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Dernières actualités avec #RÉCIT

«Nous sommes arrivés à la falaise» : François Bayrou, un été pour déjouer la censure
«Nous sommes arrivés à la falaise» : François Bayrou, un été pour déjouer la censure

Le Figaro

timea day ago

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«Nous sommes arrivés à la falaise» : François Bayrou, un été pour déjouer la censure

Réservé aux abonnés RÉCIT - Huit mois après avoir arraché sa nomination, le premier ministre, qui s'est confié au Figaro, prépare l'épreuve de vérité de l'automne. Son maintien à Matignon est lié à l'adoption du budget. L'été ne change rien au protocole. À Matignon, déserté par l'agitation, les huissiers en tenue restent fidèles à leur poste et prient les rares visiteurs de se diriger vers le premier étage. Avant un automne qui pourrait le voir contraint de quitter les lieux, François Bayrou y joue les prolongations. Seul dans son immense bureau, dos au jardin où un robot s'affaire à tondre le gazon, le chef du gouvernement refuse de s'avouer vaincu. «J'ai l'habitude de prendre des risques politiquement considérables, je joue ce va-tout, comme vous dites, depuis la première minute de mon engagement politique», corrige-t-il, à l'évocation des prochaines semaines qui seront fatidiques. Alors que le pays a la tête ailleurs, que l'Aude, où il s'est rendu mercredi, est ravagé par un incendie meurtrier, que ses ministres sont dispersés aux quatre coins du pays, lui s'emploie à sonner le tocsin par tous les moyens. Quand l'été sera passé, 44 milliards d'euros économies devront être votés. «Si la France refuse…

«C'est tout bénef'»: Édouard Philippe, la discrète stratégie des remises de décoration
«C'est tout bénef'»: Édouard Philippe, la discrète stratégie des remises de décoration

Le Figaro

time6 days ago

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«C'est tout bénef'»: Édouard Philippe, la discrète stratégie des remises de décoration

Réservé aux abonnés RÉCIT - L'ex-premier ministre profite de ses déplacements pour tenir des discours ciselés et personnels en l'honneur d'élus, devant des notables locaux. Une subtile manière d'étendre ses réseaux à l'approche des municipales et de l'élection présidentielle. Le Tout-Vannes s'est donné rendez-vous à l'hôtel de ville, sous les lustres de la salle des fêtes. Ce 14 mai, en visite dans le Morbihan, Édouard Philippe décore le maire (Horizons) David Robo des insignes de chevalier de l'ordre national du Mérite. Au micro, l'ancien premier ministre mélange récit biographique et traits d'humour, éloge de la ville et références savantes – de Gaulle et Alexandre Dumas sont cités. Il épingle ensuite le ruban bleu à la veste de l'élu, « au nom du président de la République et en vertu des pouvoirs qui nous sont conférés ». Sous les applaudissements, Édouard Philippe savoure son effet. Relais d'influence L'opération est presque devenue un rituel, dans sa campagne en vue des élections municipales de mars 2026 et de la présidentielle de 2027. Un déplacement, une remise de décoration. Les invités, triés sur le volet, sont autant de relais d'influence à l'échelon local. Quant à la presse, elle diffuse les images de l'événement. « C'est tout bénef', il y a tous les notables du…

Législative partielle, municipales 2026… À Paris, Les Républicains à l'heure du choix pour éviter la guerre des chefs entre Barnier et Dati
Législative partielle, municipales 2026… À Paris, Les Républicains à l'heure du choix pour éviter la guerre des chefs entre Barnier et Dati

Le Figaro

time27-07-2025

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Législative partielle, municipales 2026… À Paris, Les Républicains à l'heure du choix pour éviter la guerre des chefs entre Barnier et Dati

Réservé aux abonnés RÉCIT - Avant la commission d'investiture prévue ce lundi, Bruno Retailleau souhaitait réunir l'ancien chef du gouvernement et la ministre de la Culture dimanche soir. Michel Barnier assuré pour la 2e circonscription de Paris. Et Rachida Dati rassurée pour les municipales dans la capitale. Ces deux objectifs sont inscrits au menu de la commission nationale d'investiture (CNI) des Républicains, qui doit se réunir à Paris, lundi en fin d'après-midi, dans une salle du 15e arrondissement louée pour des raisons logistiques. Les 99 membres de la CNI sont invités à 17 heures pour traiter un ordre du jour au cœur duquel sera posée la candidature de Michel Barnier pour un siège de député. À la veille du rendez-vous, on estimait la participation attendue des élus à 50 %, sachant qu'aucun vote par procuration ne sera possible. Après l'invalidation, par le Conseil constitutionnel, de l'élection du député macroniste sortant Jean Laussucq, la disponibilité du siège a suscité la colère de Rachida Dati et provoqué un vif intérêt chez les concurrents. Maire LR du 7e arrondissement et candidate déclarée aux municipales, la ministre de la Culture a aussitôt saisi la CNI…

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