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Le Parisien
9 hours ago
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Cyclisme : un coureur de la TotalEnergies se fait voler quatre vélos à son domicile
Terrible loi des séries dans le peloton. Dimanche matin, on apprenait le cambriolage d'un camion de la Cofidis sur un parking d'hôtel à Boulogne-sur-Mer en plein Tour de France . 24 heures plus tôt, un coureur cycliste tricolore, non-retenu sur le Tour de France, a subi la même mésaventure. Mais cette fois chez lui. Il s'agit de Geoffrey Soupe de l'équipe TotalEnergies (37 ans). Ce dernier a déclaré sur les réseaux sociaux avoir perdu quatre machines (deux vélos de course, un gravel et un VTT tout juste acheté). Elles étaient rangées dans le garage de sa maison sur la commune de Jasseron, près de Bourg-en-Bresse (Auvergne-Rhône-Alpes). Parmi ces engins, le vélo avec lequel il avait remporté une étape sur la Vuelta en 2023 et que sa direction lui avait offert. « Ça s'est passé pendant la nuit. Nous n'avons rien entendu. La maison est située dans une impasse, ma voiture était dehors, ceux qui ont fait ça savaient forcément qu'on était là et ce qu'ils cherchaient car ils n'ont rien pris d'autre », a-t-il expliqué au quotidien régional Le Progrès . « Suite à un vol cette nuit chez moi, j'espère un peu de soutien, si quelqu'un dans le département de l'Ain, et ailleurs voit ces vélos.. en vente ou en circulation prévenez-moi ! Merci », a lancé le sportif sur sa page Instagram. « Je sais qu'il existe des réseaux de revente mais c'est risqué. Ils sont tous référencés avec des codes-barres et facilement reconnaissables », a-t-il ajouté dans la presse locale. En attendant, Geoffrey Soupe se retrouve sans outil de travail. Ses entraîneurs doivent lui envoyer un nouveau vélo dans les jours qui viennent. Une perte financière conséquente pour l'équipe. Ces machines, notamment les vélos de route, coûtent plus de 10 000 euros. Lors de l'édition 2024, la Team TotalEnergies avait déjà été la cible de malfrats . Au pied de biche, ils avaient subtilisé 11 vélos ainsi que les trousses à outils des mécaniciens sur le parking d'un hôtel dans le Cantal. Le tout pour un préjudice de quelque 150 000 euros.


Le HuffPost France
a day ago
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Sur le Tour de France, l'équipe française Cofidis se fait voler 11 vélos dans un cambriolage
CYCLISME - Un préjudice à près de 150 000 euros. L'équipe française Cofidis a annoncé ce dimanche 6 juillet avoir été victime dans la nuit d'un cambriolage sur le Tour de France, dont le grand départ a été donné samedi à Lille, et s'être fait voler 11 vélos. « La porte du camion-atelier a été forcée et 11 de nos vélos Look Cycle ont été dérobés malgré les dispositifs de sécurité qui avaient été mis en place », a indiqué la formation nordiste dans un communiqué. « Des membres de la gendarmerie se sont rendus à l'hôtel dans la matinée afin de constater l'infraction et débuter leur investigation. L'équipe Cofidis condamne fermement cet acte d'incivilité et appelle les auteurs de ces faits au civisme et à la responsabilité », ajoute le texte. Selon L'Equipe, l'équipe cyclisme nordiste a porté plainte dans l'après-midi à l'hôtel de police de Tourcoing. Des vélos commercialisés à un tarif de 13 999 euros Les vols de vélo sont réguliers sur les courses cyclistes et constituent une hantise pour les équipes car ce sont des objets très convoités en raison de leur prix allant jusqu'à 20 000 euros pièce. Le nouveau vélo utilisé par Cofidis au Tour de France est commercialisé au tarif de 13 999 euros. L'année dernière, l'équipe TotalEnergies s'est elle aussi vu dérober 11 vélos sur le Tour de France, après que leur camion a été ouvert « au pied de biche » devant leur hôtel du Lioran, dans le Cantal.

Le Soir
a day ago
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- Le Soir
Tour de France : une équipe victime d'un cambriolage après la première étape, plusieurs vélos dérobés
L'équipe Cofidis a annoncé dimanche avoir été victime dans la nuit d'un cambriolage sur le Tour de France, dont le grand départ a été donné samedi à Lille, et s'être fait voler 11 vélos, un préjudice s'élevant à plus de 100.000 euros. « La porte du camion-atelier a été forcée et 11 de nos vélos Look Cycle ont été dérobés malgré les dispositifs de sécurité qui avaient été mis en place », a indiqué la formation nordiste dans un communiqué. « Des membres de la gendarmerie se sont rendus à l'hôtel dans la matinée afin de constater l'infraction et débuter leur investigation. Léquipe Cofidis condamne fermement cet acte d'incivilité et appelle les auteurs de ces faits au civisme et à la responsabilité », ajoute le texte. Les vols de vélo sont réguliers sur les courses cyclistes et constituent une hantise pour les équipes car ce sont des objets très convoités en raison de leur prix allant jusqu'à 20.000 euros pièce. Le nouveau vélo utilisé par Cofidis au Tour de France est commercialisé au tarif de 13.999 euros. L'année dernière, l'équipe TotalEnergies s'est elle aussi vu dérober 11 vélos sur le Tour de France, après que leur camion a été ouvert « au pied de biche » devant leur hôtel du Lioran (Cantal).


Le Figaro
2 days ago
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- Le Figaro
Tour de France : «Je ne lui en veux pas, j'aurais pu faire l'erreur», Vercher beau joueur après sa grosse chute provoquée par Thomas
Le coureur de la formation TotalEnergies n'en voulait pas à Benjamin Thomas qui l'a déstabilisé et fait tomber après le sprint au sommet du Mont Cassel. Mattéo Vercher (TotalErnergies) a été victime d'une terrible chute alors qu'il disputait le sprint au sommet du Mont Cassel au cours de la première étape, propulsé à terre après un écart et Benjamin Thomas qui a perdu le contrôle de son vélo sur les pavés. Très légèrement blessé, le Français n'en voulait pas à son compatriote. «On a joué un peu le jeu dans le Mont Cassel. Je n'ai pas revu les images mais je pense qu'en lançant le vélo il a dû perdre le contrôle de la roue avant. On est tombé ensemble mais il n'y a pas de souci, c'est la course et je ne lui en veux pas. J'aurais pu commettre l'erreur. Je vais prendre un peu de recul ce soir et je prendrai le départ demain. On aurait très bien pu mettre fin au Tour de France ce soir. On en a discuté entre nous et on s'est mis d'accord. Il n'y a aucun problème, c'est le vélo», a expliqué le coureur sur France Télévisions. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 De son côté, Benjamin Thomas (Cofidis), porteur du maillot à pois à l'issue de la première étape, reconnaissait une erreur, heureusement sans conséquence. «Sur le premier sprint, tout s'est bien passé mais sur le deuxième que je connais pourtant bien pour l'emprunter aux Quatre Jours de Dunkerque, j'ai lancé le sprint d'un peu trop loin. J'ai laissé repasser Mattéo après et c'était vraiment tendu. Sur le jeté de vélo, je pense que je suis déséquilibré et les pavés c'est pas terrible pour tomber... Je me suis excusé auprès de Mattéo j'espère juste qu'il ne s'est pas fait mal. Moi je vais être courbaturé durant trois jours mais ça devrait aller au final. Plus de peur que de mal… J'espère qu'on retiendra de tout ça un bon souvenir.»


Le Figaro
2 days ago
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- Le Figaro
«Il faut refaire le CECA»: Patrick Pouyanné défend une Europe plus intégrée
Le patron de TotalEnergies a dénoncé une politique concurrentielle davantage tournée vers les consommateurs que les entreprises et a appelé à créer des «champions européens» en approfondissant le marché unique. Alors que François Villeroy de Galhau s'est coiffé, lors des rencontres économiques d'Aix-en-Provence, d'une casquette verte «Make Europe Great Again» en réponse à celle de Donald Trump, le PDG de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, a défendu samedi une Union européenne davantage intégrée, à l'instar de ce qui a pu exister avec la Communauté européenne du charbon et de l'acier. Il a ainsi critiqué la politique de concurrence qui empêche l'émergence de «champions européens». «Il faut maintenant se dire que la seule façon de s'en sortir, ce n'est sûrement pas de raisonner comme on veut le faire aujourd'hui, au bord de chacun des pays. Il y a un continent européen (qu') il faut approfondir, il faut refaire la CECA», a exposé le patron du géant français de l'énergie lors des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence. Publicité La Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), traité signé par six pays dont la France, l'Allemagne et l'Italie pour mettre en commun la gestion de ces industries, fut en 1952 l'un des socles de l'UE. «Par exemple, on ne veut pas faire d'éoliennes en France. Mais les Allemands aiment bien les éoliennes: faisons les en Allemagne et faisons des centrales nucléaires en France et simplement, organisons l'interconnexion entre les pays», a illustré Patrick Pouyanné.Selon lui, la nécessité d'approfondir le marché unique s'applique à l'énergie comme aux marchés financiers ou aux télécoms. Il a critiqué la politique de concurrence européenne, trop tournée vers les consommateurs et insuffisamment vers les entreprises, laquelle a empêché selon lui l'émergence de «champions européens». «À vouloir faire toujours moins cher, on ne crée pas l'innovation» Appelant les Européens à changer «d'algorithme», il a cité le domaine des télécoms, où évoluent une multitude d'opérateurs dont «aucun n'a la taille critique», ou le veto de Bruxelles à la fusion Alstom-Siemens. «Je pense que les consommateurs en Europe sont très contents», avec des tarifs de téléphonie plus faibles qu'aux États-Unis, mais «à vouloir faire toujours moins cher, on ne crée pas l'innovation», a-t-il fustigé. Pour Patrick Pouyanné, la meilleure façon de renforcer le marché unique repose sur «des coalitions de bonne volonté» de certains pays, comme ce fut le cas lors de la création de l'euro. «Aujourd'hui être 27 c'est trop compliqué, (...) on ne peut pas avancer au même rythme», a-t-il déclaré, «notre modèle d'unanimité à 27 et de vouloir embarquer tout le monde ne peut pas être un socle pour améliorer la compétitivité européenne». Le grand patron a également appelé les responsables politiques à porter «une vision» pour «éviter que notre Europe se transforme en parc de loisirs».