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Le Parisien
14 hours ago
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Ninja SLUSHi : partout sur Instagram, cette machine à boissons glacées voit ses stocks partir à vitesse grand V
Ayant cette année encore souffert des fortes chaleurs et de l'air sec de ces derniers jours et grand amateur de boissons glacées et autres rafraîchissements estivaux, vous souhaitez vous gâter avec une machine qui vous change en véritable barmaid et vous permette de conjuguer hydratation et plaisirs culinaires ? Comptant parmi les produits stars de la saison et d'une simplicité enfantine, la machine à granités et boissons glacées Ninja SLUSHi vous permettra de préparer et de profiter de délicieux granités, cocktails, milkshakes et autres rafraîchissements estivaux, sans jamais quitter votre cuisine. De plus, si vous résidez en Corse ou en France métropolitaine, la livraison de votre commande vous sera offerte. Vous pourrez même payer votre machine à granités et boissons glacées Ninja SLUSHi en 3 fois sans frais si vous le souhaitez. Et, particulièrement populaire en cette période propice aux canicules et fortes chaleurs, cette machine qui vous permettra de vous rafraîchir et de vous hydrater sans prise de tête vous reviendra à 349,99 euros sur le site officiel de la marque. Le code promo PARISIENNINJA25 vous permettra de bénéficier de : Pratique et intuitive, votre machine à granités et boissons glacées Ninja SLUSHi vous permettra de transformer toutes vos boissons préférées en délicieux rafraîchissements glacés, sans mixage ni ajout de glaçons. Ainsi, vous pourrez profiter au mieux de leur goût. Dotée d'un réservoir pouvant accueillir jusqu'à 1,9 litre de liquide et de puissantes lames Total Crushing Ninja, votre nouvelle alliée estivale vous permettra de profiter en 30 minutes maximum d'environ 7 portions de rafraîchissements onctueux et savoureux. Et, conçue pour être utilisable par tous, la machine Ninja SLUSHi s'occupera de tout ou presque. Une fois la cuve remplie, il vous suffira de choisir un programme parmi les cinq préréglés et de sélectionner la température désirée à l'aide des touches tactiles situées à l'avant, puis d'attendre que votre rafraîchissement soit prêt pour vous en servir un verre. Vous craignez de ne plus vous entendre durant son fonctionnement ou que vos préparations réchauffent si vous ne les dégustez pas immédiatement ? Grâce à son compresseur WhisperChill, elle fonctionne silencieusement et maintiendra vos boissons glacées à la température idéale pour jusqu'à 12 h consécutives. Cliquez ici pour profiter de l'offre Ninja sur sa machine à boissons glacées Ninja SLUSHi Les meilleures offres Ninja à saisir : Les meilleures offres Shark à saisir :
Le Figaro
a day ago
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Mediapart et Edwy Plenel condamnés à Nice pour diffamation envers Christian Estrosi
Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant «un ton très affirmatif» et allant «beaucoup plus loin que le rapport» de la Cour régionale des comptes. Une journaliste de Mediapart et Edwy Plenel, son ancien directeur de publication, ont été condamnés vendredi pour diffamation à la suite d'un article de novembre 2020 sur des proches de Christian Estrosi embauchés par la métropole. L'article révélait les conclusions d'un rapport de la cour régionale des comptes (CRC) qui ne devait être rendu public que deux jours plus tard et qui critiquait le recours par la métropole Nice Côte d'Azur, présidée par M. Estrosi, à des conseillers très bien payés issus des hautes sphères de l'État. Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant «un ton très affirmatif» et allant «beaucoup plus loin que le rapport de la CRC». Les deux journalistes devront payer chacun 1.000 euros d'amende et conjointement 5.000 euros de dommages à M. Estrosi. «Il n'y a pas eu d'enquête, la journaliste s'est contentée de recopier à charge le rapport», a dénoncé Me Olivier Baratelli, avocat de M. Estrosi, indiquant avoir produit à l'audience de nombreux éléments sur la réalité du travail effectué par les conseillers mis en cause. Publicité «Pratiques irrégulières» Dans un rapport sur la gestion de la métropole, la CRC dénonçait «des pratiques irrégulières dans le domaine de la gestion des ressources humaines» et évoquait sans citer de nom le cas d'un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, d'un juge et d'un ancien préfet, embauchés comme vacataires et payés entre 4.500 et 5.900 euros par mois pour des horaires de mi-temps sans que leurs missions ne soient toujours précises. «Estrosi a embauché à la métropole des amis qui n'ont pas laissé de traces de leur travail», a titré Mediapart en donnant les noms des trois personnes. À l'époque, M. Estrosi s'était vivement défendu en assurant qu'il continuerait «à faire appel aux meilleurs». Contacté par l'AFP, l'avocat des journalistes de Mediapart n'a pas réagi dans l'immédiat.
