Dernières actualités avec #cosmétiques


Le Parisien
5 days ago
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Les « dupes » : des bons plans, certes, mais attention à votre santé
Cosmétiques, parfums, vêtements et même sucreries… La liste des produits concernés par cette mode du « dupe » est quasiment interminable. Popularisée par les réseaux sociaux, notamment TikTok et par les influenceurs, la pratique se démarque de la contrefaçon classique. Ici il s'agit de trouver des produits censés posséder les mêmes propriétés qu'un autre, souvent beaucoup plus chers, à moindre coût. Cumulées, les vidéos présentant les nouveaux « dupes » disponibles atteignent des centaines de millions de vues et ne concernent plus seulement le secteur du luxe. Tout y passe, des célèbres brumes à moins de 30 euros aux tablettes de chocolat à la pistache, chaque produit semble avoir son doppelgänger disponible dans le commerce. Certaines marques n'hésitent pas non plus à en faire leurs fonds de commerce, comme E.L.F beauty et sa campagne de 2024 #DupeThat . Qui, a l'aide de jolie mascotte licornes, encourage les autres entreprises à se joindre à leurs mouvements « pour démocratiser l'accès aux produits de beauté » se vantant « de la possibilité d'acheter cinq huiles à lèvres E.L.F. pour le prix d'un de ses concurrents de prestige ». La marque est connue pour produire — et cela souvent quelques mois seulement après leurs sorties — des cosmétiques très similaires aux marques les plus populaires ou « virales » du moment, qui seront vendus ensuite deux à trois fois moins chers. D'autres enseignes, tel que Normal, Action ou même Lidl sont fréquemment associées à la production de dupe . Que cela concerne la « skin care », des parfums ou des robots de cuisines, les consommateurs ne semble a priori pas par courir de risques en utilisant des produits de ces distributeurs. Au-delà de la composition de qualité discount, le vrai danger se trouve plutôt lorsque l'achat de dupe se fait sur des plates-formes en ligne comme Temu, AliExpress ou encore Shein, qui échappent aux contrôles des autorités. Les professionnels du secteur comme Xavier Guéant, directeur des affaires juridiques de la FEBEA (Fédération des entreprises de la beauté), mettent en garde contre des produits « fabriqués hors de tout cadre réglementaire d'hygiène ou de contrôle qualité ». D'après une étude publiée par le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC) en février dernier, plus de 80 % des produits testés achetés sur Temu ne respectaient pas la législation européenne . Lorsqu'il s'agit de cosmétiques, les plus importants manquements concernaient la liste des ingrédients qui contiendraient des manquements ou des erreurs dans les compositions. Impossible donc, de savoir ce que contiennent réellement ces produits. « Quand on pratique des prix comme ils le font, on ne peut pas raisonnablement faire les évaluations de sécurité », pointe-t-il auprès de l'AFP. Risque allergène, présence de « substances toxiques » et de produits interdits, pour le Dr Stéphane Pirnay, expert toxicologue et directeur de la société Expertox, ces produits « de qualité médiocre » représentent « de vrais risques sanitaires ». Il insiste également sur un risque chimique, car certains produits testés contiendraient régulièrement « des métaux lourds » ou « des phtalates », considérés comme des perturbateurs endocriniens. D'autres pathogènes, pose un risque infectieux, n'importe quelle substance pouvant être utilisée pour couper dans les coûts. « On est vraiment étonnés de voir tout ce que l'on peut trouver dans les contrefaçons de manière générale : terre, cailloux, excréments, plumes d'oiseau », énumère-t-il. Ces produits sont pourtant de plus en plus nombreux, notamment chez les jeunes, au portefeuille plus réduits et très frayant de produits tendances. Selon une étude de C-Ways , menée pour la Febea, en mars 2025, 31 % des Français avaient acheté un dupe lors des douze derniers mois. 96 % ignoreraient les risques encourus. L'arrivée de TikTok shop (permettant de faire des achats depuis l'application) en France, en mars dernier, a ravivé les inquiétudes. Les créateurs de contenus pouvant toucher des commissions en faisant des vidéos promotionnelles pour des produits de la plate-forme. La crainte ? Que les dupes et autres contrefaçons bénéficient d'une mise en avant supplémentaire. Avec la Febea, Xavier Guéant appelle à renforcer le cadre juridique pour « clarifier les zones grises » et à augmenter les moyens dédiés aux contrôles.


La Presse
5 days ago
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Derrière le phénomène des « dupes », des dangers pour la santé
Fond de teint, rouge à lèvres, crème hydratante ou produit solaire : les « dupes » permettraient d'obtenir le même résultat que leur modèle original, pour près de la moitié du prix. Derrière le phénomène des « dupes », des dangers pour la santé (Paris) Loin des bons plans mis en avant, les « dupes » en cosmétiques – des copies plus ou moins discrètes de soins, maquillages ou crèmes solaires de marques – vendus à petits prix sur l'internet peuvent se révéler dangereux pour la santé, préviennent des professionnels du secteur. Chloé RABS Agence France-Presse « Alerte dupes ! » : sur les réseaux sociaux, en particulier sur TikTok, plusieurs centaines de milliers de vidéos de jeunes femmes mettent en avant leurs dernières trouvailles de « dupes » de produits cosmétiques existants. Fond de teint, rouge à lèvres, crème hydratante ou produit solaire : ils permettraient d'obtenir le même résultat que leur modèle original, pour près de la moitié du prix. Cousin de la contrefaçon, « le phénomène est plus subtil et parfois difficile à identifier », déclare à l'AFP Xavier Guéant, directeur des affaires juridiques de la Fédération française des entreprises de la beauté (Febea), laquelle a lancé une « alerte » lors de la journée mondiale anti-contrefaçon, le 4 juin. Ces produits, « de plus en plus nombreux » et « de plus en plus populaires chez les jeunes consommateurs », représentent « un risque pour la santé », affirme-t-il. En ligne de mire de la fédération : les produits vendus sur les plateformes d'e-commerce hors Union européenne, principalement asiatiques comme Temu, Shein ou AliExpress, et « fabriqués hors de tout cadre réglementaire d'hygiène ou de contrôle qualité ». « Métaux lourds » ou « phtalates » « En France, le système est sérieux. Mais dès qu'on s'éloigne de ce cadre et qu'on se fournit sur des sites où le contrôle n'existe pas, on s'expose à des dangers multiples », explique à l'AFP le Dr Stéphane Pirnay, expert toxicologue et directeur du laboratoire Expertox. Outre le risque allergène, les produits de « qualité médiocre », peuvent contenir des substances « toxiques », interdites ou dépassant les limites autorisées, ce qui peut représenter « de vrais risques sanitaires », insiste-t-il. Le toxicologue met également en garde contre un risque chimique, certains produits testés contenant régulièrement « des métaux lourds » ou « des phtalates », des substances chimiques considérées comme des perturbateurs endocriniens. Autre danger repéré : un risque infectieux, certains produits étudiés pouvant contenir de nombreux pathogènes. « On est vraiment étonnés de voir tout ce que l'on peut trouver dans les contrefaçons de manière générale : terre, cailloux, excréments, plumes d'oiseau », énumère M. Pirnay. Laurence Coiffard, professeure en pharmacie à l'université de Nantes, dans l'ouest de la France, spécialisée en cosmétologie, s'est intéressée aux produits solaires vendus sur ces plateformes. Avec son équipe, elle a analysé deux produits contrefaits affichant un SPF 50+, ainsi que quelques dupes. Résultat : « Aucun de ces produits ne contenait en réalité de filtres UV », révèle-t-elle. « Ils n'apportent donc aucune protection contre les rayons UV et il y a un grand danger à les utiliser », prévient-elle, alors que l'exposition au soleil est la principale cause des cancers de la peau. Pour Mme Coiffard, les sites comme Temu ou AliExpress sont « le créneau de vente par excellence » des produits contrefaits ou des dupes « où ils peuvent régner en maître », car commercialisés sans satisfaire aux exigences règlementaires européennes. « Dépassés par l'ampleur du phénomène » Selon une étude publiée par le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC) en février, plus de 80 % des produits testés achetés sur Temu ne respectaient pas la législation européenne. Pour les cosmétiques, les plus importants manquements concernaient des listes d'ingrédients manquantes ou erronées, ne permettant pas de savoir ce que contiennent réellement les produits. « Quand on pratique des prix comme ils le font, on ne peut pas raisonnablement faire les évaluations de sécurité », pointe Xavier Guéant. Et même si des contrôles existent, « le marché est tellement énorme que les acteurs sont dépassés par l'ampleur du phénomène », ajoute Mme Coiffard. Avec TikTok shop, qui permet de faire des achats directement dans l'application, Xavier Guéant craint que ce lien plus direct entre vendeur et acheteur ne bénéficie aux dupes et contrefaçons. Avec la Febea, il appelle à renforcer le cadre juridique pour « clarifier les zones grises » et à augmenter les moyens dédiés aux contrôles.


Le Figaro
5 days ago
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Le bébé hippopotame pygmée, star de Thaïlande, souffle sa première bougie
La célébrité de Moo Deng s'estompe mais permet d'alerter sur le sort de son espèce, aujourd'hui menacée dans son habitat naturel d'Afrique de l'Ouest. Un anniversaire fêté en mondovision. Le bébé hippopotame pygmée aux millions de vues sur les réseaux sociaux, Moo Deng, a soufflé jeudi sa première bougie dans un zoo de Thaïlande, dont il demeure l'ambassadeur N.1 du «soft power». Le zoo de Khao Kheow a programmé une série d'événements à la gloire de son animal star, comprenant une parade, une table ronde d'influenceurs, une vente aux enchères et, évidemment, un gâteau. Un dirigeant d'une marque thaïlandaise de produits cosmétiques a dépensé 100.000 bahts (2.600 euros) pour sponsoriser ce que le mammifère femelle, célèbre pour ses gloutonneries, devrait avaler en deux temps trois mouvements. Publicité Jeudi étant férié en Thaïlande, à l'occasion d'une fête bouddhique, une foule était attendue devant son enclos, à mi-chemin entre la capitale Bangkok et la station balnéaire de Pattaya. Facéties et grimaces Moo Deng a conquis internet avec ses facéties de diva et ses grimaces mignonnes. Des millions de personnes ont visionné les caprices du bébé hippopotame pygmée, en train de mordre des gardiens, de prendre un bain, ou de se reposer auprès de sa mère. Le zoo qui l'abrite a indiqué en septembre avoir quadruplé en un an le nombre de billets vendus. La fièvre Moo Deng («porc bondissant» en thaï) s'est aussi déclinée dans une vaste gamme de produits dérivés. Elle s'est aussi prêtée au jeu des prédictions, un classique des animaux connus sur Internet, avec un certain flair: elle a pronostiqué la victoire de Donald Trump aux élections américaines de novembre. Popularité en baisse Aujourd'hui, la Thaïlande continue de chérir sa mascotte la plus célèbre, et l'ambassade des États-Unis lui a offert une peluche à son effigie à l'occasion de la fête nationale américaine, le 4 juillet dernier. Publicité Mais à un an, Moo Deng n'est plus le bébé joufflu qui faisait fondre le coeur des internautes. Fin juin, elle pesait 93 kilos, soit le triple qu'il y a huit mois, selon le zoo. La société de veille numérique Meltwater s'est interrogée en novembre si la tendance était «terminée». Fin septembre, son nom a été mentionné en ligne plus de 200.000 fois en une journée, sous l'effet d'un sketch de la célèbre émission américaine Saturday Night Live, dans lequel un acteur s'est déguisé en Moo Deng. Plus d'un mois plus tard, le chiffre est tombé à 34.000, selon leur étude. «Moo Deng est devenue virale très rapidement après sa naissance, et peut-être qu'elle ne l'est plus autant», estime Joshua Paul Dale, professeur spécialiste du «kawaii» («mignon» en japonais) à l'université Chuo au Japon. «Une partie de notre appréciation de ce qui est mignon est liée au fait qu'on sait que cela ne va pas durer longtemps», développe-t-il. «Si quelque chose est super mignon, il faut en profiter maintenant, parce que ça ne va pas durer éternellement.» Espèce menacée La célébrité de Moo Deng a aussi permis d'alerter l'opinion du sort de son espèce, menacée d'extinction. L'hippopotame pygmée vit dans les forêts et les marécages d'Afrique de l'Ouest, et préfère le milieu terrestre plutôt que l'aquatique, contrairement à son cousin l'hippopotame commun, plus imposant. Publicité Il en resterait entre 2.000 et 2.500 à l'état sauvage, selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). En vidéo - Thaïlande : Moo Deng, le bébé hippopotame pygmée qui fait le buzz sur les réseaux sociaux


Le Parisien
6 days ago
- Entertainment
- Le Parisien
93 kilos à 1 an : le bébé hippopotame viral Moo Deng fête son premier anniversaire en Thaïlande
« Hippo Birthday ! » Le bébé hippopotame pygmée aux millions de vues sur les réseaux sociaux, Moo Deng, fête ce jeudi son premier anniversaire dans un zoo de Thaïlande, dont il demeure l'ambassadeur numéro 1 du « soft power » . Le zoo de Khao Kheow a programmé une série d'événements à la gloire de son animal star, comprenant une parade, une table ronde d'influenceurs, une vente aux enchères et, évidemment, un gâteau. Un dirigeant d'une marque thaïlandaise de produits cosmétiques a dépensé 100 000 bahts (2 600 euros) pour sponsoriser ce que le mammifère femelle, célèbre pour ses gloutonneries , devrait avaler en deux temps trois mouvements. Jeudi étant férié en Thaïlande, à l'occasion d'une fête bouddhique, une foule est attendue devant son enclos, à mi-chemin entre la capitale Bangkok et la station balnéaire de Pattaya. Moo Deng a conquis Internet avec ses facéties de diva et ses grimaces mignonnes. Des millions de personnes ont visionné les caprices du bébé hippopotame pygmée, en train de mordre des gardiens, de prendre un bain, ou de se reposer auprès de sa mère. Le zoo qui l'abrite a indiqué en septembre avoir quadruplé en un an le nombre de billets vendus. La fièvre Moo Deng (« porc bondissant » en thaï) s'est aussi déclinée dans une vaste gamme de produits dérivés. Elle s'est aussi prêtée au jeu des prédictions, un classique des animaux connus sur Internet, avec un certain flair : elle a pronostiqué la victoire de Donald Trump aux élections américaines de novembre. Aujourd'hui, la Thaïlande continue de chérir sa mascotte la plus célèbre, et l'ambassade des États-Unis lui a offert une peluche à son effigie à l'occasion de la fête nationale américaine, le 4 juillet dernier. Mais à un an, Moo Deng n'est plus le bébé joufflu qui faisait fondre le cœur des internautes. Fin juin, elle pesait 93 kg, soit le triple d'il y a huit mois, selon le zoo. La société de veille numérique Meltwater s'est interrogée en novembre pour savoir si la tendance était « terminée ». Fin septembre, son nom a été mentionné en ligne plus de 200 000 fois en une journée, sous l'effet d'un sketch de la célèbre émission américaine Saturday Night Live, dans lequel un acteur s'est déguisé en Moo Deng. Plus d'un mois plus tard, le chiffre est tombé à 34 000, selon leur étude. « Moo Deng est devenue virale très rapidement après sa naissance, et peut-être qu'elle ne l'est plus autant », estime Joshua Paul Dale, professeur spécialiste du « kawaï » (« mignon » en japonais) à l'université Chuo au Japon. « Une partie de notre appréciation de ce qui est mignon est liée au fait qu'on sait que cela ne va pas durer longtemps, développe-t-il. Si quelque chose est super mignon, il faut en profiter maintenant, parce que ça ne va pas durer éternellement. » La célébrité de Moo Deng a aussi permis d'alerter l'opinion sur le sort de son espèce, menacée d'extinction. L'hippopotame pygmée vit dans les forêts et les marécages d'Afrique de l'Ouest, et préfère le milieu terrestre plutôt que l'aquatique, contrairement à son cousin l'hippopotame commun, plus imposant. Il en resterait entre 2 000 et 2 500 à l'état sauvage, selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).


Le Figaro
6 days ago
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- Le Figaro
Mate ou irisée : cette poudre bronzante à seulement 16,99€ sera votre alliée de l'été
Glow subtil ou fini velours, les nouvelles poudres bronzantes Sephora Collection réchauffent le teint pour un hâle maîtrisé, à prix léger. Fini mat ou irisé, à vous de trancher. Bonne mine et éclat d'été, sans attendre les vacances ? Avec l'autobronzant, la poudre bronzante est depuis toujours l'indispensable de la saison. Si pendant longtemps les options à prix doux étaient limitées, cette nouveauté signée Sephora Collection change la donne. À 16,99 €, elle promet un résultat lumineux et naturel à petit prix. Bonus : elle existe en deux versions. Reste à choisir votre camp : glow solaire ou teint ensoleillé mat et velouté ? Poudre bronzante irisée, l'éclat maîtrisé Pensée pour réchauffer le teint tout en captant la lumière, la Bronzer Shimmer joue la carte du glow subtil. Sa texture douce fusionne avec la peau pour offrir un éclat modulable, sans surcharge ni effet pailleté. Grâce à ses micro-nacres dorées, elle réveille les teints en manque de vacances et s'applique aussi bien en touche diffuse sur l'ensemble du visage qu'en highlight sur les points saillants. Pour qui ? Celles qui veulent reproduire, en un geste, l'effet retour de plage. À glisser dans sa trousse estivale pour raviver le hâle, même sans soleil. POUDRE BRONZANTE IRISÉE - SEPHORA La version mate, le hâle soleil sur-mesure La Bronzer Matte se distingue par sa finesse. Zéro brillance, mais une intensité modulable et un rendu seconde peau qui imite à la perfection les effets du soleil. Déclinée en plusieurs teintes, elle s'adapte à toutes les carnations et offre une couvrance homogène, idéale pour structurer les contours ou réchauffer le teint sans démarcation. Un basique à adopter au quotidien, à appliquer avec un gros pinceau pour un effet bonne mine immédiat. Pour qui ? Autant les adeptes du naturel qui veulent réchauffer leur teint que celles qui suivent la tendance sculpting. POUDRE BRONZANTE - SEPHORA Glow subtil ou fini velouté, à chacune son effet soleil pour cet étél. Mates ou irisées, à la rentrée, ces deux poudres de soleil invitent à prolonger l'été… même quand l'automne pointera le bout de son nez. L'équipe Shopping de Madame Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.