Dernières actualités avec #jumeaux


Le Parisien
23-07-2025
- Sport
- Le Parisien
« Ils sont meilleurs ensemble » : sur le Tour, l'incroyable destin des jumeaux Tobias et Anders Johannessen
Ils ont les mêmes yeux bleus, la même fossette au menton, la même taille au millimètre près, le même sourire espiègle. Mais Tobias se démarque avec un grain de beauté sur la joue gauche et une coupe militaire sur ce Tour 2025 pour ne pas être dépassé par les grandes chaleurs. Anders, lui, a gardé une mèche d'enfant modèle. Quand, en course, les deux « grimpeurs puncheurs » norvégiens sont coiffés d'un casque, il est sacrément difficile de les différencier, sauf à miser sur les numéros de dossard. Les frères jumeaux Johannessen, 25 ans, sont uniques dans le peloton, les seuls à concourir pour la même équipe Uno-X Mobility lorsque les « twins » britanniques Adam et Simon Yates, évoluent, eux, dans deux formations concurrentes, la UAE de Pogacar et la Visma Lease a Bike de Vingegaard .


Le HuffPost France
09-07-2025
- Science
- Le HuffPost France
Votre bébé pleure beaucoup ? Vous ne pouvez rien y faire car c'est génétique, révèle une nouvelle étude
GÉNÉTIQUE - C'est une situation à laquelle sont confrontés la majorité des jeunes parents: avoir son nourrisson qui pleure à chaudes larmes sans que rien ne parvienne à le calmer. Ni le bercement, ni le fait d'être nourri ou changé. Aussi stressants soient-ils, ces pleurs inconsolables sont en réalité normaux et ne dépendent en rien des compétences parentales. C'est ce que met en lumière une nouvelle étude de l'université d'Uppsala et de l'Institut Karolinska en Suède. Lire aussi Avoir 2 enfants est encore la norme pour les Français, mais cela pourrait bientôt changer, selon une étude de l'Ined Menée auprès de 1 000 jumeaux et de leurs parents et publiée dans la revue JCPP Advances, elle montre que la fréquence des pleurs d'un nourrisson est en grande partie déterminée par la génétique, et non par l'éducation, les choix alimentaires ou encore la routine mise en place au moment du coucher. Déculpabiliser les parents Les chercheurs ont basé leurs résultats sur les réponses que les parents des bébés ont données dans un questionnaire. Afin de déterminer dans quelle mesure un comportement est déterminé génétiquement, les chercheurs ont comparé des jumeaux identiques (monozygotes) à des jumeaux fraternels (dizygotes). Ils ont alors constaté que les pleurs sont en grande partie déterminés génétiquement. « À 2 mois, la génétique explique environ 50 % de l'intensité des pleurs. À 5 mois, elle explique jusqu'à 70 % de la variation. Pour les parents, il peut être réconfortant de savoir que les pleurs de leur enfant sont en grande partie expliqués par la génétique et qu'ils disposent eux-mêmes de peu de moyens pour influencer l'intensité des pleurs de leur enfant », explique dans un communiqué Charlotte Viktorsson, chercheuse postdoctorale en psychologie et autrice principale de l'étude. Évidemment, l'environnement de l'enfant est aussi à prendre en compte pour comprendre ses pleurs. Mais selon les auteurs de l'étude, celui-ci joue un rôle moindre que les gènes. C'est ce qu'ils appellent « l'environnement unique », et qui est déterminé par des facteurs propres à chaque enfant comme une différence dans les soins ou l'éducation apportée par les parents, ou encore les stimuli externes. Pour le sommeil, le rôle déterminant de l'environnement L'étude s'est aussi penchée sur l'influence de la génétique sur les réveils nocturnes et sur le temps que mettent les bébés à s'endormir. Ils ont alors constaté qu'à l'âge de 2 mois, la rapidité avec laquelle un bébé s'endort est principalement influencée par des facteurs environnementaux, notamment les habitudes de sommeil et le cadre dans lequel le bébé s'assoupit. En revanche, à 5 mois, la génétique joue à nouveau un rôle plus important. « Cela reflète le développement rapide des nourrissons et pourrait indiquer que les efforts des parents pour aider leur enfant à s'endormir ont probablement le plus d'impact au cours des premiers mois », avance Charlotte Viktorsson, qui reste néanmoins prudente car il s'agit d'une étude observationnelle. Les chercheurs vont continuer de suivre les jumeaux jusqu'à l'âge de 3 ans pour mieux comprendre comment le sommeil et les pleurs évoluent dans la petite enfance. L'objectif ? Déterminer à l'avenir si desfacteurs environnementaux spécifiques influencent le nombre de réveils pendant la nuit, ou le temps qu'il faut à l'enfant pour s'endormir.


Le Figaro
04-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
«Je me sens incroyablement chanceuse» : Amal Clooney sur le soutien professionnel que lui apporte son époux, George
À l'occasion d'une interview croisée avec Charlotte Tilbury pour Glamour, Amal Clooney a accepté de faire quelques confidences sur sa relation avec George Clooney. Mariée depuis 10 ans, Amal Clooney sait qu'elle peut compter sur son époux, George Clooney, à chaque instant. Dans une interview croisée avec Charlotte Tilbury pour l'édition britannique de Glamour, l'avocate spécialisée en droit international, et plus précisément dans la défense des droits de l'Homme, n'a pas hésité à faire quelques confidences sur sa relation avec le célèbre acteur. «J'ai un partenaire dans la vie qui me soutient tellement dans ce que je fais», a-t-elle répondu alors qu'elle a été interrogée sur le rôle que jouait son mari dans sa vie professionnelle. «Je n'ai donc pas l'impression de devoir m'excuser ou de me retenir.» Elle a alors expliqué que George Clooney est prêt à s'occuper des enfants et de la maison à chaque fois qu'elle doit s'absenter pour le travail. «Il a été le premier à dire : 'Je sais que tu as ce discours au Conseil de sécurité de l'ONU. Tu dois y aller, je m'occupe des enfants, ne t'inquiète pas'», a expliqué l'avocate qui faisait partie d'un groupe de travail ayant pour objectif de conseiller juridiquement l'Ukraine sur la manière d'instruire les crimes de guerre et accusant les Nations unies d'avoir ignoré ces actes. «Je me sens incroyablement chanceuse de partager chaque jour avec lui. Et maintenant, nous sommes quatre.» En effet, les époux sont devenus parents de jumeaux, Ella et Alexander, en 2017. «Je ne prends rien de tout cela pour acquis. Je chéris les rires et la joie que je ressens simplement en étant avec eux», a-t-elle ajouté. À lire aussi «Je mets les téléphones dans une corbeille» : cette étrange habitude d'Amal Clooney avec ses invités Publicité Un soutien l'un pour l'autre Toujours présent pour son épouse, George Clooney avait déjà évoqué plusieurs fois son soutien à celle qui partage sa vie, dans les médias. «Je soutiendrai tout ce dans quoi ma femme est impliquée», avait affirmé l'acteur à People, en septembre 2024. «Elle est toujours du bon côté de l'histoire, et je suis toujours si fier d'être dans la même pièce qu'elle, quoi qu'il arrive.» De son côté, Amal Clooney n'hésite pas à soutenir son époux dans chacun de ses projets, elle aussi. Lorsque George Clooney a joué à Broadway dans la pièce de théâtre Good Night, and Good Luck, du 12 mars au 8 juin dernier, elle l'a suivi à New York. Toute la famille Clooney a donc quitté pendant un temps le sud de la France, et plus précisément la commune de Brignoles, pour retrouver les gratte-ciel de Big Apple. En effet, avant de s'installer dans l'Hexagone, c'est là que le couple vivait et que leurs enfants ont fait leurs premiers pas.


Le Figaro
03-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
«Je mets les téléphones dans une corbeille» : cette étrange habitude d'Amal Clooney avec ses invités
Dans une interview publiée le 3 juillet, l'épouse de George Clooney a confié à l'édition américaine de Glamour l'habitude qu'elle a prise lorsqu'elle reçoit chez elle. Si George Clooney et son épouse Amal Alamuddin sont un couple glamour connu de tous et habitués des tapis rouges, ils sont aussi des parents très protecteurs de la vie privée de leurs enfants. Marié en 2014, le couple a en effet des jumeaux nés en 2017 : Ella et Alexander. Depuis la naissance de leurs enfants, désormais âgés de 8 ans, les Clooney sont parvenus à les garder à l'abri des regards indiscrets. Un petit miracle pour deux célébrités de leur envergure qui tient aux précautions importantes prises par George et Amal jusqu'au sein de leur propre maison, avec leurs propres amis. Sécuriser sa vie privée Amal, 47 ans, s'est confiée sur le sujet lors d'une interview accordée à l'édition américaine de Glamour, publiée le 3 juillet. «Il est de plus en plus difficile de créer des moments et des espaces privés, explique-t-elle. Mais c'est aussi la raison pour laquelle nous recevons beaucoup à la maison. J'ai maintenant une corbeille à téléphone que j'utilise pour les confisquer à tout le monde !» Et par «tout le monde», elle entend également ses invités. «Il est important de trouver un équilibre entre le temps passé seul avec sa famille et celui passé avec ses amis, où l'on sent que l'on peut avoir des échanges francs et sûrs, a ajouté l'avocate des droits humains. Et je dirais qu'en devenant parent, on est plus perturbés par certaines intrusions. Nous faisons donc de notre mieux pour minimiser l'impact sur nos enfants. Nous ne mettons pas nos enfants en avant, nous n'avons jamais mis leur photo en avant ou quoi que ce soit de ce genre.» Publicité Des enfants très secrets Ce que l'on sait des enfants Clooney demeure restreint à ce que leurs parents ont bien voulu raconter à la presse. Comme cette tradition de Noël très britannique héritée de leur mère et qu'ils suivent au grand dam de leur américain de père. À savoir, laisser du lait et des mince pies (une pâtisserie traditionnelle britannique aux fruits secs, NDLR) pour le père Noël plutôt que des biscuits. On sait également qu'ils parlent déjà 3 langues : l'anglais, le français et l'italien. Pour le reste, tout est dans la corbeille d'Amal.