Dernières actualités avec #marché


Le Figaro
17 hours ago
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«Dans La Lettre des placements, vous avez recommandé de 'prendre des gains' sur Wallix. Faut-il vendre toutes les actions, ou seulement une partie?»
Vie des entreprises, fonctionnement du marché, droit boursier, ... La rédaction du Figaro Patrimoine et Bourse se saisit de vos questions et vous apporte son expertise. Dans notre rubrique « Le pari spéculatif », en page 4 de La lettre des placements, nous conseillons des valeurs présentant des profils risqués et sur lesquelles nous avons identifié un fort potentiel de hausse à court terme. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Un conseil direct et définitif dans le «Paris spéculatif» C'était le cas pour Wallix (La lettre 2129), qui nous a donné pleinement satisfaction avec une plus-value de 44% en seulement deux mois. Notre conseil de «prendre des gains» sous-tendait donc la vente de la ligne entière. Publicité En revanche, dans nos conseils «fondamentaux» figurant habituellement en pages 2, 3, 4 et 8 de La lettre, nous précisons toujours de prendre des gains «partiels», ce qui signifie - sauf indication contraire - de revendre le tiers de la ligne. La vente de toute la position sera conseillée avec les recommandations «vendez» ou «soldez la ligne».


Le Figaro
a day ago
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Bourse : pour jouer le grand retour des télécoms, les analystes de Berenberg recommandent 13 actions à l'achat
Réservé aux abonnés CONFIDENTIEL BOURSE - Chaque semaine, Le Figaro Patrimoine et Bourse relaie des informations confidentielles repérées dans les notes d'analystes pour vous aider dans vos décisions d'investissement. C'est l'un des événements boursiers de 2025 : les valeurs européennes des télécommunications se sont (enfin) réveillées et font nettement mieux (+10% environ) que le marché. Selon le bureau d'études allemand Berenberg, ce n'est pas terminé. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Une nouvelle ère, celle de la «croissance défensive» Les spécialistes emmenés par Paul Sidney viennent d'«adopter une position franchement plus optimiste quant à la génération de trésorerie à horizon 2030» d'un secteur dont le statut serait en train de changer : traditionnellement résilientes mais peu dynamiques, les valeurs télécoms se parent de nouveaux atours, celles de la «croissance défensive». En clair, on aura toujours besoin de communication, d'autant plus avec les objets connectés et l'IA. Si de 2018 à 2024, les chiffres d'affaires des sociétés européennes concernées se sont en moyenne tassés de 0,5% par an, la tendance s'est améliorée aujourd'hui (+1,5%). Avec un faible risque de voir arriver de nouveaux entrants «disruptifs» comme l'a été en son temps Iliad, la maison mère de Free. Et…


La Presse
a day ago
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Ventes de véhicules en hausse en juin, mais ralentissement de la cadence
DesRosiers estime à 178 000 le nombre de véhicules légers vendus le mois dernier, soit une hausse de 5,3 % par rapport à un mois de juin décevant l'année dernière. Ventes de véhicules en hausse en juin, mais ralentissement de la cadence (Toronto) La firme de consultants dans le secteur automobile DesRosiers indique que les ventes de véhicules en juin ont augmenté par rapport à l'année précédente, mais ont néanmoins affiché un ralentissement de la cadence. La Presse Canadienne DesRosiers estime à 178 000 le nombre de véhicules légers vendus le mois dernier, soit une hausse de 5,3 % par rapport à un mois de juin décevant l'année dernière. Elle précise toutefois que les ventes mensuelles restent nettement inférieures aux précédents records, notamment aux volumes supérieurs à 200 000 unités par mois en 2017 et 2018. Le chiffre d'affaires de juin prévoit également un taux annuel corrigé des variations saisonnières de 1,81 million d'unités, le plus bas depuis le début de l'année. Andrew King, associé directeur de DesRosiers, indique dans un communiqué que le total des ventes montre un ralentissement continu ces derniers mois, par rapport à un début d'année solide. La firme soutient que les inquiétudes économiques liées à une guerre commerciale avec les États-Unis, ainsi que la hausse du chômage et le déclin du PIB, signifient que la performance du marché a été à peu près aussi bonne que prévu.