Dernières actualités avec #agression


Le HuffPost France
8 hours ago
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Soraya Riffy victime d'un cambriolage à Marseille, l'influenceuse porte plainte après la violente agression
FAITS DIVERS - Une soirée « terrible ». L' influenceuse Soraya Riffy a été violemment agressée lors d'un cambriolage à son domicile marseillais ce vendredi 4 juillet par trois individus armés qui l'ont « ligotée, tabassée et aspergée d'eau de javel » avant de prendre la fuite. Soraya Riffy, 30 ans, suivie par un million d'abonnés sur Instagram, a été hospitalisée et souffre de « plusieurs fractures au visage et de nombreuses coupures sur tout le corps », a précisé son avocat Tom Michel, confirmant une information du Parisien. « Madame Riffy a été victime d'un homejacking terrible vendredi autour de 21 h 30, quand une personne se faisant passer pour un voisin s'est présentée à sa porte avant de faire entrer d'autres individus armés dans l'appartement », a raconté son avocat. Pendant plus d'une heure et demie, les agresseurs, qui étaient au moins trois, l'ont « ligotée, rouée de coups sous la menace d'une arme de poing et de cutters, et menacée de mort si elle ne leur donnait pas d'argent ». Suspicion de viol Selon son avocat, la jeune femme a perdu connaissance durant son agression, et s'est réveillée couverte d'eau de javel « sans doute pour effacer les traces ADN de ses agresseurs » qui ont pris la fuite en emportant notamment « ses clés de maison et de voiture, deux sacs de luxe et une montre Rolex ». « Ils savaient très bien qui elle était », assure Tom Michel, expliquant que « comme beaucoup d'influenceuses, Soraya Riffy expose sur les réseaux un train de vie qui peut paraître assez luxueux ». Après avoir défait ses liens, la jeune femme a pu appeler les pompiers et a été hospitalisée en urgence. « En raison de douleurs et de traces présentes sur son corps, on a malheureusement une suspicion d'agression sexuelle, voire de viol », a-t-il ajouté. La victime a été entendue par les policiers à l'hôpital dans le cadre d'une enquête de flagrance, et une plainte a été déposée pour violence aggravée, séquestration et viol, dans l'attente des expertises médicales, a-t-il ajouté. Il y a trois mois, Soraya Riffy avait déjà été agressée par une femme, et avait eu le nez fracturé. Selon son avocat Tom Michel, elle avait « alerté à plusieurs reprises les autorités sur les menaces qui pesaient sur elle ». Ce vendredi soir, « ses agresseurs ont encore une fois invoqué sa notoriété pour justifier leurs actes », a-t-il souligné. Soraya Riffy s'est notamment fait connaître du grand public en participant en 2016 à TPMP ; c'est au cours d'une de ces émissions qu'un chroniqueur lui avait embrassé la poitrine contre son gré, ce qui avait valu à la chaîne C8 une mise en demeure du CSA.


Le Parisien
8 hours ago
- Science
- Le Parisien
« On est salis et humiliés » : le ras-le-bol des praticiens chez SOS Médecin qui se « font insulter quotidiennement »
L'attaque résonne chez beaucoup de collègues. À Lille, un praticien de SOS Médecins a été violemment agressé, frappé et insulté par les proches d'une patiente dans son cabinet, mercredi. Malheureusement, un événement beaucoup trop récurent dans cette profession. C'est le cas de Sébastien Chopin, vice-président de SOS Médecins France et président de la branche Melun, victime d'une agression en octobre 2022. Une jeune mère estimait que la prise en charge était trop tardive. Elle lui avait alors assené une dizaine de coups de poing. Pendant trois mois, « j'avais peur quand le bruit était fort dans la salle d'attente » décrit ce médecin généraliste. « On a l'impression d'être salis et humiliés » et cela ne concerne pas seulement les cabinets, « ça commence bien avant, au niveau des standards ». Les violences verbales augmentent de façon significative « depuis quatre à cinq ans » avec des centres d'appels « où les collaborateurs se font insulter quotidiennement », précise Philippe Paranque, président de SOS Médecins. Ces centres agissent comme « un filtre » pour accéder aux médecins et sont les premiers réceptacles du mécontentement des patients. Les professionnels de santé font face à des individus qui ont des « exigences », notamment avec un sujet qui crispe souvent les échanges : les arrêts de travail. Or, SOS Médecins s'oblige à ne pas donner plus de trois jours d'arrêt maladie. Il faut ensuite consulter un médecin pour le renouveler. Malgré une majorité de patients compréhensifs, certains ne l'acceptent pas, ce qui « peut mener à des situations comme à Lille », explique le Dr Paranque. Pour empêcher que ces violences deviennent encore plus récurrentes, SOS Médecins interdit l'accès aux « brebis galeuses qui pourrissent le système », souligne le Dr Paranque. S'il y a des actes d'incivilités, le patient peut être interdit d'appel à l'organisme. Comme l'indique l'article 47 du Code de santé publique, « hors cas d'urgence » un médecin « a le droit de refuser ses soins pour des raisons professionnelles ou personnelles ». Les médecins se protègent aussi matériellement face aux actes violents. « Après mon agression, on a installé des caméras à l'intérieur et à l'extérieur de l'établissement, ainsi qu'un double sas d'entrée et un bouton d'alerte sous mon bureau », raconte le Dr Chopin. « Les dispositifs de signalements sont encore à l'échelle d'expérimentations et doivent être généralisés », regrette de son côté le Dr Paranque. « Cela ne doit pas compliquer le contact entre patient et médecin, et éviter de « bunkériser » les structures », rappelle toutefois le président de SOS Médecins. Malgré ces dispositifs, 216 incidents ont été signalés par des médecins - entre le 1er janvier et le 23 juin 2025, selon l'Ordre. Dans 81 cas, il s'agissait d' injures ou de menaces . « Il n'y a que la justice qui peut agir », s'agace le président de la branche locale de Melun dont l'agresseuse avait déjà été condamnée trois fois. En dépit d'un Code pénal qui protège les soignants avec des peines plus lourdes, le président de SOS Médecins regrette que « des peines ne soient pas rendues » et que la justice « soit satisfaite d'une tape sur la main ».


Le Parisien
11 hours ago
- Entertainment
- Le Parisien
Ligotée, aspergée d'eau de javel, violée : l'influenceuse Soraya victime d'un violent home-jacking à Marseille
Elle a vécu une soirée d'horreur. L'influenceuse Soraya Riffy a été victime vendredi soir d'un violent braquage à son domicile de Marseille (Bouches-du-Rhône). Frappée, ligotée, bâillonnée… Selon nos informations, l'influenceuse aux milliers d'abonnés sur Instagram a déposé plainte pour ce braquage, elle affirme aussi avoir été violée par les intrus. Une enquête de flagrance a été confiée à la sous-direction de la police judiciaire de Marseille. Vers 21 heures vendredi soir, la police est alertée et se rend au domicile de la starlette des réseaux sociaux qui vient d'être ligotée avec du ruban adhésif et violentée par trois individus. Selon son avocat, Me Tom Michel, la victime a été tabassée à l'aide d'armes, de cutters et même aspergée d'eau de javel. Durant sa violente agression, Soraya Riffy a perdu connaissance et soupçonne d'avoir été violée. Ses agresseurs lui dérobent une montre Rolex, un bracelet Cartier, des sacs Louis Vuitton, ses clés de voiture et d'appartement. >> Plus d'informations à venir


Le Parisien
2 days ago
- Politics
- Le Parisien
« Il m'a fait penser à Scream » : un mystérieux agresseur à la hachette sévit en forêt de Sénart
Le masque blanc, la combinaison noire intégrale, la main levée au bout de laquelle apparaît une hachette de 30 cm… Véronique (le prénom a été changé) n'a oublié aucun détail. Trop frais, trop traumatisant : « Depuis ce 12 juin, je me retourne tout le temps dans la rue. Je ne suis plus tranquille. » gée de 52 ans, cette habitante d' Épinay-sous-Sénart (Essonne) , qui a accepté de témoigner tout en gardant l'anonymat, marchait en forêt quand elle a croisé son agresseur. Comme elle, depuis début juin, au moins six autres personnes ont été victimes de ce mystérieux auteur d'extorsions entre Brunoy et Soisy-sur-Seine, autour de la forêt de Sénart .


Le Figaro
2 days ago
- Politics
- Le Figaro
Braquage avec arme, coup de crosse... À Nantes, la nuit cauchemardesque de deux automobilistes agressés par un étrange duo
Dans la nuit de dimanche à lundi, à quelques heures d'intervalle, ils ont été victimes d'un duo très violent. Le plus jeune s'est fait voler sa voiture. Les agresseurs ont été retrouvés le lendemain par la police. Un apprenti cuisinier de 18 ans et un coiffeur de 20 ans ont été arrêtés par la police à Nantes, après avoir fait vivre un calvaire à deux conducteurs dans la nuit de dimanche à lundi. L'enquête a été résolue par la brigade d'atteintes aux biens. Grâce à la vidéosurveillance et aux témoignages, les enquêteurs ont pu interpeller les jeunes malfrats en milieu de semaine. La première victime est un mineur de 17 ans, rentrant d'une promenade sur les bords de l'Erdre. En pleine nuit, ce jeune conducteur d'une Peugeot 208, accompagné de deux amis à bord, sent qu'il est suivi mais ne s'inquiète pas particulièrement. Après avoir déposé ces derniers, la DS3 qui le colle depuis une vingtaine de minutes le percute rue du Port des Charrettes, quartier Saint-Joseph-de-Porterie. L'automobiliste sort de la voiture. «Le conducteur de la DS3 lui assène des coups de pied et des coups de poing. Un passager sort à son tour et le braque avec une arme de poing», confie au Figaro une source policière. Pendant que l'adolescent, en état de choc, tente de se mettre à l'abri, les agresseurs lui volent son véhicule. Publicité Arrêtés après une séance de sport Quelques heures plus tard, à 3h30, le duo fait de nouveau rage. Alors qu'un chauffeur VTC de 45 ans s'apprête à ranger des affaires dans le coffre de sa Toyota, place de la petite Hollande, dans le centre-ville, il reçoit brutalement des coups de crosse derrière la tête et des coups de poing de personnes au visage dissimulé. Recroquevillé, il tente de se défendre et parvient à conserver la clé de sa voiture. Alertée, la police commence une enquête et fait rapidement le lien entre les deux agressions. La Peugeot 208 est repérée sur les caméras de surveillance, près du lieu de l'agression du chauffeur VTC. Ce véhicule est donc placé sous surveillance. Mardi soir, lorsqu'elle se déplace, un équipage se rend sur place pour suivre les individus. Les intéressés sont interpellés à la sortie de leur séance de sport, quartier de la Beaujoire. Lors des auditions, le jeune homme d'une vingtaine d'années a nié toute responsabilité, tandis que celui de 18 ans, un Tunisien ancien mineur isolé, «a fini par reconnaître les faits», indique un proche de l'enquête. Les mis en cause ont été conduits en garde à vue puis placés sous contrôle judiciaire, en attendant leur comparution immédiate prévue ce vendredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Nantes. L'un était connu des autorités pour un défaut d'assurance, l'autre pour une histoire de rixe. Lors des perquisitions à domicile, les enquêteurs sont tombés sur un fusil à pompe. L'arme utilisée lors de ces deux agressions s'est toutefois révélée factice. Les deux victimes, choquées, ont reçu cinq et 10 jours d'ITT.