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Jean-Charles Valladont et Amélie Cordeau sacrés champions de France de tir à l'arc
Jean-Charles Valladont et Amélie Cordeau sacrés champions de France de tir à l'arc

L'Équipe

time2 days ago

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Jean-Charles Valladont et Amélie Cordeau sacrés champions de France de tir à l'arc

Jean-Charles Valladont et Amélie Cordeau ont été sacrés champions de France de tir à l'arc à Riom (Puy-de-Dôme) dimanche. Le vice-champion olympique (36 ans) a même réalisé un doublé en s'offrant, avec Maïa Tincu et le club de Nîmes, le titre en double mixte. Les acteurs des Jeux de Paris 2024 ont brillé ce week-end lors des Championnats de France de tir à l'arc à Riom (Puy-de-Dôme). Vice-champion olympique par équipe l'été dernier, l'expérimenté Jean-Charles Valladont (36 ans) se mesurait en finale à l'un de ses partenaires aux Invalides : Baptiste Addis (18 ans). En dominant son adversaire 7 à 1, le Franc-Comtois a décroché son quatrième titre national après ses sacres en 2018, 2022 et 2023. Un « point d'étape » qui « (lui) fait du bien et qui (lui) permet de progresser et de gagner en confiance pour les Championnats du monde dans un mois », réagissait-il après son sacre, dans des conditions météorologiques délicates. Le troisième vice-champion olympique par équipes, Thomas Chirault, n'était lui pas inscrit pour l'événement. Chez les dames, Amélie Cordeau, battue en 16es de finale aux derniers Jeux Olympiques et sélectionnée pour les Mondiaux cet été (5-15 septembre), s'est logiquement imposée, alors que sa principale rivale, Lisa Barbelin, n'était pas engagée dans cette compétition puisqu'elle dispute, comme nous l'a confirmé la Fédération française de tir à l'arc, les Jeux Mondiaux Universitaires en Allemagne. Après une excellente entame en finale - avec deux 10 d'entrée - et un duel contrôlé de bout en bout (6-0), l'archère d'Annemasse a décroché l'or. Plus tôt, en double mixte, la paire nîmoise composée de Jean-Charles Valladont et Maïa Tincu s'était imposée en trois volées : 6 à 0. Les Français dominent les USA et remportent l'étape de Coupe du monde à Madrid, une première depuis 2017

Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand, les auteurs en fuite
Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand, les auteurs en fuite

Le Parisien

time4 days ago

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Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand, les auteurs en fuite

Nouveau drame dans le Puy-de-Dôme. Un homme de 31 ans a été tué par arme blanche dans la nuit de vendredi à samedi à Clermont-Ferrand, a appris samedi l'AFP de sources concordantes. La victime a été touchée au coeur et au poumon vers minuit et est décédée à l'hôpital, et un deuxième homme a été blessé, a indiqué une source policière à l'AFP, évoquant l'hypothèse d'un différend avec trois personnes dans un contexte alcoolisé. Les auteurs sont en fuite selon cette même source. Le parquet a ouvert une enquête confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisée du Puy-de-Dôme. « La victime est née en 1993 à Mayotte et vivait à Clermont-Ferrand », a-t-il précisé à l'AFP. Selon le quotidien local la Montagne , dont les informations ont été confirmées par une seconde source policière, l'homme a été blessé au cours d'une rixe survenue place du 1er mai, où plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées. La semaine dernière, un militaire hors-service de 27 ans a été tué à coups de couteau au cours d'une rixe sur fond d'alcool à la sortie d'une discothèque à Clermont-Ferrand. Son collègue de 23 ans a également été blessé et hospitalisé sans que ses jours ne soient en danger.

Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand
Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand

Le Figaro

time4 days ago

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Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand

L'homme aurait été blessé au cours d'une rixe survenue place du 1er mai, où plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées, selon le quotidien local La Montagne. Un homme de 31 ans a été tué par arme blanche dans la nuit de vendredi à samedi à Clermont-Ferrand, a appris samedi l'AFP de sources concordantes. La victime a été touchée au cœur et au poumon vers minuit et est décédée à l'hôpital, et un deuxième homme a été blessé, a indiqué une source policière à l'AFP, évoquant l'hypothèse d'un différend avec trois personnes dans un contexte alcoolisé. Les auteurs sont en fuite selon cette même source. Le parquet a ouvert une enquête confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisée du Puy-de-Dôme. «La victime est née en 1993 à Mayotte et vivait à Clermont-Ferrand», a-t-il précisé à l'AFP. Publicité Un militaire tué Selon le quotidien local La Montagne, dont les informations ont été confirmées par une seconde source policière, l'homme a été blessé au cours d'une rixe survenue place du 1er mai, où plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées. La semaine dernière, un militaire hors-service de 27 ans a été tué à coups de couteau au cours d'une rixe sur fond d'alcool à la sortie d'une discothèque à Clermont-Ferrand. Son collègue de 23 ans a également été blessé et hospitalisé sans que ses jours ne soient en danger.

Le pisciculteur qui dénonçait des prélèvements excessifs de Volvic débouté
Le pisciculteur qui dénonçait des prélèvements excessifs de Volvic débouté

Le Parisien

time5 days ago

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Le pisciculteur qui dénonçait des prélèvements excessifs de Volvic débouté

L'affaire tombe à l'eau. La justice administrative a rejeté vendredi la requête d'un propriétaire de pisciculture qui estimait que les prélèvements d'eau accordés à Volvic par l'État lui étaient préjudiciables. Édouard de Féligonde, propriétaire d'un site classé monument historique, réclamait 32 millions d'euros à l'État, affirmant que le tarissement de ses sources était lié aux prélèvements de Danone pour son usine d'embouteillage d'eau minérale Volvic. Le tribunal administratif de Clermont-Ferrand a estimé que « les requérants n'(étaient) pas fondés à se prévaloir d'une carence fautive du préfet du Puy-de-Dôme ». Les plaignants avançaient que depuis 2017, plusieurs mois par an, les sources situées en aval des forages de Danone étaient à sec, et que les bassins privés d'eau s'effondraient, poussant à l'arrêt de l'exploitation. Or, c'est le préfet qui délivre les autorisations de prélèvements. Le tribunal administratif a estimé que l'instruction n'avait pas montré que « les informations dont disposait le préfet du Puy-de-Dôme lui auraient permis d'imputer le tarissement des sources du domaine ( des plaignants ) au caractère excessif des prélèvements autorisés dans l'aquifère de Volvic, en particulier de ceux consentis à la société des eaux de Volvic ». Les juges notent en outre que la préfecture était intervenue en décembre 2021 pour prescrire la baisse des prélèvements maximum autorisés . Par ailleurs, ils estiment que l'autorisation de prélèvements sollicitée par la Société des eaux de Volvic, parce qu'elle n'impliquait pas la réalisation de travaux, ne nécessitait pas d'étude d'impact préalable, comme réclamé par les plaignants. Dans un message à l'AFP, Édouard de Feligonde a dénoncé « un véritable déni de justice ». « L'État n'a rien fait contre le tarissement des sources et l'autre question est sur les prélèvements », souligne-t-il, assurant que le dossier « continuerait prochainement » et laissant entendre qu'il ferait appel du jugement. De son côté, la Société des Eaux de Volvic a salué la décision. « Bien que nous ne soyons qu'observateurs dans cette procédure, c'est une décision satisfaisante », a-t-elle réagi dans un communiqué. Elle souligne être « engagée de longue date dans une réduction des prélèvements d'eau qui sont soumis à des autorisations accordées par les pouvoirs publics » et rappelle avoir réduit à Volvic ses « prélèvements de 15 % entre 2017 et 2024 » et s'être engagé à le faire davantage en cas d'alerte sécheresse.

Parcours appris « par coeur », journée à l'avant et maillot à pois à la clé : Lenny Martinez avait tout planifié
Parcours appris « par coeur », journée à l'avant et maillot à pois à la clé : Lenny Martinez avait tout planifié

L'Équipe

time14-07-2025

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Parcours appris « par coeur », journée à l'avant et maillot à pois à la clé : Lenny Martinez avait tout planifié

Le nouveau porteur du maillot à pois, le Français Lenny Martinez (Bahrain Victorious), s'était glissé dans la bonne échappée mais n'a pas pu jouer la victoire d'étape. Ces gros pois rouges sur un dos si frêle, ça lui fait tout « bizarre », comme il l'a lui-même reconnu. Lenny Martinez a pris la tête du classement de la montagne ce lundi, quarante-sept ans après son grand-père, Mariano. Si le lien entre les deux hommes est parfois distendu, le fil est forcément retissé depuis cette étape dans les monts d'Auvergne. Une journée où le jeune coureur de Bahrain Victorious (22 ans) voulait absolument être devant. Acte I L'entame parfaite Dans son peignoir couleur chair, claquettes au pied, chaîne apparente autour du cou, Lenny Martinez patientait dimanche assis dans un fauteuil de camping avant de se jeter dans un bain glacé. Il souriait malicieusement au moment d'évoquer l'étape de ce 14 juillet dans le Puy-de-Dôme : « Oui, je vais essayer d'être dans l'échappée. J'ai reconnu l'étape avant le Tour de France, je la connais par coeur, le final je le connais par coeur aussi. Le jour de la fête nationale, c'est clair que ça rajoute quelque chose. Gagner un 14 juillet c'est mieux qu'un autre jour (sourire). » Il n'y a donc eu aucune surprise à voir le Cannois attaquer le premier, dès la fin du départ fictif, pour se mettre en jambes. Accompagné de son coéquipier Matej Mohoric, Martinez a tout fait pour sauter dans tous les coups en attendant que l'échappée, la bonne, se forme. Elle a finalement été constituée de 29 éléments. Et sur les cinq premières difficultés du jour, le Français est à chaque fois passé en tête, grappillant 25 points sur 25 possibles. « Je suis allé chercher quelques points, glissait Martinez. Je n'étais pas sûr de moi pour la victoire d'étape, je ne voulais pas repartir sans rien. » « L'objectif était d'être dans l'échappée pour The Bastille Day, je crois que ça s'est vu, et Lenny a fait un excellent travail pour y être et ensuite pour prendre les points du maillot à pois », appréciait à l'arrivée son directeur sportif, Roman Kreuziger, qui lui avait demandé plusieurs fois à la radio en début d'étape de ne pas griller toutes ses cartouches inutilement. Acte II La victoire s'éloigne Constamment vigilant, constamment dans les premières positions pour ne pas se faire surprendre par une attaque et pour porter les siennes à l'approche des sommets des côtes répertoriées pour le Grand Prix de la montagne, Martinez a effectué un premier recul physique au passage du col de la Croix Morand, devancé par Ben Healy et Quinn Simmons. Le Français a ensuite lâché les roues des costauds une première fois à 29,8 kilomètres de l'arrivée après une accélération sur le plat de Ben O'Connor puis définitivement à 27,9 sur un relais appuyé de Simmons. Preuve, quand même, que les cartouches laissées en début d'étape ont laissé des traces « J'ai beaucoup souffert. J'ai essayé pour la victoire d'étape mais les coureurs devant étaient trop forts pour moi. Dans la course, il y a beaucoup de hauts et de bas, parfois on se sent bien, parfois un peu moins bien, ce n'était jamais la même chose d'une bosse à l'autre, confiait-il dans la voiture qui l'emmenait à Toulouse. Mais, à la fin, ma force a baissé alors que les premiers avaient toujours la même force, je pense que ça viendra avec l'âge... » Acte III Le sursaut Lâché et à plus d'une minute de la tête de la course en six kilomètres de transition, Martinez s'est même mis à saigner du nez sous le coup de la chaleur et de la fatigue. Mais le jeune Français s'est battu sur son vélo pour ne pas finir en roue libre. Cela s'est vu sur son visage marqué par l'effort, mais il s'est refait une petite santé dans la dernière ascension et il a été récompensé d'une 8e place au Mont-Dore. Il s'était fait dépasser par Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard, avant de leur proposer un gros relais dans le dernier kilomètre et finir devant eux. « Je suis très content d'avoir pris le maillot à pois, c'est un maillot qui me faisait rêver quand j'étais petit et que je regardais le Tour de France », assurait Martinez lundi soir. Comme son grand-père en 1978, qui, lui, l'avait ramené à Paris. « On va essayer de l'emmener le plus loin possible, souriait le petit-fils au micro de France Télévisions. Je sais qu'avec Tadej (Pogacar), ça va être compliqué mais je vais faire le maximum. On verra. » « Je ne dirais pas que ça devient l'objectif numéro 1 maintenant, tempérait Kreuziger devant son car. On va d'abord voir comme il récupère, comme il se sent. On a vu aujourd'hui qu'il pouvait être prêt à gagner une étape. Je me souviens l'avoir dit depuis le début, peut-être qu'il y a des jours où on ne le verra pas, peut-être qu'il y a quelques étapes où il se montrera... » À lire aussi Martinez : «Parfois, je me dis que c'est fou, je ne sais pas comment je fais pour gagner» Vauquelin pouvait-il espérer mieux? L'entraînement sur mesure de Vingegaard pour s'adapter au parcours et à Pogacar Comment se déroule l'attaque au km 0 ?

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