Dernières actualités avec #Watson


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a day ago
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Whatsapp veut rendre vos discussions de groupe moins confuses
Accueil | Savoirs | Technologie | L'application teste une nouvelle fonction pour rendre plus clairs les échanges à plusieurs. Publié aujourd'hui à 18h30 L'application envisage différentes mesures pour fluidifier les échanges de groupe. KEYSTONE Vous avez rejoint le énième groupe dédié à l'anniversaire surprise d'un ami, à l'enterrement de vie de garçon d'un autre, ou encore à la sortie scolaire du petit dernier… Les groupes WhatsApp rythment nos quotidiens. Et avec eux un certain flou. Il n'est pas toujours facile de trouver les infos au milieu d'échanges qui fusent. WhatsApp réfléchit à différentes solutions pour amener plus de clarté dans les groupes, rapporte le média «Watson» . Les développeurs de l'application travailleraient ainsi sur des nouveautés, dont des résumés de conversations générés par intelligence artificielle. Selon la plateforme spécialisée WABetainfo , une fonction est en cours d'évaluation auprès des «bêta» testeurs. Améliorer la communication Pour l'heure, WhatsApp indique seulement le nom d'un utilisateur en train de rédiger dans une discussion de groupe. À l'avenir, le service pourrait afficher une mention du type: «Deux personnes écrivent.» Un détail utile? Selon le média spécialisé, cette fonction permettrait de mieux anticiper l'arrivée de nouveaux messages, et d'évaluer s'il est pertinent d'ouvrir la conversation à ce moment-là. Pour rappel, depuis avril 2025, il est aussi possible de voir combien de membres sont en ligne sur les groupes (sans toutefois savoir leur identité). La nouvelle fonction étudiée par les développeurs fait partie de la version bêta 2.25.20.17 de WhatsApp pour Android. Elle est jusqu'ici réservée aux testeurs, sans date de déploiement annoncée. Plus d'actualités sur WhatsApp Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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3 days ago
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Une éducatrice licenciée à Fribourg à cause d'un passé néonazi qui refait surface
La Commune de Chiètres (FR) a remercié une employée liée à des mouvements néonazis. Publié aujourd'hui à 16h00 La Commune fribourgeoise de Chiètres a remercié une collaboratrice aux affiliations néonazies; elle avait été engagée dans un service d'accueil extrascolaire. Unsplash L'affaire a secoué le canton de Fribourg en début d'année, quand la Commune de Chiètres a engagé, pour l'accueil extrascolaire, une employée soupçonnée d'être une influenceuse… néonazie. D'après «Watson» , cette femme, mariée à un «néonazi» connu du paysage romand, s'est illustrée sur les réseaux sociaux comme figure de proue de l'extrême droite germanophone. Peu après l'entrée en fonction de l'employée, le passé de cette dernière a rapidement refait surface dans la presse. Des photos la montrant tout sourire devant le camp de concentration d'Auschwitz ou posant aux côtés d'un groupe punk faisant l'apologie de Hitler ont été mises en lumière, apportant la preuve de ses affinités idéologiques. Ce lundi, «La Liberté» révèle que la Commune de Chiètres a finalement décidé de renvoyer cette collaboratrice. Cette décision fait suite à une enquête interne et repose sur «le passé personnel de l'employée, jugé incompatible avec ses fonctions». Les autorités communales précisent par ailleurs que «des mesures appropriées ont été prises immédiatement afin de garantir, à tout moment, un accueil stable, fiable et adapté aux enfants». L'actu du canton de Fribourg Newsletter «La semaine fribourgeoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Fribourg, chaque vendredi. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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6 days ago
- Sport
- 24 Heures
Pourquoi les bières vendues dans les stades de l'Euro 2025 font polémique
Accueil | Sports | Euro 2025 | Certains stades de l'Euro vendent de la bière en canettes, plutôt que dans des gobelets réutilisables. Une pratique jugée peu écologique. Publié aujourd'hui à 16h58 La vente de bière en canettes fait polémique dans certains stades de l'Euro. IMAGO/Bildbyran Quels points communs ont Bâle, Berne, Thoune, Zurich et Genève? Depuis le début de l'Euro, leurs stades servent des bières dans des canettes en aluminium. Et non dans des gobelets réutilisables, comme il est d'usage dans les enceintes suisses. Et comme le font d'ailleurs les stades de Sion, Saint-Gall et Lucerne durant la compétition. Dans ces cinq stades, les canettes sont ouvertes à l'aide de machines, le couvercle est retiré, et les bords arrondis. Comme le rapporte Watson , ces canettes contournent certaines réglementations locales. L'usage de vaisselle réutilisable lors d'événements publics est par exemple obligatoire à Bâle. Idem à Berne. Berne et Bâle répondent À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Partout où nous avons une influence, nous imposons le système de vaisselle réutilisable», a déclaré à SRF Marc Heeb, en charge de la ville hôte de Berne, dans des propos relayés par Watson. Ainsi, les bières sont servies dans des gobelets réutilisables dans la fan zone bernoise. La Direction de l'économie du canton de Berne a précisé au média que le stade du Wankdorf bénéficie d'une autorisation d'exploitation à long terme. Il n'est alors pas concerné, car la réglementation ne s'applique qu'aux événements ponctuels. À Bâle en revanche, la loi autorise la vente en canettes uniquement lorsqu'il n'est pas possible d'utiliser de la vaisselle réutilisable. Ce qui n'est visiblement pas le cas du Parc Saint-Jacques, qui en utilise durant les matchs du FCB. Sion relativise Pourtant, la durabilité et l'attention écologique sont affichées comme des priorités par l'UEFA et les villes hôtes. Contactée par Keystone-ATS, l'instance communique que «la vente en canettes s'inscrit dans l'engagement de l'instance en faveur d'un tournoi respectueux de l'environnement». En revanche, elle ne s'est pas prononcée sur le bilan écologique des canettes par rapport aux gobelets réutilisables. Du côté de Sion, pas de polémique en vue. Tant le stade de Tourbillon que la Ville utilisent des gobelets réutilisables. Contactée, Magali Reiser, cheffe de projet pour l'Euro à Sion, répond: «Nous nous plions à l'interdiction d'utiliser de la vaisselle jetable lors de manifestations publiques. Je ne m'occupe que de la ville, mais j'imagine que Tourbillon suit la même politique.» «Je comprends que cela puisse faire parler. Mais il faut relativiser. L'aluminium, s'il est correctement trié, se recycle», poursuit-elle. C'est aussi l'un des points de défense de l'UEFA; l'instance précise que les supporters sont invités à déposer leurs canettes vides dans des bacs de recyclage, à proximité des points de vente. Davantage sur l'Euro 2025 Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
10-07-2025
- Sport
- 24 Heures
Pourquoi l'Euro va gonfler le porte-monnaie des Suissesses
Accueil | Sports | Euro 2025 | Certaines footballeuses suisses vont gagner plus en un Euro qu'en une saison entière dans leur club. De quoi faire basculer leur vie. Publié aujourd'hui à 08h24 Toutes les joueuses suisses ne gagneront pas la même chose à la fin de l'Euro. Mais toutes sont assurées de recevoir un montant loin d'être anodin pour la majorité d'entre elles. BASTIEN GALLAY / GALLAYPHOTO En bref: La somme exacte qui tombera sur le compte en banque de chacune des joueuses de l'équipe de Suisse à l'issue de l'Euro tient encore du mystère. Plusieurs paramètres entrent en compte pour mieux brouiller les pistes. L'identité de la joueuse en question en est un, aussi bien que le stade de la compétition auquel la Suisse parviendra à se hisser. Mis à part peut-être pour Alisha Lehmann, multimillionnaire grâce à sa notoriété sur les réseaux sociaux, le chèque qui leur reviendra a le pouvoir d'ajouter un confort notable à leur vie. Voire de la changer. Le dernier rapport annuel de la FIFA, couvrant l'année 2024, donne une première idée de ce que touche une footballeuse professionnelle: 9'300 francs en moyenne. Par année. Il faut considérer que les internationales suisses, en leur qualité de meilleures joueuses du pays, sont globalement mieux loties. Ce qui ne veut pas toujours dire bien loties. En Suisse, certaines internationales touchaient des cacahuètes Un large tour d'horizon de la situation des sélectionnées suisses réalisé par «Watson» pose des chiffres sur les disparités qui les séparent. Si Nadine Böhi ou Noemi Ivelj viennent de quitter le championnat suisse pour l'Allemagne, c'est aussi parce qu'elles y gagnaient des cacahuètes. Rien de plus que le remboursement de ses frais pour la première, 500 francs mensuels pour la seconde. La Fribourgeoise Leila Wandeler, qui a offert le 2-0 à Alayah Pilgrim face à l'Islande, dit ne recevoir que 700 francs par mois à l'OL. Dans le sillage d'Alisha Lehmann, nombre de footballeuses complètent leurs revenus en prêtant leur image aux marques. Si Coumba Sow, seule internationale suisse militant encore dans le championnat national, dit gagner sa vie grâce au salaire que lui verse le FC Bâle, plusieurs posts sponsorisés sur sa page Instagram mettent du beurre dans ses épinards. La diversification des sources de revenus étant capitale dans un milieu encore précaire, l'attaquante est aussi l'héroïne d'une BD retraçant son histoire. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. C'est dans ce contexte qu'a débarqué l'Euro 2025 . Le football féminin de clubs n'attire encore que quelques milliers, parfois, à peine quelques centaines de spectateurs par match. Le changement de décor est total avec les stades (quasi) pleins du championnat d'Europe, quand bien même beaucoup d'invitations gratuites ont été distribuées. La conversion se fait naturellement: plus d'attention signifie plus d'argent. Rien de plus normal qu'une part retombe dans le porte-monnaie des principales concernées. Les joueuses suisses gagneront plus que le minimum exigé par l'UEFA Chacune des seize sélections en lice est assurée de toucher 1,7 million de francs en guise de prime de participation de la part de l'UEFA. Chaque victoire et qualification au tour suivant rapportent des bonus, jusqu'à un maximum de 4,7 millions pour les futures vainqueures. L'instance européenne oblige les Fédérations à remettre au minimum entre 30 et 40% de la somme aux joueuses. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. L'Association suisse de football ne dit pas combien elle reversera à ses footballeuses. «Au total, cela représentera plus que ces 40%. Si l'on prend en compte les primes de l'UEFA, de l'ASF et des sponsors», détaille Adrian Arnold, porte-parole de la Fédération. En Suisse, toutes les joueuses ne recevront pas une part égale du butin. «Il existe une petite disparité, du fait des contrats de sponsoring.» Il faut par exemple imaginer que Lia Wälti, égérie pendant l'Euro de Swisscom, sponsor principal de l'ASF, touchera plus que certaines internationales moins médiatisées. En l'état, chaque Suissesse est assurée de toucher au minimum 30'000 francs à l'issue de la compétition. Un montant qui doit rester en travers de la gorge des joueuses que Pia Sundhage a décidé de laisser à la maison, effectif limité à 23 éléments oblige. En cas de victoire face à la Finlande jeudi, synonyme d'accession aux quarts de finale, ce devrait être plus de 10'000 francs, qui s'ajouteront à leur total personnel. L'ensemble représente plus que ce que touchait Sandrine Mauron à Servette en une année, soit 3'000 francs mensuels. Lorsqu'une internationale prétend que l'Euro a changé sa vie, ce n'est pas qu'une image. D'autres articles à propos de l'Euro 2025 Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Florian Vaney est journaliste au sein de la rédaction sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Formé dans la presse régionale, il suit de près le football suisse, des divisions «des talus» à la Super League. Il s'intéresse aux événements du terrain, mais plus encore aux histoires – belles et moins belles – qui naissent autour. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.