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L'Équipe

Des athlètes de l'équipe de France de voile olympique en immersion au sein du Team Banque Populaire

Des athlètes de l'équipe de France de voile olympique ont participé en début de semaine à Lorient à une rencontre avec le Team Banque Populaire et navigué à bord de l'Ultim d'Armel Le Cléac'h. En stage à Lorient, où les conditions de navigation sont proches de celles du site olympique des Jeux de Los Angeles 2028, des athlètes de l'équipe de France de voile ont passé deux jours en immersion, lundi et mardi, au sein du Team Banque Populaire dans le cadre d'un événement baptisé les Journées de la performance. Ce n'est pas la première fois que l'écurie d'Armel Le Cléac'h, dont le partenaire est l'un des sponsors majeurs de la Fédération française de voile, collabore avec l'équipe de France. Le bureau d'études du team avait déjà travaillé à optimiser les Nacra 17 de l'équipe tricolore (catamaran olympique) lors de la dernière olympiade. Au programme de cette rencontre, des échanges, de la transversalité, des ateliers thématiques sur la performance, le simulateur, les appendices, le composite... et une sortie à bord du Maxi Banque-Populaire (32 m), que le duo Armel Le Cléac'h-Sébastien Josse mènera lors de la prochaine Transat Café L'Or (26 octobre). « Ce que nous avons en commun, c'est la recherche constante de la performance » Armel Le Cléac'h « Nous sommes très contents d'avoir accueilli l'équipe de France, témoigne Le Cléac'h. Ce que nous avons en commun, c'est la recherche constante de la performance, le fait de tout faire collectivement pour se tirer vers le haut et donner le meilleur. On partage le même terrain de jeu et le même langage. » « L'équipe nous a ouvert grand les portes, commente Aloïse Retornaz, championne d'Europe et médaillée de bronze aux JO de Tokyo en 470 (désormais en Nacra 17). C'est hyper enrichissant de voir toutes les compétences présentes au sein du team et ça nous permet aussi de voir tous les gains que l'on peut encore réaliser sur nos petits bateaux ». Pour Jérémy Mion, champion du monde et d'Europe de 470 (passé en 49er), « nous avons pu découvrir plein de domaines qui sont très intéressants pour nous, plein de détails qui peuvent nous aider à progresser. En échangeant, il y a plein de questions qui émergent. C'est vraiment passionnant. »