Dernières actualités avec #Scream


Le Figaro
7 hours ago
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Ozzy Osbourne, légende du heavy metal et chanteur de Black Sabbath, est mort à l'âge de 76 ans
Le chanteur de Black Sabbath est décédé «entouré d'amour», ont déclaré ses proches dans un communiqué. «C'est avec une tristesse que les mots ne peuvent exprimer que nous devons annoncer que notre bien-aimé Ozzy Osbourne nous a quittés ce matin.» La légende du heavy metal Ozzy Osbourne est morte à l'âge de 76 ans, ont annoncé plusieurs médias britanniques ce mardi 22 juillet, dont The Sun et The Mirror. Il est décédé «entouré d'amour», ont déclaré ses proches dans un communiqué. «C'est avec une tristesse que les mots ne peuvent exprimer que nous devons annoncer que notre bien-aimé Ozzy Osbourne nous a quittés ce matin.» Le septuagénaire était atteint de la maladie de Parkinson. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Chanteur au sein du groupe Black Sabbath, il se distingue durant sa carrière solo, avec des albums comme Ozzmosis, Scream ou Black Rain. Publicité Plus d'infos à venir...


Le HuffPost France
7 days ago
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« Souviens-toi l'été dernier » nous a surpris, et on ne s'y attendait pas du tout
CINÉMA - Souvenez-vous l'été 1997. Après un accident de la route meurtrier, une bande d'ados est poursuivie par un tueur sanguinaire en ciré armé d'un crochet. On utilise les mêmes ingrédients et on recommence, presque. Souviens-toi l'été dernier sort en salle ce mercredi. Le long-métrage de Jennifer Kaytin Robinson reprend les codes du slasher culte avec Sarah Michelle Gellar, tout en le modernisant. Et oui, il nous a étonnés. Dans la longue liste des films d'horreur slasher qui sont sortis ces dernières décennies, certains sont entrés dans l'histoire du cinéma en donnant lieu à des sagas : Scream, Halloween, Thanksgiving, ou encore Souviens-toi l'été dernier. Ces films sont, pour toute une génération, le symbole des premiers jump scare dans les salles de cinéma et des premiers frissons. Lorsqu'on les revoit quelque 25 ans après, ils gardent la douce saveur de la nostalgie, malgré des lacunes évidentes de scénario, et d'acting, soyons honnêtes. C'est donc avec une excitation clairement teintée d'appréhension que nous sommes allés voir ce remake de Souviens-toi l'été dernier. Le film suit le destin d'une bande de cinq amis qui décide de faire une virée en voiture le soir du 4 juillet, et tuent un inconnu par accident. Bon gré mal gré, ils se mettent d'accord pour ne rien dire à la police. Un an plus tard lors de leurs retrouvailles dans la petite ville de Southport, un mystérieux tueur les prend en chasse. Souviens-toi du premier film Voilà pour le décor qui n'a vraiment rien d'original ni de dépaysant. Les personnages non plus d'ailleurs : on retrouve le sportif bodybuildé (Tyriq Withers), la bimbo égocentrique (Madelyn Cline), les ex encore amoureux (Chase Sui Wonders et Jonah Hauer-King), la fille paumée (Sarah Pidgeon), le parent protecteur etc. Mais heureusement, la réalisatrice de ce Souviens-toi l'été dernier version 2025 a pimenté cette recette franchement facile (pour ne pas dire fade), en agrémentant tout d'abord çà et là le récit, d'une bonne grosse dose de fan service bien sentie. Il y a évidemment des flash-back, coupures de journaux, tombes dans le cimetière et évidemment le retour de personnages et acteurs de la saga d'origine avec Freddie Prinze Jr (Ray) et Jennifer Love Hewitt (Julie). Il y a aussi certains éléments de décor cultes du premier film, comme le char de la reine de la pêche ou le grenier bien glauque avec son terrifiant monte-charge. Sans oublier le costume du tueur et son crochet pointu. Et ce n'est pas tout, mais on ne vous en dit pas plus. Un slasher modernisé Le scénario est par ailleurs adapté à la sauce 2025, avec de multiples clins d'œil à la génération des protagonistes du film. Une génération ultra-connectée et où les filles n'ont plus peur de dire ce qu'elles pensent, ni besoin des biceps d'un petit copain pour envoyer valser un tueur en série. Enfin, là où le film nous a le plus surpris, c'est peut-être sur l'aspect slasher. Malgré plusieurs décennies de films de ce genre avalées, on a plusieurs fois, vraiment sursauté. En dépit de grosses ficelles très classiques du genre, de type « Et si j'allais voir seule ce qui se passe à l'étage, j'ai entendu un bruit », le suspense est évident, mais maîtrisé. Le film n'est, de plus, pas dénué d'une certaine forme de violence et de gore dont les premiers, années 90 obligent, étaient exempts. Bref, Souviens-toi l'été dernier est un guilty pleasure savoureux qu'on a regardé sans s'ennuyer. Et même on l'avoue, avec un sourire en coin sadique en se demandant qui serait le prochain sur la liste.


Le Parisien
15-07-2025
- Entertainment
- Le Parisien
« Souviens-toi… L'été dernier » : 28 ans après, une suite moderne aussi inutile que divertissante
Ceux qui étaient ados en 1997 doivent certainement s'en… Souvenir. Cette année-là, l'un des « slashers » (genre de film d'horreur mettant en scène un tueur psychopathe) qui tentaient de rebondir sur le succès de « Scream » avait marqué la rétine : « Souviens-toi… L'été dernier ». Le long-métrage contait comment, à Southport, petit port de la côte est, quatre jeunes renversaient un inconnu par accident, un soir de fête nationale américaine, et dissimulaient son corps pour ne pas voir leur avenir compromis. Un an plus tard, un mystérieux pêcheur masqué, apparemment au courant de leur forfait, se mettait en tête de les éliminer l'un après l'autre à coups de harpon ou de crochet marin. Porté à l'époque par la fraîcheur de la comédienne Jennifer Love Hewitt, ainsi que par la présence de Ryan Philippe et de Sarah Michelle Gellar , alors reine du petit écran dans son rôle-titre de la série « Buffy contre les vampires », le film avait cartonné à l'international et connu un beau succès en France - 1, 2 millions d'entrées. Au point de susciter deux suites, films non plus d'épouvante mais bien épouvantables. Et voilà que, 28 ans après, sort ce mercredi un long-métrage intitulé… « Souviens-toi… L'été dernier », qui figure parmi les blockbusters les plus attendus de cette saison estivale . Cette nouvelle production, une suite en forme de « reboot » qui se déroule de nos jours, s'avère très facile à résumer : c'est exactement la même histoire que le film de 1997, et elle se déroule toujours à Southport. Cette fois, ils sont cinq jeunes à être traqués par le pêcheur vengeur psychopathe, un an après avoir eux aussi provoqué accidentellement un décès. Seul changement notable : ils vont faire appel à Julie, rescapée de la tuerie de 1997, pour leur venir en aide, ce qui permet de revoir Jennifer Love Hewitt dans la saga. On ne va pas s'épuiser à souligner l'inutilité d'un tel projet, tant il est évident qu'à refaire la même histoire sans l'effet de surprise originel, on s'expose à la comparaison et à aboutir à un film moins réussi, ce qui est le cas. Pourtant, quelques spécificités de cette nouvelle mouture font de ce « Souviens-toi… » bis un spectacle pas désagréable à regarder. À commencer par le fait qu'à plusieurs reprises, la réalisatrice se permet de ricaner du concept à travers d'épatants clins d'œil ou en forçant volontairement, voire audacieusement, la dose sur l'imbécillité de ces jeunes nantis soudains bousculés par un tueur fou, et sur l'ineptie de certains dialogues. « Fuck le 4 juillet ! » lance ainsi l'une des héroïnes, se moquant de la fête nationale au risque de faire haïr le film par tous les conservateurs du pays. Il manque « la » grande scène kitschissime du film d'origine, qui mettait en scène une reine de beauté locale façon Miss Pêche à la crevette dans un char en forme de coquille Saint-Jacques. Et la comédienne principale, Chase Sui Wonders, excellente dans la série « City On Fire » , moins ici, ne peut rivaliser avec le sex-appeal de Jennifer Love Hewitt jeune. Mais cette nouvelle version compense par des concessions bien senties à la modernité. Notamment ce passage où Chase Sui Wonders nous gratifie d'une scène lesbienne dans les toilettes d'un aéroport. Et puis, entre deux harponnages sanglants du pêcheur fou, quelques signes ont tendance à rassurer ceux qui se souviennent de l'été 1997, comme le fait que Jennifer Love Hewitt joue toujours aussi mal, au diapason de ses jeunes partenaires actuels, ce qui était aussi le cas de ceux de l'époque. Un bémol : on peut saluer le jeu débridé et sans complexe de Madelyn Cline - alias Danica, l'autre tête d'affiche du long-métrage. Forçant outrageusement sur le côté bling-bling et innocent - jusqu'à la crétinerie - de son personnage, la comédienne, remarquée pour son rôle principal dans la série « Outer Banks » , nous fait la totale dans sa prestation fortement teintée de naïveté idiote. De façon si drôle qu'on n'a d'yeux que pour elle. Enfin, les nostalgiques de l'opus fondateur vont être aux anges : outre le retour des deux comédiens rescapés, Freddie Prinze Jr. et Jennifer Love Hewitt, le film nous offre sur un plateau de fruits de mer une séquence plus qu'inattendue avec Sarah Michelle Gellar , qu'on se gardera bien de spoiler. Au final, ce « Souviens-toi… » version 2025 permet de passer un moment distrayant, le sourire narquois aux lèvres. Et avec une supplique en tête : s'il vous plaît, arrêtez-vous là, ne nous infligez pas de nouvelles suites, on sait ce que les précédentes ont donné…