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Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe sur les réseaux sociaux
Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe sur les réseaux sociaux

Le Figaro

time3 days ago

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Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe sur les réseaux sociaux

Réservé aux abonnés La vidéo de l'exécution d'une petite main du trafic de drogue s'est propagée via des boucles de messagerie tandis que les démonstrations de force se multiplient sur les réseaux sociaux. La mort en direct, ou presque. Mercredi, la découverte d'un corps carbonisé dans le paisible village de Saint-Bénézet (Gard), à une trentaine de kilomètres au nord de Nîmes avait semé l'effroi... C'était quelques heures avant qu'Ici Gard Lozère ne découvre une vidéo de l'exécution de la victime. Echangée de messagerie en messagerie, on n'en connaît à ce jour pas la boucle ou réseau d'origine. «Sur cette vidéo, la victime est d'abord en vie, mais ligotée, puis des tirs résonnent et cette personne s'effondre sous les balles. La première est tirée dans la tête, les deux autres dans le torse. La main gantée qui appuie sur la détente et l'arme d'où proviennent les tirs sont visibles sur les images», a révélé la radio. «C la zs choisissait bien votre camp» (sic) signent les auteurs. Dans le jargon local, «zs» désigne la ZUP Sud, soit le quartier de Pissevin. Un quartier prioritaire gangréné par le narcotrafic, concurrencé par d'autres points de deal, situés quant à eux plus proches du centre-ville…

Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe les réseaux sociaux
Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe les réseaux sociaux

Le Figaro

time4 days ago

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Narcotrafic : à Nîmes, l'ultra violence s'exhibe les réseaux sociaux

Réservé aux abonnés La vidéo de l'exécution d'une petite main du trafic de drogue s'est propagée via des boucles de messagerie tandis que les démonstrations de force se multiplient sur les réseaux sociaux. La mort en direct, ou presque. Mercredi, la découverte d'un corps carbonisé dans le paisible village de Saint-Bénézet (Gard), à une trentaine de kilomètres au nord de Nîmes avait semé l'effroi... C'était quelques heures avant qu'Ici Gard Lozère ne découvre une vidéo de l'exécution de la victime. Echangée de messagerie en messagerie, on n'en connaît à ce jour pas la boucle ou réseau d'origine. «Sur cette vidéo, la victime est d'abord en vie, mais ligotée, puis des tirs résonnent et cette personne s'effondre sous les balles. La première est tirée dans la tête, les deux autres dans le torse. La main gantée qui appuie sur la détente et l'arme d'où proviennent les tirs sont visibles sur les images», a révélé la radio. «C la zs choisissait bien votre camp» (sic) signent les auteurs. Dans le jargon local, «zs» désigne la ZUP Sud, soit le quartier de Pissevin. Un quartier prioritaire gangréné par le narcotrafic, concurrencé par d'autres points de deal, situés quant à eux plus proches du centre-ville…

États-Unis : un homme condamné à la peine capitale en Floride, le nombre d'exécutions au plus haut depuis 2015
États-Unis : un homme condamné à la peine capitale en Floride, le nombre d'exécutions au plus haut depuis 2015

Le Parisien

time16-07-2025

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États-Unis : un homme condamné à la peine capitale en Floride, le nombre d'exécutions au plus haut depuis 2015

Il s'agit déjà de la 26e exécution de l'année aux États-Unis , soit le chiffre le plus haut en une décennie. Ce mardi, un homme de 54 ans a été exécuté en Floride. Michael Bell, condamné à la peine capitale, a reçu une injection létale à 18h25 locales au pénitencier d'État de Raiford, a annoncé l'administration pénitentiaire de Floride . Il avait été condamné à la peine capitale pour le meurtre en 1993 de Jimmy West, 23 ans, et de Tamecka Smith, 18 ans, à Jacksonville. Ce meurtre était motivé par sa volonté de se venger du meurtrier de son frère, Theodore Wright, mais il avait par erreur tué à sa place le frère de ce dernier et une jeune fille qui l'accompagnait. Michael Bell fait partie de la trentaine de condamnés à mort passés dans leur jeunesse par la tristement célèbre maison de correction Florida School of Boys, surnommée Dozier. L'établissement, où les actes de cruauté étaient monnaie courante, fermé en 2011 après plus d'un siècle d'activité, a inspiré le roman « The Nickel Boys » de l'écrivain afro-américain Colson Whitehead, récompensé en 2020 par le prix Pulitzer. Des anthropologues y ont découvert en 2016 les vestiges de 55 sépultures anonymes. Il s'agit de la 26e exécution aux États-Unis depuis le début de l'année - dont huit pour la seule Floride -, un record depuis les 28 enregistrées en 2015. Neuf autres sont actuellement encore prévues en 2025. « L'augmentation des exécutions cette année est le résultat des décisions de quelques responsables élus dans un petit nombre d'États », explique dans un rapport publié la semaine dernière l'observatoire spécialisé Death Penalty Information Center (DPIC). Ces exécutions sont « très concentrées géographiquement », plus de la moitié se répartissant entre la Floride, le Texas et la Caroline du Sud, souligne-t-il. Sur 26 exécutions cette année, 21 ont été réalisées par injection létale. Trois l'ont été par inhalation d'azote , une méthode utilisée pour la première fois au monde par l'Alabama en 2024 et comparée par des experts de l'ONU à une forme de « torture » et deux par peloton d'exécution en Caroline du Sud , pour la première fois aux États-Unis depuis 2010. La peine de mort a été abolie dans 23 des 50 États américains. Trois autres, la Californie, l'Oregon et la Pennsylvanie, observent un moratoire des exécutions sur décision du gouverneur.

Une 26e personne exécutée au pays cette année
Une 26e personne exécutée au pays cette année

La Presse

time16-07-2025

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Une 26e personne exécutée au pays cette année

(Starke) Un homme qui a abattu deux personnes devant un bar de Floride dans le cadre d'une tentative de vengeance a été exécuté mardi. Il s'agit de la 26e exécution aux États-Unis cette année. David Fischer Associated Press Michael Bernard Bell, 54 ans, a été déclaré mort à 18 h 25 après avoir reçu une injection létale à la prison d'État de Floride près de Starke, a déclaré Bryan Griffin, porte-parole du gouverneur Ron DeSantis. Bell avait été reconnu coupable en 1995 et condamné à mort pour les meurtres de Jimmy West et Tamecka Smith. Lorsque le directeur de l'équipe a demandé à Bell s'il avait un dernier mot, il a répondu : « Merci de ne pas m'avoir laissé passer le reste de ma vie en prison. » PHOTO FOURNIE PAR LE DÉPARTEMENT PÉNITENTIAIRE DE LA FLORIDE, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Michael Bernard Bell Avec la mort de Bell, le nombre d'exécutions aux États-Unis a dépassé d'une personne le total de l'année dernière, alors qu'il reste plus de cinq mois à courir. Le nombre annuel d'exécutions a globalement diminué à l'échelle nationale au cours de ce siècle, après avoir atteint un pic de 98 en 1999. De 1995 à 2006, on comptait en moyenne environ 67 exécutions par an. John Blume, directeur du Death Penalty Project de l'école de droit de Cornell, affirme que la hausse des exécutions ne semble pas liée à un changement du soutien public à la peine de mort ni à une augmentation du taux de condamnations à mort, mais plutôt au pouvoir discrétionnaire des gouverneurs des États. « Un certain nombre de ces personnes exécutées sont des personnes qui sont dans le système depuis longtemps ; elles sont dans le couloir de la mort depuis longtemps », a expliqué M. Blume, ajoutant que certains dirigeants et procureurs généraux agressifs « veulent exécuter ces personnes ». Il a évoqué un décret présidentiel de grande envergure signé par le président Donald Trump dès son retour au pouvoir, visant à exhorter les procureurs à requérir la peine de mort et à préserver la peine capitale dans les États. « Le point de vue le plus cynique serait : cela semble important pour le président, donc cela les intéresse », a ajouté John Blume à propos des gouverneurs. Le porte-parole du Département des services correctionnels de Floride, Ted Veerman, a déclaré mardi que le département était bien préparé à s'acquitter de sa mission, telle que définie par les tribunaux et le gouverneur. Bell serait la huitième personne exécutée en Floride cette année, une neuvième étant prévue plus tard ce mois-ci. L'État a exécuté six personnes en 2023, mais une seule l'année dernière. La Floride a exécuté plus de personnes que tout autre État cette année, le Texas et la Caroline du Sud étant ex æquo à la deuxième place avec quatre chacun. L'Alabama a exécuté trois personnes, l'Oklahoma en a tué deux, et l'Arizona, l'Indiana, la Louisiane, le Mississippi et le Tennessee en ont chacun exécuté une. Demande de sursis rejetée En décembre 1993, Bell a repéré ce qu'il pensait être la voiture de l'homme qui avait tué son frère par balle plus tôt cette année-là, selon les archives judiciaires. Bell ignorait apparemment que l'homme avait vendu la voiture à Jimmy West. Bell a appelé deux amis et s'est armé d'un fusil AK-47, ont indiqué les autorités. Ils ont trouvé la voiture garée devant un bar et ont attendu. Lorsque M. West, Tamecka Smith et une autre femme ont fini par sortir du bar, Bell s'est approché de la voiture et a ouvert le feu, ont indiqué les autorités. M. West est mort sur place, et Mme Smith est morte sur le chemin de l'hôpital. L'autre femme s'en est sortie indemne. Des témoins ont raconté que Bell avait également tiré sur une foule de curieux avant de prendre la fuite. Il a finalement été arrêté l'année suivante. Bell a ensuite été reconnu coupable de trois autres meurtres. Il avait abattu une femme et son jeune fils en 1989 et tué le petit ami de sa mère environ quatre mois avant l'agression contre les deux victimes, ont indiqué les autorités. Les autorités pénitentiaires ont déclaré que Bell s'était réveillé à 6 h 30 mardi et avait pris son dernier repas, composé d'une omelette, de bacon, de pommes de terre maison et de jus d'orange. Il avait rencontré un conseiller spirituel, mais n'avait reçu aucune autre visite. La Cour suprême des États-Unis a rejeté mardi la demande de Bell de sursis à exécution. Ses avocats ont soutenu dans leur requête que l'exécution de Bell devait être suspendue en raison de preuves récemment découvertes concernant les témoignages. Mais les juges ont rejeté cet argument à l'unanimité la semaine dernière, soulignant les preuves accablantes de la culpabilité de Bell dans un avis de 54 pages. Les journalistes de l'Associated Press Kate Payne, à Tallahassee, en Floride, et Freida Frisaro, à Fort Lauderdale, en Floride, ont contribué à cette dépêche.

Peine de mort: Record d'exécutions aux États-Unis depuis 2015
Peine de mort: Record d'exécutions aux États-Unis depuis 2015

24 Heures

time15-07-2025

  • Politics
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Peine de mort: Record d'exécutions aux États-Unis depuis 2015

Un condamné a été mis à mort mardi en Floride, le 26e depuis le début de l'année dans le pays, un record. Publié aujourd'hui à 01h26 Mis à jour il y a 4 minutes Image d'illustration. AFP Un homme condamné à la peine capitale a été exécuté mardi en Floride, dans le sud des États-Unis, portant à 26 le nombre d'exécutions dans le pays depuis le début de l'année, soit le plus haut total en une décennie. Michael Bell, 54 ans, a été exécuté par injection létale au pénitencier d'État de Raiford, à 18 h 25 locales (00 h 25 en Suisse mercredi), a annoncé l'administration pénitentiaire de Floride. Il avait été condamné à la peine capitale pour le meurtre en 1993 de Jimmy West, 23 ans, et de Tamecka Smith, 18 ans, à Jacksonville. Ce meurtre était motivé par sa volonté de se venger du meurtrier de son frère, Theodore Wright, mais il avait par erreur tué à sa place le frère de ce dernier et une jeune fille qui l'accompagnait. Michael Bell fait partie de la trentaine de condamnés à mort passés dans leur jeunesse par la tristement célèbre maison de correction Florida School of Boys, surnommée Dozier. 26 exécutions depuis janvier L'établissement, où les actes de cruauté étaient monnaie courante, fermé en 2011 après plus d'un siècle d'activité, a inspiré le roman «The Nickel Boys» de l'écrivain afro-américain Colson Whitehead, récompensé en 2020 par le prix Pulitzer. Des anthropologues y ont découvert en 2016 les vestiges de 55 sépultures anonymes. Il s'agit de la 26e exécution aux États-Unis depuis le début de l'année – dont huit pour la seule Floride – un record depuis les 28 enregistrées en 2015. Neuf autres sont actuellement encore prévues en 2025. «L'augmentation des exécutions cette année est le résultat des décisions de quelques responsables élus dans un petit nombre d'États», explique dans un rapport publié la semaine dernière l'observatoire spécialisé Death Penalty Information Center (DPIC). Ces exécutions sont «très concentrées géographiquement», plus de la moitié se répartissant entre la Floride, le Texas et la Caroline du Sud, souligne-t-il. Sur 26 exécutions cette année, 21 ont été réalisées par injection létale. Trois l'ont été par inhalation d'azote, une méthode utilisée pour la première fois au monde par l'Alabama en 2024 et comparée par des experts de l'ONU à une forme de «torture» et deux par peloton d'exécution en Caroline du Sud, pour la première fois aux États-Unis depuis 2010. La peine de mort a été abolie dans 23 des 50 États américains. Trois autres, la Californie, l'Oregon et la Pennsylvanie, observent un moratoire des exécutions sur décision du gouverneur. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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