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L'action bondit de 30 % Le Groupe ADF obtient un important contrat au Québec
L'action bondit de 30 % Le Groupe ADF obtient un important contrat au Québec

La Presse

timean hour ago

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L'action bondit de 30 % Le Groupe ADF obtient un important contrat au Québec

L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont le nom ne peut être dévoilé pour le moment. L'obtention d'un important contrat pour un projet d'infrastructure d'envergure dans le secteur de l'énergie au Québec a fait bondir de 30 % mercredi la valeur du Groupe ADF en Bourse. L'obtention d'un important contrat pour un projet d'infrastructure d'envergure dans le secteur de l'énergie au Québec a fait bondir de 30 % mercredi la valeur du Groupe ADF en Bourse. L'entente annoncée par le fabricant de charpentes métalliques de Lanaudière est d'une durée de cinq ans et doit générer entre 35 et 40 millions de dollars par année, avec possibilité de prolongation pour cinq ans de plus. Si la prolongation se concrétise, le contrat pourrait générer des revenus de près de 400 millions de dollars. Le carnet de commandes d'ADF s'élevait à 330 millions de dollars en date du début mai. L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont le nom ne peut être dévoilé pour le moment, une pratique courante lors des annonces de contrats par ADF. Les structures fabriquées par ADF seront installées dans différentes régions du Québec selon les besoins du client, indique à La Presse le chef de la direction financière d'ADF, Jean-François Boursier. Il ajoute qu'en fait d'annonce globale, il s'agit de l'un des plus gros contrats jamais décrochés par ADF, bien que les revenus totaux s'échelonneront sur une période beaucoup plus longue (10 ans). La production doit débuter dans les prochains mois à l'usine de Terrebonne et des investissements sont prévus dans de nouveaux équipements. La direction d'ADF prévoit aussi embaucher du personnel supplémentaire à son usine de Terrebonne pour soutenir le projet. « Nous sommes encore à évaluer les requis au niveau de l'embauche et des investissements, dit Jean-François Boursier. Le type d'équipement nous permettra d'automatiser la production des pièces requises afin de maximiser notre efficacité interne. » « C'est très encourageant, commente l'analyste Nicholas Cortellucci, de la firme Atrium Research, car ADF démontre sa capacité à se diversifier à l'extérieur des États-Unis et à signer un contrat récurrent à plus long terme, réduisant ainsi la cyclicité de ses activités. » Cet expert souligne qu'aux États-Unis, les incertitudes tarifaires rendent les clients plus réticents à travailler avec ADF malgré la conformité des produits de l'entreprise aux exigences de l'Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM). L'annonce du contrat coïncide aussi, dit-il, avec le mouvement « Acheter canadien », où les gouvernements et les entreprises cherchent à privilégier les fournisseurs canadiens. Nicholas Cortellucci ajoute que ce contrat assure à ADF des revenus prévisibles à long terme, réduisant ainsi le risque d'une baisse soudaine du chiffre d'affaires comme celle observée ces derniers mois. L'action du Groupe ADF s'est appréciée de 30 % mercredi pour clôturer à 10,30 $ à la Bourse de Toronto. Le titre avait reculé jusqu'à 5 $ en avril dans les jours suivant la grande annonce des droits de douane par Donald Trump dans la roseraie de la Maison-Blanche. Puisque le contexte tarifaire affectait la capacité du Groupe ADF à augmenter ses revenus, la direction avait annoncé en avril une réduction des heures travaillées à son usine de Terrebonne. La mise en place au printemps d'un programme de temps partagé a touché environ 120 employés à Terrebonne. Jean-François Boursier indique que les employés sont tous de retour à temps plein depuis le début de la semaine. En plus de son usine de Terrebonne, le Groupe ADF exploite une usine à Great Falls, dans le Montana, aux États-Unis. C'est la deuxième fois en deux mois que l'action du Groupe ADF prend 30 % en une séance. Le mois dernier, les investisseurs avaient propulsé le titre après avoir été rassurés concernant l'impact des droits de douane sur les activités de l'entreprise. La direction avait informé les marchés qu'ADF était exemptée des droits de douane lorsqu'elle achète de l'acier auprès d'aciéries américaines.

L'action bondit de 30 % Le Groupe ADF soutire un important contrat au Québec
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time3 hours ago

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L'action bondit de 30 % Le Groupe ADF soutire un important contrat au Québec

L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont l'identité ne peut être dévoilée pour le moment. L'obtention d'un important contrat pour un projet d'infrastructure d'envergure dans le secteur de l'énergie au Québec fait bondir de 30 % mercredi la valeur du Groupe ADF en Bourse. L'entente annoncée par le fabricant de charpentes métalliques de Lanaudière est d'une durée de cinq ans et doit générer entre 35 et 40 millions de dollars par année, avec possibilité de prolongation pour cinq ans de plus. Si la prolongation se concrétise, le contrat pourrait générer des revenus de près de 400 millions de dollars. Le carnet de commandes d'ADF s'élevait à 330 millions de dollars en date du début mai. L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont l'identité ne peut être dévoilée pour le moment, une pratique courante lors des annonces de contrats par ADF. Les structures fabriquées par ADF seront installées dans différentes régions du Québec selon les requis du client, indique à La Presse le chef de la direction d'ADF, Jean-François Boursier. Il ajoute qu'en fait d'annonce globale, il s'agit de l'un des plus gros contrats jamais décrochés par ADF bien que les revenus totaux s'échelonneront sur une période beaucoup plus longue (10 ans). La production doit débuter dans les prochains mois à l'usine de Terrebonne et des investissements sont prévus dans de nouveaux équipements. La direction d'ADF prévoit aussi embaucher du personnel supplémentaire à son usine de Terrebonne pour soutenir le projet. « Nous sommes encore à évaluer les requis au niveau de l'embauche et des investissements », dit Jean-François Boursier. « Le type d'équipement nous permettra d'automatiser la production des pièces requises afin de maximiser notre efficacité interne. » « C'est très encourageant, commente l'analyste Nicholas Cortellucci, de la firme Atrium Research, car ADF démontre sa capacité à se diversifier à l'extérieur des États-Unis et à signer un contrat récurrent à plus long terme, réduisant ainsi la cyclicité de ses activités. » Cet expert souligne qu'aux États-Unis, les incertitudes tarifaires rendent les clients plus réticents à travailler avec ADF malgré la conformité des produits de l'entreprise aux exigences de l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (AEUMC). L'annonce du contrat coïncide aussi, dit-il, avec le mouvement « Acheter canadien », où les gouvernements et les entreprises cherchent à privilégier les fournisseurs canadiens. Nicholas Cortellucci ajoute que ce contrat assure à ADF des revenus prévisibles à long terme, réduisant ainsi le risque d'une baisse soudaine du chiffre d'affaires comme celle observée dans les derniers mois. L'action du Groupe ADF s'appréciait de 30 % mercredi après-midi à 10,30 $ à la Bourse de Toronto. Le titre avait reculé jusqu'à 5 $ en avril dans les jours suivant la grande annonce des droits de douane par Donald Trump dans la roseraie de la Maison-Blanche. Puisque le contexte tarifaire affectait la capacité du Groupe ADF à augmenter ses revenus, la direction avait annoncé en avril une réduction des heures travaillées à son usine de Terrebonne. La mise en place au printemps d'un programme de temps partagé a touché environ 120 employés à Terrebonne. Jean-François Boursier indique que les employés sont tous de retour à temps plein depuis le début de la semaine. En plus de son usine de Terrebonne, le Groupe ADF exploite une usine à Great Falls, dans le Montana, aux États-Unis. C'est la deuxième fois en deux mois que l'action du Groupe ADF prend 30 % en une séance. Le mois dernier, les investisseurs avaient propulsé le titre après avoir été rassurés concernant l'impact des droits de douane sur les activités de l'entreprise. La direction avait informé les marchés qu'ADF était exemptée des droits de douane lorsqu'elle achète de l'acier auprès d'aciéries américaines.

Le Groupe ADF signe un important contrat dans le secteur de l'énergie
Le Groupe ADF signe un important contrat dans le secteur de l'énergie

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time6 hours ago

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Le Groupe ADF signe un important contrat dans le secteur de l'énergie

Le Groupe ADF indique que le projet de cinq ans comprend la fourniture, la fabrication et la livraison de structures d'acier dans le cadre d'un nouveau projet d'infrastructure dans le secteur de l'énergie, au Québec. Le Groupe ADF signe un important contrat dans le secteur de l'énergie (Terrebonne) Le Groupe ADF, qui se spécialise dans la fabrication de superstructures en acier, annonce mercredi avoir conclu un contrat qui pourrait se chiffrer à un total de près de 400 millions. La Presse Canadienne L'entreprise établie à Terrebonne indique que le projet de cinq ans comprend la fourniture, la fabrication et la livraison de structures d'acier dans le cadre d'un nouveau projet d'infrastructure dans le secteur de l'énergie, au Québec. Aucun autre détail sur le projet n'a été dévoilé par l'entreprise. Le contrat, qui est estimé entre 35 millions et 40 millions par année, inclut aussi une prolongation de cinq ans. La société prévoit d'investir dans de nouveaux équipements et d'embaucher du personnel de production à son usine de Terrebonne, afin de commencer les travaux de fabrication de structures d'acier dans les prochains mois. Cette annonce survient alors que le Groupe ADF avait dévoilé une baisse de son chiffre d'affaires au premier trimestre, en raison de l'incertitude liée aux droits de douane américains. En avril, l'entreprise envisageait de réduire les heures de travail à son usine. Le président du conseil d'administration et chef de la direction, Jean Paschini, souligne que l'entreprise a entrepris d'orienter une partie de sa stratégie de développement vers les marchés canadiens. Dans un communiqué, il ajoute que « ce projet structurant et porteur d'avenir » contribue au « rayonnement du Québec à l'échelle mondiale ». Le carnet de commandes du Groupe ADF se chiffrait à 330,4 millions au 30 avril. L'entreprise québécoise, qui compte des usines à Terrebonne et à Great Falls, au Montana, avait notamment conclu des contrats dans l'Ouest des États-Unis en début d'année. L'action de Groupe ADF bondissait de plus de 30 %, ou 2,40 $, à 10,33 $, mercredi, en fin de matinée, à la Bourse de Toronto.

Budgets à sec pour les fontaines brisées
Budgets à sec pour les fontaines brisées

La Presse

time5 days ago

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Budgets à sec pour les fontaines brisées

Vous avez l'habitude de lancer des pièces de 25 cents dans les fontaines que vous croisez ? Montréal pourrait devoir y lancer des millions. La Ville fait face à des factures extrêmement salées pour réparer certaines de ses fontaines les plus iconiques, brisées depuis parfois plusieurs années. La fontaine du parc La Fontaine, par exemple, à sec depuis 2019, ne retrouvera pas ses jets d'eau de sitôt. Montréal a renoncé à la faire réparer devant une facture prévue de quelque 7,6 millions. « C'est un coût vraiment trop élevé », a fait valoir la conseillère municipale Laurence Parent, confirmant des informations d'abord publiées par le média local Mon Plateau. « C'est beaucoup d'argent, surtout dans le contexte actuel. À la Ville, l'argent ne pleut pas et les besoins en infrastructure sont énormes partout. » PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, ARCHIVES LA PRESSE La fontaine du parc La Fontaine en 2012 « Présentement, ce qui est en train d'être fait, c'est de revoir quelle technologie va être utilisée pour cette fontaine-là pour qu'elle soit moins complexe, a expliqué Mme Parent. Le système précédent était très complexe. Remettre en état ce système-là coûtait très cher. » Mastodo, la fontaine-monument du sculpteur Charles Daudelin, est elle aussi brisée, à peine un an après sa réinstallation au square Viger, après des décennies d'incertitude. « Un bris mécanique occasionne des problèmes au niveau de l'alimentation en eau dans le square Viger », a indiqué Marc-Antoine Bélanger, relationniste à la Ville. « Nos équipes s'affairent à en [déterminer] la cause. » « Je vous avoue que je trouve ça décourageant après tant d'années à vouloir sauver cette œuvre magistrale », a déploré le fils de l'artiste, Éric Daudelin. La restauration avait fait l'objet d'un contrat de 700 000 $. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE La fontaine Mastodo au square Viger Plus de 3 millions pour une fontaine Dans le Sud-Ouest, la fontaine centenaire du square Sir-George-Étienne-Cartier ne fonctionne plus depuis 2022. Des fuites d'eau importantes menacent la stabilité de l'ouvrage. « L'ampleur et la complexité des travaux à réaliser nécessitent des investissements considérables estimés à plus de 3 millions », indique l'arrondissement sur son site internet. Devant une telle facture, les travaux ont été retardés. « L'ampleur de l'ouvrage et les coûts qui y sont associés [auraient] pour résultat notamment de retarder plusieurs autres projets très attendus dans notre quartier », ajoute l'arrondissement, qui affirme vouloir tout de même aller de l'avant avec ces travaux. « Des démarches se poursuivent pour tenter d'obtenir du financement et des subventions pour ce projet fort attendu par notre communauté. » La Ville s'apprête aussi à dépenser 313 000 $ pour la réfection du bassin de la fontaine La fermière, en face du marché Maisonneuve. PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE La fontaine La fermière en 2022 La fontaine du parc Baldwin, dans l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, est brisée elle aussi, selon la Ville de Montréal. « Notre équipe est informée et travaille à régler la situation », indique-t-on. Des prix « démentiels » François Ménard est ingénieur fontainier, une spécialité extrêmement rare au Québec, dont il est le « pionnier ». Le professionnel a travaillé sur plus d'une quinzaine d'ouvrages aquatiques depuis 1999. Il constate que les prix des réparations des fontaines sont « démentiels », ces jours-ci, mais souligne que c'est loin d'être le seul domaine dans la même situation. « On reçoit des montants de soumission qu'on ne croyait jamais voir », a-t-il confié en entrevue avec La Presse. Des fois, on a des montants qu'on est stupéfaits de voir et on a de la misère à pointer la raison ou les raisons précises. C'est inconfortable. François Ménard, ingénieur fontainier « Il y a des augmentations dans les coûts des produits, oui. Mais on est toujours étonnés de voir à quel point c'est beaucoup plus cher que ce à quoi on s'attendait », a continué M. Ménard, en reconnaissant que « c'est sûr qu'à partir du moment où on fait intervenir un élément patrimonial, ça peut amener un surcoût, comme dans n'importe quel ouvrage ».

Québec débloque 275 millions pour le troisième lien
Québec débloque 275 millions pour le troisième lien

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time16-07-2025

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Québec débloque 275 millions pour le troisième lien

Le gouvernement Legault débloque 275 millions pour faire avancer son projet de troisième lien autoroutier entre Québec et Lévis. Au total, le chantier pourrait coûter près de 10 milliards. La semaine dernière, la ministre des Transports Geneviève Guilbault disait avoir besoin de ces sommes pour poursuivre le projet. Elle a obtenu l'accord de ses collègues du conseil des ministres juste avant le début des vacances estivales. Dans son mémoire, le ministère des Transports estimait que la mouture la plus récente du projet doit coûter entre 5,3 et 9,3 milliards, un montant qui n'inclut pas les études environnementales, les achats de terrains ou les expropriations. La facture finale sera donc plus importante. La facture finale sera donc plus importante. Le projet consiste à construire une autoroute en tranchée du côté de Lévis, qui se transformera en pont, puis en tunnel traversa la haute ville de Québec. Le scénario le moins coûteux serait ensuite de traverser avec une nouvelle autoroute le quartier Saint-Sauveur, pour atterrir sur le boulevard Pierre-Bertrand. Il coûterait entre 5,3 milliards et 8,2 milliards. Un deuxième scénario, oscillant entre 7,1 milliards et 9,3 milliards, nécessiterait un tunnel de près de 4 kilomètres, puis des ouvrages pour se connecter sur l'autoroute Robert-Bourassa. La CAQ a longtemps tergiversé au sujet du troisième lien. Après le tunnel le plus large au monde, le bitube, le tunnel de transport collectif et l'idée d'un pont à l'est, le pont-tunnel est la mouture la plus récente. Mais certains partisans, comme le maire de Lévis Gilles Lehouillier, se demandent déjà pourquoi, l'option du pont à l'est a été écartée pour des raisons budgétaires alors que le montant prévu était semblable. Du côté du gouvernement Legault, on insiste pour dire que les 275 millions ne sont pas « une nouvelle dépense », et que ce montant « est inscrit depuis 2019 au Plan québécois des infrastructures ». L'accélération des dépenses entourant le projet de troisième lien a également une portée politique. La ministre Guilbault martèle qu'elle souhaite rendre le projet irréversible, et prendre des mesures pour le « protéger », afin qu'il se construise, peu importe le résultat des élections générales de 2026. Si un autre parti politique forme le gouvernement et met fin au projet, il s'exposera « à des pénalités importantes », a prévenu la ministre en juin. Avec la collaboration d'Henri Ouellette-Vézina, La Presse

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