Dernières actualités avec #démission


Le Figaro
a day ago
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Foot: démission, puis démenti... le triste spectacle au sein de la sélection du Cameroun
La sélection camerounaise a encore vécu une journée singulière mercredi avec l'annonce de la vraie-fausse démission de l'entraîneur Marc Brys. Ubuesque. Et peu professionnel. Le ministre des Sports camerounais a démenti mercredi l'information selon laquelle le sélectionneur du onze national Marc Brys aurait quitté ses fonctions, alors que la fédération camerounaise de football (Fécafoot) avait annoncé sa démission le même jour dans un communiqué. Le ministère «tient à rassurer l'opinion sur le fait que Marc Brys n'a pas démissionné», assure le ministre des Sports Narcisse Mouelle Kombi, dans un communiqué diffusé mercredi en fin de journée. Plus tôt, la Fécafoot avait indiqué dans un communiqué avoir reçu par voie de lettre recommandée datée du 21 juillet, «la démission de l'entraineur-sélectionneur des lions indomptables adressée au ministre des Sports et de l'éducation physique». Publicité Le sélectionneur et Eto'o en conflit permanent «La fédération camerounaise de football prend acte de la rupture unilatérale de cette relation contractuelle», poursuivait le communiqué qui assure que la Fécafoot a «saisi les autorités publiques compétentes». Alors qu'une lettre de démission supposée de Marc Brys a circulé sur les réseaux sociaux mercredi, un démenti attribué au même auteur a été relayé sur les plateformes en fin de journée. Contacté Marc Brys n'a pas répondu aux sollicitations de l'AFP. À lire aussi Foot : Samuel Eto'o fait machine arrière et s'«excuse» auprès de Marc Brys, maintenu au poste de sélectionneur du Cameroun Depuis son recrutement en avril 2024, plusieurs conflits ont opposé le technicien belge et la fédération. Il avait notamment été filmé en pleine invective publique avec un représentant du ministre des sports et l'ancienne gloire du football camerounais Samuel Eto'o, désormais président de la Fécafoot. Une équipe d'encadrement concurrente avait alors été désignée en mai 2024 par Samuel Eto'o et dirigée par le Camerounais Martin Ndtoungou Mpilé. Le conflit s'était calmé début octobre 2024, le ministère et la fédération s'étant mis d'accord pour garder Brys à la tête de l'équipe et lui adjoindre des techniciens locaux choisis par la fédération.


Le Parisien
2 days ago
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- Le Parisien
Football : à cinq mois de la CAN, le sélectionneur du Cameroun Marc Brys démissionne
Après des mois de tensions, Marc Brys, le sélectionneur du Cameroun, a finalement présenté sa démission « avec effet immédiat » dans une lettre adressée au ministre des Sports et de l'Éducation Physique. Le technicien justifie sa décision par un non-paiement de salaire. Dans la lettre consultée par Reuters, il explique avoir pris la « décision de résilier unilatéralement ledit contrat pour motif valable, en raison du non-paiement de ma rémunération et de celle de mon staff depuis plus de 60 jours ». Son départ intervient à seulement cinq mois de la Coupe d'Afrique des nations organisée au Maroc à partir du 21 décembre. Un tournoi où le Cameroun sera opposé au tenant du titre, la Côte d'Ivoire, ainsi que le Gabon et le Mozambique. De plus, sa qualification pour la Coupe du monde 2026 n'est pas encore certaine. Il est deuxième de son groupe de qualification avec un point de moins que le Cap-Vert, à quatre matchs du terme des éliminatoires. La fédération camerounaise de football a annoncé prendre acte de cette décision et saisir les « autorités publiques compétentes » dans un communiqué publié ce mercredi. Arrivé le 8 avril 2024 à la tête de l'équipe africaine, le Belge Marc Brys a connu plusieurs mois de conflits, notamment avec ministère des Sports et la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) présidée par Samuel Eto'o. En effet, la Fécafoot n'approuvait pas, entre autres, le processus de constitution du nouvel encadrement. Appelé à succéder à Rigobert Song, Marc Brys avait d'ailleurs menacé de démissionner en octobre 2024 quand sa fédération avait « oublié » d'inclure son assistant de la liste des officiels lors d'un match comptant pour les éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations 2025.


L'Équipe
2 days ago
- Sport
- L'Équipe
À cinq mois de la CAN 2026, Marc Brys démissionne de son poste de sélectionneur du Cameroun
En fonction depuis avril 2024, Marc Brys a démissionné lundi de son poste de sélectionneur du Cameroun. La Fecafoot a communiqué la nouvelle mercredi. Cette démission survient à cinq mois de la CAN au Maroc. Le Belge invoque le non-paiement des salaires pour lui et son staff. Marc Brys n'est plus le sélectionneur du Cameroun. La Fecafoot a annoncé mercredi dans un communiqué la démission du Belge de 63 ans, qui avait remplacé Rigobert Song en avril 2024 malgré le désaccord de la Fédération camerounaise. « La Fédération camerounaise de football prend acte de la rupture unilatérale de cette relation contractuelle. Dans sa préoccupation constante de sauvegarder les intérêts du Football Camerounais, la Fecafoot a saisi les autorités publiques compétentes pour l'élaboration et la mise en oeuvre en urgence d'une réponse coordonnée visant à circonscrire l'impact de cette vacance à la tête de l'encadrement technique de notre équipe nationale. » Brys, qui entretient une relation tendue avec le président de la Fecafoot Samuel Eto'o, a adressé lundi une lettre au ministère des sports camerounais (qui finançait son poste) pour informer de sa démission. Il invoque le non-paiement des salaires pour lui et son staff. Dans cette lettre consultée par Reuters, l'entraîneur a déclaré avoir pris la « décision de résilier unilatéralement ledit contrat pour motif valable, en raison du non-paiement de ma rémunération et de celle de mon staff depuis plus de 60 jours ». Il avait menacé de démissionner en octobre Moins de deux mois après sa nomination, Brys avait été limogé avant d'être finalement maintenu par Eto'o. En octobre dernier, le sélectionneur avait menacé de démissionner après qu'un de ses assistants a été rayé de la liste des officiels par la Fédération du Cameroun, lors de la victoire contre le Kenya (4-1) en qualifications de la CAN. Avant donc de renoncer pour de bon. Cette démission survient à seulement cinq mois de la phase finale de la CAN au Maroc (21 décembre - 18 janvier). Les Lions indomptables seront opposés au tenant du titre, la Côte d'Ivoire, ainsi que le Gabon et le Mozambique. Et le Cameroun n'a pas encore assuré sa qualification pour la Coupe du monde 2026 aux États-Unis, au Mexique et au Canada. Il est deuxième de son groupe de qualification avec un point de moins que le Cap-Vert, à quatre matches du terme.


La Presse
2 days ago
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Les spéculations s'intensifient sur une possible démission du premier ministre
(Tokyo) Les spéculations s'intensifient, notamment dans la presse, sur l'avenir politique du premier ministre japonais Shigeru Ishiba, mais celui-ci a démenti avoir discuté mercredi de sa démission lors d'une réunion de son parti au lendemain d'une cuisante débâcle électorale. Harumi OZAWA Agence France-Presse Lors d'élections sénatoriales dimanche, la coalition emmenée par le Parti libéral-démocrate (PLD, droite conservatrice) de Shigeru Ishiba a essuyé un cuisant revers, perdant sa majorité à la chambre haute. Le premier ministre avait cependant assuré lundi vouloir rester à son poste pour « remplir sa responsabilité » tant que les négociations commerciales en cours avec les États-Unis n'étaient pas conclues. Or, un accord a été annoncé mercredi par Tokyo et Washington, ramenant à 15 %, au lieu des 25 % envisagés, les surtaxes douanières américaines « réciproques » imposées aux produits nippons. De quoi exacerber les pressions sur M. Ishiba, 68 ans, en fonction depuis dix mois seulement. Les appels à son départ se sont intensifiés au sein du PLD selon plusieurs médias pour qui le premier ministre s'apprêtait à discuter de sa démission et pouvait aborder le sujet lors d'une réunion mercredi avec des responsables du parti. « Fort sentiment de crise » Mais à l'issue de cette réunion, Shigeru Ishiba a lui-même assuré : « Il n'y a pas eu de discussion sur la question de savoir si je devais rester en poste ou démissionner. Les médias suggèrent que j'ai fait une remarque en ce sens, mais je n'ai jamais rien dit de tel » durant cette réunion. « Tous les participants ont partagé un fort sentiment de crise, et nous avons convenu que les luttes intestines au sein du parti ne devaient pas se produire », a-t-il ajouté. Des propos interprétés diversement dans la presse japonaise, certains médias estimant qu'il démentait ainsi toute intention de démissionner, tandis que d'autres affirmaient, s'appuyant sur des sources anonymes, qu'il devrait annoncer son départ ultérieurement. Selon le quotidien Yomiuri, M. Ishiba souhaite attendre le retour depuis Washington du négociateur commercial japonais, Ryosei Akazawa, pour discuter des détails de l'accord conclu, avant d'examiner le calendrier politique et décider du moment où annoncer sa démission. Plus tôt mercredi, le quotidien Mainichi rapportait que M. Ishiba avait fait part à ses proches de son intention de quitter ses fonctions d'ici la fin août. Il serait remplacé le cas échéant par un autre responsable du PLD, l'opposition très fragmentée étant incapable de former une majorité alternative. « Bon moment pour partir » La coalition gouvernementale, constituée du PLD et de son petit allié centriste Komeito, avait déjà perdu sa majorité à la chambre basse en octobre lors de législatives anticipées convoquées par M. Ishiba lui-même après avoir pris la tête du parti en septembre. Le PLD avait alors enregistré son pire résultat depuis 15 ans. Le gouvernement est obligé depuis de transiger avec l'opposition pour faire adopter ses textes à la chambre basse, sur fond d'assombrissement de la conjoncture économique. Et lors du scrutin de dimanche, qui a renouvelé 125 des 248 sièges de la chambre haute, le PLD et le Komeito n'ont remporté que 47 sièges à eux deux, en deçà des 50 pour maintenir leur majorité sénatoriale. Un revers largement attendu : la popularité de M. Ishiba s'est écroulée ces derniers mois, sur fond de flambée inflationniste et de doublement des prix du riz, tandis que l'image du PLD reste grevée par une série de scandales. Un sondage publié début juin par la télévision NHK indiquait que seuls 39 % des Japonais approuvaient l'action du gouvernement. « J'espère vraiment que les choses vont s'améliorer au Japon, mais la population diminue et je pense que la vie ici va devenir de plus en plus difficile », déclare Naomi Omura, une habitante d'Hiroshima âgée de 80 ans, interrogée mercredi à Tokyo par l'AFP. Tetsuo Momiyama, un Tokyoïte de 81 ans, estime que le premier ministre « est déjà fini ». « C'est le bon moment pour qu'il parte », ajoute-t-il. Des électeurs se sont tournés vers d'autres formations, notamment le parti anti-immigration Sanseito, constitué il y a cinq ans avec pour mot d'ordre « le Japon d'abord » : il a réalisé une forte percée et compte désormais 15 sièges dans la chambre haute, contre deux précédemment. Les marchés financiers s'inquiètent, eux, des plans de relance et réductions d'impôts que pourrait adopter un successeur d'Ishiba sous la pression de l'opposition, au risque d'aggraver un endettement déjà lourd : les taux souverains nippons ont bondi mercredi.


Le Figaro
3 days ago
- Politics
- Le Figaro
Japon : le premier ministre Shigeru Ishiba prévoit de démissionner après sa débâcle électorale
Selon les journaux locaux, le premier ministre a fait part de son intention de se retirer à ses proches, dans la foulée de l'annonce mercredi d'un accord commercial entre les États-Unis et le Japon. Le premier ministre japonais Shigeru Ishiba prévoit d'annoncer sa démission prochainement, ont rapporté ce mercredi des médias locaux, après une débâcle électorale ayant privé sa coalition gouvernementale de la majorité à la chambre haute. Dans la foulée de l'annonce mercredi d'un accord commercial entre les États-Unis et le Japon, le premier ministre a fait part de son intention à ses proches de quitter ses fonctions d'ici la fin août, d'après le quotidien Mainichi. Le journal Yomiuri affirme, quant à lui, qu'il annoncera sa démission d'ici la fin juillet, sans toutefois préciser la date exacte de son départ. À lire aussi «Jamais je ne conseillerais à un industriel d'y ouvrir une usine» : pourquoi le Japon n'attire pas les investissements étrangers ? Publicité Les appels à la démission se sont intensifiés Lors d'élections sénatoriales dimanche, la coalition gouvernementale emmenée par le Parti libéral-démocrate (PLD, droite conservatrice) de M. Ishiba a essuyé une cuisante débâcle, perdant sa majorité à la chambre haute. En colère face aux scandales minant le PLD, à l'inflation persistante et à l'envolée des prix du riz, des électeurs se sont tournés vers d'autres partis, notamment le parti anti-immigration Sanseito, fondé il y a cinq ans avec pour mot d'ordre «le Japon d'abord». La presse japonaise indique que les appels à la démission de Shigeru Ishiba se sont intensifiés au sein du PLD depuis les résultats de l'élection à la chambre haute. Le premier ministre de 68 ans aurait toutefois attendu pour communiquer sa décision la conclusion d'un accord commercial avec Washington, juste à temps avant la date limite du 1er août pour l'imposition d'une lourde surtaxe douanière américaine. Le premier ministre avait pris la direction du parti en septembre, à sa cinquième tentative. Mais sa coalition avait ensuite perdu sa majorité à la chambre basse du Parlement en octobre lors de législatives anticipées, enregistrant le pire résultat du PLD depuis 15 ans. Depuis, la coalition au pouvoir, composé du PLD et de son petit allié centriste Komeito, est contrainte de négocier avec les partis d'opposition pour faire adopter les lois.