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« Qu'on soit arbitré comme l'équipe de France » : le nouveau coup de pression de Fabien Galthié sur l'arbitrage
« Qu'on soit arbitré comme l'équipe de France » : le nouveau coup de pression de Fabien Galthié sur l'arbitrage

Le Parisien

time13 hours ago

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« Qu'on soit arbitré comme l'équipe de France » : le nouveau coup de pression de Fabien Galthié sur l'arbitrage

La ritournelle est connue. Le sélectionneur du XV de France active tous les ressorts possibles pour éviter de rentrer bredouille après le 3e test-match contre les All Blacks, ce samedi (9 h 5) à Hamilton. Déjà battus deux fois (31-27 à Dunedin puis 43-17 à Wellington), ces Bleus sans leurs principales stars ( Dupont, Ntamack, Bielle-Biarrey, Penaud, Ramos, Alldritt…) auraient bien besoin d'un succès face à des Néo-Zélandais qui ont décidé de procéder à une sérieuse revue d'effectif (dix changements) pour l'occasion. Alors, Fabien Galthié a profité de la conférence de presse suivant l'annonce de la composition d'équipe ce jeudi pour mettre la pression sur l'arbitrage. « Je veux qu'on soit arbitré comme l'équipe de France, pas comme une petite nation », a-t-il lancé, citant deux actions de la défaite de Wellington, la plus lourde depuis sa prise de fonctions fin 2019, qui auraient dû valoir selon lui un essai de pénalité et un carton jaune pour le joueur néo-zélandais fautif. « On a l'impression qu'il n'y a qu'une équipe qui est observée en défense et en attaque, a-t-il insisté, quelques minutes avant la traditionnelle réunion entre le staff et les arbitres du match à venir. Nous avons besoin d'être arbitrés comme si l'on jouait sur un terrain neutre, (il répète) neutre. Je n'ai pas l'habitude de m'étendre sur l'arbitrage, mais quand j'ai des attentes, je les partage. Neutralité. » Les Bleus défavorisés ? La rengaine ne tient plus vraiment. Malgré la vidéo, les décisions arbitrales, en rugby, laissent encore une bonne place à l'interprétation et selon que son coeur penche d'un côté ou de l'autre, la sanction ou l'absence de sanction n'est évidemment pas vécue de la même façon. Lors du 1er test-match, par exemple, trois essais avaient été refusés aux All Blacks alors que deux d'entre eux, au moins, paraissaient parfaitement valables. Ce coup de pression du sélectionneur influencera-t-il l'arbitre australien Angus Gardner ? Ce dernier a déjà arbitré les Bleus, notamment lors du Tournoi des Six Nations. En 2024, les joueurs de Fabien Galthié avaient coiffé les Anglais (33-31) et le 8 mars 2025, ils avaient balayé les Irlandais à Dublin (27-42), s'ouvrant la voie du sacre dans la compétition. Deux jours avant le match, déjà, le sélectionneur du XV de France avait averti l'arbitre Angus Gardner. « On a besoin d'un cadre qui nous permette d'exploiter notre stratégie, avait-il imploré. On a besoin d'être accompagnés par un arbitrage déterminant. On a besoin d'avoir une grande équité sur les points clés pour lesquels nous avons préparé ce match, c'est-à-dire les phases de conquête, la mêlée, les ballons portés… » Deux jours plus tard, le résultat avait été conforme à ses attentes. Bis repetita ?

All Blacks : «Il y a de la concurrence partout», une vague de changements annoncée pour le 3e test-match face aux Bleus
All Blacks : «Il y a de la concurrence partout», une vague de changements annoncée pour le 3e test-match face aux Bleus

Le Figaro

time4 days ago

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All Blacks : «Il y a de la concurrence partout», une vague de changements annoncée pour le 3e test-match face aux Bleus

Après les deux victoires face au XV de France, le sélectionneur néo-zélandais Scott Robertson veut suivre son plan de «faire jouer tout le monde» d'ici le troisième match, samedi à Hamilton. Le sélectionneur de la Nouvelle-Zélande Scott Robertson devrait procéder à de nombreux changements pour le troisième test-match face à la France samedi à Hamilton, après deux premières victoires. «Le plan (sur l'ensemble de la série contre la France) était de faire jouer tout le monde» sur le groupe de 33 joueurs «et c'est toujours le cas», a confirmé Robertson lundi en conférence de presse. Il n'avait que très peu changé son équipe entre le premier test, remporté avec peu de marge à Dunedin (31-27) et le deuxième qui a été bien plus facilement dominé (43-17) avec trois changements en tout, dont deux contraints par des blessures. «Il y a de la concurrence partout, c'est exactement ce qu'on veut: créer de la profondeur, être quatre joueurs pour chaque poste», a-t-il souligné. Publicité «Il n'y aura pas de manque de motivation» Dimanche, l'entraîneur adjoint Jason Holland avait tenu un discours similaire, assurant que «l'état d'esprit général était que tout le monde puisse goûter aux test-matchs». «Il n'y aura pas de manque de motivation et je suis sûr que les gars vont ajouter un truc quand ils en auront l'opportunité», avait-il ajouté. Lundi, Scott Robertson a notamment pointé la seconde période, où ses joueurs «ont moins bien fini les actions» après une première période à sens unique (29-3). Côté infirmerie, Robertson est privé notamment de Tupou Vaa'i, qui a subi une commotion lors du deuxième match en plus de Scott Barrett, Caleb Clarke, Tamaiti Williams et Wallace Sititi. En revanche, il enregistre le retour du troisième ligne Luke Jacobson, du pilier Tyrel Lomax et du centre Anton Lienert-Brown ainsi que de l'ailier Sevu Reece, de nouveau apte après sa commotion lors du premier match.

DIRECT. Nouvelle-Zélande - France : suivez ce nouveau test majeur pour les Bleus
DIRECT. Nouvelle-Zélande - France : suivez ce nouveau test majeur pour les Bleus

Le Parisien

time6 days ago

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DIRECT. Nouvelle-Zélande - France : suivez ce nouveau test majeur pour les Bleus

Défait d'une courte tête lors du premier match de la tournée face aux All Blacks, le XV de France veut continuer sur sa lancée ce samedi, en Nouvelle-Zélande. Par Le Parisien Le XV de France a encore un beau défi samedi Photo: Dave Lintott / — France Rugby (@FranceRugby) July 10, 2025 On démarre avec le deuxième match de la tournée des Bleus en Nouvelle-Zélande. Coup d'envoi à 9h05. Après leur petite défaite (31-27) leur du premier match de la tournée d'été, les Bleus de Fabien Galthié veulent prendre leur revanche face aux All Blacks. Coup d'envoi à 9h05. L'équipe de France a largement remanié son effectif pour cette deuxième rencontre avec pas moins de 10 changements. La compo du XV de France : Barré - Attissogbe, Depoortere, Barassi, Gailleton - (o) Segonds, (m) Le Garrec - Van Tonder, Abadie, Bochaton - Halagahu, Brennan - Colombe, Barlot (cap.), Erdocio. Lire le journal

XV de France : «Un leader de combat et un travailleur de l'ombre», la fierté de Barlot qui va être capitaine des Bleus
XV de France : «Un leader de combat et un travailleur de l'ombre», la fierté de Barlot qui va être capitaine des Bleus

Le Figaro

time6 days ago

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XV de France : «Un leader de combat et un travailleur de l'ombre», la fierté de Barlot qui va être capitaine des Bleus

L'ancien talonneur de Castres et futur joueur de Bordeaux-Bègles va porter le brassard de capitaine lors du deuxième des trois test-matches face aux All Blacks. Le XV de France doit confirmer samedi que la belle résistance face à la Nouvelle-Zélande lors du premier match de la tournée d'été n'était pas qu'un feu de paille, dans des conditions de jeu bien différentes. De la pluie, du vent et un terrain sans doute déjà abîmé par un match joué auparavant : sans l'agréable toit et la pelouse synthétique de Dunedin, la rencontre à Wellington (09h05 heures française) promet d'être un champ de bataille. Pour ce deuxième-test, le talonneur Gaëtan Barlot, ancien joueur de Castres et futur de Bordeaux-Bègles, sera le 100e capitaine de l'histoire du XV de France. «C'est une belle fierté d'être capitaine pour ce deuxième match. Ça vient récompenser huit années de travail dans le monde professionnel, à ne rien lâcher, a-t-il déclaré lors d'un point presse d'avant-match. À jouer un rugby de combat comme je l'aime. Ça vient aussi récompenser mon parcours et ce qui s'est passé avant le rugby. Je pense être un leader de combat, un travailleur de l'ombre. Je ne suis pas un grand orateur. Je pense davantage être un exemple par le combat, quelqu'un qui enchaîne les tâches.» Publicité Et de revenir sur le chemin qui l'a conduit en équipe de France et à cet honneur de porter le brassard de capitaine : «Mon parcours est atypique, c'est la vie. Aujourd'hui, j'en suis heureux. C'est beau d'être ici en tant que capitaine du XV de France. Si j'ai un conseil à donner, c'est de ne rien lâcher et de prendre du plaisir. C'est ça qui permet d'atteindre le haut niveau.»

« On ne peut pas préparer les All Blacks en se faisant des bisous ou des câlins » : Fabien Galthié ambitieux avant le deuxième test en Nouvelle-Zélande
« On ne peut pas préparer les All Blacks en se faisant des bisous ou des câlins » : Fabien Galthié ambitieux avant le deuxième test en Nouvelle-Zélande

L'Équipe

time10-07-2025

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« On ne peut pas préparer les All Blacks en se faisant des bisous ou des câlins » : Fabien Galthié ambitieux avant le deuxième test en Nouvelle-Zélande

Fabien Galthié, le sélectionneur du XV de France, s'attend à une montée en gamme de la part des All Blacks pour le deuxième test samedi à Wellington (9h05). Et il a préparé son quinze new-look en conséquence. « Quel a été votre cheminement de pensée pour ne garder que cinq titulaires du premier test face à la Nouvelle-Zélande (27-31) ?Déjà, il était prévu de lancer les finalistes (du Top 14) le plus rapidement possible (Brennan, Barassi, Depoortere, Bochaton, Vergnes-Taillefer). C'était un engagement donné à leur manager. Ce sont les deux meilleurs clubs de la saison (Toulouse et Bordeaux), ils méritent d'être représentés avec l'équipe de France. Ensuite, nous avons voulu relancer Georges-Henri Colombe parce que nous avons besoin de profondeur à ce poste. Esteban Abadie a fait une belle saison, on veut le revoir après sa première sélection l'an passé, contre l'Italie. On voulait revoir Baptiste Erdocio, qu'on avait lancé en Angleterre. Léo Barré revient aussi : son dernier match, c'était en Italie pour le Tournoi, il avait été élu homme du match. Pierre-Louis Barassi, blessé avant le dernier match du Tournoi des 6 Nations, revient en forme. On a amené des joueurs au bout de monde, il faut qu'ils jouent. La débauche d'énergie du premier test vous a peut-être poussé à reposer certains joueurs ?Oui bien sûr, certains devaient récupérer, jouer les All Blacks trois semaines de suite, c'est très difficile. On a laissé en régénération le capitaine Gaël Fickou, Alexandre Fischer, Hugo Auradou, Gabin Villière... des joueurs sur qui on compte pour le troisième test (le 19 juillet). Vous dites avoir besoin de trouver de la profondeur en numéro 8 mais Esteban Abadie n'a pas l'habitude d'y que Mickaël Guillard avait l'habitude de jouer en 8 ? On essaie de développer de nouveaux potentiels, c'est vrai, parce qu'en France ce sont souvent des joueurs non sélectionnables qui évoluent à ce poste. Esteban est très bon dans l'aérien, il va vite. Il est moins puissant, moins lourd que "Mika", plus régulateur. Vous disiez être convaincu que les All Blacks progresseraient entre les tests 1 et 2. Sur quoi par exemple ?Sur la stratégie, les zones à développer. Ils sont dangereux tout le temps mais ils n'ont pas utilisé toutes leurs armes, je pense. Même si on a eu une balle de match, on a été en danger toute la partie. On a eu beaucoup de temps faibles mais on a eu une balle de match, et c'était ça notre mission. Un mot sur Gaëtan Barlot, nommé capitaine pour la première est passé par Colomiers (sourire). Il a performé à Dunedin, il a été leader de combat comme il l'a toujours été avec nous. Je n'ai pas souvenir d'un match avec nous où Gaëtan serait passé à côté. « Il ne faut pas se sous-estimer et parfois, samedi dernier, il y a eu un complexe. Il faut l'évacuer et se dire qu'on est aussi capables. On a des armes, nous aussi » Vous avez beaucoup défendu la semaine dernière, beaucoup rendu les possessions aux Néo-Zélandais. Quelle sera la stratégie, cette fois-ci ?Il faut être clair dans le rapport de force. Il faut être clair et simple. Ces équipes vont nous obliger à de grandes séquences défensives dans lesquelles on doit progresser. On doit mieux comprendre leur animation offensive. Sur la partie possession, on peut être plus ambitieux. On est fan des All Blacks mais quand on joue contre eux, c'est la possibilité de se mesurer et d'être ambitieux. Il ne faut pas se sous-estimer et parfois, samedi dernier, il y a eu un complexe. Il faut l'évacuer et se dire qu'on est aussi capables. On a des armes, nous aussi. On vous a entendu piquer les joueurs cette semaine à l'entraînement. Vous vouliez justement les réveiller ?L'entraînement, c'est la préparation au chaos. Il doit être plus rapide, plus intense que le match. Il faut se préparer à vivre des émotions très fortes à l'entraînement pour être prêts à les vivre en match. On ne peut pas préparer un match face aux All Blacks en se faisant des bisous ou des câlins. Théo Attissogbe reçoit énormément de compliments ici. On le compare à Serge Blanco dans la presse néo-zé sent qu'il sait ce qu'il veut, Théo. C'est vraiment le joueur qui se développe, qui est juste, qui comprend les enjeux. C'est un exemple à suivre pour beaucoup de jeunes joueurs. »

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