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Le Parisien
8 hours ago
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« Je vous attends nombreux » : quand Victor Wembanyama organise un tournoi de basket… et d'échecs au Chesnay
« J'ai une grosse annonce… » Sourire aux lèvres, Victor Wembanyama a posté une petite vidéo à destination de ses 4,7 millions de followers sur Instagram ce mardi soir. En particulier ceux qui seront présents en région parisienne le week-end prochain. La star tricolore des Spurs de San Antonio organise en effet la première édition du tournoi Hoop Gambit au gymnase Pierre Curvat de sa ville fétiche du Chesnay. « Ça se passe le dimanche 20 juillet et il y aura trois disciplines, explique le géant des parquets. Du basket 1 contre 1, du 3 contre 3… et un tournoi d'échecs. » Wemby adore le mélange entre le travail du corps et celui de l'esprit, matérialisé par le logo de sa compétition organisée en collaboration avec les fédérations nationales de basket et d'échecs. Celui-ci représente en effet un cercle agrémenté de rayons de soleil au centre duquel se trouve une pièce de roi aux échecs… Durant la saison NBA, le Francilien a pris l'habitude de surprendre ses fans en allant disputer des parties d'échecs contre des anonymes, comme lorsqu' il s'était retrouvé à l'angle sud-ouest de Washington Square Park dans New York entre Noël et le jour de l'An pour affronter quelques quidams au lendemain d'une victoire des Spurs face aux Brooklyn Nets. En juin dernier, de retour de sa retraite de moine Shaolin en Chine, Wembanyama a également défié cent inconnus lors d'un événement, toujours à Big Apple. Il est même l'instigateur d'un tournoi qui aura lieu à Las Vegas… entre basketteurs professionnels. D'ici-là, le Français, qui vient d'être autorisé à reprendre l'entraînement après sa thrombose veineuse à l'épaule droite diagnostiquée en février, va profiter de sa présence sur ses terres. Ses supporters aussi. « Je vous attends nombreux », lance-t-il en incitant les amateurs à s'inscrire à l'une des épreuves sur le lien dans sa bio .
L'Équipe
13 hours ago
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Victor Wembanyama fait « officiellement partie de la 34e génération des moines guerriers » du temple Shaolin
À l'issue de leur retraite spirituelle effectuée fin juin dans un temple Shaolin en Chine, Victor Wembanyama et son préparateur physique Guillaume Alquier sont officiellement « devenus des moines », comme l'a confié l'intérieur français dans un entretien pour « L'Équipe ». Éloigné des terrains depuis février à cause d'une thrombose veineuse à l'épaule droite, Victor Wembanyama (21 ans) a passé plusieurs semaines à voyager à travers le monde, à la fois pour « profiter de la vie » mais aussi travailler sur son corps, à l'image de son initiation au kung-fu et à la méditation dans un temple Shaolin à Zhengzhou, en Chine. Dans un long entretien pour L'Équipe, l'intérieur français est revenu sur cette expérience fondatrice. « J'y suis allé avec Guillaume (Alquier, son préparateur physique français chez les Spurs). On a été initiés sur place à la vie de moine guerrier, qui allie le bouddhisme et la pratique intensive du kung-fu, a détaillé le joueur des Spurs. C'était très dur. On découvrait des mouvements qu'on n'avait jamais faits dans nos vies. C'était plus de 1 000 coups de pied à faire par jour, des sauts, des exercices d'équilibre, des étirements... On utilisait des muscles qu'on sollicitait rarement et qui étaient rapidement surchargés. » « J'ai eu certaines des plus grosses courbatures de ma vie (rires). C'était même trop à un moment donné. Il a fallu ralentir. Heureusement, mon shifu (terme chinois qui signifie « maître » ou « enseignant ») était compréhensif. On a quand même pu vivre l'expérience jusqu'au bout, et on est devenus des moines à la fin. On fait officiellement partie de la 34e génération des moines guerriers du temple. »
L'Équipe
17 hours ago
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Quel visage pour les San Antonio Spurs autour de Victor Wembanyama la saison prochaine en NBA ?
Le retour en forme de l'intérieur français Victor Wembanyama (21 ans), couplé à l'arrivée de quatre nouveaux joueurs chez les Spurs, font renaître l'espoir d'une qualification pour les play-offs la saison prochaine. Mais la concurrence sera rude dans la Conférence Ouest. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Tel était le sentiment général à San Antonio depuis le 20 février et la blessure soudaine de Victor Wembanyama, victime d'une thrombose veineuse à une épaule seulement quatre jours après avoir fait ses débuts lors du All-Star Game, à San Francisco. Orphelins du talent de leur jeune intérieur français (24,3 points, 11 rebonds et 3,8 contres en moyenne sur 46 matches), les Spurs avaient fini l'exercice 2024-2025 en eau de boudin, cumulant 19 défaites lors des 30 derniers matches pour finir à la 13e place de la Conférence Ouest, loin de leur objectif initial des play-offs (34 victoires pour 48 défaites au total). Depuis, l'international tricolore a travaillé d'arrache-pied pour retrouver la forme, jusqu'à finir par annoncer la bonne nouvelle lors d'une interview donnée à L'Équipe, vendredi, à Las Vegas : « Ça y est, je suis officiellement autorisé à reprendre (le basket). On peut dire que cette thrombose est officiellement derrière moi », a-t-il indiqué. En voyage dans le Nevada pour un camp d'entraînement en compagnie de la majorité de ses coéquipiers, le géant de 2,24 m promet de revenir encore plus fort pour sa troisième saison en NBA qui débutera à la mi-octobre. « J'espère qu'on se qualifiera en play-offs. Et ça sans avoir besoin d'attendre la dernière journée », a-t-il ajouté. La priorité des Spurs : « Renforcer notre secteur intérieur » Au-delà de se préoccuper de la santé de Wembanyama, les Spurs ont réalisé plusieurs recrutements intéressants ces dernières semaines. Lors de la draft NBA, ils ont sélectionné le meneur Dylan Harper avec le 2e choix (19 ans) et l'ailier Carter Bryant avec le 11e (19). Le premier promet d'amener du rythme dans l'attaque des Spurs, en remplacement du vétéran Chris Paul (40 ans), parti après seulement une saison à San Antonio. Le deuxième a déjà démontré lors de la Summer League jouée à Las Vegas qu'il était un défenseur habile et agressif. Les Spurs ont ensuite récupéré deux joueurs d'expérience au début du mois de juillet, l'intérieur américain Luke Kornet (29 ans, ex-Boston) et l'ailier-fort canadien Kelly Olynyk (34 ans, ex-New Orleans). « Quand Victor (Wembanyama) n'était pas sur le terrain la saison dernière, nous avions des difficultés en défense. Ajouter Kornet et Olynyk, en plus des joueurs qu'on a gardés, permet de renforcer notre secteur intérieur », justifie Brian Wright, le manager général des Spurs. Il a raison puisque l'équipe encaissait seulement 115,4 points par match quand l'intérieur français était sur le parquet la saison passée, contre 121,4 sans lui. « Protéger le cercle, prendre les rebonds défensifs... Cela permettra de nourrir nos transitions offensives », ajoute Wright,mettant en avant la rapidité des joueurs extérieurs des Spurs, le meneur De'Aaron Fox en tête (28 ans), arrivé en provenance de Sacramento en février. La principale faiblesse des Spurs demeure son manque d'adresse au tir à trois points. La saison passée, l'équipe texane a converti seulement 35,7 % de ses tentatives derrière l'arc, soit la 19e moyenne de la Ligue. Et les deux meilleurs joueurs dans l'exercice, Chris Paul (37,7 %) et Sandro Mamukelashvili (37,3 %) ont tous les deux quitté le navire à l'intersaison. La concurrence s'est (encore) renforcée à l'Ouest La franchise désormais entraînée par Mitch Johnson, remplaçant de Gregg Popovich sur le banc, n'a peut-être pas dit son dernier mot sur le marché des transferts. Elle a tout intérêt à encore se renforcer d'ici le mois d'octobre, tant la concurrence sera rude dans la Conférence Ouest. Si le niveau est toujours relevé dans cette moitié du pays, les voisins texans, Houston et Dallas, apparaissent pour l'instant comme les grands gagnants de l'intersaison. Les Rockets sont allés chercher Kevin Durant (36 ans) à Phoenix le mois dernier, tandis que les Mavericks ont eu la chance de pouvoir sélectionner Cooper Flagg, jeune ailier de 18 ans promis à un avenir radieux, en première position à la draft. En l'état, les ambitions des Spurs reposent surtout sur le retour en forme de « Wemby », qui a renoncé à disputer l'Euro (27 août-14 septembre) avec l'équipe de France, mais suivra un programme chargé jusqu'au mois d'octobre pour revenir en forme avant la reprise de la saison NBA, le 21 octobre. À lire aussi Batum : «J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout» Pourquoi Yabusele a choisi les Knicks : «Ils me ressemblent : des bagarreurs» Wembanyama : «On a besoin d'une variété de choses pour pouvoir grandir» Diawakana, une ancienne meneuse pionnière du coaching
L'Équipe
20 hours ago
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« Même s'il y avait une finale NBA à jouer demain... » : Victor Wembanyama justifie son forfait pour l'Euro avec l'équipe de France
Alors qu'il a renoncé à disputer l'Euro cet été avec les Bleus, après avoir été victime d'une thrombose veineuse à une épaule en février, Victor Wembanyama explique à « L'Équipe » les raisons qui l'ont poussé à rester discret sur sa convalescence avant de déclarer forfait. Victime d'une thrombose veineuse à une épaule en février, Victor Wembanyama explique dans un entretien à L'Équipe avoir eu « peur de ne plus pouvoir jouer au basket ». Aujourd'hui remis et autorisé à reprendre l'entraînement avec les Spurs, l'intérieur français de 21 ans a néanmoins déclaré forfait pour l'Euro, programmé du 27 août au 14 septembre (en Lettonie, à Chypre, en Finlande et en Pologne). Le médaillé d'argent des derniers JO à Paris assume ce choix et sa discrétion sur l'avancement de sa convalescence ces derniers mois. « Je pense qu'il y aurait eu du bon et du mauvais à donner plus d'informations, assure-t-il. Mais les gens avec qui je communique régulièrement, au sein des Spurs et de l'équipe de France, comprennent totalement la situation. Je n'ai pas joué au basket depuis longtemps. Et ça ne revient pas comme ça. Même s'il y avait une finale NBA à jouer demain, je ne pense pas que je serais en état de la faire. » Malgré les nombreux forfaits d'envergure (Gobert, Fournier, Lessort...) qui compliquent la tâche du sélectionneur Frédéric Fauthoux, Wembanyama reste confiant pour l'équipe de France, qui affrontera la Belgique, la Slovénie, Israël, la Pologne et l'Islande au premier tour : « Je reste convaincu qu'on peut gagner le tournoi, même sans moi, Evan (Fournier) et Rudy (Gobert). Je n'ai aucun doute sur le fait que ce soit leur but à tous, au sein de l'équipe. Sans aucune hésitation. »
Le HuffPost France
20 hours ago
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Victor Wembanyama a reçu la bonne nouvelle qu'il attendait depuis de longs mois
NBA - « Ouf ». Écarté des terrains depuis février à cause d'une thrombose veineuse à l'épaule, Victor Wembanyama a reçu le feu vert des médecins des San Antonio Spurs pour reprendre le basket, déclare-t-il dans une interview au journal L'Équipe lundi 14 juillet. « Je suis officiellement autorisé à reprendre (l'entraînement collectif). J'ai eu la validation du staff médical des Spurs. Ouf, je vais enfin pouvoir rejouer un peu au basket ! Ma blessure aura été une aventure, évidemment, mais le plus dur est passé. Je vais beaucoup mieux aujourd'hui, physiquement et mentalement », confie le Français. Lire aussi Le vice-champion olympique, âgé de 21 ans, avait mis un terme à sa saison en NBA mi-février en raison d'une thrombose veineuse à l'épaule droite. « La première pensée qui vient, c'est : 'j'ai été trahi par mon corps. Il m'a laissé tombé', se rappelle-t-il. Mais ce n'est pas du tout la bonne vision à avoir. Ce serait oublier tout ce que mon corps a fait pour moi dans le passé ». Le joueur de 2,24 mètres se dit « dans les temps de passage » concernant son programme de rétablissement. « On peut dire aujourd'hui que cette thrombose est officiellement derrière moi. Normalement, ça ne se reproduira pas », assure-t-il, tout en avouant avoir eu peur « de ne plus pouvoir jouer au basket ». Retraite spirituelle en Chine Victor Wembanyama ajoute qu'il devra « continuer un travail spécifique pour (son épaule) et surtout reprendre tout ce qui concerne (ses) habitudes de basket ». « Ça fait cinq mois que je n'ai pas fait d'opposition à 5 contre 5. Si je devais avoir un match demain, ce serait risqué », analyse le joueur français, qui ne participera pas à l'Euro avec les Bleus (27 août-14 septembre). « J'aurais beaucoup aimé que ma rééducation se passe plus vite. Mais sans certitudes, je ne pouvais pas participer à l'Euro », explique-t-il. Dans son interview pour L'Équipe, le joueur revient également sur l'usage qu'il a fait de ce temps de convalescence, évoquant notamment sa retraite spirituelle dans un temple Shaolin en Chine, qui avait été relevé par la presse il y a quelques semaines. « Ça m'a permis encore plus de comprendre qu'on n'a pas toute la vie pour faire certaines choses. Sans trop rentrer dans les détails, c'est un peu cette idée qu'il faut se libérer des chaînes qu'on s'attache soi-même », confit-il.
