Dernières actualités avec #insécurité


Le Figaro
09-07-2025
- Politics
- Le Figaro
«En matière d'OQTF, l'État doit concentrer ses efforts sur les individus les plus dangereux pour les Français»
Réservé aux abonnés ENTRETIEN - L'impuissance des pouvoirs publics concernant les obligations de quitter le territoire français n'est pas irréversible, estime le directeur général de l'Institut Thomas More* (think-tank libéral-conservateur), qui publie une note sur le sujet. * Directeur général de l'Institut Thomas More, Jean-Thomas Lesueur vient de publier ce 9 juillet la note « Insécurité et immigration : propositions pour améliorer l'expulsion des personnes sous OQTF les plus dangereuses pour la sécurité des Français ». À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié LE FIGARO - Vous insistez en premier lieu dans votre étude sur le manque structurel de données en matière d'immigration et d'insécurité. Doit-on, et surtout peut-on, en l'absence de statistique abondante, sortir de ce débat houleux et sensible ? JEAN-THOMAS LESUEUR - Alors que, sondage après sondage, les Français martèlent que l'insécurité et l'immigration sont parmi leurs principales préoccupations, la question de l'existence d'un lien entre les deux est l'un des sujets les plus sensibles du débat public en France. Certains y voient un fantasme, selon la rhétorique habituelle du « ressenti » contre la réalité. Cela me paraît un peu court. Il est vrai que le manque d'études sérieuses et d'ampleur et de données statistiques…


24 Heures
09-07-2025
- Politics
- 24 Heures
C'est vous qui le dites le 9 juillet: Deal de rue, préserver la vie
Accueil | Opinion | Courrier des lecteurs | Opinion Retrouvez ici votre courrier des lecteurs du 9 juillet. 24 heures / lecteurs Publié aujourd'hui à 07h02 Les urnes ont parlé le 29 juin. Ce résultat est regrettable, vu l'ampleur du problème. J'ai de la peine à comprendre cette décision populaire. En votant non, l'insécurité et le deal de rue perdurent. Quelle solution immédiate pour éviter une dégradation de la situation? Comment avancer sans les caméras, alors que l'ensemble des mesures a été rejeté? Y revenir partiellement ne serait-il pas un contournement de la volonté populaire? Le oui aurait permis d'agir concrètement contre ce fléau. Je reste convaincue que la globalité de ces mesures étaient nécessaires et auraient été efficaces. Je déplore l'ambiance politique anti-sécuritaire qui règne actuellement à Vevey. Les seuls gagnants de ce vote, ce sont les dealers. La peur disproportionnée liée aux caméras a détourné le débat du véritable enjeu: la sécurité publique. De plus, le faible taux de participation à cette votation, sur un sujet aussi crucial, est aussi regrettable qu'inquiétant. Nous avons en Suisse le privilège de pouvoir voter: dommage de ne pas toujours l'utiliser pleinement. Le deal et l'insécurité n'ont pas leur place dans nos rues. Nous respectons le résultat, mais ne resterons pas les bras croisés. Nous continuerons à chercher des solutions efficaces et respectueuses de la volonté populaire pour améliorer la situation. Anna Iamartino-Sica, conseillère communale PLR, Vevey Société La question est d'une banalité affligeante, et pourtant… Après l'immense drame humain et matériel de la Seconde Guerre mondiale, l'Europe et bien d'autres pays dans le monde ont connu une période faste communément appelée «les Trente Glorieuses»; il s'est ensuivi une fin de XXe siècle remuante, marquée par d'importantes évolutions dans de nombreux domaines. Le XXIe siècle a démarré sur les chapeaux de roues avec, en toile de fond, une présence de plus en plus marquée des nationalismes et une violence omniprésente qui concerne tous les milieux, entre autres le couple, la famille, les femmes (avec le nouveau et terrible mot «féminicide»), l'école, les graves et sanglants conflits internationaux, etc. Comme si cela ne suffisait pas, les réseaux sociaux et le réchauffement climatique viennent pimenter le tout. De quoi être déboussolé, c'est certain. Paradoxalement, il y a cependant encore tant de belles choses à voir, à entendre, à lire, à faire, à vivre! Préserver la vie, sous toutes ses formes, c'est maintenant une difficile gageure, mission pourtant indispensable et urgente de la responsabilité non seulement des instances politiques mais aussi de nous tous… En sommes-nous capables? Probablement que oui; mais alors et surtout, en avons-nous vraiment la volonté? Michel Hangartner, Vallorbe Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
07-07-2025
- Politics
- 24 Heures
La place Bel-Air à Lausanne, nouveau point chaud de la ville
Commerçants et usagers dénoncent vols et intimidations dans ce secteur. La situation se serait aggravée depuis le début des travaux à la Riponne. Publié aujourd'hui à 20h16 Les commerçants de Bel-Air signalent une hausse inquiétante d'actes délictueux quotidiens. L'aménagement de la place de la Riponne aurait potentiellement aggravé la situation sécuritaire. Tamedia En bref: La place Bel-Air, à Lausanne, est devenue un point chaud d'insécurité pour les commerçants et les usagers, selon Watson. Cette artère d'une cinquantaine de mètres serait désormais le théâtre quotidien de vols, d'intimidations et de comportements erratiques, selon les témoignages recueillis auprès des commerçants locaux. Plusieurs gérants et employés des commerces bordant la rue des Terreaux affirment que la situation s'est particulièrement dégradée depuis le début des travaux de réaménagement de la place de la Riponne. Toutefois, la police «ne peut pas confirmer qu'il y a un lien réel entre ces travaux et la situation évoquée à la place Bel-Air», selon les autorités. Les employés des différentes enseignes présentes sur la place font état d'une situation devenue «irrespirable». Ils rapportent devoir régulièrement gérer des vols à l'étalage, des intimidations et des intrusions de personnes au comportement imprévisible. Ce climat d'insécurité impacte également les habitudes des usagers des transports publics. Plusieurs personnes interrogées affirment désormais préférer se rendre à un arrêt situé deux stations plus loin pour éviter d'être «systématiquement» importunées. «Cette place de Lausanne est devenue infréquentable!» confie l'une d'elles. L'étroit trottoir nord de la rue des Terreaux, divisé par l'abri de l'arrêt Bel-Air, devient particulièrement problématique aux heures de pointe. Certaines scènes observées sur place évoquent, toutes proportions gardées, des situations comparables à celles de quartiers difficiles d'autres grandes villes: individus urinant contre les façades, personnes criant et bousculant les passants, ou encore gens allongés sur le sol dans un état second. L'insécurité à Lausanne Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.