Dernières actualités avec #fresque
Le Figaro
3 days ago
- Politics
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Une impressionnante fresque vieille de plus de 3 000 ans découverte au Pérou
Les archéologues ont exhumé une fresque de cinq mètres de long à Huaca Yolanda, au nord du pays. Selon les chercheurs, elle présente des motifs « uniques ». Après la mise au jour d'une sépulture millénaire à Lima, des archéologues péruviens ont annoncé mardi 22 juillet, avoir découvert une fresque murale préhispanique vieille de plus de 3 000 ans dans le nord du pays. Cette œuvre a été découverte à l'intérieur d'un temple sur le site archéologique Huaca Yolanda, à environ 580 km au nord de la capitale du Pérou. S'étalant sur près de 40 hectares, le site dispose de diverses constructions datant de l'ère pré-céramique, il y a environ 5000 ans, jusqu'à la période contemporaine des Chimu, qui s'achève au XVe siècle. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Datant d'au moins trois millénaires , la fresque « présente des caractéristiques tout à fait uniques pour l'archéologie péruvienne », a déclaré à l'AFP Ana Cecilia Mauricio, directrice des fouilles sur le site et chercheuse à l'Université pontificale catholique du Pérou. Le site archéologique Huaca Yolanda au Pérou s'étend sur une quarantaine d'hectares. HANDOUT / AFP Publicité Un site exceptionnel menacé par les pilleurs Sur cette fresque de plus de cinq mètres de long et deux mètres de haut sont représentés des poissons, des étoiles, des filets de pêche ainsi que des plantes. Des traces de couleurs bleues, rouge, jaune et noires subsistent également. « Jamais nous n'avions trouvé d'iconographie ni de dessins de ce type », a détaillé Ana Cecilia Mauricio. « Cette découverte [...] révèle la richesse historique et culturelle du peuple péruvien », a-t-elle ajouté. Mais l'absence de clôture et de protection institutionnelle expose le vestige préhispanique au vol et à la destruction par des machines agricoles, rapporte le média Peru21 . « Nous sommes très inquiets, car si le site n'est pas protégé, des envahisseurs pourraient revenir, le détruire et le perdre à jamais » a commenté l'archéologue.
Le Figaro
3 days ago
- Entertainment
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50 ans après sa mort, une fresque parisienne rend hommage à Joséphine Baker
Située à proximité du canal de l'Ourcq, l'œuvre dédiée à l'inoubliable interprète de J'ai deux amours et résistante française, a été dévoilée le 19 juillet. Elle a été réalisée par le street-artiste, FKDL. « J'ai deux amours, mon pays et Paris » chantait en 1930, Joséphine Baker. 50 ans après sa disparition, l'artiste et espionne pour la Résistance française est immortalisée sur une fresque bleue et jaune, située à proximité du canal de l'Ourcq (nord-est de Paris) rapporte Euronews. Réalisée par l'artiste spécialiste du collage papier et du scotch FKDL, l'œuvre a été créée dans le cadre du festival de street art Ourcq Living Colors. Elle a été dévoilée le samedi 19 juillet en présence du fils de la chanteuse, Brian Baker. « Je suis heureux et touché, car cela perpétue la mémoire de ma mère. Cela montre son sourire tourné vers le monde » a-t-il commenté, avec émotion. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Le street-artiste FKDL a avoué à Euronews, que Joséphine Baker est une de ses inspirations personnelle : « Elle a toujours été, pour moi, une figure emblématique de cette époque. À la fois sauvage et libre d'esprit, mais aussi profondément liée à la musique, aux comédies musicales à la danse. C'était un personnage extraordinaire, une femme incroyable ». Publicité Vedette des Années folles Née en 1906 à Saint-Louis, au Missouri, Freda Josephine McDonald a commencé une carrière de danseuse au début des Années Folles à New York avant de traverser l'océan et rejoindre Paris en 1925. Elle connaît le succès au Théâtre des Champs-Élysées puis aux Folies Bergère où son spectacle La Folie du Jour marque les esprits. Accompagnée d'un guépard, Joséphine Baker chantait et dansait vêtu d'un simple pagne et d'une ceinture de bananes. Dans les années 1930, celle que l'on surnomme « La Vénus noire » devient l'égérie des artistes cubistes comme Alexander Calder ou Henri Laurens. Sur scène, Joséphine Baker interprète son plus grand succès : J'ai deux amours. Au sommet de sa gloire, elle prend la nationalité française en 1937. Avant que les nuages sombres de la Seconde Guerre mondiale changent son destin. La ceinture de bananes de Joséphine Baker a marqué l'histoire du music-hall. Leonard de Selva / Bridgeman Images Dès le début du conflit, l'artiste s'engage dans la Résistance comme agent de services secrets et devient sous-lieutenant dans l'armée de l'air. Ce rôle d'espionne au service du général de Gaulle et de la France Libre lui vaudra la médaille de la Résistance Française, la Croix de guerre et la Légion d'honneur. Après la guerre, elle milite contre le racisme et la ségrégation aux États-Unis. En 1963, elle participe à la Marche sur Washington aux côtés de Martin Luther King. Là, Joséphine Baker prononce un discours, habillée de son uniforme militaire. Après des années difficiles où l'argent la fuyait, la chanteuse décède le 12 avril 1975 des suites d'une attaque cérébrale. En 2021, Joséphine Baker devient la cinquième femme à être accueillie au Panthéon, rejoignant ainsi Marie Curie ou Simone Veil. Près d'un demi-siècle après sa mort, personne n'avait oublié son talent et son amour de la France.
Le Soir
7 days ago
- Politics
- Le Soir
Des archéologues font une découverte vieille de plus de 3.000 ans au Pérou (photos)
Des archéologues péruviens ont annoncé mardi avoir découvert une fresque murale pré-hispanique vieille de plus de 3.000 ans dans le nord du pays. Cette œuvre a été découverte à l'intérieur d'un temple sur le site archéologique Huaca Yolanda, à environ 580 km au nord de la capitale du Pérou, Lima. Vieille d'au moins trois millénaires, elle « présente des caractéristiques tout à fait uniques pour l'archéologie péruvienne », a déclaré à l'AFP Ana Cecilia Mauricio, directrice des fouilles sur le site et chercheuse à l'Université pontificale catholique du Pérou. Sur cette fresque de plus de cinq mètres de long et deux mètres de haut sont représentés des poissons, des étoiles, des filets de pêche ainsi que des plantes. « Jamais nous n'avions trouvé d'iconographie ni de dessins de ce type », a détaillé Ana Cecilia Mauricio. « Cette découverte (…) révèle la richesse historique et culturelle du peuple péruvien », a-t-elle ajouté.
L'Équipe
16-07-2025
- Entertainment
- L'Équipe
Une fresque réalisée pour l'anniversaire de Lamine Yamal vandalisée à Barcelone
L'artiste TVBoy avait réalisé une fresque représentant Lamine Yamal en Superman à l'occasion des 18 ans de l'ailier espagnol. Mais l'oeuvre, peinte dans les rues de Barcelone, a été retrouvée vandalisée ce mercredi matin. Pas de répit pour Lamine Yamal. Au coeur d'une polémique depuis qu'il a embauché des artistes nains pour fêter sa majorité, l'international espagnol a vu une fresque à sa gloire être vandalisée dans les rues de Barcelone. L'oeuvre avait été réalisée par Tvboy à l'occasion de l'anniversaire du Barcelonais. L'ailier de 18 ans était représenté en Superman, mais le dessin n'est plus visible car recouvert de dizaines de tags. Une mauvaise nouvelle de plus pour le prodige ibérique. La veille, le gouvernement espagnol avait réclamé l'ouverture d'une enquête pour déterminer « s'il y a eu une atteinte aux droits des personnes handicapées » lors de sa soirée d'anniversaire. Lamine Yamal s'était notamment attiré les foudres de l'Association des personnes atteintes de dysplasies squelettiques avec nanisme (ADEE).
Le Figaro
09-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Roubaix : une fresque de la Statue de la Liberté, visage couvert de honte, émeut jusqu'aux États-Unis
L'artiste néerlandaise Judith de Leew a dénoncé la politique de Trump à travers une œuvre qui circule désormais dans les médias américains. Une œuvre qui fait sensation sur les réseaux. À Roubaix, une fresque représentant la Statue de la Liberté, symbole universel d'espoir et d'ouverture, le visage enfoui dans ses mains, ne passe pas inaperçue. Le message est fort : celui d'une honte silencieuse, dénonçant les politiques trumpistes. Signée par l'artiste néerlandaise Judith de Leeuw à l'occasion du festival URBX début juin, l'œuvre résonne au-delà des frontières françaises, circulant jusqu'aux États-Unis. L'artiste de 27 ans, mondialement reconnue pour ses fresques engagées, livre une interprétation saisissante de l'un des symboles les plus puissants de la démocratie occidentale. «La statue de la Liberté a autrefois été construite par les Français en cadeau à l'Amérique au nom de leur amitié, et en mémoire de l'Independance day, où l'on célèbre le droit de chacun à la liberté et à l'épanouissement personnel, une chose que les migrants ne peuvent plus dire aujourd'hui. La statue se couvre les yeux, comme si la situation actuelle était trop difficile à regarder», confie-t-elle auprès de La Voix du Nord, estimant que son œuvre pouvait trouver un sens particulier à Roubaix, ville «où il y a beaucoup de migrants». Publicité 18 millions de vues sur Facebook La torche, autrefois brandie avec fierté, est tombée. Le regard, quant à lui, se détourne, comme incapable d'affronter la réalité. Conçue en six jours, Judith de Leeuw a donné vie à une image criante d'actualité. La fresque a rapidement dépassé le cadre local. Reprise par des médias américains de premier plan tels que USA Today et CBS, la vidéo de l'œuvre a été vue plus de 18 millions de fois sur Facebook. Sur Instagram, l'artiste a vu ses abonnés affluer, parvenant à 12.000 «j'aime » sous la photo de sa fresque. Surprise, elle a réagi dans une story Instagram : «P*tain de m*rde, 3 millions de vues !», après une première publication virale.
