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Guillaume Tabard : «Le premier ministre impuissant agace le président spectateur»
Guillaume Tabard : «Le premier ministre impuissant agace le président spectateur»

Le Figaro

time18 hours ago

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Guillaume Tabard : «Le premier ministre impuissant agace le président spectateur»

Réservé aux abonnés CONTRE-POINT - Auteur de la dissolution qui a provoqué l'instabilité ambiante, Emmanuel Macron peut difficilement imputer cette situation exclusivement à François Bayrou. Et Macron sortit de ses gonds. Et il y en eut pour tout le monde. Après la sortie de Bruno Retailleau sur les énergies renouvelables et l'accusation de « populisme » que lui a lancée en retour sa collègue Agnès Pannier-Runacher, le chef de l'État a sommé chaque ministre de « s'occuper des affaires pour lesquelles il est nommé ». Rien d'étonnant : le recadrage ministériel a toujours été une discipline présidentielle. Aussi récurrente qu'inopérante. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard Mais depuis Roquefort, jeudi soir, la flèche la plus aiguisée visait François Bayrou. « J'ai nommé un premier ministre. Un premier ministre doit diriger son gouvernement. » Sous-entendu : il ne le fait pas, et je suis obligé de le faire à sa place. Cela fait quelque temps que ceux qui fréquentent le chef de l'État témoignent de son agacement face à la méthode et à la procrastination de celui qui s'était imposé à lui en décembre. Mais c'est la première fois que le reproche est public ; un reproche qui traduit de manière…

« Il faut que tout le monde se calme » : ambiance électrique dans le gouvernement Bayrou
« Il faut que tout le monde se calme » : ambiance électrique dans le gouvernement Bayrou

Le Parisien

timea day ago

  • Politics
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« Il faut que tout le monde se calme » : ambiance électrique dans le gouvernement Bayrou

Sous la présidence de François Hollande , on appelait cela des « couacs ». Sous l'ère Bayrou , cela sonne comme une « polyphonie », expression trouvée par la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas. Et cela rime avec cacophonie ! Nouvelle illustration, ce jeudi 3 juillet : alors que Bruno Retailleau , à la fois ministre de l'Intérieur et patron des Républicains, publie une tribune dans le Figaro pour demander l'arrêt du « financement des énergies renouvelables », sa collègue en charge de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, le descend en flammes, sur France Info, en jugeant cette proposition « irresponsable, dramatique (…), du populisme le plus basique ». Sur le fond, la ministre reçoit le soutien d' Emmanuel Macron , en déplacement à Roquefort-sur-Soulzon (Aveyron) : « On a besoin de renouvelable. » Avec au passage un recadrage en bonne et due forme du chef de l'Etat appelant chaque ministre « à s'occuper des affaires pour lesquelles il est nommé ». Sur la forme, une nouvelle haie est franchie : voilà qu'une ministre qualifie publiquement un autre membre du gouvernement de populiste. « Pluôt que de s'engueuler entre nous, ce serait bien qu'on parle aux Français », alerte Aurore Bergé. D'autant plus que cette passe d'armes, par médias interposés, est tout sauf exceptionnelle.

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