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Meurtre d'Aïchatou à Goussainville : les nombreuses incohérences de Patrick, accusé d'avoir tué sa femme
Meurtre d'Aïchatou à Goussainville : les nombreuses incohérences de Patrick, accusé d'avoir tué sa femme

Le Parisien

time2 hours ago

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Meurtre d'Aïchatou à Goussainville : les nombreuses incohérences de Patrick, accusé d'avoir tué sa femme

Les éléments matériels qui relient directement Patrick P. au meurtre de sa femme sont minces, voire inexistants. C'est ce qui a conduit le juge d'instruction à conclure, par un non-lieu, l'enquête qui a été menée pendant 10 ans. Le ministère public a requis dans ce sens, mais la partie civile a obtenu de la chambre de l'instruction un renvoi devant la cour d'assises du Val-d'Oise. L'accusé, âgé aujourd'hui de 69 ans, a été confronté ce vendredi 4 juillet aux multiples éléments qui le mettent en cause lors de son interrogatoire sur les faits. Le drame a eu lieu le 20 mars 2011, il y a 14 ans.

Le SPVM confirme le décès d'un jeune de 21 ans atteint par balle en juin dernier
Le SPVM confirme le décès d'un jeune de 21 ans atteint par balle en juin dernier

La Presse

time13 hours ago

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Le SPVM confirme le décès d'un jeune de 21 ans atteint par balle en juin dernier

Le SPVM confirme le décès d'un jeune de 21 ans atteint par balle en juin dernier Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a confirmé vendredi le décès d'un jeune homme de 21 ans qui avait été atteint par balle dans le stationnement du parc Angrignon à Montréal, le 24 juin dernier. Il s'agit du 19e meurtre à survenir sur le territoire du SPVM depuis le début de l'année. La Presse Canadienne Les services d'urgence avaient été appelés vers 20 h 30 ce jour-là, au sujet d'un homme qui aurait été atteint par balle dans le stationnement du parc Angrignon, dans l'arrondissement du Sud-Ouest. « Il était gravement blessé par balle au haut du corps », a indiqué à La Presse Canadienne, la porte-parole du SPVM, Caroline Chèvrefils. Il a ensuite été transporté en centre hospitalier où il était pris en charge depuis le 24 mars dans un état critique, avant de succomber vendredi à ses blessures. « Un ou des suspects auraient pris la fuite à bord d'un véhicule, a ajouté Caroline Chèvrefils. Un périmètre avait été érigé afin de protéger la scène pour les enquêteurs, ainsi que pour les techniciens en identité judiciaire, afin qu'ils puissent tous analyser la scène et tenter de comprendre les circonstances exactes de cet évènement. » Selon le SPVM, une douille aurait été retrouvée sur les lieux. Les enquêteurs de la Section des crimes majeurs sont désormais responsables de cette enquête. Mme Chèvrefils indique qu'il n'y a toujours aucune arrestation et que l'enquête se poursuit.

La commission Gallant veut baîllonner Malenfant, dénonce son avocat
La commission Gallant veut baîllonner Malenfant, dénonce son avocat

La Presse

time16 hours ago

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La commission Gallant veut baîllonner Malenfant, dénonce son avocat

L'avocat de l'architecte du projet SAAQclic Karl Malenfant juge que la commission Gallant sur le fiasco tente de « mettre le couvercle sur la marmite » en refusant d'accorder à son client le statut de participant. « Il est bien tanné de se terrer dans son coin et de se laisser martyriser sur la place publique. » Mercredi, la commission d'enquête sur la transformation numérique ratée de la Société d'assurance automobile du Québec (SAAQ) a annoncé que Karl Malenfant resterait simple témoin dans le cadre des audiences. L'ancien vice-président de l'expérience numérique réclamait le statut de participant pour pouvoir contre-interroger des témoins et apporter ses propres éléments de preuve. Karl Malenfant a refusé de s'entretenir avec La Presse. Au téléphone, son avocat Jean-François Bertrand a toutefois vivement dénoncé la décision du juge Gallant, qui dirige les travaux. Il y a un narratif que la commission a en tête et ils ne veulent pas sortir de ça, et ce narratif-là, il est incomplet quant à la vérité. Jean-François Bertrand, avocat de Karl Malenfant La commission a conclu mercredi que Karl Malenfant n'a pas d'intérêt « important et direct » dans les travaux qui justifierait le statut de participant. Son avocat juge que c'est une grave erreur. PHOTO TIRÉE DE LINKEDIN L'ex-patron du projet SAAQclic, Karl Malenfant « M. Malenfant est le seul qui peut expliquer l'histoire du début à la fin », dit-il. Plusieurs témoins se sont succédés à la barre en affirmant que son client avait omis d'avertir les responsables du dérapage du projet, dont les coûts ont plus que doublé pour dépasser 1,1 milliard de dollars. Après le calcul d'un manque à gagner supplémentaire de 222 millions en 2022 par exemple, la SAAQ a continué à faire circuler la fausse information selon laquelle les budgets convenus deux ans plus tôt seraient respectés. Son avocat assure au contraire qu'il a documenté tout le déroulement des travaux entourant le projet de transformation numérique de la SAAQ. « Quand on lui reproche de ne pas avoir avisé le conseil d'administration, c'est de la foutaise, dit-il. Il a tout par écrit. Il est capable d'appuyer 100 % de ce qu'il dit. » Ces documents font partie des éléments de preuve supplémentaires que Karl Malenfant aurait souhaité déposer en tant que participant. Selon son avocat, il est « le seul qui peut expliquer l'histoire du début à la fin ». Une histoire qui remonterait à 2005 Jean-François Bertrand affirme que la commission n'a même pas le mandat de remonter assez loin dans le temps pour faire toute la lumière. Selon lui, il faut remonter à 2005 pour avoir le portrait complet, bien avant l'arrivée de Karl Malenfant à la SAAQ. La société d'État tentait alors de définir un projet de « rénovation » informatique et ses systèmes, qui « dataient des années 1980 », accusaient déjà d'importants problèmes d'obsolescence. « Il faut que ça soit expliqué aux citoyens », dit Jean-François Bertrand. L'avocat de Karl Malenfant se dit inquiet par ce qu'il considère comme une obsession de respecter les délais impartis pour mener les travaux de la commission à terme. Il cite en exemple la commission Charbonneau sur la corruption dans les contrats publics de construction, qui a duré quatre ans. « Je ne sens pas qu'on va être traité comme ça. » Mercredi, Denis Gallant a d'ailleurs cité une décision de la commission Charbonneau sur une demande de l'ex-organisateur libéral Pierre Bibeau d'être reconnu comme participant, impliqué par des témoins dans du financement politique illégal. À l'époque, les commissaires France Charbonneau et Renaud Lachance avaient refusé, affirmant que la commission n'était pas le bon forum pour assurer sa « défense pleine et entière ». Selon Denis Gallant, ce principe s'applique à une personne accusée, ce qui n'est pas le cas de Karl Malenfant. S'il faisait face à un procès criminel, il s'agirait de toute façon de procédures distinctes : « La présente commission d'enquête ne tient pas un procès », souligne-t-il dans sa décision. Contacté par La Presse, la porte-parole de la commission Gallant, Joanne Marceau, n'avait pas de commentaire spécifique à faire sur la sortie de l'avocat de Karl Malenfant. « Je pense que la décision parle d'elle-même, dit-elle. À partir du moment où il témoignera, il pourra intervenir comme il le souhaite. Il n'a pas besoin de contre-interroger des témoins. » Plus de détails à venir.

Coulommiers : douze trafiquants de drogue présumés derrière les barreaux
Coulommiers : douze trafiquants de drogue présumés derrière les barreaux

Le Parisien

time20 hours ago

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Coulommiers : douze trafiquants de drogue présumés derrière les barreaux

Douze interpellations, douze mises en examen, douze incarcérations. C'est l'épilogue d'une enquête au long cours sur un trafic de cannabis d'ampleur, menée depuis plusieurs mois par la SCT ( Section de la criminalité territoriale, ex-Sûreté départementale) dans la région de Coulommiers. Des investigations auxquelles a participé le GIR 77 (Groupe interministériel de recherches) pour l'aspect patrimonial. A l'origine de cette affaire : des renseignements anonymes datant de l'automne 2023, désignant un habitant de Coulommiers comme étant un trafiquant de drogue d'envergure. Ecoutes téléphoniques, géolocalisations de lignes, sonorisations de voitures, surveillances physiques : les enquêteurs ont utilisé tous les moyens techniques à leur disposition pour identifier les lieutenants de cet homme, ainsi que quatre nourrices qui gardaient à domicile la drogue, importée depuis l'Espagne et le Maroc. C'est d'ailleurs lors d'un go fast que l'un des trafiquants a été interpellé par un autre service de police dans les Pyrénées-Orientales, le 17 juin dernier. Dans sa voiture, les forces de l'ordre ont saisi pas moins de 578 kg de cannabis ! Il a été écroué à l'issue de sa garde à vue. Le mardi 24 juin, les enquêteurs de la SCT - accompagnés de renforts de police - ont interpellé dix hommes et deux femmes, âgés de 21 à 60 ans, à leurs domiciles : à Coulommiers, à Beautheils-Saints et à Jouarre pour la Seine-et-Marne, mais aussi au Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne) et dans l'Aube. Lors des différentes perquisitions, les policiers ont saisi 465 g de résine de cannabis, 55 g d'herbe, 4 g de cocaïne, 4 cachets d'ecstasy ainsi que 31 600 euros en liquide. A l'issue de leur garde à vue et de leur mise en examen pour trafic de stupéfiants, tous ont été placés en détention provisoire en fin de semaine dernière par un juge des libertés et de la détention du tribunal judiciaire de Meaux. Comme l'avait requis le parquet.

Pédiatre, elle est suspectée d'avoir maquillé le meurtre de sa fille de 4 ans en noyade dans une maison de vacances
Pédiatre, elle est suspectée d'avoir maquillé le meurtre de sa fille de 4 ans en noyade dans une maison de vacances

Le Parisien

timea day ago

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Pédiatre, elle est suspectée d'avoir maquillé le meurtre de sa fille de 4 ans en noyade dans une maison de vacances

Un mode opératoire machiavélique. Une femme de 36 ans a été arrêtée en Floride (États-Unis) suspectée d'avoir maquillé la mort de sa fille en noyade accidentelle le 27 juin, rapporte NBC News ce vendredi 4 juillet. Pédiatre en Oklahoma dans le civil, Neha Gupta était venue en vacances dans la banlieue de Miami pour quelques jours de vacances avec sa fille, âgée de 4 ans. Arrivée le 25 juin, elle avait pour l'occasion loué une maison avec piscine pour profiter de ces jours de repos. Mais la semaine de rêve a viré au cauchemar, lorsque le corps de la petite fille a été retrouvé sans vie par les services de secours de Miami vendredi dernier, le 27 juin. Selon les déclarations de la mère, elle et sa fille étaient rentrées la veille au soir vers 19 heures à la villa, après avoir passé la journée à la plage et à faire du jet-ski. Neha Gupta affirme que sa fille s'est endormie et qu'elle l'a réveillée à 21 heures pour dîner. Elles sont ensuite allées se coucher dans le même lit à 0h30. La pédiatre affirme qu'elle a ensuite été réveillée vers 3h20 par un bruit, avant de se rendre compte que sa fille n'était plus dans le lit. Elle s'est alors rendu compte que la porte-fenêtre de la chambre, qui donnait sur le patio et l'extérieur, était restée grande ouverte. C'est en cherchant sa fille qu'elle a découvert son corps dans la piscine des lieux. Elle a déclaré aux enquêteurs avoir été incapable de la sortir de l'eau, car elle ne sait elle-même pas nager. La médecin a donc appelé les secours à 3h41 du matin, qui sont intervenus dans la foulée. Ils ont trouvé l'enfant « immergée au fond de la piscine ». Immédiatement sortie de l'eau, l'enfant a été prise en charge et les médecins ont commencé à la réanimer. Mais elle n'a pas pu être sauvée et a été déclarée décédée à 4h28, détaillent les documents judiciaires obtenus par Law & Crime . Et pour cause : l'autopsie pratiquée le 29 juin a révélé que la petite fille ne présentait pas d'eau dans les poumons, ce qui écartait l'hypothèse de la noyade. Le médecin légiste a également découvert des coupures à l'intérieur de la bouche de la victime et des ecchymoses sur les joues , qui ne peuvent pas être consécutives aux procédures de réanimation. Il a conclu à une mort antérieure à l'immersion dans l'eau. Les analyses restent en cours pour définir précisément les causes du décès de l'enfant, mais l'hypothèse d'une asphyxie par étouffement est privilégiée. L'examen souligne évoque un estomac vide de la fillette, alors que sa mère parle d'un dîner à 21 heures. Les soupçons des policiers se sont donc logiquement portés sur la médecin de 36 ans, qui résidait seule avec la victime dans la maison de vacances au moment des faits. Elle était en conflit avec le père de l'enfant pour en obtenir la garde. L'homme, également professionnel de santé, ne savait pas que sa fille avait été emmenée en dehors de l'État d'Oklahoma. Arrêtée ce lundi, Neha Gupta est pour l'heure détenue dans son état de résidence dans l'attente d'une extradition en Floride. Dans un communiqué publié ce mercredi, les services de santé de l'Oklahoma ont fait savoir que la médecin a été « suspendue de ses fonctions le 30 mai, informée de son renvoi, et ne consultait plus ».

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