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Un contraste saisissant avec la rencontre précédente
Un contraste saisissant avec la rencontre précédente

La Presse

time15 hours ago

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Un contraste saisissant avec la rencontre précédente

La rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à Washington s'est particulièrement bien déroulée, lundi. Un contraste saisissant avec l'humiliation publique qu'a subie le président ukrainien dans le même bureau Ovale, le 28 février dernier. Décryptage avec Justin Massie, professeur de science politique de l'Université du Québec à Montréal. Une tenue à la hauteur des attentes « [Volodymyr Zelensky] a clairement eu un très bon coaching », note Justin Massie. Volodymyr Zelensky avait particulièrement soigné son habillement, troquant son habituelle tenue d'inspiration militaire – jugée trop décontractée par Donald Trump en février dernier – pour une veste de costume et une chemise noires. Pendant les questions des journalistes, l'animateur de la chaîne Real America's Voice, Brian Glenn, a d'ailleurs lancé à Volodymyr Zelensky : « Vous êtes magnifique dans ce costume. » « Je lui ai dit la même chose ! », s'est exclamé Donald Trump, en tapotant l'épaule du président ukrainien. « C'est lui qui vous a attaqué la dernière fois », a-t-il ensuite dit à Volodymyr Zelensky. Ce dernier a répondu, avec un petit sourire : « Je me souviens. » Puis, pince-sans-rire, il s'est directement adressé à Brian Glenn : « Vous portez le même costume. Je me suis changé. » Une pique qui a beaucoup amusé le président américain. La délégation ukrainienne aux petits soins Au début de la réunion, M. Zelensky a remis au président américain une lettre de son épouse, Olena Zelenska, à l'épouse de M. Trump, Melania. « C'est le genre de chose que Trump aime beaucoup », souligne Justin Massie. Le président ukrainien a également été peu avare en remerciements. « Merci pour l'invitation et merci beaucoup pour vos efforts, vos efforts personnels pour mettre fin à la tuerie et arrêter cette guerre », a-t-il déclaré, lui qui s'était vu reprocher son ingratitude la dernière fois. Autre fait notable : plutôt que de se défendre ou d'expliquer la position ukrainienne, Volodymyr Zelensky est resté très général et est parvenu à esquiver les questions difficiles. « Ça n'a pas laissé beaucoup de munitions à Donald Trump pour l'attaquer », souligne Justin Massie. Moins de mépris côté américain Même décor, mêmes protagonistes : la rencontre dans le bureau Ovale entre les deux dirigeants avait des airs de déjà-vu. « C'était exactement la même situation qu'en février. Les médias de droite ont même tendu des perches, que Trump n'a pas saisies », note Justin Massie. Donald Trump était « fidèle à lui-même », indique-t-il. Il semblait avoir particulièrement apprécié les efforts du président ukrainien et n'a pas été agressif ou méprisant à son égard. Il a même échangé quelques rires avec Zelensky pendant la rencontre. La dernière fois, le vice-président américain, J.D. Vance, avait lancé les hostilités contre Volodymyr Zelensky en lui reprochant de ne pas avoir « dit une seule fois merci » pour les dizaines de milliards de dollars d'aide militaire des États-Unis. Également présent lors de la rencontre de lundi, il est resté cette fois silencieux. « Peut-être que ça avait été discuté en amont, ou peut-être que c'est simplement que Trump ne lui a pas ouvert la voie », avance Justin Massie. C'est que cette rencontre a été planifiée avec minutie : plusieurs appels téléphoniques ont été passés dans les jours précédents entre Trump et Zelensky, mais aussi entre le président américain et les dirigeants européens. « C'est là qu'on voit toute la finesse de la diplomatie à cet égard, note Justin Massie. Zelensky n'est pas arrivé comme un cheveu sur la soupe, ils ont vraiment préparé le terrain en amont. » Avec l'Agence France-Presse

« Van Holsbeeck m'a vite rappelé que j'appartenais à Anderlecht... » : Sébastien Siani revient sur le jour où il a failli jouer un mauvais tour à son club dans la course au titre
« Van Holsbeeck m'a vite rappelé que j'appartenais à Anderlecht... » : Sébastien Siani revient sur le jour où il a failli jouer un mauvais tour à son club dans la course au titre

Le Soir

time10-08-2025

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« Van Holsbeeck m'a vite rappelé que j'appartenais à Anderlecht... » : Sébastien Siani revient sur le jour où il a failli jouer un mauvais tour à son club dans la course au titre

Aujourd'hui actif au Cercle Bruges comme assistant coach des U16 et ancien joueur de Zulte Waregem, l'ex-Anderlechtois Sébastien Siani (38 ans) continue de suivre le RSCA de près. Il était dans les tribunes du Jan Breydelstadion le week-end dernier et il suivra aussi attentivement le duel entre ses deux anciens clubs dimanche. Parmi d'autres moments forts de sa carrière, le champion d'Afrique 2017 – avec le Cameroun –, n'a pas oublié un certain Anderlecht – Zulte Waregem de mars 2007.

Stefanos Tsitsipas sous l'influence de son père : « Je veux continuer à travailler avec lui jusqu'au dernier jour de ma carrière »
Stefanos Tsitsipas sous l'influence de son père : « Je veux continuer à travailler avec lui jusqu'au dernier jour de ma carrière »

L'Équipe

time07-08-2025

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Stefanos Tsitsipas sous l'influence de son père : « Je veux continuer à travailler avec lui jusqu'au dernier jour de ma carrière »

Un an après une séparation tumultueuse, Apostolos Tsitsipas est de nouveau le coach de son fils Stefanos. Mais le joueur jure que, cette fois, son père a changé. Ah, les relations père-fils... Tout un programme. Prenez Tom Cruise, par exemple. Avant de se consacrer à sauver la planète dans des missions impossibles pour tout le monde sauf lui, il avait bâti sa filmographie, de Top Gun à Magnolia en passant par des Hommes d'honneur, sur l'absence du père. À l'opposé du spectre des défauts paternels, il y a le père omniprésent, ogre écrasant. Au hasard, Apostolos Tsitsipas dont le fiston Stefanos n'arrive pas à se séparer depuis qu'il a tapé dans sa première balle de tennis. Il y avait bien eu une rupture, l'an dernier, après un Open du Canada tumultueux entre les deux hommes. Coaché par Dimitris Chatzinikolaou, capitaine de l'équipe grecque de Coupe Davis et proche de la famille, Tsitsipas était venu à Cincinnati en arborant une mine réjouie. Comme libéré d'un poids, il s'était présenté après sa victoire au premier tour face à Jan-Lennard Struff, cramé par le soleil de l'Ohio, épuisé, mais apaisé comme jamais. On se disait alors que c'était peut-être le premier jour du reste de sa vie. « Travailler avec Goran (Ivanisevic) était super, c'était bien d'avoir avec moi quelqu'un que j'avais choisi, mais il manquait quelque chose dans notre relation » Stefanos Tsitsipas Las, un an plus tard, Stefanos a officialisé le retour d'Apostolos en tant que coach. Et tant pis pour les voisins du pater familias, incapable de rester silencieux durant les matches de son fils. Un retour qui interroge forcément. Stefanos est-il capable d'exister sans Apostolos ? Il a bien essayé de travailler avec Goran Ivanisevic, mais cela n'a pas fonctionné. Au contraire, cela l'a convaincu de faire revenir papa, alors qu'il dégringolait au 30e rang mondial, son plus mauvais classement depuis presque dix ans. « Quand j'ai commencé à travailler avec Goran, j'ai réalisé que je devais peut-être faire un dernier essai avec mon père, lui donner une nouvelle chance d'être proche de moi. Travailler avec Goran était super, c'était bien d'avoir avec moi quelqu'un que j'avais choisi, mais il manquait quelque chose dans notre relation », se souvient le joueur grec. Trop de conflits par le passé Amusé que sa relation avec son père intéresse tant le monde du tennis, Tsitsipas reconnaît qu'elle était bien trop conflictuelle par le passé. « Tout le monde l'a vu, je ne peux pas dire que ça ne s'est pas passé, convient-il. Mais nous ne nous crions plus dessus comme ce fut le cas. Aujourd'hui, nous avons une relation plus apaisée. » Mais encore... « Avec mon père, nous devions changer beaucoup de choses dans notre façon de nous comporter l'un envers l'autre. Mais ce qui me rendait la vie difficile, c'était qu'il n'était pas prêt pour ces changements. Moi, j'avais fait tout ce que je pouvais. Mais rester avec mon père était surtout devenu une source de frustration au lieu d'être un plaisir. C'est pour ça que j'ai arrêté il y a un an. » Comment Stefanos Tsitsipas tente-t-il de se réinventer ? Si le fiston a continué sa vie sur le circuit, se focalisant sur sa relation, également très exposée, avec Paula Badosa, le retour à la maison fut compliqué pour le père. Tsitsipas explique que « ne plus être mon coach a été un choc pour lui et ça lui a ouvert les yeux sur certaines choses. Ça lui manquait de ne plus m'avoir dans sa vie quotidienne ». Selon le joueur, le coach en aurait tiré des enseignements. « Il a appris à me remettre au centre du projet, au lieu de d'abord vouloir faire passer ses idées et ses certitudes. Il est plus à l'écoute de mon ressenti qu'avant. On verra comment ça va évoluer dans le temps. » « Ca dépend de lui de ne plus me sortir des monologues, je n'en ai pas besoin. J'ai besoin de dialoguer avec quelqu'un qui m'écoute » Stefanos Tsitsipas, à propos de son père Et d'insister sur la forme, presque plus que sur le fond de leur relation. C'est clair, Stefanos ne veut plus se faire engueuler par Apostolos. Pas plus qu'il ne veut être jugé. C'est lui qui est sur le court et il assumera ses décisions pendant les matches. Il veut bien en discuter, mais pas prendre une douche froide à la sortie du court. « Il a compris qu'il devait faire preuve de plus d'empathie et de compréhension », affirme Stefanos. Ce qui est certain, c'est qu'il pense sur le long terme et qu'il met beaucoup d'espoir dans ce retour paternel. « Je veux continuer à travailler avec lui jusqu'au dernier jour de ma carrière. Maintenant, ça ne dépend que de lui que ça se passe comme ça. Ça dépend de lui de ne plus me sortir des monologues, je n'en ai pas besoin. J'ai besoin de dialoguer avec quelqu'un qui m'écoute. » Comme il l'a dit, le temps jugera.

« Nul n'est immunisé contre l'usure » : à Paris, après une saison historique et intense, comment éviter le surmenage
« Nul n'est immunisé contre l'usure » : à Paris, après une saison historique et intense, comment éviter le surmenage

Le Parisien

time05-08-2025

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« Nul n'est immunisé contre l'usure » : à Paris, après une saison historique et intense, comment éviter le surmenage

« Là, on touche vraiment aux limites extrêmes de ce qu'un effectif peut réaliser. On n'est même peut-être pas loin de les avoir dépassées. Ce qui a été accompli est tout simplement exceptionnel. » De Pologne, où l'ancien coach de Reims dirige désormais le club de Cracovie, les mots de Luka Elsner disent tout de l'admiration qui est la sienne pour la manière dont Luis Enrique et son staff ont géré la folle épopée parisienne.

« Ici ils sont élèves, pas députés » : à la rencontre d'Éric, le coach sportif de l'Assemblée nationale
« Ici ils sont élèves, pas députés » : à la rencontre d'Éric, le coach sportif de l'Assemblée nationale

Le Parisien

time05-08-2025

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« Ici ils sont élèves, pas députés » : à la rencontre d'Éric, le coach sportif de l'Assemblée nationale

Au milieu des tapis de course, des haltères et machines de renforcement musculaire, le natif de Seine-Saint-Denis l'assure : son travail est « un job comme un autre ». Pourtant, vingt-quatre années et sept législatures plus tard, le coach de 55 ans continue, « avec la même passion », à « prendre soin » des élus de la chambre basse. Et comme il le dit si bien, « j'en ai vu passer des députés ! »

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