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Tour de France : le départ de la 2e étape décalé de 15 minutes à cause de la pluie
Tour de France : le départ de la 2e étape décalé de 15 minutes à cause de la pluie

Le Parisien

time5 hours ago

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Tour de France : le départ de la 2e étape décalé de 15 minutes à cause de la pluie

La pluie perturbe le Tour de France 2025 . Après le soleil radieux de Lille samedi pour la première étape, place à pluie ce dimanche à Lauwin-Planque, où est donné le départ de la 2e étape. Depuis ce matin, la météo est particulièrement mauvaise dans le Nord et l'accès au petit village de 1 600 habitants a été compliqué. L'organisation a donc décidé de décaler le départ de 15 minutes, le fixant à 12h30. Alors que plusieurs routes étaient bloquées, plusieurs bus d'équipes ont peiné à se rendre sur le site de départ, comme ceux d'EF Education-EasyPost et d' Arkea-B&B Hotels . S'ils sont tous arrivés, certains ont mis plus de temps que prévu et des coureurs se sont présentés en retard pour signer la feuille de départ. Une heure avant le départ, seules trois équipes étaient d'ailleurs arrivées. Là aussi, l'organisation a fait preuve de souplesse et n'a pas imposé d'ordre pour la signature des coureurs, qui ont pu se présenter dès qu'ils étaient prêts. Compte tenu de ces difficultés, le départ a donc été décalé d'un quart d'heure. Le départ fictif sera donné à 12h30, un moment où la pluie devrait se calmer légèrement et permettre aux coureurs de batailler sur les routes vallonnées du Nord plus sereinement.

Tour de France 2025  : parcours, profil et horaire de la 2e étape entre Lauwin-Planque et Boulogne-sur-Mer
Tour de France 2025  : parcours, profil et horaire de la 2e étape entre Lauwin-Planque et Boulogne-sur-Mer

L'Équipe

time9 hours ago

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Tour de France 2025 : parcours, profil et horaire de la 2e étape entre Lauwin-Planque et Boulogne-sur-Mer

Deuxième étape du Tour de France 2025, tracée sur 209 km entre Lauwin-Planque et Boulogne-sur-Mer. Ce parcours vallonné, prévu ce dimanche 6 juillet, pourrait permettre à un puncheur de s'emparer du maillot jaune. Étape la plus longue de ce Tour de France 2025, avec un profil bien plus vallonné que la veille. Après une traversée plate de la région d'Arras, le peloton changera de décor à partir de Montreuil-sur-Mer avec une série de côtes plus marquées. La côte du Haut Pichot (1,1 km à 9,4 %), véritable mur, lancera les hostilités, suivie de la côte de Saint-Étienne-au-Mont (1 km à 10,6 %, avec des passages à 15 %) à moins de 10 km de l'arrivée. La côte d'Outreau (800 m à 8,8 %) précède ensuite une descente vers Boulogne-sur-Mer. Le parcours longe un plateau exposé au vent, qui pourrait provoquer des cassures au sein du peloton. Dans le final, les coureurs traverseront le centre-ville de Boulogne avant de grimper vers les hauteurs. L'arrivée se joue sur une montée de 1,2 km à 3,8 %, conclue par une ligne droite de 100 mètres, sur une chaussée de 6 mètres de large. Un terrain idéal pour les puncheurs en forme, capables de résister aux changements de rythme. Départ réel à 12h35, pour une arrivée prévue à 17h20 Le profil de la 2e étape : Retrouvez l'analyse de l'étape sur le Tour de France Club, par la direction sportive du Tour de France.

Tour de France : comment fonctionne la nouvelle règle des cartons jaunes, quelles sont les sanctions ?
Tour de France : comment fonctionne la nouvelle règle des cartons jaunes, quelles sont les sanctions ?

Le Parisien

timea day ago

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Tour de France : comment fonctionne la nouvelle règle des cartons jaunes, quelles sont les sanctions ?

C'est la grande nouveauté que le public du Tour de France , pas forcément au fait de l'actualité à l'année du vélo, va découvrir à partir de ce samedi 5 juillet. Il n'y a pas que la passion mais aussi la dissuasion. Sur l'exemple du foot, le cyclisme , après les avoir testés l'an dernier à partir du 1er août , instaure un système de cartons jaunes. Ils sont une sanction, mais n'ont pas d'existence physique. Personne n'ira les brandir devant le casque d'un coureur. Les avertissements seront listés dans le communiqué de fin de course. Cette nouveauté est née d'une envie de l'UCI, la fédération internationale, d'améliorer la sécurité des coureurs. « Cette initiative aura un effet dissuasif pour toute personne présente à l'échelon course (coureurs, directeurs sportifs, autres conducteurs et pilotes…) susceptible d'adopter un comportement qui pourrait nuire à la sécurité de l'épreuve, écrit l'UCI. En outre, le système aura pour objectif de responsabiliser tous ces acteurs en instaurant un suivi des mauvais comportements sur la durée et ainsi d'encourager les comportements respectueux. » L'UCI a listé une vingtaine de raisons de recevoir un carton jaune. Et il n'y a pas que les coureurs qui sont visés. - Enlever son casque en cours d'épreuve. - Rétro poussette entre coureurs ou par les spectateurs. - Coureur accroché à un véhicule ou dépannage à partir d'un véhicule en marche. - Abri derrière un véhicule - Ravitaillement irrégulier d'un coureur. - Déviation du couloir de sprint ou sprint irrégulier (tirer le maillot ou la selle d'un autre coureur, intimidation, coup de tête, genoux, coude, épaule ou main…). - Obstruction d'un coureur ou d'un véhicule de nature à retarder ou empêcher la progression d'un autre coureur ou d'un autre véhicule. - Interview en course d'un coureur ou d'un directeur sportif (carton éventuel pour le journaliste et son chauffeur). - Usage/utilisation de trottoirs, chemins ou pistes cyclables ne faisant pas partie du parcours. - Voie de fait, injures, menaces, comportement dangereux envers un coureur. – Jet de déchet en dehors des zones, jet sans précaution, jet de manière dangereuse (un bidon qui revient dans le peloton). Depuis le 1er janvier 2025, l'accumulation des cartons jaunes entraîne des sanctions. Deux cartons lors d'une course d'un jour ou par étapes entraîneront une disqualification de la course et une suspension de sept jours. Trois cartons en un mois entraîneront une suspension de quatorze jours, alors que pour six sur une période d'un an, les coureurs seront sanctionnés de trente jours de suspension. Autrement dit sur cette Grande Boucle, si un coureur reçoit deux cartons jaunes, il sera exclu.

Plongée dans le coup de pédale, ce geste que les coureurs vont faire 400 000 fois pendant le Tour de France
Plongée dans le coup de pédale, ce geste que les coureurs vont faire 400 000 fois pendant le Tour de France

L'Équipe

timea day ago

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Plongée dans le coup de pédale, ce geste que les coureurs vont faire 400 000 fois pendant le Tour de France

Ces trois prochaines semaines, les coureurs vont donner environ 400 000 coups de pédale. Plongée dans un geste banal et simple techniquement, mais aussi celui, tous sports confondus, qui évoque le plus de notions scientifiques. À force, on n'y prête même plus attention. Un coureur pédale, et c'est comme voir une friterie dans Lille ou une casquette jaune au bord des routes du Tour. Tout le cyclisme est là, pourtant, dans ce geste rond, mécanique mais parfois poétique, puissant même quand le coureur a des jambes de criquet, et répétitif. Immensément répétitif : ces trois prochaines semaines, à raison de 90 rotations par minute environ, les participants du Tour pédaleront autour de 400 000 fois, sans compter les échauffements et les sorties lors des jours de repos. Dans aucun autre sport on n'effectue le geste technique principal à une telle fréquence et dans un tel volume. Pour les coureurs, pédaler revient à respirer, ça se fait sans y penser. Il faut dire que ça n'a rien de très sorcier, comparé à une bicyclette en foot ou un swing de golf. Mais sa simplicité technique n'empêche pas qu'on consacre au coup de pédale des études poussées, qu'on cherche à l'améliorer en modifiant la forme d'un élément matériel ou la longueur d'un autre, qu'on place des capteurs pour mesurer des notions comme les watts, les RPM (rotation par minute), l'impact sur les BPM (battements cardiaques par minute)... Voici un éclairage en quatre points sur le geste que vous allez le plus souvent voir pendant le Tour de France. Les pros pédalent-ils différemment du commun des mortels ? « Bien baisser le talon, pousser et tirer. » Comme Matteo Vercher de TotalEnergies, les coureurs pros ont appris leur leçon à l'école de cyclisme et la recrachent instinctivement. « Baisser le talon », donc, dans la phase de descente du pied pour pousser sur la cale via les fessiers, les quadriceps et les mollets. Puis le relever dans la remontée pour tirer la pédale vers le haut avec les muscles autour du tibia, les ischio-jambiers et le psoas. La technique permet aux pros de « pédaler rond », comme dit Jean-Baptiste Quiclet, directeur de la performance chez Décathlon-AG2R La Mondiale. « Ils arrivent à mettre de la force dans les phases les plus faibles du pédalage. Il n'y a pas de point d'arrêt dans leur geste, contrairement aux cyclistes lambdas, chez qui c'est plus saccadé parce qu'ils travaillent davantage en piston, sans accompagner vers l'avant ni vers l'arrière. » Une fois acquise, la technique de pédalage n'est plus un axe de travail pour les coureurs de haut niveau. « En regardant des images d'un même coureur à dix ans d'intervalle, on peut voir la même chose au niveau technique, poursuit Quiclet. Il y a davantage de progression sur les gestes périphériques, comme la capacité à rester bien fixé sur la selle, à moins utiliser la danseuse. C'est dû à tout le travail pour renforcer les différentes chaînes musculaires. » Faut-il mouliner pour gagner ? On le constate depuis Chris Froome, la mode est au « tricot » dans le peloton. Grâce à l'augmentation du nombre de vitesses sur le vélo et au développement des capacités cardio-vasculaires via un entraînement plus scientifique, les jambes des pros tournent plus vite qu'au 20e siècle, à une cadence d'environ 90 rotations par minute (RPM). Cela donne des coureurs qui semblent parfois tourner les jambes dans le vide, mais c'est très efficace. « Plus on augmente la fréquence de pédalage, plus c'est coûteux en énergie, explique Jean-Baptiste Quiclet. En revanche, ça diminue la fatigue musculaire. » Car les fessiers, les cuisses et les mollets ont moins de force à produire pour tirer le braquet. Mais tous les coureurs ne tournent pas les jambes à la même vitesse, et « la cadence optimale reste une signature propre à chacun » pour Quiclet. On le voit avec le Slovène Matej Mohoric, qui a gagné trois étapes du Tour et un Milan - San Remo en écrasant de gros braquets, ou le coureur de TotalEnergies Emilien Jeannière, souvent bien placé depuis un an. « Je suis souvent vers les 80-82 de cadence, c'est assez bas, dit ce dernier. On veut le travailler avec mon entraîneur pour amener un peu plus de souplesse, même si je pense qu'il ne faut pas complètement changer son coup de pédale. » Pour augmenter encore leur cadence, de plus en plus de coureurs diminuent la taille de leurs manivelles (la tige qui relie le plateau à la cale), ce qui fait parcourir moins de chemin aux pieds pendant la rotation. Alors que les standards étaient de 170 ou 175 mm, Tadej Pogacar est passé à 165. Et Jonas Vingegaard a testé un inédit 150 mm cette saison. « Mais attention aux phénomènes de mode », prévient Quiclet, qui se souvient que le plateau ovale utilisé par Chris Froome, censé améliorer le pédalage de 6 %, a disparu des pelotons après y avoir pullulé. Que disent les watts d'un coup de pédale ? En mai, au milieu de ses photos souvenirs du Giro, Wout van Aert a posté une capture d'écran de son compte Strava. L'application, grande amie des cyclistes pros comme amateurs, avait enregistré sa meilleure performance de tous les temps. Pas une victoire, ni un pic de vitesse, ni sa pente la plus sèche avalée. Non, un record de 518 watts développés sur une période de 10'. Si le Belge a exposé ce chiffre comme un trophée, c'est parce que les watts, calculés à partir de la force et de la cadence, sont devenus la valeur étalon du coup de pédale d'un coureur. Celle qui fixe son pic de puissance (jusqu'à 1700 watts pendant une seconde pour les sprinteurs, selon Quiclet) ou sa capacité à le maintenir à un haut-niveau d'intensité (entre 480 et 550 watts pendant cinq minutes). « C'est l'expression la plus factuelle de la dépense énergétique et la performance athlétique d'un coureur, car elle n'est pas impactée par l'environnement, la météo, la vitesse du vent, comme peuvent l'être les km/h », détaille Jean-Baptiste Quiclet. Le plus souvent, les watts sont gardés secrets par les coureurs. Sauf quand ils battent un record, donc. Peut-on pédaler aussi efficacement assis qu'en danseuse ? Les images de Tadej Pogacar semant ses concurrents sans lever les fesses de sa selle ont interloqué : le champion du monde est-il devenu plus efficace assis qu'en danseuse ? Les chiffres disent qu'en se mettant debout sur les pédales pour y appliquer tout le poids du corps, un coureur produit environ 40 watts de plus qu'en étant assis. « C'est un formidable outil pour attaquer, mais comme ce mouvement mobilise plus de groupes musculaires, sa consommation énergétique est plus importante, éclaire Jean-Baptiste Quiclet. Il faut donc l'utiliser à bon escient. » Au-delà d'une quinzaine de secondes, c'est la baisse de régime assurée, d'autant que le fait d'être debout diminue l'aérodynamisme. Mais comment attaquer en restant assis ? Tout est question de force musculaire, et de capacité à l'appliquer sans dégrader le coup de pédale. « Normalement, quand vous appliquez une grande force sur vos pédales en étant assis, vous perdez de la stabilité, a expliqué Jeroen Swart, directeur de la performance de l'équipe UAE Emirates, dans un entretien avec le site Global Cycling Network. Mais si vous êtes capables de maintenir la stabilité en utilisant mieux les petits groupes musculaires, en fixant votre bassin, vous pouvez être fort en restant sur la selle. » Dans le vélo, on appelle cela avoir de la force dans les reins, qui ne sont pourtant pas un muscle. L'expression sert surtout à évoquer un gainage global du corps, élément sur lequel « Pogi » a bossé, selon Jeroen Swart : « Pour Tadej, ces attaques assises ne sont pas intentionnelles, c'est juste le fruit du travail de renforcement sur et en dehors du vélo qu'il a mené. » En restant assis, Pogacar produit sans doute un pic de watts moins élevé qu'en se dressant sur les pédales. Mais comme son mouvement est plus économique que la danseuse, il peut tenir plus longtemps à haute intensité. Selon Jeroen Swart, « il conserve ainsi une réserve physiologique qu'il pourra utiliser en se mettant debout ensuite. » Comme il l'a fait en avril dans le mur de Huy, quand Ben Healy a réagi (en danseuse) à son attaque assise au plus fort de la pente. La danseuse a encore de beaux jours devant elle. À lire aussi Forestier : «Si Pogacar attaque, c'est mort pour le château» Les sprinteurs, une caste changeante La superstar Pogacar fascine toutes les générations «Les moyens sont là pour lutter contre le dopage»

Pourquoi les coureurs n'ont plus le droit de jeter leurs bidons sur le bord de la route ?
Pourquoi les coureurs n'ont plus le droit de jeter leurs bidons sur le bord de la route ?

L'Équipe

timea day ago

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Pourquoi les coureurs n'ont plus le droit de jeter leurs bidons sur le bord de la route ?

En dehors de certaines zones aménagées par l'organisation de la course, les coureurs peuvent désormais être sanctionnés lorsqu'ils se débarrassent de leurs bidons. La collecte de bidons sur les bords de route est une vieille tradition pour les fans de cyclisme. Mais depuis 2021, les coureurs ne sont plus autorisés à se délester de leurs bidons n'importe où. Le règlement du Tour de France 2025 prévoit ainsi : « afin de respecter l'environnement et dans un souci de sécurité, il est interdit de se débarrasser d'aliments, de musettes, de bidons, de déchets ou de tout autre accessoire en dehors des zones de collecte ou de tout autre lieu prévu à cet effet ». Ces lieux de collecte sont au nombre de cinq ou six sur la plupart des étapes. Depuis le 15 avril 2021, le règlement de l'Union Cycliste Internationale prévoit trois sanctions graduelles pour les jets de bidons sauvages : la première infraction est punie d'une amende (500 francs suisses soit 536 euros environ) et d'un retrait de points UCI (25 points), la deuxième infraction entraîne une pénalité de temps (une minute) et la troisième une disqualification. Ce barème est le fruit d'un léger assouplissement suite à l'exclusion de Fabian Schär du Tour des Flandres 2021. Les coureurs ont toujours la possibilité de se délester auprès des assistants positionnés le long du parcours et des véhicules suiveurs des équipes et de l'organisation. Les commissaires ont également la liberté de faire des exceptions dans le cas de circonstances de course exceptionnelles (bordures) ou de forte chaleur par exemple. Les coureurs ont également l'autorisation de donner leurs bidons aux spectateurs dans les ascensions situées dans les 50 derniers kilomètres de chaque étape, à condition de ne mettre personne en danger.

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