logo
#

Dernières actualités avec #Trump

Guerre en Ukraine : l'Allemagne envisage d'acheter des systèmes antiaériens Patriot aux États-Unis pour Kiev
Guerre en Ukraine : l'Allemagne envisage d'acheter des systèmes antiaériens Patriot aux États-Unis pour Kiev

Le Parisien

time9 hours ago

  • Le Parisien

Guerre en Ukraine : l'Allemagne envisage d'acheter des systèmes antiaériens Patriot aux États-Unis pour Kiev

Après l'annonce mardi par les États-Unis de la suspension de livraison de certaines armes à Kiev , le gouvernement allemand a déclaré vendredi qu'il envisageait d'acheter auprès des Américains de systèmes de défense antiaérienne Patriot pour l'Ukraine. Interrogé sur l'hypothèse d'acheter des Patriot à Washington pour les donner à l'Ukraine, le porte-parole du gouvernement allemand a répondu : « Il y a plusieurs façons de combler ce manque de Patriot . Vous venez d'en citer une. Je peux vous dire qu'effectivement d'intenses discussions ont lieu à ce sujet. » Mardi, de façon inattendue, l'administration Trump a annoncé avoir cessé de livrer certaines armes à Kiev, officiellement en raison de l'inquiétude quant à la baisse des stocks de munitions américains. Selon plusieurs médias américains, cela concernerait les systèmes de défense aérienne Patriot, l'artillerie de précision et les missiles Hellfire . Le président ukrainien Volodymyr Zelensky appelait justement ces dernières semaines les États-Unis à lui vendre des systèmes Patriot pour pouvoir contrer plus efficacement les attaques russes de missiles et de drones, qui se sont récemment intensifiées . Il s'en était une nouvelle fois ouvert à son homologue américain lors de leur dernière entrevue en marge du sommet de l'Otan à La Haye, le 25 juin. Mais celui-ci s'était montré évasif sur le sujet, estimant que Washington « en a également besoin ». Ce retrait américain risque d'être lourd de conséquences pour l'armée ukrainienne. « Nous dépendons actuellement fortement des livraisons d'armes américaines, même si l'Europe fait tout son possible, mais nous aurons du mal sans les munitions américaines », avait réagi après l'annonce une source militaire ukrainienne.

Trump ne va pas lésiner sur la mise en scène pour célébrer sa loi budgétaire le jour de la fête nationale
Trump ne va pas lésiner sur la mise en scène pour célébrer sa loi budgétaire le jour de la fête nationale

Le HuffPost France

time10 hours ago

  • Politics
  • Le HuffPost France

Trump ne va pas lésiner sur la mise en scène pour célébrer sa loi budgétaire le jour de la fête nationale

ETATS-UNIS - La mégalomanie à son paroxysme. Donald Trump est sur un petit nuage depuis que le Congrès a adopté sa « grande et belle loi » jeudi 3 juillet, après des jours de pressions et de tractation. Le président américain avait pressé les élus républicains de voter en faveur du texte avant ce vendredi 4 juillet, jour de la fête nationale. Et pour cause, ce sera l'occasion pour lui de célébrer sa victoire législative et de profiter de la mise en scène grandiose du Jour de l'Indépendance. Et évidemment, le milliardaire, qui avait fait de cette loi la pièce maîtresse du programme de son second mandat, a vu les choses en grand. En ce 249e anniversaire de l'indépendance vis-à-vis de la Grande-Bretagne, une grande fête à la Maison Blanche va avoir lieu. « Ensemble, nous célébrerons l'indépendance de notre nation et le début de notre nouvel âge d'or », a-t-il lancé sur son réseau Truth Social jeudi. Lors d'un meeting dans l'Iowa (centre), il a savouré sa victoire. « Il n'y a pas de plus beau cadeau d'anniversaire pour l'Amérique que la victoire phénoménale que nous avons remportée il y a quelques heures à peine, lorsque le Congrès a adopté le grand et magnifique projet de loi visant à redonner sa grandeur à l'Amérique », a-t-il lancé à la foule. Parade aérienne Au cours de la cérémonie organisée ce vendredi à partir de 16h (22h à Paris), Donald Trump va signer et promulguer sa loi budgétaire en très grande pompe en présence des parlementaires. Au programme : des feux d'artifice et une parade aérienne de bombardiers furtifs B-2. Un choix loin d'être anodin, puisque c'est ce type d'avion qui a bombardé les installations nucléaires iraniennes le 22 juin. Des avions de chasse vont également effectuer une parade aérienne au-dessus de la Maison-Blanche pour l'occasion, tandis que certains pilotes qui ont mené l'opération militaire en Iran seront présents lors de la cérémonie. Quand aux 249 ans de l'Indépendance, les festivités vont durer jusqu'en 2026, qui marquera donc le 250e anniversaire des États-Unis. La Maison Blanche évoque sur son site une « Grande fête d'État américaine » qui culminera l'an prochain à Washington avec notamment, selon la promesse de Trump, un combat de l'Ultimate Fighting Championship (UFC) pour 25 000 spectateurs… dans l'enceinte de la Maison Blanche. La grande loi budgétaire adoptée jeudi comprend d'ailleurs des crédits pour « le financement d'événements, de célébrations et d'activités » dans le cadre de cette année de célébrations baptisée « America 250 ». Un grand coup politique L'adoption du texte est le dernier d'une série de succès politiques pour Donald Trump ces dernières semaines, entre cessez-le-feu entre l'Iran et Israël après des frappes sur des sites nucléaires iraniens, un accord sur les dépenses de l'Otan, et une décision de la Cour suprême favorable à l'exécutif. Elle confirme aussi son emprise sur le Parti républicain et, pour l'heure, sur la politique américaine en général. Dans sa joie, l'ancien magnat de l'immobilier a toutefois passé sous silence les vives inquiétudes de son parti et des électeurs, qui craignent que ce projet ne fasse gonfler la dette publique et n'affaiblisse les aides à la santé et à la protection sociale. La loi budgétaire tentaculaire honore bon nombre des promesses de campagne de Trump : augmentation des dépenses militaires, financement d'une campagne d'expulsion massive de migrants et engagement de 4 500 milliards de dollars pour prolonger les crédits d'impôt accordés lors du premier mandat du républicain.

L'administration Trump impose des congés à des fonctionnaires s'étant rebellés contre sa politique environnementale
L'administration Trump impose des congés à des fonctionnaires s'étant rebellés contre sa politique environnementale

Le Parisien

time15 hours ago

  • Science
  • Le Parisien

L'administration Trump impose des congés à des fonctionnaires s'étant rebellés contre sa politique environnementale

Certains ont été escortés jusqu'à la sortie de leurs bureaux. L'administration Trump a déclaré jeudi avoir placé près de 140 employés de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) en congé forcé après que ces derniers ont signé en début de semaine une lettre ouverte l'accusant de mettre en danger la population en ignorant la science « au profit des pollueurs » . L'EPA, visée par cette missive, a indiqué à l'AFP mener une enquête sur le sujet et mis en congé administratif 139 de ses employés. L'EPA « applique une politique de tolérance zéro à l'égard des bureaucrates qui sapent, sabotent et compromettent illégalement le programme de l'administration voté par le grand peuple de ce pays », a insisté une de ses porte-parole dans un e-mail. Lundi, un texte signé par plus de 200 anciens et actuels employés et scientifiques de l'EPA ainsi que par d'autres nombreux soutiens extérieurs, dénonçait la politisation croissante de l'institution et mettait en garde contre une mise en danger de la population . Le gouvernement « ignore le consensus scientifique » et agit « en faveur des pollueurs » , accusaient notamment les auteurs. Les noms de plus d'une centaine de fonctionnaires accompagnaient le texte, tandis que nombreux autres restaient anonymes, seules des initiales ou une description lapidaire de leur poste ayant été fournie « par crainte de représailles », selon le texte. Jeudi, tous les noms avaient été effacés du site hébergeant le texte. Depuis son retour en pouvoir en janvier, Donald Trump, climatosceptique notoire , a enclenché une marche arrière toute en matière de climat et de protection de l'environnementale. L'un de ses proches, Lee Zeldin , pilote ces politiques à l'EPA où il a lancé de multiples démarches pour alléger les réglementations sur plusieurs polluants éternels (PFAS) ou encore supprimer des restrictions d'émissions polluantes des voitures. Cette lettre ouverte intervenait quelques semaines après la publication d'un texte à la tonalité similaire et signé par des scientifiques d'une autre agence de référence, le NIH , l'organisme américain chargé de la recherche médicale.

L'administration Trump sanctionne des employés d'une agence publique jugés dissidents
L'administration Trump sanctionne des employés d'une agence publique jugés dissidents

Le Figaro

time16 hours ago

  • Politics
  • Le Figaro

L'administration Trump sanctionne des employés d'une agence publique jugés dissidents

Près de 200 cadres de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) accusent leur hiérarchie de céder à des logiques partisanes. L'administration Trump a dit jeudi avoir placé près de 140 employés en congé forcé après que ces derniers ont signé en début de semaine une lettre ouverte l'accusant de mettre en danger la population en ignorant la science «au profit des pollueurs». L'Agence de protection de l'environnement (EPA), visée par cette missive, a indiqué mener une enquête sur le sujet et mis en congé administratif 139 de ses employés. L'EPA «applique une politique de tolérance zéro à l'égard des bureaucrates qui sapent, sabotent et compromettent illégalement le programme de l'administration voté par le grand peuple de ce pays», a insisté une de ses porte-parole dans un courriel. Selon plusieurs médias américains, certains employés ont été escortés jusqu'à la sortie de leurs bureaux. Publicité Lundi, un texte signé par plus de 200 anciens et actuels employés et scientifiques de l'EPA ainsi que par d'autres nombreux soutiens extérieurs, dénonçait la politisation croissante de l'institution et mettait en garde contre une mise en danger de la population. Le gouvernement «ignore le consensus scientifique» et agit «en faveur des pollueurs», accusaient notamment les auteurs. À lire aussi «Le peuple a voté pour une réforme majeure, c'est ce qu'il va y avoir» : Musk et Trump accélèrent la purge dans l'administration «Crainte de représailles» Les noms de plus d'une centaine de fonctionnaires accompagnaient le texte, tandis que nombreux autres restaient anonymes, seules des initiales ou une description lapidaire de leur poste ayant été fournie «par crainte de représailles», selon le texte. Jeudi, tous les noms avaient été effacés du site hébergeant le texte. Depuis son retour en pouvoir en janvier, Donald Trump, climatosceptique notoire, a enclenché une marche arrière toute en matière de climat et de protection de l'environnementale. L'un de ses proches, Lee Zeldin, pilote ces politiques à l'EPA où il a lancé de multiples démarches pour alléger les réglementations sur plusieurs polluants éternels (PFAS) ou encore supprimer des restrictions d'émissions polluantes des voitures. Cette lettre ouverte intervenait quelques semaines après la publication d'un texte à la tonalité similaire et signé par des scientifiques d'une autre agence de référence, le NIH, l'organisme américain chargé de la recherche médicale.

Tarifs douaniers : Trump enverra des lettres à «10 à 12 pays» dès vendredi
Tarifs douaniers : Trump enverra des lettres à «10 à 12 pays» dès vendredi

Le Figaro

time16 hours ago

  • Business
  • Le Figaro

Tarifs douaniers : Trump enverra des lettres à «10 à 12 pays» dès vendredi

Washington s'apprête à formaliser un tournant offensif dans ses relations économiques bilatérales, à quelques jours de l'échéance cruciale du 9 juillet. Les partenaires commerciaux des États-Unis vont guetter le facteur par la fenêtre dans les prochaines heures. Donald Trump a dit qu'il envisageait d'envoyer, dès vendredi 4 juillet, aux partenaires commerciaux des États-Unis des lettres les informant de l'imposition de droits de douane punitifs, alors que les négociations sur le sujet entrent dans leur dernière ligne droite. «Je penche pour envoyer une lettre pour indiquer les droits de douane qu'ils devront payer», a-t-il déclaré à la presse jeudi. «C'est beaucoup plus facile.» À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International «Nous allons envoyer des lettres, probablement dès demain», a-t-il encore dit. Cette déclaration intervient à quelques jours du retour, prévu le 9 juillet, de droits de douane punitifs, et différenciés, concernant des dizaines de pays, allant de Taïwan à l'Union européenne. Début avril, le président américain a provoqué une onde de choc en annonçant une hausse drastique des droits de douane à l'encontre du reste du monde : une surtaxe minimale de 10%, qui peut aller jusqu'à 50% pour les pays exportant plus vers les États-Unis qu'ils n'importent de produits américains. À lire aussi Automobile, acier, aluminium... Où en est-on des droits de douane de Donald Trump ? Publicité Le monde en attente Le président a ensuite suspendu ces taxes douanières, laissant la voie à des négociations commerciales avec chacun des partenaires. Des responsables américains ont fait savoir qu'une série d'accords commerciaux pourraient être annoncés dans les prochains jours. Pour l'heure, l'administration de Donald Trump n'a dévoilé que des accords avec le Royaume-Uni et le Vietnam, tandis que Washington et Pékin ont convenu de réduire temporairement leurs taxes réciproques. À l'approche de la date du 9 juillet, Donald Trump a répété à plusieurs reprises son intention d'informer les pays des tarifs douaniers américains par lettre.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store