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Caméras-piétons, contrôles d'identité, drones : la police des maires va gagner des supers pouvoirs
Caméras-piétons, contrôles d'identité, drones : la police des maires va gagner des supers pouvoirs

Le Figaro

timea day ago

  • Le Figaro

Caméras-piétons, contrôles d'identité, drones : la police des maires va gagner des supers pouvoirs

Réservé aux abonnés EXCLUSIF - Le Figaro dévoile le projet de loi sur les polices municipales qui crée des services à compétence judiciaire élargie, étend le pouvoir de verbalisation des agents et leur permet d'utiliser des drones. « Projet de loi relatif à l'extension des compétences des polices municipales et des gardes champêtres ». Sous ce sobre intitulé se cache un texte dont la portée est considérable, tant il apporte une réponse concrète à des besoins de sécurité que l'État a de plus en plus de mal à satisfaire seul. Les dispositions imaginées par le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, et son ministre associé, François-Noël Buffet, en charge, à ses côtés, de nombreux dossiers, vont loin, très loin. Ainsi, les municipaux vont-ils pouvoir verbaliser maintes nouvelles infractions du quotidien, accéder à certains fichiers, mettre des voitures en fourrière, relever plus facilement les identités des suspects, faire des rappels à la loi et même utiliser des drones et des caméras-piétons, sous certaines conditions. À l'issue d'une large concertation démarrée l'an dernier, Beauvau a clairement décidé de confier d'importantes responsabilités aux agents de la police des maires qui représentent 28.000 fonctionnaires…

Fêtes de Bayonne 2025 : ce que pourrait provoquer le changement de dates
Fêtes de Bayonne 2025 : ce que pourrait provoquer le changement de dates

Le Figaro

time2 days ago

  • Politics
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Fêtes de Bayonne 2025 : ce que pourrait provoquer le changement de dates

Avancées à début juillet l'an dernier en raison des JO de Paris, les fêtes avaient vu l'affluence reculer de 15%. Elles démarrent plus tôt que d'habitude cette année encore, avec un coup d'envoi le 9 juillet pour 5 jours et 5 nuits. Depuis leur création en 1932, les fêtes de Bayonne avaient presque toujours lieu fin juillet. Mais, en raison des Jeux Olympiques de Paris, l'été dernier, elles avaient été exceptionnellement avancées au début du mois. Jugeant le bilan jugé positif, la municipalité a décidé de renouveler l'expérience cette année, en programmant les festivités du 9 au 13 juillet. Mais d'autres acteurs se montrent plus réservés. Les chiffres sont éloquents : l'an dernier, la fréquentation a chuté de 15 %, passant de 1,3 million pour l'édition 2023, année record, à 1,1 million de visiteurs. Ces dernières éditions, nombreux étaient ceux qui dénonçaient une surfréquentation croissante, source de tensions et de violences, comme en témoigne la mort de ce Bayonnais agressé devant son domicile en 2023, et ce malgré une explosion des dépenses de sécurité. Publicité Budget sécurité en hausse Celles-ci s'élèvent désormais à 1,9 million d'euros, sur un budget total de 4 millions, mobilisant plus de 600 agents de sécurité privés et quatre compagnies de CRS (soit environ 750 policiers), le tout financé par la ville. « Les JO nous ont offert l'opportunité d'avancer les dates. Commencer les fêtes au début des vacances scolaires réduit mécaniquement le nombre de visiteurs extérieurs à la région, et donc le risque que le 'code des fêtes' ne soit pas compris de tous », argumente Jean-René Etchegaray, maire de Bayonne. « Avec une densité moindre, nous avons retrouvé l'esprit des fêtes, que nous avions un peu perdu ces dernières années avec l'afflux massif de festayres », ajoute-t-il. Même constat pour Marion, bayonnaise depuis plusieurs générations : « Enfin, on pouvait à nouveau circuler dans les rues sans craindre les mouvements de foule». Les professionnels partagés Du côté des restaurateurs, les avis sont plus nuancés. Hugo Hersant, patron des Tontons Flingueurs, un établissement situé en bord de Nive, se montre plutôt satisfait : « J'ai noté un vrai retour des locaux le mercredi, jour d'ouverture, dans une ambiance conviviale, comme autrefois. Bien sûr, on a fait un peu moins de couverts, mais cela nous permet de lancer la saison plus tôt. Fin juillet, de toute façon, on fera le plein, fêtes ou pas. » Autre son de cloche rue du Port-Neuf, où un gérant, préférant garder l'anonymat, se montre beaucoup plus critique : « Ce changement de dates, c'est une galère ! Moins de monde, c'est 20 % de chiffre d'affaires en moins, et des charges en plus, avec des droits de terrasse supplémentaires et un droit de place (la taxe calculée selon le nombre de places assises) qui augmente. » Mais les plus remontés restent les forains, qui ne décolèrent pas. Le 19 octobre dernier, ils manifestaient dans les rues de Bayonne pour réclamer un retour aux dates traditionnelles de fin juillet. Publicité Quant aux véritables aficionados, comme Jean-Michel, boucher de son état, il regrette que les dates des fêtes de Bayonne chevauchent désormais celles de San Fermín à Pampelune, qui se tiennent du 6 au 13 juillet de l'autre côté des Pyrénées. Il relativise : « Je peux toujours faire l'ouverture à Pampelune, puis enchaîner avec Bayonne ». Un moindre mal. La mairie, semble-t-il, a entendu ces critiques. Pour l'édition 2026, elle prévoirait de décaler l'ouverture au 15 juillet, sans toutefois empiéter sur les fêtes de Mont-de-Marsan, un autre grand rendez-vous des festayres du Sud-Ouest.

Maturité
Maturité

Le Parisien

time2 days ago

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Maturité

Longtemps, la police municipale avait une image de police façon « Ligue 2 » : peu de pouvoirs, pas d'armement, des missions de « seconde zone ». Certains y voyaient même de petites milices au seul service du maire, simplement capables de faire fleurir les amendes sur les pare-brise des voitures. Puis, au fil des années, et disons-le, de la visibilité de moins en moins nette des forces de police nationale et de gendarmerie sur le terrain, les policiers municipaux ont pris du galon. Plus proches des habitants, mieux formés et encadrés, aussi, ils ont gagné le droit d'être des « partenaires » de leurs collègues de la police nationale. Il faut dire aussi que la PM est souvent celle qui intervient sur la toute petite délinquance, celle des incivilités, des nuisances de voisinage ; bref, celle qui touche le plus de Français et qui empoisonne le plus également.

Une subvention annuelle de 600 000 euros : la ville et le département trouvent un accord sur le maintien des PMI
Une subvention annuelle de 600 000 euros : la ville et le département trouvent un accord sur le maintien des PMI

Le Parisien

time3 days ago

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Une subvention annuelle de 600 000 euros : la ville et le département trouvent un accord sur le maintien des PMI

Fumée blanche pour les centres de protection maternelle et infantile (PMI) du Blanc-Mesnil . Après des semaines de négociations, la municipalité et le conseil départemental de Seine-Saint-Denis ont trouvé un accord permettant le maintien de plusieurs structures dans différents quartiers de la commune. La PMI Pierre-Rouquès, située dans le centre, fermera tout de même ses portes au 1er octobre mais une permanence sera maintenue. Fin mars, la menace d'une fermeture avait plané au-dessus de deux des trois PMI municipales , la PMI départementale devant rester ouverte. Le personnel en avait été informé sans qu'aucune précision ne leur soit apportée, suscitant son inquiétude.

Que faire si mon chien se fait mordre par un autre chien ?
Que faire si mon chien se fait mordre par un autre chien ?

Le Parisien

time3 days ago

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Que faire si mon chien se fait mordre par un autre chien ?

Même si la plaie semble minime, une morsure peut provoquer : Les morsures profondes, notamment au cou, à l'abdomen ou près des articulations, sont particulièrement à risque. Il ne faut jamais banaliser ce type de blessure ! Séparez les chiens sans vous mettre en danger. Utilisez une voix ferme, de l'eau ou un objet si besoin. N'utilisez jamais vos mains pour séparer deux animaux. Ensuite : Un suivi est souvent nécessaire, car les infections peuvent apparaître dans les 24 à 72 heures suivant la morsure. Pensez à prendre les coordonnées du propriétaire de l'autre animal, car dans certains cas l'assurance responsabilité civile peut aider à couvrir les frais médicaux. >>Cliquez ici pour souscrire une assurance Santévet Si la morsure est grave ou si le chien mordeur n'était pas tenu en laisse, un signalement auprès de la mairie ou de la police municipale est possible. Le chien agresseur peut être soumis à une évaluation comportementale obligatoire. La prise en charge dépend de la gravité : Une assurance santé pour chien permet d'alléger ces dépenses imprévues. Selon les contrats, elle peut couvrir : Vous pourrez ainsi agir rapidement sans compromettre les soins apportés à votre compagnon. >>Cliquez ici pour souscrire une assurance Santévet

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