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L'Équipe
31-07-2025
- Sport
- L'Équipe
L'Asvel perd l'Américain Andre Roberson, qui s'envole vers la Russie
Après les départs de Théo Maledon, Neal Sako ou encore Paris Lee, l'Asvel a annoncé ce jeudi le départ d'Andre Roberson, indispensable cette saison pour le club lyonnais, qui doit avancer avec l'encadrement de sa masse salariale par la DNCCG. L'Asvel perd un nouveau cadre. Le club lyonnais a annoncé, jeudi, le départ de son ailier américain Andre Roberson pour le club russe du Zenit Saint-Pétersbourg. gé de 33 ans, Roberson, joker médical à Cholet, était arrivé à l'Asvel en novembre dernier avec un statut identique pour compenser l'absence d'Edwin Jackson, blessé derrière une cuisse. Il s'était très vite imposé comme un élément incontournable de l'équipe rhodanienne et avait prolongé jusqu'en fin de saison. Andre Roberson, qui a joué 333 matches de NBA entre 2013 et 2020 à Oklahoma notamment, a disputé cette saison 35 matches de Championnat de France avec de bonnes statistiques, qui en avaient fait un joueur majeur de l'Asvel avec 10,1 points de moyenne, 6,9 rebonds et 1,9 passe décisive. Il avait également été performant en Euroligue avec 8,4 points et 6,2 rebonds en 25 rencontres. Un nouveau cadre de l'effectif s'en va En juin, le président Tony Parker avait annoncé son souhait de conserver Andre Roberson, dont il avait fait une priorité, mais s'était montré très pessimiste face à l'inflation des salaires sur le marché européen. L'Asvel, à qui la DNCCG, gendarme financier du basket français, a imposé un encadrement de sa masse salariale, a perdu plusieurs joueurs majeurs durant l'intersaison comme Théo Maledon (Real Madrid), Neal Sako (Valence) ou encore Paris Lee (Kazan, Russie).


Le Figaro
31-07-2025
- Sport
- Le Figaro
Formule 1 : «c'était quelqu'un de controversé», Wolff revient sur l'éviction d'Horner
Toto Wolff a été invité à réagir au départ de Christian Horner de Red Bull début juillet après 20 ans à la tête de l'équipe. L'Autrichien est notamment revenu sur la forte personnalité du Britannique. Trois semaines après l'éviction surprise de Christian Horner de Red Bull, son grand rival et directeur d'équipe de Mercedes Toto Wolff a réagi au micro de Sky Sports à son limogeage : «d'une certaine manière, oui [il va me manquer]. Il était l'un des acteurs principaux. Je ne pense pas qu'il soit parti pour toujours, il pourrait réapparaître dans une autre fonction. Je dois faire attention, il pourrait débarquer à la FIA , et là je suis vraiment dans la merde !», a plaisanté l'ancien pilote autrichien. Wolff a ensuite repris son sérieux en évoquant les nombreux succès d'Horner en vingt ans de règne chez Red Bull : «c'était quelqu'un de controversé, qui divisait et qui n'avait pas la langue dans sa poche. C'était une bonne chose pour le spectacle et, de ce point de vue, il va nous manquer. Son palmarès parle pour lui». Publicité Le départ d'Horner : la faute de Wolff ? L'Autrichien a également été interrogé sur le potentiel lien de causalité entre l'intérêt prononcé de Mercedes pour Verstappen et la fin de l'aventure de son ancien homologue britannique à Milton Keynes. «Il y a beaucoup plus de choses en coulisses que nous ne savons probablement pas chez Red Bull. En tant que directeur de l'écurie Mercedes, je dois m'occuper de la question des pilotes et explorer ce que Max va faire dans les prochaines années, pas seulement l'année prochaine», a-t-il tranché. La piste Ferrari était évoquée concernant le futur de Christian Horner, le directeur de l'équipe Frédéric Vasseur ayant été sur la sellette il y a quelques semaines selon les médias transalpins. Mais cette hypothèse s'est refermée ce jeudi puisque le Français a été prolongé à la tête du cheval cabré.


Le Figaro
30-07-2025
- Sport
- Le Figaro
«Faux»: Marco Verratti dément avoir été mis à la porte du PSG par Luis Enrique
L'ancien milieu de terrain du club parisien, qui évolue désormais au Qatar, est revenu sur les conditions de son départ de la capitale et avance sa vérité. Loin des yeux, près du coeur. Deux ans après son départ du Paris SG, Marco Verratti est encore questionné sur l'actualité du club parisien. S'il continue sa carrière au Qatar, après être passé notamment du club d'Al-Arabi à Al-Duhail, le milieu de terrain italien, âgé de 32 ans, a tenu à apporter sa vérité quant à la fin de son histoire avec le PSG après y avoir passé douze ans et remporté trente titres. Dans un entretien ce mercredi à la Gazzetta Dello Sport, «Petit hibou» (son surnom au Paris SG) est revenu sur les conditions de son départ à l'été 2023. Il dément notamment avoir été poussé vers la sortie par Luis Enrique, la version la plus entendue malgré tout. Ce dernier n'appréciait pas notamment l'attitude hors terrain du Transalpin et voulait surtout partir sur un nouveau cycle, choix qui lui a donné raison avec le titre de champion d'Europe glané cette saison. Publicité «Faux», répond Marco Verratti. «Ils ont écrit que j'avais quitté le PSG parce que Luis Enrique le voulait. Faux: je vous assure que ma conversation avec Nasser (Al Khelaïfi, président parisien) remonte à bien plus loin, où je lui ai dit que je partais parce que je voulais de nouveaux défis. Nous sommes restés en très bons termes, c'est quelqu'un de formidable.» Sur le technicien espagnol, Verratti salue, comme tout le monde, son travail. «Il a créé un super groupe, ils pensent beaucoup au collectif, Luis Enrique était brillant. Ils gagneront pendant des années.» Verratti vend les mérites du Qatar Questionné sur son choix d'évoluer au Qatar, à un niveau incomparable avec ce qu'il a connu en Europe avec la Ligue des champions notamment, Marco Verratti apporte sa vérité, lui qui émarge à plus de 2 millions d'euros mensuels : «Disons simplement que j'avais besoin d'un nouveau défi, d'une nouvelle motivation. Je connaissais déjà Doha et j'ai toujours aimé cette ville: quand l'occasion s'est présentée, eh bien, c'était le choix de vie. Et j'en suis heureux. Comment est le championnat? Compétitif. L'année dernière, j'étais avec une autre équipe. Al-Duhail a terminé deuxième après avoir longtemps mené: l'objectif est de remporter la Doha Bank Stars League.» « À Paris, gagner était devenu une évidence: ici, j'ai retrouvé quelque chose d'enfantin, la joie de gagner, comme quand on était enfant » Marco Verratti Au regard de son talent et de son expérience, l'impression de gâchis est réelle au sujet de l'ancien milieu de terrain parisien, qui s'est éloigné de l'Europe et ne semble plus séduire les grosses cylindrées. «Ici, si un joueur est sur le banc, il n'est pas grincheux et en colère, avoue-t-il avec le désir de vendre le championnat du Qatar. Ici, tout le monde sourit, l'envie d'être ensemble et de jouer est primordiale. À Paris, gagner était devenu une évidence: ici, j'ai retrouvé quelque chose d'enfantin, la joie de gagner, comme quand on était enfant. Le bonheur. À Paris, gagner était devenu monotone, répétitif.» Une belle pirouette qui ne convaincra pas grand monde.