faut pas sous-estimer la partie du temps où on n'a pas envie de se mettre à chercher un programme, dans une attitude active. La télé reste un objet de loisirs. Parfois, on a juste envie de faire P+ ou P- sur sa télécommande, de tomber sur quelque chose qui nous amuse et d'y rester. La télé apporte aussi un moment de détente très simple. » Ce n'est pas France Télévisions qui dira le contraire. Le groupe rappelle que « la télé reste le média le plus consommé chaque jour ». Pour Philippe Bailly, ces accords entre chaînes linéaires et plates-formes de streaming marquent un déplacement de frontières. « Une telle alliance était totalement inimaginable il y a dix ans. Depuis, les différents distributeurs ont appris à travailler ensemble, notamment sur la fiction. La vraie frontière, aujourd'hui, sépare ceux qui financent des contenus, chaînes de télé et plates-formes, de ceux qui ne prennent aucun risque, comme YouTube , TikTok et les réseaux sociaux. »