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Sud-Ouest : le directeur général Nicolas Sterckx sur le point d'être évincé
Sud-Ouest : le directeur général Nicolas Sterckx sur le point d'être évincé

Le Figaro

time8 hours ago

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Sud-Ouest : le directeur général Nicolas Sterckx sur le point d'être évincé

Le directeur général a reçu la notification de son licenciement à la fin du mois de juin. Il sera destitué de ses fonctions vendredi lors d'un conseil d'administration extraordinaire. Crise au sommet du Groupe Sud-Ouest, la maison mère du célèbre quotidien régional. Comme l'a révélé La Lettre, son directeur général Nicolas Sterckx, nommé il y a trois ans, s'apprête à être révoqué de ses fonctions. Une éviction brutale qui témoigne des désaccords qui opposaient le dirigeant de 57 ans, venu de Webedia, et la famille actionnaire, toujours largement majoritaire au capital du groupe. Selon nos informations, Nicolas Sterckx était absent de son poste depuis plusieurs mois, pour raison médicale. Alors qu'il se trouvait toujours arrêté, il aurait reçu une convocation surprise à un entretien préalable au licenciement par le président du conseil d'administration du groupe, Olivier Cotinat, le 19 juin. Son licenciement effectif a été prononcé le 18 juillet et un conseil d'administration extraordinaire a été convoqué vendredi 25 juillet pour le destituer de ses fonctions. Publicité Un membre de la famille actionnaire, Christophe Galichon, est pressenti pour remplacer le dirigeant évincé. Il avait déjà été promu directeur général délégué du groupe début juillet. Plus d'informations à venir...

Mont-Saint-Michel : la Cour des comptes pousse le Rocher dans le giron de la région
Mont-Saint-Michel : la Cour des comptes pousse le Rocher dans le giron de la région

Le Figaro

time5 days ago

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Mont-Saint-Michel : la Cour des comptes pousse le Rocher dans le giron de la région

Réservé aux abonnés Les magistrats réclament une simplification administrative pour la gestion du site et de l'abbaye. Selon eux, il y a trop de doublons et les touristes en pâtissent. Les trois millions de touristes qui visitent chaque année le Mont-Saint-Michel ne soupçonnent pas la guerre de terrain que se livrent sur place le Centre des Monuments nationaux (CMN) et l'Établissement public industriel et commercial du Mont-Saint-Michel (Epic). À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Depuis 2020, ces deux entités publiques ont chacune entre les mains une partie de la gestion du rocher, le premier étant propriétaire des murs et de l'abbaye, le second ayant été créé pour assurer les missions de valorisation, et de développement économique. Deux, c'est sans doute trop, et on ne compte plus les tiraillements et les absurdités quotidiennes, qui minent les salariés des deux entités. C'est dire si le rapport de la Cour des comptes annoncé pour mai, et finalement publié sans autre forme de publicité jeudi 17 juillet, était attendu sur place. Une cohabitation qui nuit à l'amélioration des recettes Selon les magistrats, il faut mettre un terme à cette guerre de tranchée, et à une cohabitation qui « nuit à la construction d'une politique touristique et culturelle d'ensemble ainsi…

Marseille : la justice rejette le recours de Nora Preziosi contre son éviction de 13 Habitat
Marseille : la justice rejette le recours de Nora Preziosi contre son éviction de 13 Habitat

Le Figaro

time5 days ago

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Marseille : la justice rejette le recours de Nora Preziosi contre son éviction de 13 Habitat

L'ancienne présidente du bailleur social des Bouches-du-Rhône avait saisi le tribunal administratif pour contester son éviction de 13 Habitat, après notamment des accusations de conflit d'intérêts portant sur sa famille. La justice n'a pas donné raison à Nora Preziosi. Dans un communiqué de presse, le tribunal administratif de Marseille annonce avoir rejeté la requête de l'ancienne présidente de 13 Habitat, le principal bailleur social des Bouches-du-Rhône, récemment évincée de ce poste par la présidente du département Martine Vassal pour des soupçons de conflits d'intérêts. Le tribunal indique notamment que le matin même de l'audience, une nouvelle délibération sur la nouvelle composition du conseil d'administration annulait celle attaquée par Nora Preziosi, de sorte que cette saisie de la justice devenait caduque. Publicité Une demande du préfet Au milieu du mois de juin, Nora Preziosi s'était retrouvée poussée vers la sortie par Martine Vassal après une série de révélations dans la presse sur la gestion de la structure. Dans un rapport qui devait être rendu public le 5 octobre prochain, mais qui a fuité dans les colonnes de La Provence et de Marsactu, l'agence nationale du contrôle du logement social (Ancols) étrille 13 Habitat, mettant en avant de possibles conflits d'intérêts et de profonds dysfonctionnements au sein du bailleur social. Selon nos confrères, le rapport revient notamment sur les conditions d'attribution de logements sociaux à des membres de la famille de Nora Preziosi, à la tête de l'office HLM depuis octobre 2022. Il y a quelques mois, Marsactu avait déjà révélé qu'un appartement refait à neuf, dans une résidence d'un quartier prisé de Marseille à quelques mètres de la plage, avait été attribué à la mère de Nora Preziosi. Le 27 juin dernier, et après un courrier du préfet à Martine Vassal la pressant de prendre une telle décision sous menace de sanctions, Nora Preziosi a été écartée de la présidence de 13 Habitat

La Cour des comptes salue la gestion du Mont Saint-Michel mais épingle sa direction bicéphale
La Cour des comptes salue la gestion du Mont Saint-Michel mais épingle sa direction bicéphale

Le Figaro

time6 days ago

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La Cour des comptes salue la gestion du Mont Saint-Michel mais épingle sa direction bicéphale

La Cour des comptes a publié jeudi un rapport qui salue la bonne gestion du Mont Saint-Michel mais critique la direction bicéphale du joyau normand, émettant des recommandations sur sa gouvernance et son financement. Selon ce document, l'établissement public industriel et commercial (EPIC) du Mont, créé en 2019, a fait preuve d'une gestion «rigoureuse» et assoit «sa légitimité et sa crédibilité» mais il est confronté aujourd'hui à un «triple défi» de gouvernance, de financement et de mutualisation. Sur ce dernier point, la coopération entre le Centre des monuments nationaux (CMN) qui gère l'abbaye située en haut du Mont Saint-Michel et l'EPIC, en charge de tout le reste - accès, commerces, autres activités touristiques -, se «dégrade» et se transforme en «cohabitation», peut-on lire dans le rapport. Une situation qui «nuit à la construction d'une politique touristique et culturelle d'ensemble ainsi qu'à l'amélioration des recettes» et qui «bloque la nécessaire réduction des coûts alors que des doublons existent sur les missions de rayonnement». Publicité Le rapport souligne aussi que «la fréquentation du Mont Saint-Michel plafonne légèrement en dessous des trois millions de visiteurs dont la moitié seulement visitent l'abbaye». La Cour des comptes recommande donc «une délégation de la gestion» de l'abbaye à l'EPIC, qui aurait donc la responsabilité de l'ensemble pour «une gestion unifiée», supprimant «les doublons, ainsi que le cumul des deux fonctions de directeur général et d'administrateur». Le CMN quant à lui garderait le statut de ses personnels, ses compétences «reconnues» pour la conservation du patrimoine et conserverait la maîtrise d'ouvrage «pour tous les travaux de restauration sur l'abbaye et les remparts». Concernant la gouvernance, la double tutelle des ministères de la Transition écologique (MTE) et de la Culture est en danger, selon la Cour des comptes, avec le possible retrait du MTE dans le prolongement de la réduction de moitié de sa subvention en 2025. Le retrait annoncé de la région Bretagne est également une source d'inquiétude pour l'équilibre Etat-collectivités territoriales, qualifié de «délicat». Le troisième défi, le financement, est pointé alors que «l'EPIC ne peut assurer seul les près de 30 millions d'euros d'investissements qu'exige le vieillissement des ouvrages et des équipements», selon la Cour des comptes. «La montée des charges, l'entretien, le niveau de fréquentation, et la diminution des subventions réduisent considérablement la capacité d'autofinancement» de l'EPIC, alerte la Cour, qui engage les différents acteurs à entamer sans délai «des négociations avec les autres membres du conseil d'administration».

Henri Giscard d'Estaing évincé de la présidence du Club Med
Henri Giscard d'Estaing évincé de la présidence du Club Med

24 Heures

time6 days ago

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Henri Giscard d'Estaing évincé de la présidence du Club Med

Après vingt-deux ans à la tête du groupe, le dirigeant a été «révoqué de fait» par l'actionnaire chinois Fosun. Les tensions sur l'avenir et l'identité française de l'entreprise étaient devenues insurmontables. Publié aujourd'hui à 13h26 Henri Giscard d'Estaing, ici en 2017, était président du Club Med depuis 2002. AFP/ERIC PIERMONT Après plusieurs mois de tensions avec l'actionnaire principal, le chinois Fosun, Henri Giscard d'Estaing, 68 ans, président du Club Med depuis décembre 2002, a annoncé mercredi avoir été «révoqué de fait», mettant fin à 22 ans de présidence. «Je suis contraint de mettre fin à mes fonctions de président du Club Med», a-t-il déclaré lors d'une visioconférence avec la presse, expliquant que cela faisait suite à la désignation par Fosun d'un nouveau président, «sans (son) accord» et dont il n'a pas donné le nom. «J'ai informé Fosun que je prenais acte de la décision de nommer quelqu'un à ma place, sans transition et sans mon accord», a-t-il dit. Fosun Tourism a «pris acte des déclarations d'Henri Giscard d'Estaing évoquant un retrait de ses fonctions», selon un communiqué transmis à l'AFP. «L'année dernière, Club Med a lancé un processus de succession en pleine collaboration entre le conseil d'administration et Henri Giscard d'Estaing lui-même, le processus est toujours en cours», ajoute le groupe chinois. «La décision relative à la finalisation de ce processus sera communiquée en temps voulu», selon lui. Tensions avec Fosun Henri Giscard d'Estaing avait réussi à maintenir sa position à la tête du Club Med en 2024 après un réaménagement de la direction du groupe de tourisme, sur fond de tensions avec Fosun, qui avait abouti au départ de Michel Wolfovski, directeur général adjoint et bras droit d'Henri Giscard d'Estaing. «J'ai répété que je n'avais pas vocation à l'éternité, que mon ambition n'est pas de durer», a-t-il soutenu mercredi. «J'avais indiqué clairement aux dirigeants de Fosun que j'étais volontaire et désireux, si les conditions étaient réunies, d'assurer personnellement le succès de cette transition en accompagnant le futur dirigeant pendant six mois dans mon rôle de président». Les tensions avaient toutefois persisté, notamment début juin, lorsqu'il avait plaidé pour un retour prochain du groupe à la Bourse de Paris. Fosun avait alors réagi, déclarant ne pas envisager «à ce stade» d'introduction en Bourse. Henri Giscard d'Estaing assurait le lendemain n'avoir «aucune divergence de vue» avec l'actionnaire chinois. «J'avais soutenu ardemment depuis près de deux ans le projet de Fosun d'avoir des actionnaires minoritaires pour le Club Med. Ce projet n'ayant pas abouti (…), la clé du succès est donc désormais la «recotation» du Club Med à Paris en 2026», a-t-il insisté mercredi. «Aujourd'hui, cette cotation est plus nécessaire que jamais. Il faut une gouvernance internationale pour le Club Med, respectueuse de ses valeurs et de son ancrage français. Et ce n'est plus le cas aujourd'hui», a-t-il martelé. Racines françaises du Club Med Le groupe Club Med était sorti de la cote en mars 2015, après son rachat par Fosun au terme d'une longue offre publique d'achat (OPA). «La grande majorité des administrateurs est basée à Shanghai, a peu d'expérience internationale et ne parle pas anglais. Ils ne connaissent pas ou peu le Club Med dans sa dimension mondiale et ses racines françaises», a dénoncé Henri Giscard d'Estaing. «L'identité française de Club Med est au cœur des valeurs du groupe», selon Fosun Tourism Group qui réaffirme mercredi «son engagement ferme en faveur du développement à long terme de Club Med et respecte profondément l'héritage et les racines françaises du groupe». «Le centre de décisions de Club Med restera en France», affirme Fosun. Sous l'impulsion d'Henri Giscard d'Estaing, le Club Med a amorcé une montée en gamme il y a une vingtaine d'années, ce qui lui a permis en 2024 d'afficher des résultats record dépassant les 2 milliards de ventes et multipliant sa marge opérationnelle par quatre en dix ans pour approcher les 10%. «Cette transformation réussie est le résultat de la stratégie que j'ai décidée et qui a été mise en œuvre avec résilience et courage par les équipes du Club Med», a déclaré mercredi M. Giscard d'Estaing. Davantage sur le Club Med Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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