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24 Heures
5 hours ago
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C'est vous qui le dites 7 juillet: Smartphones
Accueil | Opinion | Courrier des lecteurs | Opinion Retrouvez ici votre courrier des lecteurs du 7 juillet Commentaire 24 heures / lecteurs Publié aujourd'hui à 06h58 La question des smartphones à l'école Comme on vient de l'apprendre, le Valais devient le premier canton romand à bannir les smartphones de l'école. Une mesure similaire devrait-elle être prise dans le canton de Vaud? Les partisans de cette interdiction attendent de meilleurs résultats scolaires et une socialisation plus harmonieuse des élèves. Peut-on compter que ces effets se réaliseront? Faut-il craindre des retombées imprévisibles? Au fond, sur quelle éthique devrait-on s'appuyer pour prendre une telle décision? Si l'éthique commande quelque chose, n'est-ce pas avant tout de se donner les moyens d'une décision éclairée, fondée sur des données fiables? L'opportunité de bannir ou non les smartphones de l'école bénéficierait typiquement d'une démarche d'éducation fondée sur les preuves. Comme cela a été fait par exemple pour l'administration de suppléments vitaminés, il ne serait pas très difficile de randomiser les quelque 90 écoles du canton, soit d'en tirer au sort une moitié où l'on bannira les smartphones, en laissant les autres évoluer librement. Un relevé des performances scolaires et de quelques indicateurs de socialisation après deux ans permettrait d'évaluer comparativement les résultats de cette intervention et d'en tirer des conclusions solides quant à la meilleure politique à appliquer. Ces résultats pourraient intéresser d'autres collectivités, comme les cantons voisins. Plus globalement, il s'agirait d'élargir à ce type d'intervention de politique publique la culture de l'évaluation fondée sur les preuves, au-delà du cercle de la médecine et de la pharmacologie où elle s'est développée et a largement démontré son potentiel. Une investigation bien conduite de cette question de smartphone pourrait représenter un cas d'école! Thierry Buclin, médecin pharmacologue clinique, Lausanne Téléphones portables Des côtés négatifs oubliés L'éditorial paru le 1er juillet dernier intitulé «Ça chauffe, mais que faisons-nous?» m'incite à prendre la plume. Depuis quelques jours, on nous harcèle avec la canicule et ses dangers et comment s'en prémunir: se tenir à l'ombre, boire beaucoup, manger léger, des mesures appliquées depuis longtemps et qui coulent de source. Conséquence du réchauffement climatique provoqué par les émissions des moyens de transport en particulier. Il est regrettable à ce sujet que le Covid n'ait servi à rien alors que chacun appréciait un ciel pur exempt de traînées blanches et que le trafic aérien a repris de plus belle. Mais je m'étonne que les téléphones portables ne fassent pas davantage parler d'eux, alors qu'ils sont plus nombreux que les 8 milliards d'individus que compte notre planète, qu'ils sont néfastes pour la santé et participent à leur échelle au réchauffement climatique. Déjà en 1996, un haut responsable et ingénieur de la Cité des sciences à Paris nous disait textuellement: «Le pire est à venir avec la téléphonie mobile.» Anne-Marie de Graffenried, La Tour-de-Peilz Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Le HuffPost France
13 hours ago
- Politics
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En Suisse, comment un chihuahua a sauvé la vie d'un homme tombé dans une crevasse
FAITS DIVERS - En matière de sauvetage en montagne, les Saint-Bernard ne sont pas les seuls chiens héroïques. En Suisse, un chihuaha a aidé les sauveteurs à retrouver son maître tombé dans une crevasse sur un glacier, ont raconté les secouristes, ce dimanche 6 juillet. Cette opération de sauvetage « extraordinaire » s'est déroulée vendredi sur un glacier au-dessus de Saas-Fee, indique dans un communiqué Air Zermatt, une société de sauvetage aérien qui opère dans le canton du Valais. L'homme se promenait sur le glacier de Fee avec son petit chien en début d'après-midi lorsqu'il est soudainement tombé dans une crevasse d'environ huit mètres de profondeur. Son fidèle compagnon, un petit chihuahua, a eu lui plus de chance et est resté au bord de la crevasse. Emmené avec son chien à l'hôpital Il est resté sur place jusqu'à l'arrivée des sauveteurs, ce qui a « probablement sauvé la vie » de son maître. Ce dernier disposait aussi d'un « talkie-walkie amateur » avec lequel il a tenté d'appeler à l'aide. Une personne à proximité a capté l'appel d'urgence et a alerté les secours. En milieu d'après-midi, une équipe d'Air Zermatt, avec trois spécialistes en sauvetage, a alors décollé en direction du glacier. Sur place, les secouristes ont toutefois eu des difficultés à repérer le point de chute car « l'étendue du glacier était vaste et le trou difficile à repérer ». C'était sans compter sur le chihuaha qui a alors bougé. Son mouvement a été aperçu par l'un des sauveteurs. « Grâce au comportement du chien, l'équipe a pu localiser précisément le lieu de l'accident », indique Air Zermatt. Les secouristes ont pu descendre en rappel jusqu'à la victime et la sauver. Il a ensuite été emmené avec son chien à l'hôpital de Viège.
Le Parisien
15 hours ago
- Politics
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Suisse : un homme tombé dans une crevasse de huit mètres sauvé grâce à son chihuahua
En matière de sauvetage en montagne, les Saint-Bernard ont désormais de la concurrence. En Suisse , un chihuahua a aidé les sauveteurs à retrouver son maître tombé dans une crevasse sur un glacier, ont indiqué les secouristes dimanche. Cette opération de sauvetage « extraordinaire » s'est déroulée vendredi sur un glacier au-dessus de Saas-Fee , indique dans un communiqué Air Zermatt, une société de sauvetage aérien qui opère dans le canton du Valais. L'homme se promenait sur le glacier de Fee avec son petit chien en début d'après-midi lorsqu'il est soudainement tombé dans une crevasse d'environ huit mètres de profondeur. Son fidèle compagnon a eu plus de chance et n'a pas chuté. Il est resté sur place jusqu'à l'arrivée des sauveteurs, ce qui a « probablement sauvé la vie » de son maître. Ce dernier disposait d'un « talkie-walkie amateur » avec lequel il a tenté d'appeler à l'aide. Une personne à proximité a capté l'appel d'urgence et a alerté les secours. En milieu d'après-midi, une équipe d'Air Zermatt, avec trois spécialistes en sauvetage, a alors décollé en direction du glacier. Sur place, les secouristes ont toutefois eu des difficultés à repérer le point de chute car « l'étendue du glacier était vaste et le trou difficile à repérer ». C'était sans compter sur le chihuahua qui a alors bougé. Son mouvement a été aperçu par l'un des sauveteurs. « Grâce au comportement du chien, l'équipe a pu localiser précisément le lieu de l'accident », indique Air Zermatt. Les secouristes ont pu descendre en rappel jusqu'à la victime et la sauver. L'homme a ensuite été emmené avec son chien à l'hôpital de Viège.
Le Figaro
17 hours ago
- Politics
- Le Figaro
Suisse: un homme tombé dans une crevasse doit la vie à son chihuahua
Le petit chien resté au bord de la crevasse a pu aider les sauveteurs à retrouver son maître. En matière de sauvetage en montagne, les Saint-Bernard ont désormais de la concurrence. En Suisse, un chihuaha a aidé les sauveteurs à retrouver son maître tombé dans une crevasse sur un glacier, ont indiqué les secouristes dimanche. Cette opération de sauvetage «extraordinaire» s'est déroulée vendredi sur un glacier au-dessus de Saas-Fee, indique dans un communiqué Air Zermatt, une société de sauvetage aérien qui opère dans le canton du Valais. Publicité L'homme se promenait sur le glacier de Fee avec son petit chien en début d'après-midi lorsqu'il est soudainement tombé dans une crevasse d'environ huit mètres de profondeur. Son fidèle compagnon, un petit chihuahua, a eu lui plus de chance et est resté au bord de la crevasse. Il est resté sur place jusqu'à l'arrivée des sauveteurs, ce qui a «probablement sauvé la vie» de son maître. Ce dernier disposait aussi d'un «talkie-walkie amateur» avec lequel il a tenté d'appeler à l'aide. Une personne à proximité a capté l'appel d'urgence et a alerté les secours. En milieu d'après-midi, une équipe d'Air Zermatt, avec trois spécialistes en sauvetage, a alors décollé en direction du glacier. Sur place, les secouristes ont toutefois eu des difficultés à repérer le point de chute car «l'étendue du glacier était vaste et le trou difficile à repérer». C'était sans compter sur le chihuaha qui a alors bougé. Son mouvement a été aperçu par l'un des sauveteurs. «Grâce au comportement du chien, l'équipe a pu localiser précisément le lieu de l'accident», indique Air Zermatt. Les secouristes ont pu descendre en rappel jusqu'à la victime et la sauver. Il a ensuite été emmené avec son chien à l'hôpital de Viège.
24 Heures
17 hours ago
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Euro: hibou géant, star et imposteurs: Sion a pris l'accent nordique
Euro 2025 – Hibou géant, star et imposteurs: Sion a pris l'accent nordique Le stade de Tourbillon a accueilli dimanche son deuxième match de l'Euro 2025. Un convivial choc nordique entre la Norvège et la Finlande. Ugo Imsand-Curty Sion La mascotte de la Finlande est un hibou grand duc depuis une étonnante irruption du rapace en plein match, DR Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : Les supporters finlandais apprécient particulièrement la chaleur et les vignobles valaisans. Des Sédunois se déguisent en supporters norvégiens pour leur première expérience à Tourbillon. L'ancienne championne norvégienne Ann Kristin Aarønes est venue soutenir son équipe nationale. Un drôle d'oiseau fait des allers-retours sur la place du Midi de Sion en ce dimanche après-midi. Avec son maillot de la Finlande sur les épaules, le rapace de près de 2 mètres de haut est la star des enfants blondinets qui se précipitent pour lui faire des câlins. La peluche en a fait du chemin depuis le Grand-Nord. Mais il n'aurait raté pour rien au monde le deuxième match des Finnoises à l'Euro 2025, contre la Norvège à Tourbillon. «Le hibou grand duc est la mascotte de la Finlande depuis 2008 quand un oiseau de notre espèce est venu sur le terrain en plein match. Cela a porté chance à l'équipe masculine qui avait battu la Belgique ce soir-là», nous explique Aki, qui incarne la version femelle de ce volatile. Le Finlandais vit en Suisse où il travaille dans l'industrie pharmaceutique. «J'ai aidé l'équipe nationale à organiser leur voyage et j'incarne la mascotte pour faire plaisir aux gamins. L'ambiance est géniale à Sion.» Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Dans les rues de Sion, victoire de la Finlande Les terrasses du centre-ville valaisan sont envahies par de souriants supporters, Norvégiens et Finlandais se mélangeant dans un esprit bon enfant. Si le peuple de Suomi n'est pas réputé pour être le plus extraverti d'Europe, les fans finnois présents en Valais sont joviaux. «Il fait tellement chaud en Suisse, souligne Marjo, qui est venue avec Pilvi et sa famille depuis Tampere. En Finlande, l'été est pourri pour l'instant et il n'arrête pas de pleuvoir. On a profité de se baigner dans les lacs en Suisse. Et ici à Sion, je suis impressionnée de voir autant de vignobles sur les montagnes autour de la ville. C'est magique.» Les Finlandais ont coloré Sion en bleu et blanc. DR Les millésimes valaisans ont visiblement convaincu les papilles des voyageurs nordiques, qui avaient déjà assisté à la première victoire lors du match d'ouverture de l'Euro 2025 mercredi (1-0 contre les Islandaises). Cette famille de Sion a choisi la Norvège Dans les rues de Sion, la Finlande domine largement sur le plan numérique. En arrivant au stade, on tombe sur un groupe d'amis habillés en rouge et bleu. «Alors, on ne parle pas du tout norvégien, on habite à Sion», s'exclame Chloé avec un accent plus valaisan que scandinave. Il fallait bien choisir son camp. Adeline justifie cette joyeuse imposture par une explication sémantique: «On me surnomme «Ada», comme Hegerberg qui est la star de la Norvège.» Julien a une explication plus familiale: «Mon frère voyage actuellement en Norvège, donc on a choisi ce pays.» Ces amis sédunois ont choisi de supporter les Norvégiennes presque par hasard. DR Le jeune père est fier d'amener ses deux filles pour la première fois au stade: «C'est émouvant de partager ces moments en famille.» «Elles sont à fond pour cet Euro et ont déjà complété l'album Panini, explique la maman. Je suis certaine que ça va les inspirer à jouer au football. Elles voient qu'elles peuvent tout faire, qu'être une fille ou un garçon ne doit rien changer.» On laisse nos vrais-faux Norvégiens à leur baptême du feu. Aarønes, une star à Tourbillon Les bars et food trucks de Tourbillon sont pris d'assaut par des supporters toujours autant mélangés qu'en ville. Un superbe maillot vintage de la Norvège attrape notre regard. L'inscription «Finale de la Coupe du monde 1995» est visible sur le tricot d'Ann Kristin. Vous aviez assisté au match comme spectatrice? «J'y ai joué et gagné avec la Norvège!» «C'est une légende du foot», nous tacle gentiment son amie. Ann Kristin Aarønes – meilleure buteuse de ce Mondial à domicile – sourit humblement. Avec 60 goals inscrits sous le maillot national, et un autre titre européen fêté en 1993, l'attaquante est la digne prédécesseure d'Ada Hegerberg. «C'est génial de voir cet Euro en Suisse avec autant de monde dans les stades et les fan zones. J'aurais aimé y participer. Je suis née trente ans trop tôt.» Ann Kristin Aarønes (à gauche) est l'une des légendes du football féminin en Norvège. DR Désormais employée de son club local d'Ålesund, Ann Kristin Aarønes s'intéresse de près aux performances des Norvégiennes avec ses copines et sa fille. Le groupe de six personnes a déjà suivi l'équipe lors des deux dernières Coupes du monde en France et en Nouvelle-Zélande. «Il y a beaucoup plus de Finlandais aujourd'hui à Sion. Nous les aimons bien, ce sont surtout les Suédois qui sont nos rivaux. L'important, ce sera de s'imposer sur le terrain, pas en tribunes.» Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Grâce à la victoire inaugurale contre la Suisse, la Norvège et ses fans pourraient devoir prolonger un moment leur séjour dans le pays. Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Se connecter Ugo Imsand est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Ce trentenaire lausannois couvre en particulier le football suisse et international depuis une douzaine d'années. Il réalise aussi des articles plus magazine sur le sport en général et ses liens étroits avec le reste de la société. Plus d'infos @UgoCurty Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
