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Comme on se retrouve  : le PSG face au Real et Kylian Mbappé, une affiche électrique en Coupe du monde des clubs
Comme on se retrouve  : le PSG face au Real et Kylian Mbappé, une affiche électrique en Coupe du monde des clubs

L'Équipe

timea day ago

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Comme on se retrouve : le PSG face au Real et Kylian Mbappé, une affiche électrique en Coupe du monde des clubs

Vainqueur d'un match au couteau contre le Bayern Munich où tout lui a réussi, le PSG retrouvera en demi-finales le Real Madrid et Kylian Mbappé. Savoureux, forcément. Il a fallu attendre mais cela en valait la peine. Après des semaines à s'interroger sur la pertinence et l'intérêt de cette Coupe du monde des clubs, à enchaîner les apéritifs plus ou moins digestes dans des stades plus ou moins garnis, le PSG entre dans le money-time escorté par des effluves d'épopée et sa bonne étoile solidement accrochée au-dessus de sa tête. Dans un Mercedes-Benz Stadium d'Atlanta qui a terminé en ébullition, le champion d'Europe et le Bayern Munich ont offert samedi la meilleure publicité que la FIFA pouvait espérer pour sa dernière création. « Un match d'un niveau extrêmement élevé, avec une énorme intensité », a résumé le coach bavarois Vincent Kompany. Où l'on aura tout eu : des surprises (Ousmane Dembélé sur le banc au coup d'envoi), des beaux buts, des rebondissements, des émotions (blessure de Jamal Musiala) et un suspense étouffant jusqu'au bout. Tout ce qui fait la beauté du foot, et qui avait été éclipsé par les motivations et les écueils de ce tournoi imposé au forceps, à grand renfort de dollars. En demi-finales, l'affiche ne sera pas moins belle puisque Paris a rendez-vous avec le Real Madrid. L'occasion de retrouvailles forcément particulières avec Kylian Mbappé. Ils s'étaient évités de justesse en Ligue des champions, parce qu'Arsenal avait joué les trouble-fêtes, voilà qu'ils se retrouvent de l'autre côté de l'Atlantique. Il faudrait trois volumes pour détailler le passif entre l'attaquant des Bleus et son ancien club. Cela donne une épaisseur savoureuse à ce choc qui aurait pu se tourner à Hollywood mais aura pour cadre le MetLife Stadium d'East Rutherford, près de New York. Il y a eu de belles choses, beaucoup même, sinon le Bondynois ne serait pas resté sept ans dans la capitale avec une couronne de meilleur buteur de l'histoire (256 buts en 308 matches). Mais le divorce en grand fracas, qui monnaie encore devant les tribunaux, a laissé place à une amertume tenace que les rencontres fortuites, comme celle entre Nasser al-Khelaïfi et Wilfrid Mbappé en marge de PSG-Inter Miami (4-0), dimanche dernier, ne sauraient évacuer. Pas plus que l'attitude prudente de Luis Enrique : « Je ne peux dire quel adversaire nous préférons affronter en demies. L'important est qu'on y soit et qu'on veuille aller en finale. » Une revanche à prendre après la polémique en 2022 Pour le PSG, devenu champion d'Europe sans sa dernière superstar, il s'agira de valider son changement de projet pour miser sur un collectif puissant. Pour Mbappé, il sera question de fierté, si ce n'est de revanche. Sa mise à l'écart dans le loft, les lettres d'avocats, les matches entamés comme remplaçant « pour préparer la saison prochaine », les adieux escamotés, tout remontera à la surface, mercredi. Au-delà de Mbappé, le PSG a l'occasion de solder les comptes avec les Merengues. Trois ans après, Gianluigi Donnarumma n'a toujours pas digéré le pressing controversé de Karim Benzema dont le triplé vengeur allait le porter au Ballon d'Or (1-3 en huitièmes de finale retour de C1 2021-2022 ; 1-0 à l'aller). Et les relations entre Al-Khelaïfi entre Florentino Pérez, sur fond de projet de Super ligue, ne font qu'ajouter de l'électricité à l'affiche qui, c'est la bonne nouvelle, se jouera sur le terrain. Car de son côté, Paris continue de surfer sur sa dynamique insensée. Après avoir terrassé la moitié de la Premier League, et avant de s'attaquer au vieux monarque espagnol, Luis Enrique et ses hommes se sont payé le scalp du roi de la Bundesliga à la régulière. « C'est l'adversaire qui nous ressemblait le plus, a souligné l'Asturien. Les deux équipes ont présenté leur meilleure version et auraient pu l'emporter. » Pressing haut, mouvement permanent, intensité, goût pour le déséquilibre sur les ailes et les combinaisons rapides. Les Parisiens auraient pu se prendre le miroir en pleine face sans un Donnarumma des grands jours, décisif à 0-0 devant Michael Olise (27e) et Aleksandar Pavlovic (41e). Les deux équipes ont passé la partie à prendre le lead, à tour de rôle, accumulant les occasions dans un bras de fer spectaculaire. Les plus belles ont d'abord été celles du PSG (Kvaratskhelia à la 3e et la 19e, Ruiz à la 22e) mais le Bayern n'a pas été en réussite, avec une emprise globale et deux buts refusés pour hors-jeu sur des têtes de Dayot Upamecano (45e+ 1) et Harry Kane (87e). Entre-temps, Désiré Doué avait donné l'avantage au PSG en conclusion d'une action limpide (1-0, 78e), avant que la fin de match ne bascule dans la folie. Expulsions de Willian Pacho (81e) puis de Lucas Hernandez (90e+ 2), contre victorieux de Dembélé sur une action dingue d'Achraf Hakimi (2-0, 90e+ 6), penalty sifflé contre Nuno Mendes puis annulé à la vidéo (90e+ 8)... « Avec deux joueurs de moins c'était un peu la loterie », soufflait Luis Enrique. Sauf que le PSG tire désormais les bons numéros. À lire aussi Les notes de PSG-Bayern Munich Comment le vestiaire du PSG est devenu sain malgré les groupes Les joueurs du PSG bien entourés Les notes de France-Angleterre

Vincent Kompany après la défaite du Bayern face au PSG : « C'était un match d'un niveau extrêmement élevé »
Vincent Kompany après la défaite du Bayern face au PSG : « C'était un match d'un niveau extrêmement élevé »

L'Équipe

timea day ago

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Vincent Kompany après la défaite du Bayern face au PSG : « C'était un match d'un niveau extrêmement élevé »

Vincent Kompany, l'entraîneur du Bayern Munich, n'avait pas grand-chose à reprocher à ses joueurs après la défaite face au PSG (0-2), en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs. Vincent Kompany, entraîneur du Bayern Munich après la défaite face au PSG (0-2) en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs : « On ne peut pas vous dire que les garçons n'ont pas bien joué. C'est exactement la prestation dont on avait besoin. On était dans le match, l'équipe était bonne. Il y a un moment où on a fait ce qu'il fallait. Ils font deux erreurs et des cartons rouges. C'était jouable aujourd'hui (samedi) mais c'est le foot, ça se joue à des détails. Ça aurait pu se terminer à 1 ou 2-0 pour nous comme pour eux, ça a tourné en leur faveur. On a besoin de réussite parfois. On ne peut pas tout contrôler. C'était un match d'un niveau extrêmement élevé, avec une intensité très élevée. La situation de Jamal (Musiala) ? C'était émouvant. On a tous vu ce qui s'est passé, ce n'était pas beau à voir. On espère que ce ne sera pas trop grave et qu'il va se remettre. J'ai rarement été aussi énervé à la mi-temps. Un gars comme Jamal vit pour ça, il revient d'une blessure et nous, on est impuissants. Ce qui me fait bouillir est que c'est arrivé à un gars qui adore ce sport et qui est très important pour notre équipe. »

PSG-Bayern Munich : «Les deux équipes ont montré leur meilleure version», souffle Luis Enrique, ravi de la qualification
PSG-Bayern Munich : «Les deux équipes ont montré leur meilleure version», souffle Luis Enrique, ravi de la qualification

Le Figaro

timea day ago

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PSG-Bayern Munich : «Les deux équipes ont montré leur meilleure version», souffle Luis Enrique, ravi de la qualification

L'entraîneur parisien et son homologue munichois Vincent Kompany se sont exprimés suite au quart de finale de la Coupe du monde des clubs, remporté par le club de la capitale. «Le match a été un peu fou», a déclaré l'entraîneur du Paris SG Luis Enrique après la victoire contre le Bayern Munich (2-0) en quarts de finale du Mondial des clubs, samedi à Atlanta. «Le match a été très intense, comme nous nous y attendions, les deux équipes ont montré leur meilleure version», a dit Luis Enrique en conférence de presse au stade Mercedes-Benz. À découvrir Le calendrier complet du PSG «On est contents, à la fin le match a été un peu fou, un et deux joueurs de moins ça a été très difficile», a-t-il ajouté en référence aux exclusions de Willian Pacho puis de Lucas Hernandez. Dans la saison «nous avons montré que nous ne sommes pas une équipe violente, voulant faire des fautes», a souligné Luis Enrique. Publicité «Certains cartons n'étaient pas justifiés, déjà à 11 contre 11 ce n'était pas facile...» «Certaines décisions étaient étranges, nous les acceptons mais nous pensons que certains cartons n'étaient pas justifiés, déjà à 11 contre 11 ce n'était pas facile, après le premier carton rouge ça s'est compliqué, puis deux joueurs de moins c'était un peu la loterie», a commenté le coach. D'ordinaire, Luis Enrique ne s'exprime jamais sur les décisions arbitrales. «À la fin, n'importe quelle équipe aurait pu gagner, le Bayern aussi a fait un très bon match», a glissé Luis Enrique. Côté PSG, «dans la saison on a parlé de résilience, c'est une équipe qui a de la résilience, comme nos supporters. Nous sommes une équipe prête pour la compétition à tout moment, quel que soit le résultat», s'est réjoui Luis Enrique. Pour sa part, l'entraîneur du Bayern Munich Vincent Kompany a regretté: «On n'est pas récompensés mais c'était exactement cette performance dont nous avions besoin contre ce PSG». «Ils font une erreur, une deuxième erreur, la seule chose qui est dommage c'est de ne pas bénéficier d'un temps supplémentaire», a ajouté le coach. «C'était faisable aujourd'hui mais c'est ça le foot, ça se joue sur des détails, ça aurait pu être 1 ou 2-0 pour nous», a dit le Belge. «C'était un match extrêmement intense et au niveau extrêmement élevé», a-t-il salué.

Coupe du monde des clubs : la terrible blessure de Jamal Musiala, contraint de sortir sur blessure face au PSG, « ça fait froid dans le dos » (photo)
Coupe du monde des clubs : la terrible blessure de Jamal Musiala, contraint de sortir sur blessure face au PSG, « ça fait froid dans le dos » (photo)

Le Soir

timea day ago

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Coupe du monde des clubs : la terrible blessure de Jamal Musiala, contraint de sortir sur blessure face au PSG, « ça fait froid dans le dos » (photo)

Ce samedi, lors du quart de finale de la Coupe du monde des clubs opposant le Paris Saint-Germain au Bayern Munich, entraîné par Vincent Kompany, le match a connu un coup d'arrêt peu avant la fin de la première période. Le jeu a été interrompu pour permettre aux soigneurs d'intervenir sur Jamal Musiala, blessé. Le jeune joueur bavarois a été entouré par plusieurs membres du staff médical en dehors des limites du terrain, dans le camp parisien. La scène a rapidement semé l'inquiétude, y compris chez les commentateurs. Sur DAZN, Jonathan Anciaux a rapidement lâché : « Ça fait froid dans le dos », à la vue des images. L'incertitude plane désormais sur la gravité de sa blessure, un coup dur pour le Bayern et Vincent Kompany.

PSG-Bayern Munich : terrible blessure à la cheville pour Musiala, Donnarumma sous le choc
PSG-Bayern Munich : terrible blessure à la cheville pour Musiala, Donnarumma sous le choc

Le Parisien

timea day ago

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PSG-Bayern Munich : terrible blessure à la cheville pour Musiala, Donnarumma sous le choc

Il sortait tout juste de l'infirmerie, et il va malheureusement y retourner pour de longs mois. Ce samedi, en quarts de finale de Coupe du monde des clubs , Jamal Musiala retrouvait une place de titulaire pour la première fois depuis le 4 avril dernier. Victime d'une déchirure musculaire, il n'était revenu à la compétition qu'au début de cette Coupe du monde des clubs , se contentant de bouts de matchs. Vincent Kompany avait toutefois décidé de l'aligner d'entrée pour défier le Paris Saint-Germain ce samedi. Auteur d'un bon début de match, le milieu de terrain allemand s'est démené pour créer des occasions pour son équipe. Dans les arrêts de jeu, il a notamment tenté de devancer Gianluigi Donnarumma et Willian Pacho, une action qui lui a coûté cher. Pris dans le duel avec le portier italien, Jamal Musiala s'est visiblement fracturé la cheville. Sur les ralentis, on peut voir son pied, bloqué entre Donnarumma et la pelouse, dans le mauvais sens. Une image qui a beaucoup touché le gardien parisien. L'arbitre de la rencontre a finalement sifflé la mi-temps au vu de la gravité de la situation. Quelques minutes plus tard, alors que les Parisiens étaient aux vestiaires, l'Allemand a été évacué sur civière, entouré de ses coéquipiers.

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