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« L'aiguille dans la botte de foin » : comment la généalogie génétique révolutionne les cold cases aux États-Unis
« L'aiguille dans la botte de foin » : comment la généalogie génétique révolutionne les cold cases aux États-Unis

Le Parisien

time5 hours ago

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« L'aiguille dans la botte de foin » : comment la généalogie génétique révolutionne les cold cases aux États-Unis

Pendant des décennies, il aura été seulement connu par son surnom, le « Golden State Killer » . Entre 1976 et 1986, cet homme, auteur de 13 meurtres et une cinquantaine de viols, a semé la terreur dans l'État de Californie, notamment dans les alentours de Sacramento. Le tout sans jamais se faire arrêter. Au point de devenir l'un des cold cases les plus emblématiques aux États-Unis. Mais au mois d'avril 2018, après quarante années de recherches, la procureure du district de Sacramento, Anne Marie Schubert, annonce que le « Golden State Killer » a désormais un prénom et un nom : Joseph James DeAngelo. Ancien policier, l'homme alors âgé de 72 ans vient d'être arrêté par le FBI. Il a été confondu après que son ADN, prélevé sur une scène de crime, a été comparé aux millions de profils génétiques fournis par des citoyens américains à des entreprises privées. Ces analyses ont permis de remonter jusqu'à un parent très éloigné du meurtrier.

« Help » : une mère et son fils perdus en forêt sauvés grâce à des messages manuscrits laissés à des intersections
« Help » : une mère et son fils perdus en forêt sauvés grâce à des messages manuscrits laissés à des intersections

Le Parisien

time5 days ago

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« Help » : une mère et son fils perdus en forêt sauvés grâce à des messages manuscrits laissés à des intersections

Un sang froid qui leur a permis de s'extirper de ce mauvais pas. Tami Laird, une Américaine de 49 ans, et son fils Stirling, 9 ans, se sont égarés en forêt dans une zone difficile d'accès, sans pouvoir faire demi-tour en voiture. La mère de famille a eu l'idée de laisser des notes manuscrites aux alentours, ce qui a permis aux secouristes de les retrouver environ 24 heures plus tard. Mère et fils ont quitté leur domicile de Sacramento vendredi 11 juillet pour rejoindre un camp d'été pour enfants le long de la rivière Stanislaus, rapporte San Francisco Chronicle . Le GPS les a conduits sur des routes forestières isolées jusqu'à ce qu'ils se retrouvent enlisés et contraints de rester sur place. Sans réseau, ils ne parvenaient pas à se localiser et n'ont pu prévenir les secours. Tami Laird a alors eu l'idée d'écrire des messages d'appel à l'aide qu'elle a placés à des intersections et scotchés avec du ruban adhésif. L'un d'eux a été découvert par un secouriste vers 17h40 le lendemain. En poursuivant leur route, l'équipe a trouvé un deuxième message où étaient mentionnés « leurs noms, un numéro de téléphone, et précisant leur situation », raconte le bureau du shérif du comté de Calaveras sur Facebook. Le couple mère-fils a finalement été retrouvé à un kilomètre de là, près de leur véhicule. Ce dernier a été libéré grâce à un équipement de remorquage, tandis que les deux rescapés ont été conduits jusqu'au poste de commandement où leurs proches les attendaient. En plus des mots manuscrits, la conductrice a eu l'idée de laisser les feux de détresse du véhicule allumés la nuit pour faciliter le travail des équipes de recherche. Le fils de 9 ans, lui, a utilisé un sifflet pour émettre trois coups de sifflet brefs, un signal de détresse reconnu internationalement. Avant de prendre la route, ils avaient également prévenu un proche de leur itinéraire et de leur heure d'arrivée. C'est lui qui, s'inquiétant de ne pas avoir de nouvelles, a prévenu les secours.

«En réalité je crevais de faim dans une maison vide» : loin du faste d'Hollywood, la fille de Tom Hanks raconte son enfance avec sa mère bipolaire
«En réalité je crevais de faim dans une maison vide» : loin du faste d'Hollywood, la fille de Tom Hanks raconte son enfance avec sa mère bipolaire

Le Figaro

time12-07-2025

  • Entertainment
  • Le Figaro

«En réalité je crevais de faim dans une maison vide» : loin du faste d'Hollywood, la fille de Tom Hanks raconte son enfance avec sa mère bipolaire

Dans les colonnes de Paris Match, Elizabeth Ann Hanks, la fille du célèbre acteur, a accepté de raconter une nouvelle fois son enfance avec une mère atteinte de troubles psychiatriques. Son histoire de famille lui a inspiré son premier livre. En avril dernier, Elizabeth Ann, la fille de Tom Hanks, dévoilait son premier ouvrage, The 10. A Memoir of Family and The Open Road . Dans ce dernier, elle raconte l'histoire de sa famille et part sur les traces de son grand-père maternel qui, selon les dires de sa mère dans son journal intime, aurait commis des actes affreux, dont le meurtre et le viol d'une jeune fille prénommée Natalie, ainsi que du cannibalisme. À travers ces pages, elle évoque aussi son enfance, pleine de violence, à Sacramento avec sa mère, Susan Dillingham, alias Samantha Lewes, actrice déchue, qui souffrait de lourds troubles psychiatriques, non diagnostiqués, s'apparentant à de la bipolarité. Une période loin du faste d'Hollywood dans lequel vivait son père, marié à Susan en 1978 mais divorcé depuis et qui n'a pas obtenu la garde des enfants au moment de la séparation. «Avec le nom que je porte, on m'imagine forcément dans un environnement privilégié. En réalité je crevais de faim dans une maison vide. Et souvent ma mère m'enfermait dans un placard», confie Elizabeth Ann à Paris Match . À lire aussi Robin Wright et Tom Hanks réunis à nouveau au cinéma dans Here Publicité «Parfois elle cassait tout» Loin du grand rêve américain, Elizabeth Ann décrit une enfance difficile pour elle et son frère, Colin. «Elle entendait la voix de Dieu. Et parfois elle cassait tout. Alors je me cachais et j'attendais», raconte la fille de Tom Hanks à propos de sa mère, ajoutant que les crises pouvaient se déclencher du jour au lendemain. «Elle pouvait être drôle, brillante. Elle écrivait de la poésie. Elle peignait. Et puis soudain, elle ne sortait plus de sa chambre pendant une semaine. Elle hurlait, pleurait, buvait. Ce n'était pas de la cruauté, c'était du chaos. Et j'ai compris bien trop tard qu'elle n'allait pas bien.» Après une énième crise pendant laquelle Susan s'en prend physiquement à sa fille, Tom Hanks décide d'entamer une procédure judiciaire pour obtenir la garde de ses enfants. Elizabeth Ann et Colin partent habiter chez leur père et se retrouvent alors dans un monde qu'ils ne connaissent pas. Mais c'était sans compter sur l'actrice et productrice Rita Wilson, mariée à l'acteur de Forest Gump depuis 1988, qui les accueille avec bienveillance. «Elle m'a recueillie avec douceur, m'a appris ce que c'était qu'une maison calme. Elle n'a jamais essayé de remplacer ma mère mais elle a tout réparé», ajoute Elizabeth Ann auprès de l'hebdomadaire. Après cet épisode difficile, Susan et sa fille réussissent finalement à faire la paix, en apprenant à communiquer à nouveau. Mais les réjouissances seront de courte durée puisque six ans plus tard, en 2002, l'ex-épouse de Tom Hanks décède d'un cancer des os.

« Amener de la variété dans le jeu offensif »  : Maxime Raynaud, après ses débuts en Summer League avec les Sacramento Kings
« Amener de la variété dans le jeu offensif »  : Maxime Raynaud, après ses débuts en Summer League avec les Sacramento Kings

L'Équipe

time11-07-2025

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« Amener de la variété dans le jeu offensif » : Maxime Raynaud, après ses débuts en Summer League avec les Sacramento Kings

Excellent dans la nuit de jeudi à vendredi pour son premier match avec Sacramento à la Summer League (16 points, 5 rebonds, victoire 84-81 face à Orlando), l'intérieur français Maxime Raynaud (22 ans) revient sur ses débuts prometteurs sous le maillot des Kings et fixe ses objectifs pour sa première saison en NBA. « Vous auriez difficilement pu rêver mieux pour vos débuts en Summer League avec les Kings, non ?Oui, c'était une belle victoire collective et une bonne performance personnelle. On a bien défendu, ce qui correspond à l'identité qu'on essaie de construire. En plus, on sortait d'un camp d'entraînement très court, à peine trois ou quatre jours, donc on ne se connaît pas encore bien avec les gars. Mais ça faisait du bien de rejouer un vrai match, avec quatre quart-temps, de ressentir le rythme de la compétition. Entre le camp d'entraînement à Sacramento et la Summer League, ressentez-vous déjà un vrai écart de niveau par rapport à ce que vous avez connu à l'université de Stanford ?Oui, bien sûr. Mais je vais me préparer pour ça tout l'été. On est sorti de tout ce processus qui conduit à la draft, et ensuite il faut s'adapter très vite, monter en niveau rapidement pour espérer jouer. Je suis content de mes débuts à Las Vegas, même si je pense que je peux faire plus. Idem pour l'équipe. Il faut toujours chercher à s'améliorer. Vous avez été choisi au second tour de la draft (42e position) par Sacramento, mais avez tout de même signé un contrat de trois ans, dont deux années garanties. Était-ce une surprise ?Non, pas du tout. On s'y attendait. La réalité, en étant au second tour de la draft, c'est qu'on se retrouvait dans une position où on pouvait dire non à beaucoup d'équipes. Et donc privilégier un petit contrat garanti dans une équipe intéressante, avec des bons vétérans (il doit percevoir 5,95 millions de dollars sur trois ans, dont au moins 3,4 garantis, ndlr). J'ai atterri à Sacramento et j'en suis très content. Ça me permet en plus de rester en Californie, donc c'est très cool (l'université de Stanford est située dans la Baie de San Francisco). Comment imaginez-vous votre rôle chez les Kings la saison prochaine ? Vous semblez avoir une vraie carte à jouer derrière l'intérieur titulaire Domantas Sabonis.C'est vraiment trop tôt pour le dire. Je suis avec l'effectif de la Summer League pour l'instant. Je n'ai encore vu aucun des gars de l'équipe première. Et même si j'ai pu les regarder à la TV, jouer avec eux est autre chose. On verra lors de la présaison en septembre ou octobre. Que pensez-vous pouvoir apporter à cette équipe ?À l'image de ce que j'ai proposé dans ce premier match de Summer League, je peux initier la possession en attaque, poser des écrans et rouler vers le panier. Je peux également jouer à l'extérieur pour étirer la défense, être capable de shooter de loin... Je pense que je suis capable d'amener de la variété dans le jeu offensif. Après, je vais surtout devoir être capable de me montrer en défense : être présent en sortie d'écran, m'imposer physiquement et prendre des rebonds. »

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