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Spa gonflable : ce modèle à presque moitié prix risque la rupture de stock
Spa gonflable : ce modèle à presque moitié prix risque la rupture de stock

Le Parisien

time17 hours ago

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  • Le Parisien

Spa gonflable : ce modèle à presque moitié prix risque la rupture de stock

En cette période estivale, avec la chaleur qui s'installe, l'eau est un moyen plus qu'efficace de se refroidir. Si vous souhaitez faire d'une pierre, deux coups, et vous offrir un espace de relaxation en plus d'un espace fraîcheur, pensez au spa gonflable carré Ospazia : il est en promotion sur Cdiscount. Avec ses dimensions de 185x185x65 cm, il peut trouver sa place relativement facilement sur une terrasse, dans un petit jardin ou même dans un garage ou sous une véranda, et il peut accueillir jusqu'à 6 personnes, pour permettre à toute la famille d'en profiter, ou pour agrémenter les soirées entre amis. Détendez-vous et restez au frais grâce au spa gonflable carré 6 personnes Ospazia : il vous attend à 368,95 euros au lieu de 699 euros sur Cdiscount. Voici deux codes promo qui vont vous faire plaisir : Gonflable, ce spa gonflable carré Ospazia en promotion sur Cdiscount est très facile à installer, partout où vous en avez envie. Une fois gonflé et rempli d'eau, le spa vous permet de profiter de 130 micro-jets, pour vous masser le dos et l'ensemble du corps, et vous permettre de vous détendre et de vous relaxer après un effort sportif ou une journée de travail. Notez que la température peut par ailleurs être réglée jusqu'à 40°C : ainsi, si le spa vous permet de vous rafraîchir en été, il vous permet également de vous réchauffer en hiver, et surtout, de profiter des bienfaits de la chaleur pour décontracter vos muscles et aider à soulager diverses douleurs d'origine musculaires. Notez que ce spa possède un boîtier de contrôle sur le côté pour régler la température, activer les jets, ou encore gérer le système de filtration. Cliquez ici pour profiter de l'offre Cdiscount sur le spa gonflable Ospazia Les meilleures offres disponibles chez Cdiscount : Offre à durée limitée et dans la limite des stocks disponibles. Voir conditions sur le site Cdiscount

Comment se mettre progressivement en mode off pour les vacances
Comment se mettre progressivement en mode off pour les vacances

24 Heures

timea day ago

  • Science
  • 24 Heures

Comment se mettre progressivement en mode off pour les vacances

Avant, pendant et après ses vacances, il y a des moyens d'en optimiser les bénéfices. La psychologue française Lisa Letessier nous explique comment. Publié aujourd'hui à 10h30 Mis à jour il y a 13 minutes Pour retirer les meilleurs bénéfices du congé estival, l'idéal est de s'offrir des pauses de minimum dix jours, le temps qu'il faut au cerveau pour se mettre en mode relax. UNSPLASH/BRIANA TOZOUR Cet article du 25 juin 2024 a été importé de et republié sur notre site le 6 juillet 2025. Dans son livre « Comment garder le bénéfice de ses vacances » (Éd. Odile Jacob), la psychologue française Lisa Letessier invite les futurs et ex-vacanciers à repenser la manière dont ils envisagent, prévoient, profitent de leurs pauses pour se ressourcer… ou pas. À la clé de cette lecture de saison, des conseils pour en conserver les bienfaits, avant, pendant et après. Interview. En tant que psychologue, pourquoi avoir choisi d'écrire sur les vacances? Ça peut paraître un sujet peu sérieux, pourtant les vacances sont selon moi un vrai concentré de vie. En parlant des vacances, on parle aussi du travail, de l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, du burn-out, du couple… L'idée, c'est vraiment de donner des clés pour que ce moment de pause soit réellement une remise à niveau dont les bénéfices se prolongent toute l'année. Ne pas être au bout du rouleau deux semaines (voire deux jours!) après la reprise, c'est donc possible? C'est complètement possible, mais ça demande du travail. Les conseils qui sont dispensés dans le livre, que ce soit avant, pendant ou après, décryptent les mécanismes et les outils nécessaires pour garder son énergie et ses ressources. En soi, ce n'est pas trop compliqué, ce qui l'est, c'est la constance, le maintien des bonnes habitudes, pour lesquels je propose divers pistes et exercices. Si, à peine la reprise du travail, on se sent vidé, c'est mauvais signe. C'est-à-dire? C'est la question qui fâche… mais quand on ressent le spleen du retour, ce qui est assez courant, c'est que nos besoins fondamentaux sont contrariés. Ça peut vouloir dire qu'on retrouve quelque chose qu'on n'a pas envie de reprendre dans sa vie quotidienne, son rythme, sa charge mentale, sa vie familiale, son emploi… Gérer ses ressources physiques et psychologiques demande un gros travail. Or, c'est indispensable de se demander régulièrement où en est sa jauge de ressources pour ne pas finir cramé, alors qu'il aurait fallu travailler en amont. De quelle manière mieux gérer ses ressources? Il faut déjà identifier ce qui les aspire! Pendant une semaine de travail, vous allez décortiquer votre planning et identifier ce que j'appelle les aspirateurs de ressources. Est-ce les disputes dans votre couple? Le fait d'être toujours pressé? N'avez-vous aucun temps pour vous? Le manque de nature ou de soleil, etc. Puis pendant les vacances, vous allez identifier ce qui vous fait du bien: les interactions sociales ou au contraire les moments de solitude? Les temps de sport? La découverte, etc. Ensuite, vous allez essayer de réinjecter des bulles de vacances dans votre quotidien. Vous dites qu'il faut que le cerveau passe en mode par défaut pendant les vacances pour se reposer? Oui, c'est fondamental d'inviter le cerveau à décélérer en douceur et à se mettre progressivement en mode vacances. C'est neurologique. Imaginez que vous courez un 100 mètres très vite, et que tout d'un coup vous vous arrêtez net: a priori, votre corps va se sentir moyennement bien, au niveau cardiaque notamment. Après un grand effort, on insiste sur la récupération, la marche, le ralentissement. C'est exactement pareil pour les vacances: le cerveau a besoin d'une transition douce. Combien de temps faut-il pour ralentir? Idéalement, il faudrait une décélération deux jours avant le départ et une réaccélération progressive deux jours après le retour. Si quelques jours avant ses vacances on est en sursaturation au travail, ce qui demande beaucoup d'énergie au cerveau, et que tout d'un coup on ne lui demande plus rien, au bout de trois à quatre jours de vacances c'est là qu'on peut ressentir ce fameux – et quelquefois profond – désœuvrement. Avez-vous des exemples concrets pour y arriver? Plus on fait les choses progressivement, mieux c'est. On peut par exemple faire deux jours sans e-mail avant de partir, installer son message d'absence à J–3 et pas juste avant de prendre un avion. À la reprise, au lieu de blinder son planning parce qu'on était absente une ou deux semaines, on reprend le rythme calmement. Ces jours sont littéralement à compter, à intégrer dans ses vacances, quitte à décaler son départ pour s'offrir cette respiration. N'y a-t-il pas malgré tout une pression pour réussir ses vacances? Oui, on le remarque par exemple au retour, quand le récit de ses vacances est parfois associé à une performance. Tout le monde a expérimenté ce regard désolé d'un collègue quand on lui dit qu'on est resté chez soi. Passer de bonnes vacances, c'est forcément partir? Non, mais en restant chez soi et en ne faisant rien de particulier, on peut avoir des difficultés supplémentaires à déconnecter. Si vous restez chez vous, veillez donc à changer vos routines pour que votre cerveau voyage tout en restant chez lui! Si vous étiez parti, vous auriez fait quoi? Faites la même chose! Prenez de superpetits-déjeuners, achetez un guide touristique pour redécouvrir votre ville ou votre région autrement, prenez des bains de nature autour de chez vous. Est-ce qu'il y a une durée idéale pour se ressourcer? Oui, et pour la connaître, il faut prendre en compte des facteurs neurobiologiques de récupération, comme l'est ce passage en mode par défaut qu'on ressent intuitivement au bout de deux à trois jours, quand on a un coup de pompe et qu'on relâche la pression. Il va falloir encore trois à quatre jours pour se ressourcer physiquement, et trois à quatre jours pour en profiter. En dessous de dix jours, ce n'est donc pas très efficace en termes de récupération. Tout va dépendre du niveau de fatigue, mais l'idée est de pouvoir partir moins souvent et plus longtemps. Mieux vaut que les vacances soient vraiment longues pour être bénéfiques. À lire aussi Newsletter «Santé & Bien-être» Conseils, actualités et récits autour de la santé, de la nutrition, de la psychologie, de la forme et du bien-être. Autres newsletters Fabienne Rosset est journaliste depuis 2003, pour le magazine Femina et Le Matin Dimanche. Elle couvre les sujets société, et plus particulièrement les thèmes de la santé et de la psychologie. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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