Dernières actualités avec #concession


Le Parisien
01-08-2025
- Sport
- Le Parisien
Paris : empêtré dans une bataille juridique, le complexe sportif Pereire ferme provisoirement ses portes
Sous l'apparente tranquillité qui règne sur les courts de tennis Pereire, une tempête juridique et administrative se joue. Fermé par la Ville de Paris depuis ce mardi 29 juillet, le complexe sportif du XVIIe arrondissement est au cœur d'une bataille pour sa concession de travaux, laissant joueurs et clubs dans l'incertitude. La Ville de Paris a repris la gestion du site et fermé les installations à la fin de l'Autorisation d'Occupation Temporaire (AOT) confiée au Comité de Paris , une émanation de la Fédération française de tennis (FFT), le 28 juillet. Cette décision est la conséquence directe du recours déposé le 29 juillet par la société Paris Tennis, candidate malheureuse à l'appel d'offres pour la concession des travaux.


Le HuffPost France
01-08-2025
- Politics
- Le HuffPost France
Guerre en Ukraine : les premiers mots de Poutine après l'ultimatum américain ne vont pas plaire à Trump
INTERNATIONAL - Il se dit pour la fin de la guerre, mais ne prévoit pas l'ombre d'une concession. Vladimir Poutine a assuré ce vendredi 1er août vouloir une « paix durable » en Ukraine, tout en affirmant que les conditions de paix proposées par Moscou, à savoir que Kiev cède des territoires et renonce à l'Otan, restaient « inchangées ». « Nous avons besoin d'une paix durable, stable, sur de bonnes bases qui satisferaient à la fois la Russie et l'Ukraine », a déclaré le président russe lors d'une rencontre avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko. Mais le maître du Kremlin a été clair : « les conditions » posées par la Russie pour la paix « restent bien sûr inchangées ». Moscou exige que l'Ukraine lui cède quatre régions ukrainiennes que l'armée russe contrôle partiellement (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia, Kherson) ainsi que la péninsule ukrainienne de Crimée annexée en 2014. En plus de ces annexions, le Kremlin souhaite que Kiev renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan. Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose la Russie. Poutine ne semble pas reculer face à l'ultimatum de Trump Les dernières déclarations de Vladimir Poutine ne devraient pas plaire à Donald Trump, qui ne cache plus son exaspération face à la poursuite de la guerre. Il a qualifié jeudi d' « écœurante » la dernière vague d'attaques russes sur l'Ukraine et menacé à nouveau Moscou de sanctions économiques. « Je ne sais pas si cela va avoir un impact, mais nous allons le faire », a lancé le locataire de la Maison Blanche. Ce dernier avait affirmé lundi, lors de son voyage en Écosse, que le Kremlin n'avait plus que « 10 ou 12 jours » pour mettre fin au conflit. Un ultimatum qui n'a visiblement pas suffi à calmer les ardeurs de Vladimir Poutine, qui a également déclaré ce vendredi que Moscou avait lancé la production en série de l'Orechnik, son missile hypersonique de dernière génération qui peut porter une charge nucléaire. L'année dernière, la Russie avait utilisé l'Orechnik, sans charge nucléaire, pour frapper une usine militaire dans la ville de Dnipro, dans le centre de l'Ukraine. Aux côtés de son homologue biélorusse, Vladimir Poutine a répété que Moscou pourrait déployer prochainement ces missiles en Biélorussie, alliée de Moscou et frontalier de plusieurs pays de l'Otan et de l'UE. « Nos spécialistes – des spécialistes militaires à la fois biélorusses et russes – ont choisi l'emplacement pour de futures positions (de batteries de missiles, ndlr). Et désormais le travail pour préparer ces positions est en cours », a déclaré le président russe. De son côté, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a répété ce vendredi sa volonté de rencontrer en personne Vladimir Poutine pour tenter de faire avancer les discussions, une proposition pour l'heure écartée par le Kremlin. « Nous comprenons qui prend les décisions en Russie et qui doit terminer cette guerre », a affirmé le président ukrainien sur les réseaux sociaux, ajoutant que l'Ukraine était prête « à tout moment » à une « rencontre au niveau des dirigeants ».