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Gims va sortir un duo avec la belle-fille de Trump, et a priori ce n'est pas un canular
Gims va sortir un duo avec la belle-fille de Trump, et a priori ce n'est pas un canular

Le HuffPost France

time2 days ago

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Gims va sortir un duo avec la belle-fille de Trump, et a priori ce n'est pas un canular

Le chanteur Gims au Stade de France le 28 septembre 2019 (photo d'illustration) MUSIQUE - Ce n'est pas un « kamoulox », même si ça en a l'air. Dans quelques semaines, les auditeurs pourront découvrir une nouvelle chanson de Gims, un duo avec une star américaine à l'identité pour le moins étonnante. Il s'agit en effet comme le révèle Le Parisien de Lara Trump, épouse d'Eric Trump, et belle-fille donc de Donald Trump. Le chanteur congolais et la membre de la famille Trump qui tente de percer dans la country travaillent en secret depuis plusieurs mois sur cette collaboration musicale surprenante, révèle Le Parisien . Liil Serge, le producteur américain du chanteur a confié à nos confrères, comment était né ce duo improbable. Il explique avoir reçu un appel du producteur de Lara Trump, LJ Fino, affirmant que cette dernière adorait Gims et voulait enregistrer une chanson avec lui. Après avoir vérifié qu'il ne s'agissait pas d'un canular, Liil Serge a déclenché le processus. La lecture de ce contenu est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur tiers qui l'héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l'affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies 'Contenus tiers' en cliquant sur le bouton ci-dessous. Après une première réunion en « visioconférence » durant laquelle l'ex co-présidente du Comité National Républicain aurait parlé dans un français impeccable, ils ont créé un groupe WhatsApp pour commencer à partager leurs idées artistiques. Et après plusieurs semaines de ping-pong par messages interposés, la chanson Makassi ( Fort en lingala) était née. Comme le révèle le Parisien , Gims et Lara Trump n'ont pas enregistré cette chanson ensemble mais à distance, mais c'est bien côte à côte qu'ils tourneront dans le clip prochainement. Ce dernier, tout comme la chanson doivent être dévoilés à la rentrée prochaine. Lara Trump, qui n'a officiellement lancé sa carrière musicale qu'en 2023, a également collaboré sur ce premier album encore attendu outre-Atlantique avec French Montana. Elle poursuit en parallèle de ses premiers pas musicaux une carrière politique et télévisuelle en présentant My View with Lara Trump sur Fox News, mais également à travers notamment, une collection sportswear. Cette collaboration de Gims avec une star internationale n'est en revanche pas la première. En 2018 sur le titre Corazon , il chantait avec Lil Wayne et French Montana. Dans la chanson Je te pardonne sortie en 2015, c'est avec la superstar australienne Sia qu'il chantait en duo. Comme l'affirme son producteur à nos confrères, cette nouvelle collaboration vient nourrir l'ambition du chanteur de s'imposer un peu plus sur la scène internationale. Et elle pourrait porter ses fruits, au moins auprès des trumpistes.

AS Monaco : «chantez avec moi les gars», en vidéo, Paul Pogba «bizuté» sur du Maître Gims
AS Monaco : «chantez avec moi les gars», en vidéo, Paul Pogba «bizuté» sur du Maître Gims

Le Figaro

time15-07-2025

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AS Monaco : «chantez avec moi les gars», en vidéo, Paul Pogba «bizuté» sur du Maître Gims

LE SCAN SPORT - Arrivé à Monaco cet été après des galères à répétition, Paul Pogba a passé avec succès l'étape du «bizutage» sur le Rocher. Si on ne l'a pas vu en compétition officielle depuis maintenant plusieurs mois, Paul Pogba n'a pas perdu sa joie de vivre. Arrivé à Monaco lors de ce mercato d'été, il s'est prêté au jeu de la chanson face à ses coéquipiers. Le champion du monde 2018 a tout donné. En stage de préparation en Angleterre, Pogba a choisi d'interpréter «Spider» de Gims. «J'avais plusieurs sons en tête» a-t-il ironisé avant de se lancer devant sa nouvelle équipe. Pour rappel, son dernier match officiel remonte à septembre 2023. Il est désormais sous contrat avec l'AS Monaco jusqu'en 2027.

Mike Love, dernier des Beach Boys à se jeter à l'eau
Mike Love, dernier des Beach Boys à se jeter à l'eau

24 Heures

time15-07-2025

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Mike Love, dernier des Beach Boys à se jeter à l'eau

Avec son cousin Brian Wilson, il fut en 1961 à l'origine du groupe fondateur de la pop américaine. À 84 ans, il chante encore. Et nous parle. Publié aujourd'hui à 09h00 Mike Love en juin dernier, lors de son introduction au Songwriters Hall Of Fame américain. Getty Images via AFP Mike Love répond depuis son domicile californien. Pouvait-il en être autrement? Depuis 1961, il est un bout de Californie. Il l'a incarnée, chantée, caricaturée parfois, empaquetant dans les chansons de son groupe l'hédonisme des sixties, les palmiers sur Malibu, les vagues de Santa Monica, les filles rieuses et les garçons bronzés. Cofondateur des Beach Boys avec la fratrie Wilson, dont Brian le mélodiste si génial que Paul McCartney le comparait à Bach, Mike Love reste le dernier des cinq membres originaux à jouer sur scène leur musique – il le fera à Sion sous les étoiles, mardi 15 juillet. Car les trois frères Wilson sont morts. Le moins enclin à affronter ce monde fut le plus endurant: après cinq décennies de comportement erratique et d'allers-retours au sein du groupe, Brian est décédé le 11 juin. Il n'avait jamais été prévu qu'il joue à Sion: comme souvent dans l'histoire des Beach Boys, le personnel a fluctué, mais Mike Love reste le seul à n'avoir jamais quitté son poste de chanteur et de capitaine – de dictateur, lui a-t-on souvent reproché… En 2012, l'une des dernières collaborations scéniques entre Brian Wilson (piano) et Mike Love (casquette). Getty Images via AFP De fait, «interdiction de parler de la mort de Brian Wilson», avertit son assistante quelques secondes avant de nous passer l'appel! «Mais vous pouvez lui transmettre vos condoléances.» C'est gentil. Musicien cultissime, lesté de toutes les récompenses que la musique américaine a pu produire et du poids d'une centaine de millions de disques vendus, Mike Love a souvent été dépeint en froid businessman nationaliste (il soutient Trump) à l'opposé de son patronyme et de son génie de cousin, Brian le poète si fragile. Love a pourtant cosigné nombre de classiques et porté à la fin des années 1960 un groupe consumé par les ego en vrac et les drogues en pagaille. Passée la décennie, le travail solo de Brian, loin de ses frères, de son cousin et de l'ami Al Jardine, n'a jamais atteint la perfection qu'autorisait l'harmonie intangible des cinq voix originelles. Tout comme aucun Beatle, le siamois britannique des Beach Boys au mitan des sixties, n'en retrouvera la grâce une fois le groupe dissout. Et puis, le message que Mike Love a posté sur Instagram en juin dernier à la disparition de son cousin n'est pas celui d'un businessman. «Brian, tu as demandé un jour: «Ne serait-ce pas merveilleux si nous étions plus âgés?» (ndlr: référence à la chanson: «Wouldn't it be nice?» (if we were older) Maintenant, tu es intemporel. […] Puisse ton esprit s'élever aussi haut que ton falsetto et tes ailes se déployer sans effort. Merci pour l'harmonie. La mort laisse un chagrin incurable, l'amour un souvenir indélébile.» Allo? Ici Mike Love. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Vous avez donné plus de 7400 concerts avec les Beach Boys depuis 1961, en tant qu'unique membre qui n'a jamais quitté le groupe, même provisoirement. À 84 ans, qu'est-ce qui vous pousse encore à monter sur scène? Personne ne peut se lasser de la réaction d'un public heureux. C'est lui qui rend l'expérience fantastique. Notre musique a toujours eu un effet positif sur les gens, un bonheur que l'on ressent aussi depuis la scène. C'est aussi simple que ça. À mon âge, il ne faut pas y chercher une autre motivation. Les sensations en concert sont-elles aujourd'hui les mêmes qu'à vos débuts? Oui. Les Beach Boys ont commencé comme une histoire de famille, des concerts dans les salons de nos parents. C'était un hobby qui est devenu une profession durable grâce à mon cousin Brian et moi, qui avons écrit de superbes chansons ensemble. Il y avait dès le départ une part d'émerveillement qui continue de me surprendre, 60 ans après, quand ces morceaux agissent de la même façon sur un nouveau public, une nouvelle génération. C'est très inspirant et encourageant. Tant que je peux chanter et que je suis en bonne santé, je monterai sur scène. Beach Boys au sommet, en 1962, période «Surfin' USA». De g. à dr: Carl Wilson, Dennis Wilson, Mike Love, Al Jardine, Brian Wilson. IMAGO/ Les Beach Boys ont eu une longue histoire, jalonnée de succès, de changement de personnel, de disputes… Quelle est votre période préférée? C'est dur à dire. À la fin des années 60, nous avons quitté Capitol Records pour une autre maison de disques, et les ventes n'étaient pas au beau fixe. C'était une période de doutes, sans doute pas la plus facile. Mais aujourd'hui, les gens découvrent dans ces albums des qualités que l'on n'avait pas voulu voir à l'époque, ce qui en rend le souvenir plus agréable. Il n'y a pas eu de période vraiment affreuse mais des événements malheureux, comme la mort de mes cousins Dennis en 1983 et Carl, il y a 27 ans. Il arrive des choses négatives à un groupe, mais sa musique conserve une certaine immortalité. De quelle chanson des Beach Boys êtes-vous le plus fier? Probablement «Good Vibrations». Elle était tellement unique… Grâce à elle, nous avons été numéro un aux États-Unis mais surtout en Angleterre, devant The Beatles, ce qui n'était pas une petite satisfaction. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. On a beaucoup parlé de la concurrence entre les Beach Boys et les Beatles. À vous entendre, elle reste toujours vive. Ce n'était pas une invention médiatique pour vendre du papier? Pas du tout. Il y avait bien une compétition et même une rivalité entre nous, mais ce n'était pas négatif. Nous aimions ce qu'ils faisaient et ils aimaient ce que nous faisions. D'ailleurs, John (ndlr: Lennon) et Paul (McCartney) ont pu écouter l'album «Pet Sounds» avant même sa sortie. Nous avions le même label américain, Capitol, et ils ont réussi à obtenir un acétate du disque (ndlr: une version gravée à un exemplaire, servant à vérifier la qualité sonore avant la mise en production). Je crois qu'ils se sont mis à travailler sur «Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band» tout de suite après l'avoir écouté… Il y avait donc beaucoup d'influence mutuelle. Saviez-vous de «Good Vibrations» qu'elle serait un hymne générationnel le jour où vous l'avez composée? On ne sait jamais à l'avance ce genre de choses. Nous savions juste qu'elle possédait une harmonie assez parfaite entre la musique et les paroles. Des «bonnes vibrations», vraiment. Même si cette chanson est née pendant la guerre du Vietnam, avec toute cette violence et la répression policière, elle parlait d'amour et de paix. C'était juste un poème sur une fille et la nature… Cette positivité continue de faire du bien. Un psychologue anglais, après avoir étudié les effets sur ses patients de centaines de morceaux, a même décrété qu'elle était la chanson «Feel Good» par excellence. Est-il vrai que vous en avez trouvé les paroles en vous rendant en voiture au studio? Oui, je conduisais et j'ai dicté les paroles. Arrivé au studio, je les ai données à mon cousin Brian, qui les a appréciées. Il les a montrées à Carl, qui a chanté le couplet. J'ai fait le refrain avec Brian, Carl et Al Jardine. On a tous fait les harmonies. Beach Boys période 1970. Brian est déjà excusé, l'harmonie moins franche. «Il n'y a pas eu de période vraiment affreuse mais des événements malheureux», se souvient Mike Love (chapeau). IMAGO/ C'est étonnant que cette chanson révolutionnaire, connue comme «une symphonie de poche» et qui demanda 9 mois de gestation, ait trouvé son accroche vocale en une après-midi. Pensez-vous après coup que vous étiez trop exigeants? Brian était passionné par la structure des morceaux, les tonalités, les harmonies et les sons que permettait la technologie des studios. Mais souvent, il fallait juste une bonne idée pour rendre limpide une composition compliquée. Comme un coup d'accélérateur. «Good Vibrations» était clairement en rupture avec des morceaux comme «I Get Around», «Fun Fun Gun» ou «California Girls». C'était très avant-gardiste. Mais nous évoluions vers plus d'innovation de façon naturelle. Nous n'essayions jamais de répliquer nos tubes. On avait notre style, oui, mais on changeait toujours de chanteur lead , de mélodie, de tempo, de sujet. On était donc habitués au changement quand on est arrivés à «Good Vibrations». Vous avez connu le gotha du rock mondial. Si vous pouviez dîner avec n'importe quel musicien, vivant ou mort, qui inviteriez-vous? J'étais très ami avec Marvin Gaye, que j'avais rencontré lors d'une tournée européenne des Beach Boys. C'était un chanteur et un compositeur fantastique mais aussi un mec vraiment sympa. Marvin Gaye, oui… Ce serait bien de le revoir. Sion sous les étoiles, ma 15 juillet. Sion en fête Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters François Barras est journaliste à la rubrique culturelle. Depuis mars 2000, il raconte notamment les musiques actuelles, passées et pourquoi pas futures. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Sanson, Luciani, Santa, trois générations d'artistes femmes aux Francofolies
Sanson, Luciani, Santa, trois générations d'artistes femmes aux Francofolies

Le Figaro

time13-07-2025

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Sanson, Luciani, Santa, trois générations d'artistes femmes aux Francofolies

Réservé aux abonnés CRITIQUE - Le festival rochelais a célébré cette année des chanteuses issues de différentes époques et traditions. Elle a été fêtée de nombreuses fois dans le cadre des Francofolies de La Rochelle depuis la naissance de ce festival, en 1985. On pourrait même dire de Véronique Sanson qu'elle est une des raisons d'être de la manifestation, qui n'a jamais cessé de porter haut la chanson d'expression francophone. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour En 1994, elle faisait l'objet d'une « fête à », dispositif mis en place par le fondateur de l'événement, Jean-Louis Foulquier. Entourée d'I Muvrini, Marc Lavoine, les Innocents, Alain Chamfort, Yves Duteil, Maxime le Forestier et Paul Personne, Véronique Sanson avait fait sensation auprès du public. L'album Comme ils l'imaginent, tiré du concert, s'était écoulé à 600.000 exemplaires, relançant la carrière commerciale de la chanteuse. À lire aussi Les Francofolies, 40 ans, et toujours farouchement éclectiques En 2018, la vedette retrouvait l'esplanade Saint-Jean d'Acre pour une autre soirée prestigieuse, entourée d'invités remarquables. Parmi ceux-ci, son fils Chris Stills et le père de celui-ci, Stephen Stills, rock star américaine, fondateur des groupes emblématiques

« Je ne fuis plus mes émotions, je les affronte » : Zaz se confie avant la sortie de son formidable album
« Je ne fuis plus mes émotions, je les affronte » : Zaz se confie avant la sortie de son formidable album

Le Parisien

time11-07-2025

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« Je ne fuis plus mes émotions, je les affronte » : Zaz se confie avant la sortie de son formidable album

« Je pardonne pour oublier/Je pardonne pour respirer/Pour arrêter de remuer/les couteaux dans mes plaies. » Le sixième album de Zaz , qui sortira le 19 septembre, commence par un coup de poing, une mise à nu qui file le frisson mais pas le bourdon. Une chanson autobiographique et universelle, comme ce disque qui va marquer la rentrée et la carrière de la chanteuse. « Sains et saufs » est son meilleur album depuis le tout premier, en 2010, un raz de marée qui avait dépassé les deux millions de ventes dans le monde. Sa grande voix écorchée et sa personnalité explosive ont trouvé les grandes chansons qu'elles méritent. Six sur 12 sont signées du jeune belge Noé Preszow , une de Vianney et trois de Raphaël, qu'elle retrouve quinze ans après « Éblouie par la nuit ».

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