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3 hours ago
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L'Anglaise Lucy Bronze « choquée » par l'absence de Wendie Renard avec l'équipe de France pour l'Euro
À la veille du match France-Angleterre pour la première journée de l'Euro féminin ce samedi (21 heures), l'Anglaise et ancienne Lyonnaise Lucy Bronze a estimé que le jeu des Bleues sera affaibli par l'absence de Wendie Renard. À la veille du match France-Angleterre, ce samedi (21 heures) pour la première journée de l'Euro féminin, l'Anglaise et ancienne Lyonnaise Lucy Bronze a estimé que le jeu des Bleues sera affaibli par l'absence de Wendie Renard (34 ans), non sélectionnée pour la compétition. Même si elle sait que la France, comme l'Angleterre, est une équipe en pleine transition, la latérale droite, championne d'Europe en titre avec sa sélection et triple vainqueure de la Ligue des champions avec l'OL et Renard (2018, 2019, 2020) s'est dite « choquée » par la décision de Laurent Bonadei de se séparer de sa capitaine. « Wendie est une bonne amie. Elle incarne parfaitement ce que je qualifierais de capitaine, a estimé Bronze (33 ans), vendredi devant les médias. J'aurais préféré qu'elle soit là. Je pense que cela aurait été bénéfique pour le jeu, pour l'équipe de France. J'aurais adoré qu'elle soit sur le terrain samedi. Je suis sûr qu'elle sera dévastée de ne pas participer à l'Euro. Le manager a pris une autre direction. C'est comme ça que fonctionne parfois le football. C'est un choc. »


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7 hours ago
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La révolution chez les Bleues sera-t-elle suffisante pour rivaliser avec l'Angleterre dans le premier choc de l 'Euro ?
Un an après le terrible échec des JO à domicile, c'est une équipe de France repensée par Laurent Bonadei qui s'attaque à l'Euro. Le choc contre l'Angleterre samedi soir (21 heures) en dira plus sur le vent de renouveau qui souffle sur les Bleues. Montbéliard n'est qu'à une vingtaine de kilomètres de la Suisse, mais l'équipe de France a parcouru un sacré chemin en moins d'un an. Le 25 octobre, les Bleues avaient accueilli la Jamaïque à Bonal, meurtries par l'élimination en quarts de finale (encore !) des Jeux Olympiques (0-1 contre le Brésil). Elles avaient emporté la victoire (3-0) devant un stade bien garni (11 000 spectateurs). Mais l'équipe d'alors n'a plus grand-chose à voir avec celle qui va débuter son Euro aujourd'hui (21 heures) pour un choc contre l'Angleterre. « On a des responsabilités différentes d'avant. Il y a eu énormément de changements », a confirmé Sakina Karchaoui, hier. Estelle Cascarino s'est gravement blessée à un genou. Constance Picaud n'est plus la gardienne titulaire. Les aspirantes Margaux Le Mouël, Julie Dufour, Vicki Becho ou Cindy Caputo ont laissé la place à Alice Sombath, Melween N'Dongala et Melvine Malard. La France voulait panser ses plaies, alors Laurent Bonadei a pensé qu'il fallait prendre des décisions fortes. Titulaires contre les Jamaïquaines, Wendie Renard et Kenza Dali ne font plus partie de son effectif depuis fin mai. Eugénie Le Sommer non plus. L'électrochoc a fait partir 444 sélections en fumée et a sonné le groupe. « Certaines étaient plus affectées que d'autres, avait reconnu Bonadei. Quand on a tant joué avec ces joueuses, qu'il y a de l'amitié, on est forcément marqué par le destin de ses amies. » Une série en cours de huit victoires Le nouveau sélectionneur de l'équipe de France, nommé l'été dernier à la place d'Hervé Renard dont il était l'adjoint, a donc fait sa révolution mois après mois. « Tout le monde a sa chance, mais personne n'est indispensable », avait-il asséné lors de sa prise de fonctions. Comme une prémonition. « Einstein disait que la folie c'est de toujours faire la même chose et de s'attendre à des résultats différents. Comme je souhaite des résultats différents, j'ai décidé de faire autrement », avait-il assumé à l'annonce de sa liste, qui avait créé un séisme dans le monde du football féminin. De quoi faire taire ceux qui le considéraient comme trop conservateur au début de son mandat. Les joueuses, elles, ont bien reçu le message. Les trentenaires (Majri, Peyraud-Magnin) ont senti le vent du boulet et compris ce que le pragmatique Bonadei attendait d'elles pour réussir son pari. Les autres ont pris leurs responsabilités. Elles ont enchaîné 8 victoires depuis la claque reçue à Nice face à l'Espagne (2-4, le 3 décembre), se qualifiant notamment pour les demi-finales de la Ligue des nations. Le 3-4-3, tenté contre la Jamaïque, le Nigeria (2-1) et la Roja, a laissé place à un 4-3-3 efficace dans les deux surfaces. La France a déjà un plan de jeu bien identifié, avec une possession qui tourne presque toujours au-dessus de 60 %, beaucoup d'intensité et un bloc médian-haut. « C'est toujours une équipe très forte. Il y a des nouvelles qui ont beaucoup de talent, de puissance, de vitesse », a admiré hier la sélectionneuse de l'Angleterre Sarina Wiegman. « Aujourd'hui, nous sommes plus qu'une équipe : nous sommes un collectif. » Laurent Bonadei, sélectionneur des Bleues Au-delà de l'aspect technico-tactique, c'est le « projet de vie » si cher à Bonadei qui a peu à peu pris de l'épaisseur. Avec l'aide du préparateur mental Thomas Sammut, le staff a patiemment créé une belle émulation. « Notre premier pilier, c'est le relationnel. Il doit être franc, sincère, a-t-il détaillé. J'ai vu les joueuses s'ouvrir les unes aux autres, aux médias, aux supporters. Par petits pas. Aujourd'hui, nous sommes plus qu'une équipe : nous sommes un collectif. » Une entraîneuse française nous expliquait d'ailleurs récemment qu'elle sentait le groupe comme « libéré d'un poids ». Griedge Mbock, nouvelle capitaine qui fait le pont entre les différentes générations, met souvent en avant l'insouciance d'une équipe rajeunie, moins marquée par les (trop) nombreux échecs passés. « Les JO ont été la plus grosse déception. C'était à la maison, on voulait écrire l'histoire. Je ne désespère pas, j'espère qu'on pourra ramener un premier titre », nous confiait-elle récemment. La défenseuse parisienne, de nouveau blessée à l'issue d'une saison compliquée pour elle sur ce plan, ne sera pas sur le terrain face aux Anglaises pour ce qui est le premier chapitre de la nouvelle histoire bleue. Karchaoui, l'une des trois vice-capitaines, le sait mieux que quiconque : « Personne n'est irremplaçable. »


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21 hours ago
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« Cette équipe est encore très forte », Sarina Wiegman, la sélectionneuse de l'équipe d'Angleterre à propos de l'équipe de France
Sarina Wiegman, la sélectionneuse de l'Angleterre, s'est montrée très positive au moment d'évoquer l'équipe de France, ce vendredi, à la veille du choc entre les Lionesses et les Bleues en première journée de l'Euro. Sarina Wiegman, la sélectionneuse de l'Angleterre, a été interrogée ce vendredi, veille de match contre la France sur l'absence de Wendie Renard. La technicienne néerlandaise a botté en touche. « Je pense qu'elles ont joué des matches sans elle, elle n'a pas toujours été disponible, a rappelé Wiegman. Les choses ont changé pour elles, Wendie Renard n'est pas dans l'équipe, je n'ai pas le contexte, je n'étais pas dans leur groupe. C'est une légende absolue. Le Sommer aussi est absente, ce sont des légendes du football mondial. Elles restent des pionnières, même si elles ne sont pas là. » Relancée un peu plus tard sur le niveau de cette équipe française rajeunie, Wiegman a assuré qu'elle trouvait la sélection française « toujours très forte » malgré les absences de Renard et Le Sommer. « Il leur reste de super joueuses, a-t-elle rappelé. Elles ont beaucoup de talent. C'est une équipe puissante et rapide, elles peuvent très bien jouer. » Aux côtés de Wiegman pour la conférence de veille de match, Leah Williamson a dit tout le bien qu'elle pensait de Sandy Baltimore. « J'ai toujours aimé Sandy comme joueuse, je la regardais jouer avant même qu'elle vienne à Chelsea, a expliqué la capitaine anglaise. C'est une joueuse polyvalente, agile, elle a une super frappe. »


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a day ago
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Quid des bannies Wendie Renard, Eugénie Le Sommer et Kenza Dali au moment où les Bleues s'apprêtent à faire leurs débuts à l'Euro ?
Tandis que les Bleues vont faire leur entrée en lice à l'Euro samedi face à l'Angleterre (21 heures), Wendie Renard, Eugénie Le Sommer et Kenza Dali ont pris la parole mais sans vraiment révéler le fond de leur pensée. Dans un souci de protéger le groupe, elles s'exprimeront plus en profondeur après la compétition. Six semaines après la révélation de la mise à l'écart de Wendie Renard (34 ans, 168 sélections, 39 buts), Eugénie Le Sommer (36 ans, 200 sélections, 94 buts) et Kenza Dali (33 ans, 76 sélections, 13 buts) par Laurent Bonadei, l'écho de cette décision majeure se fait encore soir, la défenseuse d'OL Lyonnes est sortie de son silence dans le cadre d'un entretien diffusé sur la chaîne Martinique La Première. « J'ai compris à travers la conférence de presse (d'annonce de la liste, le 5 juin) que je ne ferais pas l'Euro, a confié l'ancienne capitaine des Bleues, qui fêtera ses 35 ans le 20 juillet. J'ai eu un coup de fil du sélectionneur avant puisqu'il y a eu deux matches de Ligue des nations. Mais après c'est son choix, je dois le respecter et l'accepter. Mais c'est incompréhensible. (...) On se pose plein de questions, des questions qui sont dans ma tête et que je garderai pour moi. Il y a de l'injustice dans tout ça. Moi, en tout cas, je peux me réveiller le matin et me regarder dans une glace. J'ai tout donné. Seul Dieu sait pourquoi je ne suis pas dans cette liste. C'est un choix du sélectionneur mais chaque chose en son temps. M'exprimer plus ? Cela viendra mais ce n'est pas le moment. Je souhaite à cette équipe de pouvoir réussir et d'obtenir le titre. » Une posture confirmée ce jeudi par Clara Mateo en conférence de presse : « Elle est humaine avant tout, mais elle est derrière l'équipe de France. »« Effondrée » par sa mise à l'écart, comme nous l'avait confié une source proche de la joueuse en mai, Wendie Renard s'est réfugiée dans le travail pendant ses vacances. On l'a ainsi vue s'entraîner d'arrache-pied avec un préparateur physique dans des vidéos partagées sur ses réseaux sociaux. « Je pense à elle très souvent, je lui écris de temps en temps même si je sais qu'elle est en vacances et qu'il faut la laisser tranquille », nous avait expliqué son amie Selma Bacha, émue, il y a quelques jours à Clairefontaine. « C'était un coup dur pour elle. J'ai dû être un peu à ses côtés pour la remotiver » Delphine Cascarino, à propos de Kenza Dali Eugénie Le Sommer, pour qui la décision a été « dur(e) à encaisser » comme elle l'a confié fin mai dans le podcast de Louise Aubery, InPower, a passé les dernières semaines à se ressourcer et à recharger les batteries en famille en Bretagne, sa région d'origine. Elle a reçu la médaille de la ville de Lyon, une allée à son nom a été dévoilée à Dieppe puis elle a signé en faveur du club mexicain de Toluca. Tout cela ne consolera sans doute pas la recordwoman des sélections et des buts en Bleues d'avoir été privée de l'Euro. Kenza Dali, qui s'était rapidement exprimée avec un post de soutien à Le Sommer ponctué d'un émoji « menteur » (« Seize ans de passion, 94 buts, une leader incontestée mérite beaucoup mieux qu'un simple appel de quelques minutes à quelques semaines d'une compétition »), brille avec les San Diego Waves. Toujours titulaire, elle a été élue dans l'équipe type du Championnat au mois d'avril. Le 7 juin, elle a promis au Guardian qu'elle donnerait sa vérité après le tournoi : « J'espère vraiment qu'elles réussiront. J'ai trop de respect pour le maillot pour donner ma version de l'histoire maintenant. Mais c'est difficile pour moi, car j'ai peut-être joué mon meilleur football. C'est vraiment difficile à digérer parce qu'il y a beaucoup de mensonges dans l'histoire qui ont été racontés ».Arrivée la semaine dernière à Clairefontaine pour rejoindre les Bleues, Delphine Cascarino, sa coéquipière en club, a confirmé que Dali était « déçue et surprise ». « Elle ne s'y attendait pas, a ajouté l'ailière. C'était un coup dur pour elle. J'ai dû être un peu à ses côtés pour la remotiver. Cela ne s'est pas ressenti sur ses performances à San Diego, elle est toujours très performante. Je suis triste pour elle, mais c'est la vie et le foot malheureusement. »

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a day ago
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« J'ai toujours perçu la France comme une force » : Sarina Wiegman, sélectionneuse de l'Angleterre, analyse le foot français
Début mai, la sélectionneuse de l'Angleterre a évoqué le choc très attendu face aux Bleues, mais aussi son rapport au foot hexagonal et à ses figures marquantes, de Wendie Renard à Didier Deschamps. S'il y a une personne qui s'est réjouie de la mise à l'écart de Wendie Renard des Bleues, c'est bien Sarina Wiegman. Début mai, on avait en effet interrogé en visio la sélectionneuse double championne d'Europe en titre (avec les Pays-Bas en 2017 et l'Angleterre 2022), dans le cadre d'un entretien réservé aux médias hexagonaux, à propos des principaux atouts de la France, en vue du choc programmé samedi à Zurich (21 heures). Et la Néerlandaise de 55 ans avait spontanément évoqué la Lyonnaise, avant que celle-ci ne soit donc écartée par Laurent Bonadei : « Ce que Wendie Renard a accompli comme joueuse, c'est tellement impressionnant, et ce qu'elle a fait comme leader aussi. Elle est plus qu'une joueuse de football. La manière dont elle représente son pays et son club, c'est sensationnel. » Au-delà de Renard, Wiegman ne tarissait pas d'éloges au sujet de ces Bleues qu'elle avait affrontées deux fois en qualifications, avec à la clé une défaite 1-2 à Newcastle (le 31 mai 2024) et un succès décroché sur le même score à Saint-Étienne, le 4 juin 2024 : « La France est très puissante, avec des joueuses athlétiques. Les deux rencontres que l'on a disputées face à elle se sont révélées très différentes. (...) J'avais adoré notre première mi-temps à Saint-Étienne, une des meilleures que l'Angleterre ait disputées depuis que je suis en poste (en janvier 2021). » Puis, on a sollicité l'ancienne milieu de terrain internationale (1987-2001) et sélectionneuse des Pays (2017-2021), à propos d'un affrontement face aux Françaises qui l'aurait particulièrement marquée. « C'était une rencontre que j'avais disputée dans votre pays (France - Pays-Bas 2-1 le 15 avril 2000, à Castanet-Tolosan), lors de laquelle je suis devenue la joueuse la plus capée des Pays-Bas (Wiegman a terminé sa carrière avec 99 sélections). Sandrine Soubeyrand avait joué ce match. À cette époque Sonia (Bompastor) évoluait aussi en équipe de France, je me rappelle très bien d'elle en tant que joueuse, car elle était très forte... Je lui en reparlé récemment, mais elle n'avait aucun souvenir de m'avoir affrontée. Bon ça va, je ne le prends pas mal (elle sourit). J'apprécie beaucoup son travail aujourd'hui en tant que coach (à Chelsea). » « La France favorite ? Oui. Avec les qualités dont dispose votre équipe, oui » Sarina Wiegman Au final, malgré le palmarès vierge des Françaises, Wiegman associe celles-ci à une menace constante : « Depuis que je fréquente le football international, j'ai toujours perçu la France comme une force, même si elle n'a pas toujours progressé jusqu'en demi-finales des grands tournois (une seule disputée depuis 2013). » Dès lors, considère-t-elle que la formation entraînée par Bonadei comme l'une des favorites pour remporter cet Euro ? « Oui. Avec les qualités dont dispose votre équipe, oui. » Un constat qui l'incite à anticiper que le match de samedi sera « totalement équilibré ». On se risque alors à comparer la situation actuelle de l'équipe de France à celle de l'Angleterre avant l'Euro 2022, à savoir une sélection qui n'avait alors jamais remporté de titre majeur et dont la victoire finale lors de cette compétition a permis de renforcer outre-Manche l'intérêt pour le foot féminin. Un scénario comparable serait-il envisageable dans l'Hexagone en cas de triomphe des Bleues en finale le 27 juillet ? À écouter la réponse prudente de notre interlocutrice, on subodore, en creux, qu'elle n'est pas convaincue par les structures actuelles du foot pro féminin français : « Il y a trois ans, l'Angleterre était prête à gagner. L'infrastructure était là. On sentait que si on gagnait, tout pouvait s'enclencher. Notre victoire a été un incroyable stimulant pour le football féminin (...) mais les clubs étaient déjà prêts. Le Championnat était déjà aussi d'un niveau très relevé ». En guise de conclusion, on suggère à Wiegman deux potentielles sources d'inspiration françaises pour la suite de sa carrière : serait-elle de tentée de faire « une Deschamps », en s'installant sur le long terme sur le banc d'une sélection à succès, ou de faire « une Corinne Diacre », en tentant sa chance dans le management masculin, comme l'avait cette dernière à Clermont (2014-2017) ? La seconde hypothèse ne la tente guère : « Cette idée m'a traversé l'esprit... parce que vous journalistes me la posez tout le temps ! (...) Mais est-ce qu'y songe sérieusement ? Non. » Quant à la perspective de rester quatorze ans sélectionneuse de l'Angleterre, pour égaler la longévité de « DD » à la tête des Bleus, elle refuse de l'envisager, en dépit de la prolongation l'an dernier de son contrat avec la fédération anglaise jusqu'en 2027 : « Faire une Deschamps ? (elle rit) Il a fait un travail formidable. Mais pour être honnête je n'ai jamais eu de plan de carrière. Et si j'en avais eu un, il n'aurait pas été dans le foot, car, quand j'étais jeune il n'y avait aucune opportunité pour une femme d'entraîner (...). Aujourd'hui le foot féminin change si vite que je me demande souvent à quoi il va ressembler dans 5 ou 10 ans... ». En attendant de se projeter aussi loin, Wiegman a minutieusement préparé ce match déjà crucial face aux Françaises. Une rencontre que la Néerlandaise aborde, au vu de son CV et de celui de son équipe, en position de force, même si elle n'a cessé, face à nous, de prétendre le contraire. À lire aussi Les Bleues ont lancé leur préparation en public A Liverpool, des larmes et de la sidération Jota, un footballeur de plus fauché en pleine gloire Le PSG lui aussi meurtri par le décès de Jota