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Le Figaro
3 days ago
- Science
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Je fais des rêves prémonitoires depuis l'enfance : «J'ai dessiné mon petit ami 6 mois avant notre rencontre»
Léa, psychanalyste de 33 ans à Marseille, fait des rêves prémonitoires depuis toute petite. Un don qui lui a servi de vigie tant dans sa vie personnelle que professionnelle, mais qui lui a aussi joué des mauvais tours. Mon enfant est medium : «Je n'arrêtais pas de lui répéter : mais d'où viens-tu ma chérie ?» Elles ont grandi dans une maison hantée, ont expérimenté la vie après la mort, ou ont côtoyé, de près ou de loin, l'étrange voire le paranormal ; et elles nous ont raconté sans filtre. mes sensibles s'abstenir. «En général, mes rêves prémonitoires surviennent dans les périodes de grande détresse», confesse Léa, 33 ans. Ce qui explique que pendant longtemps, la jeune psychanalyste s'est «complètement fermée» à son don. Mais depuis quelques années, et à force de travail, elle a réussi à en faire «une force» qui l'aide à affronter les difficultés de la vie et anticiper des situations qu'elle s'apprête à vivre. Tout démarre près de Marseille où Léa grandit avec sa jeune sœur et ses nombreux cousins. Lors des soirées pyjama à la maison, elle a l'habitude de leur demander de lui conter leurs rêves. Ensuite, elle réfléchit à leur signification et tente de les interpréter. «Je me rappelle aussi que je leur demandais de s'allonger, de fermer les yeux et d'imaginer qu'ils volaient dans le ciel. C'était une forme de méditation qui ne disait pas son nom», rembobine-t-elle. Sa grand-mère paternelle lui parle de Bernadette Soubirou. «Très vite, je me mets à fond dans la religion. Je deviens obsédée par la Vierge…


24 Heures
14-07-2025
- Science
- 24 Heures
Pieds nus, un enfant autiste fuit son école à Thônex pour rejoindre Nice
Le garçon de 9 ans s'est échappé de son école spécialisée pour rejoindre sa grand-mère. Il a été intercepté par les douaniers français à l'entrée de l'autoroute. Publié aujourd'hui à 16h26 L'enfant autiste marchait sans chaussures en direction de l'autoroute lorsqu'un automobiliste a alerté les autorités de sa présence. Getty Images En bref: Un enfant autiste de 9 ans a fugué de son école spécialisée de Thônex avant d'être intercepté par les douaniers français à Thônex-Vallard. Le garçon, qui voulait rejoindre sa grand-mère à Nice, marchait torse nu et sans chaussures en direction de l'autoroute lorsqu'un automobiliste a alerté les autorités de sa présence. L'enfant s'est échappé le 20 juin vers 15 h en escaladant un grillage à l'aide d'un arbre, malgré l'obligation de surveillance permanente dont il devait faire l'objet, selon « 20 minutes ». Après avoir franchi l'enceinte de l'école, il a traversé un pont et poursuivi sa route vers la frontière française. Les douaniers l'ont heureusement intercepté avant qu'il n'atteigne l'autoroute. Sa seconde fugue C'est la deuxième fois que ce garçon fait une fugue de ce genre. En juin 2023, il avait déjà réussi à s'échapper de l'établissement en utilisant la même méthode. Une fillette l'avait alors découvert dans la rue et l'avait ramené à son école de Thônex. Après ce premier événement, les parents avaient demandé la mise en place de mesures de sécurité renforcées. Un protocole personnalisé avait été établi, mais selon les parents, ces mesures se limitaient aux actions à entreprendre en cas de fugue. Le père et la mère, très inquiets par la localisation de l'école dans une zone qu'ils qualifient de «haut risque», ont exprimé leur frustration face à la réponse de la direction qui leur aurait indiqué que «le risque zéro n'existait pas». De nouvelles mesures contre la fugue Le Département de l'instruction publique (DIP) a précisé que plusieurs facteurs avaient contribué à cette fugue: une activité inhabituelle en extérieur due à la forte chaleur et l'annonce de la venue d'un proche auraient modifié les repères habituels de l'enfant. L'équipe éducative a alerté la police quatre minutes après la disparition du garçon. Le DIP affirme que l'événement de la fugue a été pris très au sérieux et que des améliorations concrètes seront mises en œuvre à la rentrée scolaire, soit un renforcement de la sécurisation des espaces extérieurs et une meilleure communication lors des activités exceptionnelles. Les parents, encore sous le choc, envisagent de porter plainte. Au sujet de la santé mentale Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.