Dernières actualités avec #Thierry Ardisson


Le Figaro
6 days ago
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«Le noir, c'est mon packaging» : quelles sont les origines du surnom mythique de Thierry Ardisson ?
Tout de noir vêtu, un ton antipathique et des questions choc. L'animateur s'est forgé, au fil des années, un personnage. «Tout le monde en parle», «Double jeu», ou encore «Salut les terriens»... Au fil des décennies, Thierry Ardisson s'est forgé dans toutes ses émissions un personnage marquant : celui de «l'homme en noir». Une figure qu'il fait naître dans «Scoop à la une», sur TF1. Pourtant, Ardisson n'était pas destiné à passer devant la caméra. Initialement concepteur rédacteur en publicité puis dans la presse écrite, il tape dans l'œil de la réalisatrice Marie-France Brière en 1985, conquise par son style choc et sans filtre dans la presse. Ardisson fait ses débuts sur le petit écran avec la série d'interview adaptée de «Descente de Police» pour TF1. Le principe ? Des entretiens mis en scène comme un interrogatoire brutal où l'animateur joue alors un rôle d'enquêteur. Mais le programme, jugé trop brutal, est rapidement suspendu. À lire aussi LES personnalités réunies pour les obsèques de Thierry Ardisson Publicité Un nouveau personnage de télévision Thierry Ardisson reste à l'antenne le dimanche avec «Scoop à la une» entre 1986 et 1987. Seulement, la marche semble trop haute pour le jeune présentateur qui doit faire face aux caméras et à un public de 300 personnes en studio. «Il transpirait tellement qu'on se baladait avec une cuvette, une éponge et une serviette de boxeur. Il était en train de se liquéfier à l'antenne», relate Marie-France Brière dans le documentaire dédié au présentateur réalisé par son épouse Audrey Crespo-Mara. Au micro de sa femme, l'animateur explique avoir transformé cette faiblesse en force. « L'avantage de tout ça, c'est que j'étais tellement mal à l'aise que ça ne me dérangeait pas que les invités en face de moi soit aussi mal à l'aise que moi», se vante-t-il. C'est à cette période qu'il commence à déstabiliser ses invités avec les questions les plus provocatrices possibles. Il crée, presque sans le vouloir, un ton, un genre dont il devient très vite indissociable. « Ça a été le début de l'homme en noir, cet animateur qui ne cherche pas obligatoirement à être sympathique », explique l'homme de télévision. «J'avais compris qu'en tant que mec sympathique je n'y arriverais pas mais comme pas sympathique j'aurais toutes mes chances», reprend-il en rigolant. Je m'habille en noir parce que ça m'amincit Thierry Ardisson Si sa patte télévisuelle de l'homme en noir naît à cette époque, son style vestimentaire, lui, vient quelques années plus tard. Il tente d'abord les perfectos, les tee-shirts de couleur ou les pantalons en velours. C'est à partir des années 1990 et plus précisément de «Double Jeu» qu'il adopte définitivement le noir. Dans une interview donnée à Society en 2018 il explique ce choix. « Je déteste qu'on me filme de dos parce que j'ai un gros cul et le dos voûté à force d'écrire des fiches toute la journée. C'est aussi pour ça que je m'habille en noir, parce que ça m'amincit. Puis pour être reconnaissable. Puis pour ne plus avoir à choisir», se justifiait-il en ajoutant : «Je crois que je serai enterré comme ça.» Publicité En tant qu'ancien publicitaire, il avait aussi compris l'intérêt d'avoir une marque de fabrique si reconnaissable. « En fait je vis comme un produit : le noir, c'est mon packaging», expliquait-il à nos confrères du groupe So Press. Dans le faire-part de ses obsèques, un dress code «Ardisson» a été imposé, demandant aux invités d'adopter le style vestimentaire de l'homme en noir.


Le Parisien
7 days ago
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Obsèques de Thierry Ardisson : Laurent Baffie, Brigitte Macron, Léa Salamé... les images de l'hommage à l'animateur
Les obsèques de Thierry Ardisson , en forme de « dernier bonsoir », ont débuté jeudi à Paris, en présence d'un millier de personnes souvent vêtues de noir. Des chansons de George Harrison, John Lennon, David Bowie ou encore Jean-Louis Aubert (« Voilà c'est fini ») sont prévues durant la cérémonie, en l'église Saint-Roch, la paroisse des artistes, avant une inhumation dans la plus stricte intimité. Audrey Crespo-Mara, l'épouse de l'ancien producteur et animateur décédé lundi à 76 ans, a accueilli les invités, à qui il a été demandé de respecter le « dress code Ardisson (avec ou sans lunettes noires) », c'est-à-dire le costume noir. Ont été aperçus des amis comme Laurent Baffie, l'un de ses plus proches amis. Philippe Corti, lui aussi un proche. Léa Salamé, celle qui lui a succédé dans les deuxièmes parties de soirée du service public. Des personnalités tels Arthur, Alex Vizorek, ou encore Florent Pagny. Ou encore Marc Lavoine. D'autres figures des spectacles étaient-là, comme Patrick Timsit, Guillaume Durand. À noter la présence de Brigitte Macron, venue de l'Élysée, tout proche. Gabriel Attal et la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci, sont aussi apparus sur les marches de l'église de Saint-Roch. Des admirateurs, qui ont applaudi à l'arrivée du cercueil noir, sont aussi venus nombreux de noir vêtu, et sont restés derrière les barrières dans la rue bloquée. « Merci pour moi, mais aussi pour ce que tu as apporté à la télé », lui a adressé Dalila Choufa, 57 ans, qui a spécialement posé un jour de congé pour être présente. « Un homme libre et courageux comme ça, il n'y en a plus, même si je n'étais pas d'accord avec tout ce qu'il disait », a salué Michelle Boesnach, commerçante de 50 ans venue de Normandie. Vedette du petit écran dès les années 1980, Thierry Ardisson est mort à Paris des suites d'un cancer. Des artistes du monde entier aux hommes politiques, tous se pressaient à ses talk-shows à succès comme « Lunettes noires pour nuits blanches », ou « Tout le monde en parle » sur France 2 (1998-2006).


Le Figaro
17-07-2025
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Thierry Ardisson : la folle collection de voitures anciennes d'un homme... qui n'avait pas le permis
Thierry Ardisson a bâti un garage de voitures de collection. L'homme en noir transformait l'automobile en pur objet d'art : ses choix, dictés par la beauté des modèles, racontent une passion décalée, à son image. Dans l'univers des collectionneurs automobiles, Thierry Ardisson occupait une place à part. Il était unique en son genre. Imaginez un mélomane qui accumulerait des guitares sans savoir en jouer... C'est exactement le cas de l'homme en noir avec l'automobile : ce dernier avait réuni une impressionnante collection de voitures vintage... sans jamais avoir obtenu le permis de conduire. Loin de considérer cette situation comme un handicap, Ardisson assumait, allant jusqu'à théoriser sa relation particulière à l'automobile avec une métaphore, elle aussi, bien assumée. «J'ai du plaisir à regarder les voitures, c'est comme un couturier homosexuel, il adore les femmes, il leur fait les plus jolies robes du monde, mais n'y touche pas», racontait-il dans l'émission Vintage mécanique (RMC Découverte) en 2022. Publicité Un traumatisme de jeunesse Dans les faits, son refus de conduire trouve ses racines dans un traumatisme de jeunesse survenu à Salon-de-Provence : certains de ses amis proches ont subi de graves accidents de voitures. Sa peur de conduire s'est définitivement cristallisée lors d'une expérience malheureuse avec une Fiat 500 de location. «Je l'ai mise dans le ravin», racontait-il dans la même émission. « Là, j'ai dit stop», ajoutait-il. Ne pouvant donc évaluer les performances mécaniques, ses choix se basaient exclusivement sur l'apparence. «Quand tu ne conduis pas tu ne peux pas choisir la voiture pour ses qualités moteurs, je l'ai achetée [une Peugeot 404] parce qu'elle était chic, elle était belle», expliquait-il dans la même émission. Sa collection éclectique En 1996, l'émission Turbo sur M6 lui avait rendu visite dans sa propriété d'Argentan, dans l'Orne. On y découvrait un véritable musée automobile personnel. La star incontestée de cette collection était sa Peugeot 404 Cabriolet, qu'il décrivait avec tendresse. «J'aime les voitures des années 50-60 (...) je trouve [au contraire] que les voitures se ressemblent toutes aujourd'hui». Mais cette 404 n'était que la partie visible de l'iceberg automobile. Sa collection comprenait également une Renault Colorale, ce grand break 4X4 équipé d'un moteur de Primaquatre. Il possédait aussi une Austin Mini 1000 Countryman des années 60, une Morris 1300 Vanden Plas qu'il surnommait affectueusement sa «Mini Rolls», ainsi qu'une Peugeot 203. D'autres véhicules complétaient ce garage éclectique : un Toyota RAV4 de première génération, une Audi TT elle aussi de première génération, une BMW Série 2 Active Tourer, et même une Peugeot 206, preuve que son œil esthétique savait aussi déceler la beauté dans la simplicité. Pendant 15 ans, Thierry Ardisson était journaliste de presse écrite. Dans l'un de ses nombreux papiers, il raconte l'achat de son coupé 404. Article publié sur Publicité Bref, cette passion automobile révélait un aspect méconnu de la personnalité d'Ardisson : celle d'un esthète assumé, capable d'apprécier la beauté d'un objet, même des plus simple. L'homme en noir nous rappelait avant tout que la voiture pouvait être aussi un objet d'art, une sculpture mobile, en somme : le témoignage d'une époque.


Le Figaro
17-07-2025
- Entertainment
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Coup de foudre à la télé, drague à l'ancienne et amour fou : la divine idylle entre Thierry Ardisson et Audrey Crespo-Mara
RÉCIT - L'animateur et la présentatrice, qui se sont unis en 2014, se sont follement aimés pendant quinze ans. Retour sur une incroyable love story. Une histoire digne d'un film. Thierry Ardisson et sa compagne Audrey Crespo-Mara ont vécu une folle idylle amoureuse durant quinze ans. Pourtant, rien ne pouvait laisser présager une telle destinée. Et pour cause : l'animateur, décédé le 14 juillet dernier à l'âge de 76 ans, est tombé amoureux de la présentatrice en 2009... en allumant sa télévision. Un coup de foudre télévisuel en somme. À lire aussi «Chers amis, chers ennemis» : le faire-part drôle et décalé des obsèques de Thierry Ardisson Publicité Une drague à l'ancienne « J'avais un appartement à Paris (...) où j'avais des tableaux de Jean-Gabriel Domergue qui peignait, dans les années 1950, des cocottes avec des longs cous, un peu hautaines. Et un jour, j'allume ma télé et je vois Audrey avec un port de tête semblable à un Domergue », racontait-il à Europe 1 en 2017. À l'époque, Audrey Crespo-Mara officiait dans la matinale de LCI. Elle était âgée de 33 ans et lui de 60 ans. L'animateur s'est alors débrouillé pour obtenir son numéro de portable avant d'entrer en contact avec elle en prétextant qu'il avait un projet d'émission dans laquelle elle pourrait intervenir. Au fil des jours, «l'Homme en noir» a entrepris un jeu de séduction peu banal avec elle, comme l'a raconté Jérôme Béglé, le directeur de Paris-Match lors de l'émission hommage diffusé ce mardi 15 juillet sur France 2. « Il craque sur elle à la télévision et lui envoie un message. Il lui dit : 'Je vous trouve bien, mais si vous m'autorisez à continuer à vous écrire, mettez demain une robe rouge.' Le lendemain, elle a une robe rouge. Puis, une robe verte, une robe bleue, il avance comme ça et il dit 'Est-ce qu'on pourrait dîner ensemble ?' - ils ne sont toujours pas parlé - 'Si vous acceptez mettez une robe jaune'. Elle a la robe jaune. C'est comme ça que les choses ont commencé. (...) Il n'y avait que Thierry pour inventer une drague pareille », a raconté le journaliste, faisant réagir Stéphane Bern qui présentait l'émission. « C'est une cour à l'ancienne », a noté ce dernier. À lire aussi Audrey Crespo-Mara : «Après 40 ans, on s'apaise, on profite» Un coup de foudre réciproque Audrey Crespo-Mara a donc accepté cette invitation. Au cours du repas, le coup de foudre s'avère réciproque. « J'y allais un peu à reculons. J'avais l'image de quelqu'un de brillant certes, mais cassant et froid. J'ai découvert un homme d'une élégance et d'une bienveillance rares. À un moment donné, il m'a dit: 'Je sais que j'aurai une troisième femme…' Et moi, instantanément, j'ai su que je serai cette femme. Ça a été une évidence ! », avait-elle confié à Gala en 2014. Pour autant chacun d'entre eux est marié de son côté à l'époque. Thierry Ardisson vit une belle histoire avec Béatrice Loustalan avec laquelle il a trois enfants, Manon, Ninon et Gaston. Audrey Crespo-Mara, elle, est en couple avec Aliou Mara. Ensemble, ils ont deux enfants Sékou - aujourd'hui joueur de football professionnel à Strasbourg - et Lamine. Publicité Elle décide d'ailleurs d'arrêter leur histoire naissante. « Elle m'a dit : 'Je t'aime mais on va faire un break'», s'était rappelé l'animateur en 2020 sur l'antenne de RFM. Une pause qu'il n'a pas du tout supportée. « Au bout d'une semaine sans elle, le quotidien m'était insupportable. Je me souviens d'un matin où je n'avais même pas l'énergie d'enregistrer mon émission. J'ai appelé une copine qui me servait de conseillère conjugale et elle m'a dit: ' Si t'es cassé à ce point, appelle-la.' J'ai donc pris mon téléphone et j'étais tellement déboussolé que j'ai cité du Nicoletta: 'Quand tu n'es pas là, il est mort le soleil' », avait raconté Thierry Ardisson à Gala. À lire aussi «On a fait ça en face du Père-Lachaise» : les coulisses de la folle Une de Paris-Match avec Thierry Ardisson dans un cercueil Deux divorces et un mariage Une phrase qui a fait fondre celle qui est la joker d'Anne-Claire Coudray au journal de TF1 durant les week-ends. « Elle a pris un taxi, elle a débarqué chez moi, j'étais en larmes dans le salon et je lui ai dit 'À partir de maintenant on ne se quitte plus' et on a divorcé », avait raconté «l'homme en noir» sur RFM. Thierry Ardisson et Audrey Crespo-Mara au Festival de Cannes en 2012 VALERY HACHE / AFP Le couple a ensuite vécu son idylle au grand jour et a même concrétisé son amour par un mariage le 21 juin 2014 à Paris. Malgré cette union, Audrey Crespo-Mara et Thierry Ardisson n'ont pas vécu sous le même toit. L'animateur avait tout de même acheté un studio dans le même immeuble que son épouse. En mars 2025, ils cherchaient un pied à terre en commun. Durant leurs quinze ans d'amour, tous deux n'ont pas tari d'éloges l'un sur l'autre, formant un couple extrêmement uni. « Thierry est l'homme dont toutes les femmes rêvent ! Il devance mes désirs comme mes difficultés dans la vie. Il prend soin des gens qu'il aime. De moi, mais aussi de ses enfants et des miens. On peut poser sa tête sur son épaule », a-t-elle confié à Gala en 2014. Dix ans plus tard, la flamme était intacte. « On s'aime de plus en plus, ça, c'est indéniable », nous avait-elle dit en mars dernier. De son côté, Thierry Ardisson louait les qualités de son épouse et les bienfaits qu'elle lui avait apportés tout au long de leur histoire. « Ma femme Audrey Crespo-Mara m'a beaucoup apporté. Elle m'a un peu réconcilié avec le monde, elle m'a rapproché de mes enfants. Je me suis réconcilié avec Marc-Olivier Fogiel… Audrey a été très pacificatrice », avait-il déclaré sur RTL à l'automne dernier. À lire aussi Thierry Ardisson : la date et le lieu de ses obsèques dévoilés Publicité Deux âmes sœurs La journaliste Léa Salamé, qui a reçu le couple sur le plateau de son talk-show «Quelle époque !» en juin 2023, a été subjuguée par l'amour qu'ils se portaient mutuellement. « J'ai été marqué par le fait qu'Audrey était toujours là à chaque fois que je l'ai reçu à la télé, à la radio, a-t-elle expliqué dans l'émission hommage dédiée à l'animateur mardi 15 juillet sur France 2. Et je dois dire que j'ai été bouleversée, comme tous ceux qui les ont vus ensemble, au bout de quinze ans d'amour, par cet amour fou qu'il avait pour elle, qu'elle avait pour lui aussi. Il fallait voir comment Ardisson, l'homme en noir, le subversif, le transgressif, le flamboyant, regardait sa femme, c'était très beau à voir. J'ai rarement vu un homme qui regardait une femme avec autant d'amour ». Jérôme Béglé, le directeur de Paris-Match, a aussi confirmé, sur le plateau de l'émission, leur superbe lien en parlant d'Audrey Crespo-Mara. « Elle a été présente du début à la fin, et je ne parle pas même de ces derniers jours où elle a été exceptionnelle. Elle a vraiment été l'âme sœur de Thierry ». À lire aussi Thierry Ardisson se confie pour la première fois sur son cancer dans le documentaire d'Audrey Crespo-Mara La présentatrice a réalisé un documentaire sur son mari, qui a été diffusé ce mercredi 16 juillet sur TF1. Elle tenait à montrer Thierry Ardisson tel qu'elle le connaissait. « La promesse est de faire découvrir la face cachée de 'l'Homme en noir'. Ardisson, vous croyez le connaître, pendant trente ans il a été dans votre salon, mais moi je vis avec lui depuis quinze ans et je vais vous dire qui il est vraiment », nous avait-elle expliqué en mars. Dans ce documentaire, Thierry Ardisson confiait, en larmes, à propos de son idylle avec Audrey Crespo-Mara : « J'ai 60 ans et je me lance dans une histoire d'amour, il faut y croire ! J'y ai cru et j'ai eu raison, c'est l'une des plus belles choses qui me soit arrivée dans ma vie ».


Le Parisien
16-07-2025
- Entertainment
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Audiences TV : « OPJ » en tête sur France 3 devant TF 1 et la deuxième édition de « L'humour à la plage »
Un succès toujours au rendez-vous. France 3 est arrivé en tête des audiences ce mardi soir en proposant un nouvel épisode inédit de la sixième saison d'« OPJ » . La série policière, tournée cette fois à La Réunion, a attiré 3,232 millions de téléspectateurs en moyenne sur l'ensemble de la soirée, soit 20,2 % de part d'audience (PDA). Un score dans la droite ligne de la semaine précédente , puisque pour son retour, le programme avait captivé 3,32 millions de personnes (19,8 % du public). On relève tout de même le très faible pourcentage de la Trois sur les cibles commerciales, avec seulement 5 % des femmes responsables des achats de moins de 50 ans (FRDA-50) devant leur poste. Largement derrière, on retrouve TF 1 qui diffusait la deuxième édition de « L'humour à la plage » , avec 2,07 millions de téléspectateurs présents en moyenne, ce qui correspond à 14,7 % de PDA. Si la première partie a été suivie par 2,52 millions de curieux, un million a été égaré en cours de route au fil de la soirée. La Une peut tout de même se réjouir d'un large succès auprès des FRDA-50, 28,5 %, ce qui fait de la chaîne le leader sur cible ce mardi soir. Sur la troisième marche du podium, 1,55 million de nostalgiques des années « Tout le monde en parle » ont suivi l'hommage à Thierry Ardisson organisé sur France 2, 10,3 % du public qui était devant sa télévision pour se remémorer « l'homme en noir » . Le résultat reste faible sur les cibles commerciales (7,1 %), mais la Deux a depuis longtemps consenti à lâcher cet objectif, priorité des chaînes privées. Après la cata « Lego Masters » lundi, M 6 sort la tête de l'eau à la quatrième place, grâce à un numéro inédit du magazine « Zone interdite ». Consacrée aux « voyous de l'été », l'émission présentée par Ophélie Meunier fédère 1,18 million de curieux, soit 7,4 % de PDA, mais surtout 15 % des FRDA-50. On retrouve ensuite trois longs-métrages : France 5 a réuni 872 000 cinéphiles en rediffusant « Marius et Jeannette » de Robert Guédiguian (5,3 % du public), quand 598 000 fans des Bodin's ont profité de leur film « Bienvenue chez les Bodin's » sur W 9, soit 4,2 % de PDA. « Arthur et les Minimoys » qui repassait sur TFX, a séduit 515 000 petits et grands pour sa part, une part d'audience de 3,3 %.