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2 days ago
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Dupont, Marchand, Bigflo & Oli… Les stars toulousaines misent sur ce club de basket
SPORT - À Toulouse, on joue local. Le champion olympique Léon Marchand, les rappeurs Bigflo et Oli ainsi que la star de rugby locale Antoine Dupont font partie d'un consortium d'investisseurs qui a pour objectif de faire rayonner le club de basket de la ville, le TBBC. D'après les informations de la Dépêche, le club de basket de Toulouse va connaître un changement d'identité. Deux ans après son intégration dans la section omnisports du Stade Toulousain qui lui avait déjà fait changer de nom et de logo, le Stade Toulousain Basket va devenir le Toulouse Basket-Ball Club. Et intégrer à son capital de nombreuses personnalités de la ville qui partagent la volonté de structurer et professionnaliser le club afin de viser l'élite du basket français. Une aventure qui commencera en Nationale 1 (soit la 3e division de basket en France). Si le club veut prendre le temps de se structurer correctement, Fabien Conte ne cache pas ses ambitions « Nous sommes en Nationale 1 et notre souhait, c'est d'évoluer en Élite 2 (2e division) d'ici 2 à 3 ans, puis en Élite (1re division) d'ici 5 à 6 ans. Toulouse, 3e ville de France, mérite d'avoir un grand club de basket » a expliqué le président de la SAS du club à nos confères de La Dépêche. En plus du projet sportif, Fabien Conte veut également investir sur l'aspect culturel de la ville pour incarner leur club « On souhaite marier au basket : l'art, la musique, la culture. Bigflo & Oli y tiennent. » Un engouement que les rappeurs vont partager à leurs fans très prochainement, lors du Rose Festival (prévue du 28 au 31 août) par une collaboration entre leur marque de vêtements « Visionnaire » et le club, en créant une ligne de vêtement lifestyle pour la future boutique du TBBC. Toulouse voit la vie en rose Les rappeurs Bigflo et Oli ne manquent jamais une occasion de faire rayonner la ville rose sur le plan national. Les deux jeunes entrepreneurs sont à l'origine de la création d'un festival de musique et de l'ouverture de plusieurs boutiques dans le centre-ville de Toulouse. Sur le plan sportif, ils ont déjà collaboré avec le TFC (club de football de Toulouse) pour être le sponsor principal de l'un des maillots du club. Ils ont même été aperçus plusieurs fois à des matchs du stade Toulousain Basket. Une passion pour ce sport qu'ils partagent avec Antoine Dupont avec qui ils sont allés voir un match NBA en 2024 à New-York. Antoine Dupont, encore éloigné des terrains quelques mois, va pouvoir continuer de porter sa seconde casquette, celle d'investisseur. Il avait déjà investi dans le club de rugby de Los Angeles l'an dernier, tout juste auréolé de sa médaille olympique. Quand à Léon Marchand, le nageur quatre fois champion olympique, même exilé aux États-Unis, n'oublie pas d'où il vient puisque c'est à Toulouse qu'il a grandi et commencé sa carrière. Lui aussi fait partie des investisseurs qui espèrent voir le TBBC atteindre la première division.
Le Figaro
2 days ago
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Marchand, Dupont, Bigflo et Oli... Le Stade Toulousain Basket change de dimension et intègre des actionnaires prestigieux
Nouvelle SAS, nouveaux actionnaires, changement de nom... Le club de basket toulousain, qui évolue en 3e division, fait peau neuve avec des ambitions forcément revues à la hausse. C'est un recrutement qui fait grand bruit à Toulouse et dans ses environs. Depuis le mois de mai dernier, le Stade Toulousain Basket a totalement changé de visage sous l'impulsion d'un nouveau président, Fabien Conte, qui compte bien aider ce club de troisième division à retrouver les sommets. À la tête d'une société par actions simplifiée (SAS) ambitieuse, il a déjà changé toute l'identité visuelle du club et son nom, devenu Toulouse Basket-Ball Club, tout en accueillant des actionnaires prestigieux de la Ville rose comme Léon Marchand, Antoine Dupont et Bigflo et Oli. Publicité L'objectif à long terme ? Retrouver l'Élite d'ici 5 à 6 ans et créer une communauté autour du club, sur Toulouse et au-delà des portes de Toulouse, comme l'a affirmé Fabien Conte au journal La Dépêche. Pour l'heure, l'équipe reste engagée en Nationale 1 pour la saison prochaine.
Le Figaro
2 days ago
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Basket : Monaco annonce le départ du pivot grec Georgios Papagiannis
Le joueur était arrivé en Principauté la saison dernière en provenance du Fenerbahçe Istanbul. Le club de basket de Monaco s'est séparé du pivot international grec Georgios Papagiannis, 28 ans et 2m20, a-t-il annoncé mercredi. Au sein d'une équipe finaliste de l'Euroligue et du championnat de France, Papagiannis, arrivé la saison dernière en provenance du Fenerbahçe Istanbul, a connu une saison très délicate, avec un temps de jeu (16 mn de moyenne et championnat comme en Euroligue) peu en adéquation avec son statut d'international, d'ancien joueur NBA et d'Euroligue très confirmé. Publicité Troisième départ de l'été Son fait d'armes avec la Roca Team a été un match 5 de très haute qualité contre Barcelone en quart de finale de l'Euroligue (17 points, 5 rebonds, pour 21 d'évaluation en moins de 19 minutes), qui a permis une qualification pour le Final Four. Après le pivot Mam Jaiteh et l'ailier Vitto Brown, Papagiannis est le troisième départ pour ce mercato estival de Monaco, qui a recruté le pivot américain de Paris, Kevarrius Hayes.
L'Équipe
2 days ago
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Quand Victor Wembanyama et Rudy Gobert se défient aux échecs...
Lors d'un tournoi mêlant échecs et basket qu'il a organisé dimanche dans sa ville natale du Chesnay, l'intérieur des San Antonio Spurs Victor Wembanyama a notamment défié son coéquipier en équipe de France Rudy Gobert. Et il s'est imposé. C'est une image qui restera. Invité de marque du tournoi mêlant échecs et basket organisé par la star des San Antonio Spurs Victor Wembanyama dans sa ville natale du Chesnay (Yvelines), Rudy Gobert s'est retrouvé face à « Wemby ». Pas pour jouer au basket, mais aux échecs. La partie a évidemment été suivie en nombre par les personnes présentes. Et c'est Wembanyama (21 ans) qui s'est imposé au temps face au pivot des Minnesota Timberwolves. Wembanyama, bientôt de retour après une thrombose à l'épaule droite, a mis sur pied le « Hoop Gambit », qui a rassemblé 150 joueurs d'échecs et 280 joueurs de basket dans le groupement sportif Pierre-Curvat. « Mêler basket et échecs dans un tournoi près de chez moi, c'était naturel. Et ce n'est qu'un début », a déclaré l'intérieur.
Le Parisien
2 days ago
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« C'est dingue de jouer dans un tournoi organisé par Wembanyama » : le Hoop Gambit enflamme les passions au Chesnay
Les sneakers crissent comme des pneus sur l'asphalte. Les ballons de basket claquent, les corps jaillissent vers l'arceau, l'adrénaline pulse sous l'air chaud des Yvelines. Au bord du terrain bleu, aux couleurs des Spurs de San Antonio, Ruben, 24 ans, reprend son souffle. Son maillot blanc trempé, décoré d'un roi d'échecs entouré de rayons de soleil, colle à sa peau. Le joueur de Nationale 3 vient de remporter un face-à-face intense. « C'est dingue de jouer dans un tournoi organisé par Wembanyama . Il y a une vraie ambiance de compétition. Et surtout, je découvre une autre discipline : les échecs », glisse-t-il, sourire en coin, venu tout droit de Pantin. Ce dimanche, Victor Wembanyama a transformé le gymnase Pierre-Curvat , au Chesnay sa ville natale en grande banlieue parisienne, en arène hybride pour donner vie à une idée aussi audacieuse qu'inédite : le Hoop Gambit. Un tournoi mêlant le feu du basket et la froide lucidité des échecs. 280 basketteurs et 150 joueurs d'échecs y ont participé au cours de la journée. À côté du terrain en 1 contre 1, un terrain extérieur a été scindé en deux pour laisser place au tumulte du 3 contre 3. Sous le soleil, 24 équipes de quatre joueurs, 12 féminines, 12 masculines, se succèdent. Les matchs s'enchaînent avec une intensité électrique, sous les applaudissements des spectateurs. Dans le public, Jean-Marc, lunettes de soleil bien calées sur le nez, observe les échanges, le bras posé sur l'épaule de son fils, Maxime, 11 ans, les yeux pleins d'étoiles. « Ce format-là, c'est une autre énergie, beaucoup plus dynamique. Le 3 x 3, on ne l'a vu qu'aux Jeux olympiques de Paris », sourit le père de famille. Un peu plus loin, Mehdi, engagé sur le tournoi 3 x 3, attend son tour pour jouer. Vêtu d'un maillot rouge et blanc frappé du logo Hoop Gambit, il se concentre, les yeux déjà dans le match. Pour le joueur de l'équipe U 21 d'Algérie, en route pour les Championnats du monde en Chine en septembre, le tournoi a des airs de répétition générale. « C'est une vraie opportunité de se mesurer aux meilleurs, aussi bien des joueurs de Pro A ou B. Et puis, voir Wemby organiser ça chez lui, c'est inspirant. Si j'étais à son niveau, j'aurais fait une compétition mêlant basket et e-sport ! » lance le joueur de 21 ans. À l'étage, changement de tempo. Fini les claquages de dunks. Ici, le bruit s'arrête. Les regards se figent, les mains hésitent au-dessus des échiquiers. Le silence n'est pas pesant, il est sacré. Et la tension, bien réelle. Iyed, en CM2, deux ans de pratique, sort en larmes. Une défaite mal digérée. Sa mère le serre contre elle, avant de glisser dans un sourire attendri : « Les enfants n'aiment pas perdre. Mais les échecs, c'est ça aussi : la concentration, la maîtrise de soi, le respect. On a même repoussé nos vacances à Marseille pour venir ici. » À quelques mètres, sa fille Molka, 15 ans, digère sa propre défaite. Pas un mot de plus sur la partie. À ses pieds, une paire de Nike dédicacée le matin même par Wemby. Les yeux brillants, la joueuse d'échecs depuis 7 ans assure pourtant avec aplomb : « En septembre, je commence le basket en club. Wemby m'a donné l'envie. » Un peu plus loin, Thomas, amateur sans licence, participe à son tout premier tournoi. Pas de pression, seulement l'envie de jouer : « C'est rare de participer à un tournoi ouvert à tous, sans prise de tête ». En fin de journée, le roi entre en scène. Victor Wembanyama affronte le joueur professionnel et créateur de contenu, Julien Song. Victoire : Song. Pas de quoi faire trembler la star. Quelques instants plus tard, Rudy Gobert s'installe en face. Nouvelle partie. Cette fois-ci, Wemby l'emporte… au temps. La star des Surs se dit ravi « de voir des choses saines promues comme cela » et « pense déjà à la prochaine édition ». Et si les similitudes entre échecs et basket ne sautent pas immédiatement aux yeux, Wembanyama éloigné des parquets depuis février par une thrombose veineuse à l'épaule, l'assure : « il y a des similarités, dans tout ce qui est calcul et théorie notamment, comment répondre à une certaine défense ou attaque ».
